26/12/13/REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI (CongoForum)
L’occupation par les rebelles de l’Adf/Nalu de la localité de Kamango au Nord-Kivu est le principal sujet abordé par la presse ce jour. Mais les journaux prennent également à partie la Snel suite au déficit de la fourniture de l’électricité à Kinshasa surtout en ces temps des fêtes de fin d’année. Quelques articles de circonstance et des nouvelles économiques complètent ce « menue ».
Est / ADF-NALU
Les forces armées de la RDC (FARDC) appuyées par la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (Monusco) ont bombardé mercredi les positions de rebelles ougandais présumés dans le nord-Kivu après le massacre d’au moins 40 civils dans l'attaque du village de Kamango, dans l'est de la République démocratique du Congo. Les rebelles s'étaient emparés dans la matinée du mercredi 25 décembre de la ville de Kamango, située dans le territoire de Beni, dans un village de la localité, plus de 40 corps de villageois ont été découverts dans des latrines. Une attaque particulièrement violente imputée aux rebelles des Forces alliées démocratiques Armée nationale pour la libération de l'Ouganda (ADF-NALU). Le porte-parole de l'armée dans la province a confirmé que Kamango a été repris, ce jeudi, par les FARDC. Le bilan fait état de dix personnes enlevées, onze blessés civils, cinq blessés militaires et plusieurs morts du côté des civils, ainsi que plusieurs maisons brûlées par ces assaillants. Une attaque similaire imputée aux rebelles Ougandais de l ‘ADF-Nalu qui a causé la mort avec une avec une extrême brutalité d’au moins 21 personnes dans deux villages du territoire de Beni, était intervenue le 14 décembre dernier.
Le Phare titre « Le M23 déguisé en Adf/Nalu au Nord-Kivu : Kinshasa roulé dans la farine à Naïrobi ».
Ilestime que les autorités congolaises se sont réjouies trop vite et trop tôt de la signature par le M23, de son acte de décès dans sa déclaration du 12 décembre 2013. En effet, écrit-il, deux semaines après la pièce de théâtre concoctée par l’Ouganda pour leur faire croire que Sultani Makenga et ses troupes avaient définitivement renoncé à la lutte armée, la guerre vient d’être realancée au Nord-Kivu. Ainsi, conclut notre confrère, Kinshasa, est roulé dans la farine car les deux « Déclarations de Naïrobi » signées séparément par Raymond Tshibanda pour le gouvernement, et Bertrand Bisimwa pour l’ex rébellioin du M23, s’avèrent aujourd’hui comme des produits commerçables négociés dans un marché des dupes.
Pour Le Phare, « La seule chose qui reste à faire pour Kinshasa, c’est de se prendre en charge en vue de consolider le dernier succès militaire de son armée sur cette ex-rébellion en mettant effectivement en place une force de riposte rapide contre toute tentative de remise en question de la paix fraichement retrouvée. Dans le cas contraire, un nouveau feuilleton de balkanisation du pays risque de prendre corps, pour le malheur du Congo et des Congolais».
Le Potentiel titre « Les: Adf-Nalu et Bakata Katanga sont les nouvelles cibles de la Monusco, Après le M23 ».
La RDC ne doit pas se dérober à ses responsabilités. Les rebelles ougandais de l’Adf-Nalu sont classés comme des forces négatives au même titre que le M23. Et ils sont désormais dans le viseur de la brigade spéciale de la Monusco. Le Potentiel annonce que des hélicoptères onusiens sont entrés en action hier mercredi 25 décembre, survolant la ville de Beni, dont Kamango, positions occupées alors par l’Af-Nalu, ajoute ce journal.
Pour lui, « cette action de neutralisation devrait se poursuivre à l’endroit des groupes armés qui entretiennent l’insécurité dans d’autres provinces du pays, tels les Bakata Katanga, les FRPI (Ituri) ».
Dans cette nouvelle offensive, estime ce journal, les FARDC (Forces armées de la Rdc) devraient prendre les devants au nom de la défense de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale. Mais, indique-t-il, au-delà, les instances compétentes devraient interpeller toutes les personnes, à Kinshasa ou dans les provinces concernées, qui sont censées être de mèche avec ces groupes armés qui tuent leurs compatriotes pour des mobiles non élucidés jusqu’à ce jour. Car, estime Le Potentiel, il faut éviter à tout prix l’effet de contagion.
