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FARDC, impossible d'avoir une armée forte Ndeko Mpoko, Il ne faut pas s’étonner des raisonnements de nos compatriotes. Ils sont bons dans les critiques et non pas aux solutions. Ils ne comprendront jamais. Concernant notre armée « Fardc », les opposants congolais et leurs adeptes, ne cherchent pas à savoir l’origine de la faiblesse de notre armée, (l’armée congolaise). Comme j’avais souligné dans un, de mes posting antérieurs, l’armée congolaise n’a jamais gagnée une guerre depuis l’accession de la république démocratique du Congo à son indépendance. C’est à cette question que tout congolais de bonne foi devrait se poser la question et chercher à trouver la réponse. L’armée congolaise avait eu la malédiction depuis qu’elle avait assassinée Lumumba, le père de l’indépendance de la RDC, et ses compagnons de lutte, Okito, M’polo, Mulele etc. À partir de cette bavure commanditée par le chef de cette même armée à l’époque, Joseph Désiré Mobutu que cette malédiction s’est abattue sur notre armée. C’est à partir de là que notre armée a été maudite par nos ancêtres. Elle avait eu cette malédiction, le fait d’avoir trahi le peuple Congolais. Cette trahison a fait que notre Armée congolaise ne peut jamais gagnée une guerre, le cas de la rébellion au Congo appelée muleliste, la guerre de Jean Schram à Bukavu, deux guerres de Shaba appelées Shaba I et Shaba II, celle de l’Afdl, Rdc, Cndp et celle que nous vivons aujourd’hui des terroristes du M23. Je ne veux pas tomber dans les pièges de ces présumés compétents qui se sont spécialisés aux critiques sans aucune proposition qui peut nous amener à une solution. Voici ma proposition : Pour que notre Armée soit forte, une armée efficace et républicaine, nos politiciens, surtout nos officiers supérieurs et sous-officiers doivent remplir deux conditions : 1) Demander pardon (se confesser) à la tombe ou à l’endroit dont notre armée avait assassinée Lumumba, le père de l’indépendance, notre héro nationale. 2) Se confesser sur la tombe de notre père Spirituel Kimbangu pour avoir plus de la bénédiction et la grâce Sans cela, je ne crois pas qu’on aura une armée forte, dissuasive et républicaine. Mobutu étant premier chef de l’armée congolaise après l’indépendance est à la base de la malédiction de l’Armée congolaise en tuant le père de l’indépendance, Lumumba. Il est aussi le responsable de la mort de 1e président de la RDC Joseph Kasavubu en lui reléguant dans son village natal et lui refusant le traitement médicale. Voilà le crime d’un premier chef d’armée congolaise, Mobutu, qui a fait que notre armée soit maudite par nos ancêtres. Aussi longtemps qu’il n’y aura pas cette confession envers nos ancêtres, l’armée congolaise restera impuissante et faible en Afrique. Elle a besoin de la bénédiction et la grâce de nos Aïeux. Pourquoi tous ces noms. Ce changement de noms n’est pas une solution. Ex : de l’Anc au Faz, de Faz au Fac et de Fac au Fardc, c’est toujours l’Armée congolaise. La première solution est le pardon, se confesser. Les restes viendront par après, tel que l’exemple de l’armée mozambicaine que vous venez de donner. J’ajouterai aussi un autre exemple, celui d’un général américain en Afghanistan, qui avait déclaré ceci : Pour avoir une armée forte, ça prend au moins une quinzaine d’année. Monsieur Mpoko, vous avez raison en disant que « Mobutu n’a pas laissé une armée ». Pour rafraîchir la mémoire : Mobutu lui-même était un faut militaire. Du sergent au maréchal, il n’a jamais participé à aucune guerre. La seule guerre à laquelle il a osé participer, c’était le ralliement par la force de la province rebelle le Kivu au gouvernement central. Il avait tenté d’attaquer Bukavu à partir du Rwanda (Cingugu) à l’époque du président Kahibanda. Malheureusement pour notre Lieutenant-colonel Mobutu, tomba dans une embuscade tendue par major Kwima Félix commandant du Kivu côté camp Saïo à Bukavu. En passant, Kwima avait eu sa retraite prématurée avec le grade de Colonel (Colonel Kwima Félix que son âme se repose en paix). Le Lieutenant-colonel Mobutu va fuir en laissant ses militaires au champ de bataille. Il prend l’avion à partir de l’aéroport de Gisenyi au Rwanda vers Kinshasa. Arrivé à Kinshasa, Mobutu se cache chez lui sans se présenter à l’État major général. Kimba Évariste, premier ministre de l’époque voulait avoir des informations de Mobutu au front. Un officier que j’oublie son nom lui dira qu’il a aperçu le Lieutenant-colonel Mobutu chez lui. Kimba Évariste fâché, il envoie les militaires d’aller chercher Mobutu et le jeter en prison où il a passé 24 heures. Voilà une des raisons de la pendaison de Kimba accompagné de Bamba, Mahamba et Anani Jérôme quand Mobutu est arrivé au pouvoir. C’était un règlement de compte. Mobutu humilié par Kimba, il monta avec l’appui de Colonel Bangala et Tshisekedi cette fausse histoire de coup-d’état. Kimba, Mahamba, Bamba et Anani Jérôme seront pendus. Vous connaissez la suite……. Merci La lutte continue, la victoire est certaine. Amundala Wabisa

