QUE RESTE-IL DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO eX-ZAIRE DEPUIS L'EXIL ET LA MORT DE CET HOMME?
QU'EST DEVENU SON PAYS DEPUIS LORS?
Avait-il raison de dire ce qu'il a dit sur cette photos portrait?
"Vivre, c'est bien mais, marquer son temps, c'est encore mieux, affirmait l'ancien président de la République de Guinée Konakry auprès de qui, voulait l'entendre.
Dans tous les sens, fort est constater que l'homme sur la photo a marqué son temps de deux bouts de la corde.
D'une part, ses détracteurs et successeurs au pouvoir l'accusent, plusieurs années après sa mort, d'être toujours à la base de déboires de son pays pour l'avoir déconstruit, justifiant du coup, leur incapacité à restructurer et à réajuster les tissus de la vie du pays en tant que Nations; d'autre part, ses nostalgique regrettent son exil et sa mort, puisant et justifiant leurs affirmations par ce qui est écrit sur cette photo, à droite du Maréchal.
QUE DIRE DE TOUT CECI?
Qui a raison, qui se trompe ou, qui a tort?
Une chose est certaine, depuis le départ de cet homme de son pays et du pouvoir qu'il exerça trente-deux ans durant, les actes illocutoires de ses deux successeurs de la même "famille" n'ont produit que le résultats contraire du mot et les allocutaires RDCongolais ne savent point, à quel saint se vouer.
Pendant que de son vivant, son peuple était en sécurité à l’intérieur de ses frontières, aujourd'hui, il est devenu(le peuple congolais) exilé dans son propre pays et victime de massacres organisé à grande échelle, une crise inédite, les mascarades électorales, le clientélisme étroit et pleure plus de cinq millions de morts le tout, disent les opposants au régime, à cause et par le fait de celui-ci.
"Ceux qui arrivent au pouvoir et qui l'exercent au mépris de l'intérêt national sont des ignares triomphants", disait L.S SEGHOR
Pour autant, pouvons-nous dire aujourd'hui que le premier successeur de Mobutu n'était qu'un ignare triomphant pour avoir emmené avec lui une horde d'étrangers qui a envahi la RDC?
Pouvons-nous affirmer que son deuxième successeur est plus qu'un ignare triomphant pour avoir, sur commande, érigé les meurtres, les privations des libertés publiques et le clientélisme en système de gouvernance?
Pour autant, pouvons-nous dire que l'homme sur photo; dictateur éclairé pour les uns et, pendant le règne de qui, jamais, le pays n'a enregistré, ni connu un taux de viol de femmes aussi vertigineux et de massacres de masse, était aussi un ignare triomphant parce qu'il a exercé un pouvoir"sécurisant pour le peuple", sans partage?
Et, comme persistent à dire d'autre part certains de ses compatriotes qu'il a semé les germes de la déstabilisation de son pays de part son autoritarisme aveugle, son pouvoir personnel qui a eu comme conséquence immédiate, le fourvoiement et le désajustement du tissu économico-social de l'ex-Zaire, y-a-il lieu d'affirmer qu'il porte sur sa tombe la responsabilité de la situation actuelle de la République Démocratique du Congo?
Sur ce sujet, intellectuels congolais, ses compatriotes labda et nombreux observateur de la communauté internationale sont en désaccord.
LA QUESTION QUE SE POSE "Question d'Afrique et d'Ailleurs" est de savoir si, ce désaccord est philosophique ou simplement conceptuel.
Car, si c'est philosophique, les congolais dont le pays est un scandale géologique ont les atouts nécessaires pour remettre rapidement leur pays en ordre de bataille et pour cela, ils se doivent de se comporter comme des philosophe dont on dit que la seule chose pour laquelle, ils ne se sont jamais mis d'accord est de se mettre d'accord.
Voila pourquoi, maintenant que le départ définitif du pouvoir de l'actuel chef de l'Etat, Monsieur kabila est irréversible, ils se doivent de laisser les divisions de côté et montrer au monde qu'ils sont bien en mesure de se prendre en charge.
Pour ce faire, ils doivent cesser de pleurer, d'accuser la communauté internationale et de se concentrer sur leur devoir qui consiste à s'honorer eux-même en honorant la terre de leurs ancêtres pour que vive une République Démocratique du Congo GRANDE, FORTE et PROSPÈRE.
"Questions d'Afrique et d'Ailleurs" dit ce jours au Congolais que les larmes les plus chaudes que l'on verse sur une tombe viennent des mots que l'on a pas dits et les choses que l'on a pas faites.