Ilestime que les autorités congolaises se sont réjouies trop vite et trop tôt de la signature par le M23, de son acte de décès dans sa déclaration du 12 décembre 2013. En effet, écrit-il, deux semaines après la pièce de théâtre concoctée par l’Ouganda pour leur faire croire que Sultani Makenga et ses troupes avaient définitivement renoncé à la lutte armée, la guerre vient d’être realancée au Nord-Kivu. Ainsi, conclut notre confrère, Kinshasa, est roulé dans la farine car les deux « Déclarations de Naïrobi » signées séparément par Raymond Tshibanda pour le gouvernement, et Bertrand Bisimwa pour l’ex rébellioin du M23, s’avèrent aujourd’hui comme des produits commerçables négociés dans un marché des dupes.
Pour Le Phare, « La seule chose qui reste à faire pour Kinshasa, c’est de se prendre en charge en vue de consolider le dernier succès militaire de son armée sur cette ex-rébellion en mettant effectivement en place une force de riposte rapide contre toute tentative de remise en question de la paix fraichement retrouvée. Dans le cas contraire, un nouveau feuilleton de balkanisation du pays risque de prendre corps, pour le malheur du Congo et des Congolais».
Le Potentiel titre « Les: Adf-Nalu et Bakata Katanga sont les nouvelles cibles de la Monusco, Après le M23 ».
La RDC ne doit pas se dérober à ses responsabilités. Les rebelles ougandais de l’Adf-Nalu sont classés comme des forces négatives au même titre que le M23. Et ils sont désormais dans le viseur de la brigade spéciale de la Monusco. Le Potentiel annonce que des hélicoptères onusiens sont entrés en action hier mercredi 25 décembre, survolant la ville de Beni, dont Kamango, positions occupées alors par l’Af-Nalu, ajoute ce journal.
Pour lui, « cette action de neutralisation devrait se poursuivre à l’endroit des groupes armés qui entretiennent l’insécurité dans d’autres provinces du pays, tels les Bakata Katanga, les FRPI (Ituri) ».
Dans cette nouvelle offensive, estime ce journal, les FARDC (Forces armées de la Rdc) devraient prendre les devants au nom de la défense de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale. Mais, indique-t-il, au-delà, les instances compétentes devraient interpeller toutes les personnes, à Kinshasa ou dans les provinces concernées, qui sont censées être de mèche avec ces groupes armés qui tuent leurs compatriotes pour des mobiles non élucidés jusqu’à ce jour. Car, estime Le Potentiel, il faut éviter à tout prix l’effet de contagion.
Le Palmarès titre « Kagame et Museveni reviennent à la charge », « Le M23 se déguise en Adf/Nalu ».
Ce journal rapporte que « La localité de Kamango a été attaquée par des rebelles lourdement armés hier à partir de 6 heures, permettant à ces derniers d’assièger les localités de son voisinage dans le Nord-Kivu». Il poursuit : « La société civile de Beni et plusieurs autres sources crédibles affirment que ces rebelles sont les éléments du M23 déguisés en Adf/Nalu».
Selon Le Palmarès, l’attitude équivoque de Kampala ainsi que le dernier rapport confidentiel de l’Onu en apportent la confirmation.
Ce journal rapporte que « La localité de Kamango a été attaquée par des rebelles lourdement armés hier à partir de 6 heures, permettant à ces derniers d’assièger les localités de son voisinage dans le Nord-Kivu». Il poursuit : « La société civile de Beni et plusieurs autres sources crédibles affirment que ces rebelles sont les éléments du M23 déguisés en Adf/Nalu».
Selon Le Palmarès, l’attitude équivoque de Kampala ainsi que le dernier rapport confidentiel de l’Onu en apportent la confirmation.
(L’insécurité récurrente à l’Est et le « feuilleton » du nouveau gouvernement sont parties intégrante de la barrière qui s’oppose à ce qu’un regard critique puisse être lancé sur les pseudo-résultats des élections du 28/11/11. Celles-ci ont été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. NdlR)
Noël ténébreux
Le Potentiel relève que « Kinshasa a fêté Noël sans électricité ni eau ».