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L’armée congolaise avait eu la malédiction depuis qu’elle avait assassinée Lumumba, le père de l’indépendance de la RDC, et ses compagnons de lutte, Okito, M’polo, Mulele etc. À partir de cette bavure commanditée par le chef de cette même armée à l’époque, Joseph Désiré Mobutu que cette malédiction s’est abattue sur notre armée. C’est à partir de là que notre armée a été maudite par nos ancêtres. Elle avait eu cette malédiction, le fait d’avoir trahi le peuple Congolais. Cette trahison a fait que notre Armée congolaise ne peut jamais gagnée une guerre, le cas de la rébellion au Congo appelée muleliste, la guerre de Jean Schram à Bukavu, deux guerres de Shaba appelées Shaba I et Shaba II, celle de l’Afdl, Rdc, Cndp et celle que nous vivons aujourd’hui des terroristes du M23. Je ne veux pas tomber dans les pièges de ces présumés compétents qui se sont spécialisés aux critiques sans aucune proposition qui peut nous amener à une solution. Voici ma proposition : Pour que notre Armée soit forte, une armée efficace et républicaine, nos politiciens, surtout nos officiers supérieurs et sous-officiers doivent remplir deux conditions : 1) Demander pardon (se confesser) à la tombe ou à l’endroit dont notre armée avait assassinée Lumumba, le père de l’indépendance, notre héro nationale. 2) Se confesser sur la tombe de notre père Spirituel Kimbangu pour avoir plus de la bénédiction et la grâce Sans cela, je ne crois pas qu’on aura une armée forte, dissuasive et républicaine. Mobutu étant premier chef de l’armée congolaise après l’indépendance est à la base de la malédiction de l’Armée congolaise en tuant le père de l’indépendance, Lumumba. Il est aussi le responsable de la mort de 1e président de la RDC Joseph Kasavubu en lui reléguant dans son village natal et lui refusant le traitement médicale. Voilà le crime d’un premier chef d’armée congolaise, Mobutu, qui a fait que notre armée soit maudite par nos ancêtres. Aussi longtemps qu’il n’y aura pas cette confession envers nos ancêtres, l’armée congolaise restera impuissante et faible en Afrique. Elle a besoin de la bénédiction et la grâce de nos Aïeux. Pourquoi tous ces noms. Ce changement de noms n’est pas une solution. Ex : de l’Anc au Faz, de Faz au Fac et de Fac au Fardc, c’est toujours l’Armée congolaise. La première solution est le pardon, se confesser. Les restes viendront par après, tel que l’exemple de l’armée mozambicaine que vous venez de donner. J’ajouterai aussi un autre exemple, celui d’un général américain en Afghanistan, qui avait déclaré ceci : Pour avoir une armée forte, ça prend au moins une quinzaine d’année. Monsieur Mpoko, vous avez raison en disant que « Mobutu n’a pas laissé une armée ». Pour rafraîchir la mémoire : Mobutu lui-même était un faut militaire. Du sergent au maréchal, il n’a jamais participé à aucune guerre. La seule guerre à laquelle il a osé participer, c’était le ralliement par la force de la province rebelle le Kivu au gouvernement central. Il avait tenté d’attaquer Bukavu à partir du Rwanda (Cingugu) à l’époque du président Kahibanda. Malheureusement pour notre Lieutenant-colonel Mobutu, tomba dans une embuscade tendue par major Kwima Félix commandant du Kivu côté camp Saïo à Bukavu. En passant, Kwima avait eu sa retraite prématurée avec le grade de Colonel (Colonel Kwima Félix que son âme se repose en paix). Le Lieutenant-colonel Mobutu va fuir en laissant ses militaires au champ de bataille. Il prend l’avion à partir de l’aéroport de Gisenyi au Rwanda vers Kinshasa. Arrivé à Kinshasa, Mobutu se cache chez lui sans se présenter à l’État major général. Kimba Évariste, premier ministre de l’époque voulait avoir des informations de Mobutu au front. Un officier que j’oublie son nom lui dira qu’il a aperçu le Lieutenant-colonel Mobutu chez lui. Kimba Évariste fâché, il envoie les militaires d’aller chercher Mobutu et le jeter en prison où il a passé 24 heures. Voilà une des raisons de la pendaison de Kimba accompagné de Bamba, Mahamba et Anani Jérôme quand Mobutu est arrivé au pouvoir. C’était un règlement de compte. Mobutu humilié par Kimba, il monta avec l’appui de Colonel Bangala et Tshisekedi cette fausse histoire de coup-d’état. Kimba, Mahamba, Bamba et Anani Jérôme seront pendus. Vous connaissez la suite……. Merci La lutte continue, la victoire est certaine. Amundala Wabisa
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© AFP

