Par Freddy Mulongo, mercredi 18 décembre 2013 à 18:48 :: Radio Réveil FM International
L'ONU a rendu hommage mardi 17 novembre 2013 à Genève au dirigeant sud-africain Nelson Mandela, mort il y a dix jours. Une minute de silence a été observée dans la salle de Conseil aux droits de l'homme.![]()
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Koffi Anan, l'ancien Secrétaire Général de l'ONU, le dernier à prendre parole avant l'hymne sud-africain.
L'ONU a rendu hommage mardi à Genève au dirigeant sud-africain Nelson Mandela. Dans la salle du Conseil des droits de l'homme, au Palais des Nations, des bougies ont été allumées après une minute de silence en l'honneur de l'ancien président sud-africain.
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Lors de la cérémonie en présence de plus de 500 personnes, un message du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a été lu et la Haut commissaire aux droits de l'homme Navi Pillay s'est exprimée par vidéo. L'ambassadeur d'Afrique du Sud Abdul Samad Minty et l'ex-secrétaire général de l'ONU Kofi Annan ont apporté leur témoignage.
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Koffi Anan, l'ancien Secrétaire Général de l'ONU, le dernier à prendre parole avant l'hymne sud-africain.
L'ONU a rendu hommage mardi à Genève au dirigeant sud-africain Nelson Mandela. Dans la salle du Conseil des droits de l'homme, au Palais des Nations, des bougies ont été allumées après une minute de silence en l'honneur de l'ancien président sud-africain.




Lors de la cérémonie en présence de plus de 500 personnes, un message du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a été lu et la Haut commissaire aux droits de l'homme Navi Pillay s'est exprimée par vidéo. L'ambassadeur d'Afrique du Sud Abdul Samad Minty et l'ex-secrétaire général de l'ONU Kofi Annan ont apporté leur témoignage.




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L'acteur Français Roger Hanin traîne les Mitterrand en justice
Par Freddy Mulongo, mercredi 18 décembre 2013 à 17:27 :: Radio Réveil FM International
L'acteur français a demandé mardi en justice le remboursement de près de 300'000 euros prêtés à Danielle Mitterrand pour payer la caution de son fils Jean-Christophe dans l'affaire de l'Angolagate.
Roger Hanin pris en photo en 2001.
Roger Hanin, acteur et beau-frère de feu François Mitterrand, a déposé plainte contre les fils de l'ancien président afin de récupérer son argent.
«On a tout essayé, en vain», pour obtenir à l'amiable le remboursement de 1,5 million de francs (en francs français de l'époque, équivalent à 230'000 euros), puis 400'000 francs (60'000 euros) prêtés à Danielle Mitterrand, qui cherchait alors à réunir l'argent pour régler la caution -«rançon» avait-elle dit- de 5 millions de francs (760'000 euros) de son fils, brièvement incarcéré fin décembre 2000 et libéré en janvier 2001, a plaidé Me Olivier Pardo, avocat de Roger Hanin.
L'acteur a donc «de guerre lasse» assigné les fils de l'ancien président, Gilbert et Jean-Christophe, demandant par ailleurs le remboursement d'un dernier prêt, de 250'000 francs (38'000 euros), consenti à titre personnel à ce dernier, pour renflouer une affaire de pêcherie qu'il avait montée en Mauritanie.
«Tout ça, c'est du cinéma»
Me Pardo a estimé que c'était une «loi d'honneur que de rembourser ceux qui vous ont aidé quand vous étiez dans la difficulté».
En l'absence de tout écrit, hors un projet de reconnaissance de dette, Me Pardo estime que l'on se trouve dans «un cas d'école d'impossibilité morale» de demander dans un moment si difficile un écrit à «sa belle-soeur, à l'épouse d'un président de la République et à une grande dame par elle-même». «Tout ça, c'est du cinéma», réplique Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, pour les frères Mitterrand. Et d'assurer que «de 2001 à janvier 2013, il n'y a eu aucun commencement de début de demande» de remboursement, et «qu'on a commencé à vous réclamer de l'argent quand Roger Hanin, 88 ans, a été placé sous curatelle» de sa fille Isabelle.
Il insiste sur une «jurisprudence constante»: «Si vous exigez le remboursement, il vous appartient d'apporter la preuve de l'obligation à rembourser.» Or, en l'espèce, soutient-il, si Roger Hanin et la tante de Jean-Christophe Mitterrand «avaient eu le sentiment que cet argent devait être restitué», ils l'auraient demandé.