- Publié le mardi 4 février 2014 13:04
On ‘se tire à boulets rouges. Le départ ou le maintien de Matata à la primature devient le cassus belli du moment sur la scène politique congolaise. Les protagonistes ont carrément décidé de retirer leurs masques. Ils se battent avec une rare violence et ont décidé de porter leur pugilat sur la place publique.
Le président de la Fec est devenu le porte-parole officiel des partisans du départ sans condition de Matata. C’est par lui que l’affaire éclaté et que les hostilités ont été lancées le plus officiellement du monde.
Au cours de la traditionnelle cérémonie d’échange des vœux, le numéro 1 de la Fec a descendu en flammes l’équipe Matata. Allant jusqu’à l’accuser d’être à la base de la déroute socioéconomique se profilant à l’horizon.
Les initiés ne sont pas dupes. Ils savent que le Patron de la Fec représente la partie visible d’un puissant lobby qui a juré sur le départ de Matata. Pour annihiler toute possibilité de maintien, le lobby a sorti la grande artillerie contre Matata. L’arme fatale a été actionnée.
A travers sa dernière sortie devant l’opinion nationale, le Patron de la Fec a tenu à lancer une mise en garde sévère à la Nation. Il a clairement laissé entendre que si jamais Matata rempilait, le Gouvernement ne pourra plus compter sur la Fec. La menace vaut son pesant d’or et pourrait jouer de manière déterminante sur le cours du destin en ce moment ultime.
Ayant bien compris la démarche, la Primature est sortie de ses gonds. Dans un style sans gant, elle s’est chargée de déplumer le président de la Fec à travers la presse. Et du berger à la bergère, le chef du gouvernement promet la rupture avec la Fec si elle maintenait à sa tête Albert Yuma accusé d’être outrageusement partisan.
C’est la grande guerre. Elle fait rage et promet d’importants dégâts sur la scène politique.
Laquelle vient de se diviser de manière visible et spectaculaire.
Entraînant la presse nationale dans son processus de scissiparité.
Malheur au camp qui va perdre la partie. Le degré ‘d’animosité atteint renseigne que le camp de la victoire mettra tout en œuvre pour déclencher une chasse à l’homme impitoyable contre l’adversaire et ses soutiens. La situation permet des règlements de comptes aveugles sur fond d’actions de sabotages systématiques.
Affaire à suivre.
LP
Au cours de la traditionnelle cérémonie d’échange des vœux, le numéro 1 de la Fec a descendu en flammes l’équipe Matata. Allant jusqu’à l’accuser d’être à la base de la déroute socioéconomique se profilant à l’horizon.
Les initiés ne sont pas dupes. Ils savent que le Patron de la Fec représente la partie visible d’un puissant lobby qui a juré sur le départ de Matata. Pour annihiler toute possibilité de maintien, le lobby a sorti la grande artillerie contre Matata. L’arme fatale a été actionnée.
A travers sa dernière sortie devant l’opinion nationale, le Patron de la Fec a tenu à lancer une mise en garde sévère à la Nation. Il a clairement laissé entendre que si jamais Matata rempilait, le Gouvernement ne pourra plus compter sur la Fec. La menace vaut son pesant d’or et pourrait jouer de manière déterminante sur le cours du destin en ce moment ultime.
Ayant bien compris la démarche, la Primature est sortie de ses gonds. Dans un style sans gant, elle s’est chargée de déplumer le président de la Fec à travers la presse. Et du berger à la bergère, le chef du gouvernement promet la rupture avec la Fec si elle maintenait à sa tête Albert Yuma accusé d’être outrageusement partisan.
C’est la grande guerre. Elle fait rage et promet d’importants dégâts sur la scène politique.
Laquelle vient de se diviser de manière visible et spectaculaire.
Entraînant la presse nationale dans son processus de scissiparité.
Malheur au camp qui va perdre la partie. Le degré ‘d’animosité atteint renseigne que le camp de la victoire mettra tout en œuvre pour déclencher une chasse à l’homme impitoyable contre l’adversaire et ses soutiens. La situation permet des règlements de comptes aveugles sur fond d’actions de sabotages systématiques.
Affaire à suivre.
LP