Les chrétiens de Syrie s’apprêtent à célébrer les fêtes de fin d’année dans un contexte de violence accrue, tant la crise dans le pays a creusé le fossé entre les différentes communautés ethnico-religieuses.

Par Mounia Ben Aïssa (vidéo)
Marc DAOU  (texte)
 
De Bethléem à Bagdad, en passant par Beyrouth et Damas, les chrétiens d’Orient célèbrent le 25 décembre la fête la plus sacrée de leur religion. Celle de la naissance du Christ dans une région où leur présence, séculaires, est de plus en plus menacée. Notamment en Syrie, où le soulèvement contre le régime du président Bachar al-Assad, depuis mars 2011, a plongé le pays dans la violence et creusé le fossé entre les différentes communautés ethnico-religieuses.
C’est donc dans ce contexte tendu et dans l’angoisse que les chrétiens de Syrie s’apprêtent à célébrer les fêtes de fin d’année. À Qassaa, un quartier du centre de la capitale à majorité chrétienne, les rues sont vides et il n'y a aucun ornement, rapporte l’AFP. À Alep (nord), théâtre depuis cinq mois d'une guerilla urbaine, "de nombreux chrétiens prieront chez eux plutôt qu'à l'église", affirme Ibrahim Nassir, à la tête de l'Église évangéliste arabe.
 
Syndiquer le contenuGRAND REPORTAGE
Une communauté prise en tenaille
 
En effet, selon la Commission internationale indépendante d'enquête sur la Syrie, mise en place par l’ONU, les violences ont pris une tournure "ouvertement intercommunautaire" dans le pays. Si son rapport, publié le 20 décembre, met l’accent sur l’opposition entre la minorité alaouite au pouvoir et la majorité sunnite, il affirme surtout que des "communautés entières" sont menacées.
 
Pris en tenaille entre un régime alaouite qui s’est longtemps appuyé sur les minorités pour asseoir sa domination sur la majorité sunnite, et les combattants rebelles, issus précisément des rangs de cette communauté majoritaire, les chrétiens de Syrie sont restés globalement à l'écart de la révolte. Cependant une partie importante de la hiérarchie des différentes communautés chrétiennes, qui représentent entre 8 et 12 % de la population, ont pris position en faveur du régime. Et ce, par peur à la fois des djihadistes présents dans les rangs de la rébellion et de l’avènement d’un pouvoir islamiste après la chute du clan Assad.
 
Une vidéo mise en ligne par les rebelles, le 22 décembre, illustre cette position inconfortable.  Ces derniers ont lancé un ultimatum aux habitants de Mharda et d'al-Sqilbiya (centre), les prévenant que s'ils n'en délogeaient pas les forces du régime du président Bachar al-Assad, des combattants lanceraient un assaut sur les deux localités chrétiennes. Une menace "contraire aux préceptes de l'islam", selon l'Organisation de la coopération islamique (OCI), qui a mis en garde contre le risque d'"un glissement vers (un conflit) confessionnel" en Syrie.
 
La crainte du scénario irakien
 
Selon l’organe d'information du Vatican, Fides, qui s’appuie sur des témoignages de civils présents sur le terrain, environ 150 000 chrétiens "vivent dans la terreur dans plus de 40 villages situés dans ce qu’il est convenu d’appeler 'Vallée des chrétiens'", dans l’ouest de la Syrie. "Les civils chrétiens constituent des 'victimes collatérales' qui sont frappées sans aucune retenue", est-il écrit dans la note publiée mi-décembre.
 
À terme, les chrétiens de Syrie craignent de subir le sort de leurs coreligionnaires irakiens. Selon des chiffres avancés par les experts, la communauté chrétienne d’Irak, considérée comme l'une des plus anciennes du Moyen-Orient, comptait environ 1,2 million de croyants au début des années 1980. Ils seraient aujourd'hui moins de 300 000, selon le Secours catholique. La chute du régime autoritaire et laïc de Saddam Hussein en 2003 a marqué le début des tourments des chrétiens, persécutés par les milices extrémistes. Victime d’attaques terroristes, de racket ou de kidnapping, la majorité de la communauté avait choisi l’exil. Ironie du sort, beaucoup d’entre eux s’étaient réfugiés en Syrie, considérée alors comme un havre de sécurité…
 

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