« Plus de la moitié de la capitale a passé la nativité dans le noir. Un contraste d’avec le Christ Jésus qui symbolise la lumière du monde. Le corolaire à ce manque d’électricité est la carence d’eauqui s’en est suivie. Des milliers de Kinois ont dû se déplacer pour s’approvisionner en eau en vue de la cuisson des aliments », renseigne Le Potentiel.
« Dans les quartiers « bénis », poursuit-il, les coupures intempestives ont toujours eu droit de cité. Mont-Ngafula, Selembao, Ngaliema…, une partie de Lemba et la liste n’est pas exhaustive, plusieurs quartiers de Kinshasa sont dans le noir ».
Le problème de la Société nationale de l’électricité, SNEL, est d’ordre managérial, estime Le Potentiel qui relève en outre : « Les mandataires-clients sont incapables d’apporter de vraies réponses aux défis de la SNEL. Depuis plusieurs décennies, les gestionnaires de la SNEL sont habités par un esprit de prédation et du gain rapide et facile, avec leurs parrains. Anachronique, la gestion de la SNEL ne permet pas l’émergence d’une société moderne d’électricité. La complexité des travaux dans les réhabilitations des turbines, le transport et la distribution sont des compartiments qui souffrent énormément. Il est même certain que le taux de desserte de 9% serait en deçà de la réalité ».
Les explications les plus farfelues ne manqueront pas de venir de la SNEL, devine Le Potentiel. Mais, dit-il, en matière de service, aucune justification ne tient tant que la qualité ne sera pas au rendez-vous. Il revient que la station de la cité verte serait en panne. Comment se fait-il que la SNEL n’a pu anticiper jusqu’à n’offrir aux Kinois que la sauce noire le jour de la nativité ? Qu’en sera-t-il de la saint sylvestre ?
Pour un observateur, cite ce journal, « la SNEL est un panier à crabes. Comment voulez-vous qu’une société qui s’accommode des sous-traitants très peu performants puisse réussir dans sa mission». « Observez ce qui se passe à Inga et vous avez la réponse sur les malheurs qui s’abattent sur les Congolais». En six jours, la SNEL renverserait-elle la tendance ? Sceptique ! ».
L’Observateur pose cette question : « Pourquoi la Snel a difficile à remplir ses obligations envers ses clients malgré son nouveau statut de société commerciale ? ».
Ce journal souligne que « La Snel est la seule entreprise du moins jusque là, qui a mission en Rdc de produire, de transporter et de distribuer l’énergie électrique sur toute l’tendue du territoire national.Son rendement ainsi que celui des plusieurs entreprises publiques était jugé moins performant jusqu’à 2008. Il se fait malgré son changement de statut, la Snel a difficille à satisfaire sa clientèle ». Et il revient sur ses interrogations : « Est-ce la Snel a-t-elle un problème de gestion ? le personnel lui fait défaut ? S’agit-il d’un problème de management, de bonne gourvernance ? ».
Le Phare lui aussi prend à partie cette entreprise. Il titre : « La Snel poignardée par des agents véreux ».
Depuis de nombreux mois, soutient ce journal, la société nationale d’électricité (Snel) et la population entretiennent des relations difficiles. A la suite d’une pluviométrie défaillante. Ces deux dernières années en période de saison sèche, la compagnie nationale a connu de sérieux problèmes d’étiage au niveau du barrage d’Inga avec pour conséquences, de nombreuses pertubations dans la fourniture de l’énergie éléctrique. Cette situation a conduit la Snel à pratiquer l’alternance dans la fourniture de l’électricité à sa clientèle.
Mais, note-t-il, cette politique a rapidement montré ses limites, dans la mesure où les clients n’étaient pas soumis à un traitement égalitaire. Les délestages semblaient en effet l’apanage des quartiers déshérités, où la population avait du mal à conserver des rares vivres frais dont elle pouvait disposer. Avec une pluviométrie abondante comme c’est le cas depuis plusieurs semaines le prétexte d’étiage ne plus être évoqué. On constate en effet qu’en dépit de l’amélioration de la situation, certains spécialistes de la truanderie continuent à organiser des délestages sauvages et injustifiées dans plusieurs communes de la capitale.
