Cher Felicien,
Chers Tous,
Le probleme est reel. Il se pose en ces termes: d'un cote, des Congolais sont refugies dans des pays voisins; nous ne pouvons pas refuser, a ces compatriotes, le droit de rentrer rapidement dans le pays; de l'autre cote, de nombreux Non Congolais sont prets a profiter de ce retour des Congolais pour s'infiltrer en RD Congo.
Que faire compte tenu de nos realites et de nos limitations? A mon avis, le realisme et le bon sens nous recommandent d'envisager la mise en place des mecanismes de filtration (en amont) et d'exfiltration (en aval). Concretement, je propose ce qui suit. Comme dispositif en amont, des responsables des Provinces concernees pourraient etre envoyes dans des centres ou se trouvent les candidats au retour pour identifier les Congolais et ce, sur la base des pieces d'identite et/ou autres documents (a definir). Ne perdons pas de vue que nos pieces d'identite se marchandent a tous les niveaux de notre Administration. Mais sachons en meme temps que nous ne pouvons pas nous prevaloir de nos propres turpitudes.
Une fois dans le pays, ces soit-disant Congolais seraient regroupes dans des centres de transit. Ils devront ensuite se rendre dans leurs villages d'origine et les habitants et les notables attitres de ces villages devraient certifier que ces retournes sont effectivement originaires de ce village et ce, sur la base des dispositions prevues par la coutume de l'endroit. Seuls, les refugies qui pourront pas etre reconnus par des villages congolais seront consideres comme des Congolais de souche. Les autres attendront dans les sites une eventuelle decision emanant des autorites competentes des niveaux provincial et national. En attendant, ils garderont les pieces d'identite leur delivrees par l'UNHCR. Apres un certain nombre de mois (a definir), ils pourront etre exfiltres.
Qu'en pensez-vous.
Il nous faut agir vite. Demain, il sera trop tard. Car pendant que nous dormons, pendant que nous reflechissons, les autres agissent. On le voit a l'examen de la forte pression qu'ils exercent, de facon non cachee, sur nos differents dirigeants.
Miatudila.
PS: Kinshasa aura beau essayer d'infiltrer des etrangers par une quelconque grande porte au Congo dans tel ou tel dessein, mais il ne pourra jamais installer ces etrangers dans un groupement du Bas Congo, de Bandundu, des deux Kasai ou d'ailleurs. Mpamba te ekonginda, ekoyinda ntango bakombanda kosala bilanga to koluka mbinzo to ndonge (tunswa en kikongo et tshiluba). Voila pourquoi en matiere d'identification et de recensement, jen mets ma confiance plus en nos responsables de groupements qu'en ces experts cravates de Kinshasa ou du PNUD. Yango wana, natiaka motema mwa ngai na ba bonnets rouges. Oui, le bonnets des chefs coutumiers authentiques.
Chers Tous,
Le probleme est reel. Il se pose en ces termes: d'un cote, des Congolais sont refugies dans des pays voisins; nous ne pouvons pas refuser, a ces compatriotes, le droit de rentrer rapidement dans le pays; de l'autre cote, de nombreux Non Congolais sont prets a profiter de ce retour des Congolais pour s'infiltrer en RD Congo.
Que faire compte tenu de nos realites et de nos limitations? A mon avis, le realisme et le bon sens nous recommandent d'envisager la mise en place des mecanismes de filtration (en amont) et d'exfiltration (en aval). Concretement, je propose ce qui suit. Comme dispositif en amont, des responsables des Provinces concernees pourraient etre envoyes dans des centres ou se trouvent les candidats au retour pour identifier les Congolais et ce, sur la base des pieces d'identite et/ou autres documents (a definir). Ne perdons pas de vue que nos pieces d'identite se marchandent a tous les niveaux de notre Administration. Mais sachons en meme temps que nous ne pouvons pas nous prevaloir de nos propres turpitudes.
Une fois dans le pays, ces soit-disant Congolais seraient regroupes dans des centres de transit. Ils devront ensuite se rendre dans leurs villages d'origine et les habitants et les notables attitres de ces villages devraient certifier que ces retournes sont effectivement originaires de ce village et ce, sur la base des dispositions prevues par la coutume de l'endroit. Seuls, les refugies qui pourront pas etre reconnus par des villages congolais seront consideres comme des Congolais de souche. Les autres attendront dans les sites une eventuelle decision emanant des autorites competentes des niveaux provincial et national. En attendant, ils garderont les pieces d'identite leur delivrees par l'UNHCR. Apres un certain nombre de mois (a definir), ils pourront etre exfiltres.
Qu'en pensez-vous.
Il nous faut agir vite. Demain, il sera trop tard. Car pendant que nous dormons, pendant que nous reflechissons, les autres agissent. On le voit a l'examen de la forte pression qu'ils exercent, de facon non cachee, sur nos differents dirigeants.
Miatudila.
PS: Kinshasa aura beau essayer d'infiltrer des etrangers par une quelconque grande porte au Congo dans tel ou tel dessein, mais il ne pourra jamais installer ces etrangers dans un groupement du Bas Congo, de Bandundu, des deux Kasai ou d'ailleurs. Mpamba te ekonginda, ekoyinda ntango bakombanda kosala bilanga to koluka mbinzo to ndonge (tunswa en kikongo et tshiluba). Voila pourquoi en matiere d'identification et de recensement, jen mets ma confiance plus en nos responsables de groupements qu'en ces experts cravates de Kinshasa ou du PNUD. Yango wana, natiaka motema mwa ngai na ba bonnets rouges. Oui, le bonnets des chefs coutumiers authentiques.
Congolais de part et d'autres !...
A travers le communique conjoint signe par MM. Kabila et Museveni en annexe, communique datant du 2 decembre 2013. Joseph Kabila et Museveni manifestent leur reelle volonte d'infiltration des etrangers par la grande porte au Congo dans le dessein de phagocyter le Congo de son interieur en faveur des pays voisins mieux Rwanda ou il s'origine. Avec Kabila les Congolais ont sans nul doute affaire a un mercenaire attitre mais qui ne dit jamais son nom.
A travers le communique conjoint signe par MM. Kabila et Museveni en annexe, communique datant du 2 decembre 2013. Joseph Kabila et Museveni manifestent leur reelle volonte d'infiltration des etrangers par la grande porte au Congo dans le dessein de phagocyter le Congo de son interieur en faveur des pays voisins mieux Rwanda ou il s'origine. Avec Kabila les Congolais ont sans nul doute affaire a un mercenaire attitre mais qui ne dit jamais son nom.
Kabila n'ose pas approcher Kagame dans le moment d'une maniere visible pour des raisons evidentes de ne pas faire reveiller les chants qui dorment. Mais, qu'importe,- tout le sale boulot cependant, est execute avec Museveni, quitte a faire parvenir a Kagame tous les rapports par de moyens detournes.
Que l'opinion dans sa globalite tant Congolaise qu'etrangere s'en rappelle.
Kabila en a deja opere un premier pas en ce domaine par son geste du 23 mars 2009 pendant que certains Congolais somnolaient et d'autres a l'inverse dormaient dans un profond sommeille. Les executeurs et concocteurs de cette volonte taciturne de Kabila furent notamment Alexis Thambwe Mwamba ; Raymond Tshibanda ; Vital Kamerhe ; Charles Moando Nsimba ; Apollinaire Malu Malu ; John Numbi ; Ghislain Tshikez Diemu ; Denis Kalume ; Pierre Lumbi, etc.
Voila le mot digne d'interet et revelateur que prononca Nkundakubatwara (23 mars 2007) a l'endroit de Kabila et qui appelle attention de Congolais au sens strict du terme : " [...]permettre aux parents de revenir au pays[lisez Congo]. Et Nkundakubatwara de conclure que : Cette cause reste intacte ! " Nous allons y revenir ci-dessous.
Le soubassement du dossier du M23 et de Kabila demeure l'infiltration des etrangers au Congo (Nicolas Sarkozy, ex-President francais, Herman Cohen ex-sous secretaire d'etat Americain charge des affaires Africaines etc. l'ont deja exprime a leur maniere et chacun a haute voix.) Nkundakubatwara l'a declare a Kabila a travers son homme de main un certain general Numbi celui-la meme qui a ete aux cotes de Nkundakubatwara jusqu'a la signature du fameux accord du 23 mars 2009 et aux cotes d'autres des dignitaires bien susmentionnes du regime Kabila.
"[le 23 mars 2007 à Kimoka], le Général Major Laurent NKUNDA, bien des années après avoir guerroyé contre le gouvernement de Kinshasa, accepte d’intégrer ses militaires, au sein des FARDC, à travers la structure dite mixage. Dans un discours mémorable, il rappelle qu’il est impossible d’envisager une paix durable sans résoudre la question endémique des refugiés congolais qui croupissent dans des camps de fortune [sic], dans tous les pays de la sous région des grands lacs africains [re-sic] : « en ce jour mémorable où je remets mes militaires [re-re-sic] entre les mains de l’Etat Major Général des FARDC, je tiens à souligner que je ne suis ni l’ennemi de Joseph KABILA ni celui du gouvernement de Kinshasa, mais celui d’un système qui a inversé les valeurs dans notre pays. Je vous donne des milliers de mes militaires sans que je me préoccupe de mon sort. Je ne voudrai pas précéder à Kinshasa et laisser mes militaires derrière moi, car les mêmes causes produisant les mêmes effets, nous ne voudrions pas refaire la même erreur que celle du RCD » [re-re-re-sic]. S’adressant au Lt. Général NUMBI représentant du président Joseph KABILA à ces cérémonies du 23 mars 2007, le Général Major Laurent NKUNDA a eu ces mots : « Mon Général, ces enfants que je vous donne aujourd’hui se sont enrôlés dans l’ANC, branche armée du CNDP [re-re-re-re-sic], pour lutter contre les forces négatives et permettre à leurs parents de revenir au pays [re-re-re-re-re-sic]. Cette cause reste intacte [re-re-re-re-re-re-sic], Je vous demande d’y mettre fin ». Pour un refugié du camp de Kigeme au Rwanda : «il faut que les causes profondes du conflit soient résolues avant qu’ils puissent envisager un retour dans leur pays la RDC» [re-re-re-re-re-re-re-sic]." Cf. Congo Rdc News, 28 mars 2013;http://m23congordc.wordpress.com/2013/03/28/le-23-mars-date-plus-que-symbolique-pour-les-combattants-de-la-liberte-de-la-rdc/).