« Plus de la moitié de la capitale a passé la nativité dans le noir. Un contraste d’avec le Christ Jésus qui symbolise la lumière du monde. Le corolaire à ce manque d’électricité est la carence d’eauqui s’en est suivie. Des milliers de Kinois ont dû se déplacer pour s’approvisionner en eau en vue de la cuisson des aliments », renseigne Le Potentiel.
« Dans les quartiers « bénis », poursuit-il, les coupures intempestives ont toujours eu droit de cité. Mont-Ngafula, Selembao, Ngaliema…, une partie de Lemba et la liste n’est pas exhaustive, plusieurs quartiers de Kinshasa sont dans le noir ».
Le problème de la Société nationale de l’électricité, SNEL, est d’ordre managérial, estime Le Potentiel qui relève en outre : « Les mandataires-clients sont incapables d’apporter de vraies réponses aux défis de la SNEL. Depuis plusieurs décennies, les gestionnaires de la SNEL sont habités par un esprit de prédation et du gain rapide et facile, avec leurs parrains. Anachronique, la gestion de la SNEL ne permet pas l’émergence d’une société moderne d’électricité. La complexité des travaux dans les réhabilitations des turbines, le transport et la distribution sont des compartiments qui souffrent énormément. Il est même certain que le taux de desserte de 9% serait en deçà de la réalité ».
Les explications les plus farfelues ne manqueront pas de venir de la SNEL, devine Le Potentiel. Mais, dit-il, en matière de service, aucune justification ne tient tant que la qualité ne sera pas au rendez-vous. Il revient que la station de la cité verte serait en panne. Comment se fait-il que la SNEL n’a pu anticiper jusqu’à n’offrir aux Kinois que la sauce noire le jour de la nativité ? Qu’en sera-t-il de la saint sylvestre ?
Pour un observateur, cite ce journal, « la SNEL est un panier à crabes. Comment voulez-vous qu’une société qui s’accommode des sous-traitants très peu performants puisse réussir dans sa mission». « Observez ce qui se passe à Inga et vous avez la réponse sur les malheurs qui s’abattent sur les Congolais». En six jours, la SNEL renverserait-elle la tendance ? Sceptique ! ».
L’Observateur pose cette question : « Pourquoi la Snel a difficile à remplir ses obligations envers ses clients malgré son nouveau statut de société commerciale ? ».
Ce journal souligne que « La Snel est la seule entreprise du moins jusque là, qui a mission en Rdc de produire, de transporter et de distribuer l’énergie électrique sur toute l’tendue du territoire national.Son rendement ainsi que celui des plusieurs entreprises publiques était jugé moins performant jusqu’à 2008. Il se fait malgré son changement de statut, la Snel a difficille à satisfaire sa clientèle ». Et il revient sur ses interrogations : « Est-ce la Snel a-t-elle un problème de gestion ? le personnel lui fait défaut ? S’agit-il d’un problème de management, de bonne gourvernance ? ».
Le Phare lui aussi prend à partie cette entreprise. Il titre : « La Snel poignardée par des agents véreux ».
Depuis de nombreux mois, soutient ce journal, la société nationale d’électricité (Snel) et la population entretiennent des relations difficiles. A la suite d’une pluviométrie défaillante. Ces deux dernières années en période de saison sèche, la compagnie nationale a connu de sérieux problèmes d’étiage au niveau du barrage d’Inga avec pour conséquences, de nombreuses pertubations dans la fourniture de l’énergie éléctrique. Cette situation a conduit la Snel à pratiquer l’alternance dans la fourniture de l’électricité à sa clientèle.
Mais, note-t-il, cette politique a rapidement montré ses limites, dans la mesure où les clients n’étaient pas soumis à un traitement égalitaire. Les délestages semblaient en effet l’apanage des quartiers déshérités, où la population avait du mal à conserver des rares vivres frais dont elle pouvait disposer. Avec une pluviométrie abondante comme c’est le cas depuis plusieurs semaines le prétexte d’étiage ne plus être évoqué. On constate en effet qu’en dépit de l’amélioration de la situation, certains spécialistes de la truanderie continuent à organiser des délestages sauvages et injustifiées dans plusieurs communes de la capitale.