Le voyage de Kabila a Kampala ce jour du 2/12/2013 n'avait pas d'autres objectifs que le rappel de Museveni a Kibila d'ouvrir les portes des frontieres du Congo aux infiltres et autres intrus sur le territoire du Congo."Le Congo zoba " (Congo stupide) comme disaient les Senegalais eparpilles sur l'etendue du Congo apres 1960 et s'adonnant aux pillages des ressources du Congo notamment le diamant etc. jusqu'a ce que Moise Tchombe vienne les faire deguerpir du Congo apres son exil et son bref sejour comme Premier ministre en 1965.
Saurions-nous la raison selon laquelle l'Israel par exemple et pour ne pas le citer s'oppose au retour des refugies Palestiniens qui sont au Liban et autres pays arabes? Au Congo, par contre,- le mercenaire Kabila jubile, devant l'arrivee des infiltres avec le label des refugies au Congo! Si non par quels symboles exterieurs Kabila peut-il declarer aux Congolais que ceux-ici sont de Congolais et qu'a l'inverse d'autres ne le sont pas et qu'ils ne peuvent pas entrer sur le territoire Congolais? (Non, c'est du pareil au moment !)
On peut tromper un peuple une fois. Mais, lorsque la tromperie devient chronique, il y a quelqu'chose qui ne fonctionne pas.
Les Congolais se doivent d'ouvrir les yeux et demeuraient vigilants et eviter completement les chansonnettes des griots et autres apologistes de la kabilie. Ils usent de l'obscurentisme d'un autre age face aux Congolais pour permettre ainsi a Kabila d'aliener les terres Congolaises en faveur des intrus etrangers.
Museveni ou Kagame n'approche guere les rebelles de leurs pays respectif. Notamment les Lra, les Fdlr et autres vaquent a leurs activites.
Qui dira qu'il n'a pas ete informe?
Albert
President Yoweri Museveni and his DR Congo counterpart Joseph Kabila have agreed to conclude the peace negotiations with the M23 rebels in order to facilitate the return and demobilisation of M23 former fighters.
Yesterday, the two leaders met over the stalled Kampala peace negotiations. Kabila was en-route to France where he is to attend the French-Africa Summit.
Kabila was accompanied by his foreign affairs minister Raymond Tshibanda, chief of staff Gustave Beya Siku, diplomatic and political adviser Leonard Ngoy Lulu and the Congolese ambassador to Uganda Charles Okoto.
The two leaders also agreed that the peace process would further create appropriate conditions for the return of refugees from neighbouring countries and internally displaced people.
The presidents also discussed ways of furthering cooperation between the two countries by reviving the joint permanent commission to deal with infrastructure issues, border demarcation and general development.
According to a State House press statement, the meeting was attended by the foreign affairs minister Sam Kutesa and his deputy Okello Oryem and as well as Defence minister and facilitator of the talks, Dr. Crispus Kiyonga.
The signing of an agreement between the DRC government and M23 rebels was recently put off until further notice after disagreement cropped up over the terms and conditions.
While visiting Bunia recently, President Kabila said that by December 15, “a statement” may be signed to end the talks.
President Kabila also re-affirmed his government’s determination to rid his country of negative forces such as the Allied Democratic Forces (ADF).
Yesterday, the two leaders met over the stalled Kampala peace negotiations. Kabila was en-route to France where he is to attend the French-Africa Summit.
Kabila was accompanied by his foreign affairs minister Raymond Tshibanda, chief of staff Gustave Beya Siku, diplomatic and political adviser Leonard Ngoy Lulu and the Congolese ambassador to Uganda Charles Okoto.
The two leaders also agreed that the peace process would further create appropriate conditions for the return of refugees from neighbouring countries and internally displaced people.
The presidents also discussed ways of furthering cooperation between the two countries by reviving the joint permanent commission to deal with infrastructure issues, border demarcation and general development.
According to a State House press statement, the meeting was attended by the foreign affairs minister Sam Kutesa and his deputy Okello Oryem and as well as Defence minister and facilitator of the talks, Dr. Crispus Kiyonga.
The signing of an agreement between the DRC government and M23 rebels was recently put off until further notice after disagreement cropped up over the terms and conditions.
While visiting Bunia recently, President Kabila said that by December 15, “a statement” may be signed to end the talks.
President Kabila also re-affirmed his government’s determination to rid his country of negative forces such as the Allied Democratic Forces (ADF).
----- Original Message -----
From: Tim
Sent: Tuesday, December 03, 2013 10:12 AM
Subject: Communiqué Conjoint entre les Président RD Congolais et ougandais à Kampala, le 2 Décembre 2013 [1 Attachment]