Economie
L’ Agence Ecofin annonce que « Tiger Resources met le cap sur 25 000 tonnes de cuivre à partir de début 2014 à Kipoi ».
La compagnie minière Tiger Resources Ltd a annoncé, le 24 décembre, avoir démarré le 19 décembre les opérations de lixiviation de la phase 2 de l’usine de traitement par solvant et d’électrolyte (SXEW) dans son projet de cuivre Kipoi en RD Congo. Ce plus grand producteur de cuivre low-cost, listé sur ASX, s’est fixé de produire, à partir du premier trimestre 2014, environ 25000 tonnes de cathode de cuivre les douze premiers mois dans cette usine. Tiger Resources veut passer à 50 000 tonnes de cuivre l’année suivante et compte déjà sur une prévision de récupération de 90% en 120 jours. Le DG Brad Marwood estime qu’il s’agit d’une « livraison précoce de cuivre et un résultat très positif qui mettent la compagnie en position pour achever plus tôt le projet ». Tiger Resources détient à 60% le projet Kipoi couvrant 55 km2 dans la province de Katanga avec au moins cinq gisements: Kipoi Central, Kipoi North, Kileba, Judeira et Kaminafitwe.
La compagnie minière Tiger Resources Ltd a annoncé, le 24 décembre, avoir démarré le 19 décembre les opérations de lixiviation de la phase 2 de l’usine de traitement par solvant et d’électrolyte (SXEW) dans son projet de cuivre Kipoi en RD Congo. Ce plus grand producteur de cuivre low-cost, listé sur ASX, s’est fixé de produire, à partir du premier trimestre 2014, environ 25000 tonnes de cathode de cuivre les douze premiers mois dans cette usine. Tiger Resources veut passer à 50 000 tonnes de cuivre l’année suivante et compte déjà sur une prévision de récupération de 90% en 120 jours. Le DG Brad Marwood estime qu’il s’agit d’une « livraison précoce de cuivre et un résultat très positif qui mettent la compagnie en position pour achever plus tôt le projet ». Tiger Resources détient à 60% le projet Kipoi couvrant 55 km2 dans la province de Katanga avec au moins cinq gisements: Kipoi Central, Kipoi North, Kileba, Judeira et Kaminafitwe.
La même agence reprend l’information de Radio Okapi disant que « Sokimo fait un come-back sur l’or de Kibali Sud ».
La Société minière de Kilo Moto (Sokimo) veut reprendre l’exploitation du gisement d’or de Kibali Sud qui recèlerait 40 tonnes d’or, ce qui nécessite l’appui du gouvernement et des partenaires, rapporte la radio onusienne Okapi.La société minière va, au terme des années de difficultés, reprendre la production d’or suspendues sur certains gisements, après des contrats d’amodiation sur desconcessions avec notamment Kibali Gold, Anglo Gold Kilo et Mwana Africa. « Sokimo doit encore compléter les données actuelles en sa possession. Nous avons encore une série de sondages à faire. Dès qu’on aura franchi cette étape, nous allons passer à l’exploitation. Ça va demander déjà la présence d’une usine pour traiter les oxydes. Sokimo ne dispose pas de beaucoup de moyens pour lancer les travaux », explique Ntangu Sanduwo, directeur d’exploitation de cette société.Selon M. Sanduwo, l’exploitation de ce gisement permettra de relancer la production d’or et de redresser la situation de plus de 3000 employés ayant plus de six mois d’arriérés de salaire.
La Société minière de Kilo Moto (Sokimo) veut reprendre l’exploitation du gisement d’or de Kibali Sud qui recèlerait 40 tonnes d’or, ce qui nécessite l’appui du gouvernement et des partenaires, rapporte la radio onusienne Okapi.La société minière va, au terme des années de difficultés, reprendre la production d’or suspendues sur certains gisements, après des contrats d’amodiation sur desconcessions avec notamment Kibali Gold, Anglo Gold Kilo et Mwana Africa. « Sokimo doit encore compléter les données actuelles en sa possession. Nous avons encore une série de sondages à faire. Dès qu’on aura franchi cette étape, nous allons passer à l’exploitation. Ça va demander déjà la présence d’une usine pour traiter les oxydes. Sokimo ne dispose pas de beaucoup de moyens pour lancer les travaux », explique Ntangu Sanduwo, directeur d’exploitation de cette société.Selon M. Sanduwo, l’exploitation de ce gisement permettra de relancer la production d’or et de redresser la situation de plus de 3000 employés ayant plus de six mois d’arriérés de salaire.
D’après l’Agence Ecofin,« les consultations préliminaires pour la vente de la licence 4G sont lancées ».
La Républiquedémocratique du Congo espère lancer la technologie de 4ème génération sur son marché des télécommunications en 2014. En vue de cela, les consultations préliminaires pour la vente de cette licence ont été lancées le 19 décembre dernier. C’était au cours d’une réunion de travail entre Tryphon Kin Kiey Mulumba, le ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (Pt-Ntic) et les directeurs généraux des opérateurs télécoms.Ont également pris part à cette rencontre, Oscar Maninkunda, le président de l'Autorité de régulation des Postes et Télécommunications (Arpt), ainsi que les directeurs du Consortium international franco-américain Agilis-Entreprise Télécom. Durant les échanges, le ministre des Pt-Ntic a invité les opérateurs télécomsà collaborer avec les régulateurs dans la lutte contre la fraude télécom. Il leur a aussi demandé de s'investir davantage dans l'assainissement du secteur télécoms au cours de l'année 2014, afin que la 4G ne soit pas bloquée.
Divers
Les journaux jettent aussi un regard sur le pape. Le Phare notamment titre : « Le Pape François : "La paix est un engagement"».
Le Pape François a présenté sa première bénédiction « Urbi et Orbi » - à la ville et au monde ce mercredi 25 décembre, écrit ce journal qui précise qu’Il a livré son intervention du balcon de la Basilique Saint Pierre, au Vatican.
Un pape, qualifie ce journal, des pauvres qui a évoqué les guerres en Syrie, en Centrafrique, au Soudan du Sud ainsi que le sort des Chrétiens d’Orient.
Les journaux jettent aussi un regard sur le pape. Le Phare notamment titre : « Le Pape François : "La paix est un engagement"».
Le Pape François a présenté sa première bénédiction « Urbi et Orbi » - à la ville et au monde ce mercredi 25 décembre, écrit ce journal qui précise qu’Il a livré son intervention du balcon de la Basilique Saint Pierre, au Vatican.
Un pape, qualifie ce journal, des pauvres qui a évoqué les guerres en Syrie, en Centrafrique, au Soudan du Sud ainsi que le sort des Chrétiens d’Orient.
De son côté, La Prospérité titre: « Marche de l’UNC: Voici le démenti de l’UDPS! »
Le journal rapporte que «l’UDPS dément formellement son implication dans les tracts qui circulent à Kinshasa et annonçant une marche à organiser avec l’UNC le 31 décembre 2013». Un démenti formulé par Joseph Kapika, le porte-parole de ce parti d’opposition.
Le journal rapporte que «l’UDPS dément formellement son implication dans les tracts qui circulent à Kinshasa et annonçant une marche à organiser avec l’UNC le 31 décembre 2013». Un démenti formulé par Joseph Kapika, le porte-parole de ce parti d’opposition.
© CongoForum, le jeudi 26 décembre 2013
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[1]Les fraudes les plus importantes ayant eu lieu au niveau des centres de compilation, on ne pourrait se rapprocher de la « vérité des urnes » qu’en se référant aux PV des bureaux de vote, dernière opération publique et vérifiée par des témoins. Les chiffres de la CENI ne s’accompagnaient pas de ces PV, les chiffres publiés par l’UDPS, non plus. L’Eglise n’a jamais publié les résultats partiels constatés par ses observateurs. On n’a donc que des résultats dont la crédibilité est nulle. Les législatives ont été dignes de la présidentielle, sinon pires. Mais la CSJ a entériné les résultats de la présidentielle et des législatives. Le temps s’est écoulé, les résultats des élections demeureront à jamais inconnus.