CONGOLAIS, RÉVEILLEZ-VOUS CAR, SI VOUS LISEZ ATTENTIVEMENT LES ÉCRITS SE TROUVANT SUR LA PHOTO CI-DESSOUS DE VOTRE DÉFUNT PRÉSIDENT, VOUS COMPRENDREZ QUE L'HOMME SE RETOURNE SUR SA TOMBE.
L'administration.
WL
00.33.6.35.62.63.81
QU'EST DEVENU SON PAYS DEPUIS LORS?
Avait-il raison de dire ce qu'il a dit sur cette photos portrait?
"Vivre, c'est bien mais, marquer son temps, c'est encore mieux, affirmait l'ancien président de la République de Guinée Konakry auprès de qui, voulait l'entendre.
Dans tous les sens, fort est constater que l'homme sur la photo a marqué son temps de deux bouts de la corde.
D'une part, ses détracteurs et successeurs au pouvoir l'accusent, plusieurs années après sa mort, d'être toujours à la base de déboires de son pays pour l'avoir déconstruit, justifiant du coup, leur incapacité à restructurer et à réajuster les tissus de la vie du pays en tant que Nations; d'autre part, ses nostalgique regrettent son exil et sa mort, puisant et justifiant leurs affirmations par ce qui est écrit sur cette photo, à droite du Maréchal.
QUE DIRE DE TOUT CECI?
Qui a raison, qui se trompe ou, qui a tort?
Une chose est certaine, depuis le départ de cet homme de son pays et du pouvoir qu'il exerça trente-deux ans durant, les actes illocutoires de ses deux successeurs de la même "famille" n'ont produit que le résultats contraire du mot et les allocutaires RDCongolais ne savent point, à quel saint se vouer.
Pendant que de son vivant, son peuple était en sécurité à l’intérieur de ses frontières, aujourd'hui, il est devenu(le peuple congolais) exilé dans son propre pays et victime de massacres organisé à grande échelle, une crise inédite, les mascarades électorales, le clientélisme étroit et pleure plus de cinq millions de morts le tout, disent les opposants au régime, à cause et par le fait de celui-ci.
"Ceux qui arrivent au pouvoir et qui l'exercent au mépris de l'intérêt national sont des ignares triomphants", disait L.S SEGHOR
Pour autant, pouvons-nous dire aujourd'hui que le premier successeur de Mobutu n'était qu'un ignare triomphant pour avoir emmené avec lui une horde d'étrangers qui a envahi la RDC?
Pouvons-nous affirmer que son deuxième successeur est plus qu'un ignare triomphant pour avoir, sur commande, érigé les meurtres, les privations des libertés publiques et le clientélisme en système de gouvernance?
Pour autant, pouvons-nous dire que l'homme sur photo; dictateur éclairé pour les uns et, pendant le règne de qui, jamais, le pays n'a enregistré, ni connu un taux de viol de femmes aussi vertigineux et de massacres de masse, était aussi un ignare triomphant parce qu'il a exercé un pouvoir"sécurisant pour le peuple", sans partage?
Et, comme persistent à dire d'autre part certains de ses compatriotes qu'il a semé les germes de la déstabilisation de son pays de part son autoritarisme aveugle, son pouvoir personnel qui a eu comme conséquence immédiate, le fourvoiement et le désajustement du tissu économico-social de l'ex-Zaire, y-a-il lieu d'affirmer qu'il porte sur sa tombe la responsabilité de la situation actuelle de la République Démocratique du Congo?
Sur ce sujet, intellectuels congolais, ses compatriotes labda et nombreux observateur de la communauté internationale sont en désaccord.
LA QUESTION QUE SE POSE "Question d'Afrique et d'Ailleurs" est de savoir si, ce désaccord est philosophique ou simplement conceptuel.
Car, si c'est philosophique, les congolais dont le pays est un scandale géologique ont les atouts nécessaires pour remettre rapidement leur pays en ordre de bataille et pour cela, ils se doivent de se comporter comme des philosophe dont on dit que la seule chose pour laquelle, ils ne se sont jamais mis d'accord est de se mettre d'accord.
Voila pourquoi, maintenant que le départ définitif du pouvoir de l'actuel chef de l'Etat, Monsieur kabila est irréversible, ils se doivent de laisser les divisions de côté et montrer au monde qu'ils sont bien en mesure de se prendre en charge.
Pour ce faire, ils doivent cesser de pleurer, d'accuser la communauté internationale et de se concentrer sur leur devoir qui consiste à s'honorer eux-même en honorant la terre de leurs ancêtres pour que vive une République Démocratique du Congo GRANDE, FORTE et PROSPÈRE.
"Questions d'Afrique et d'Ailleurs" dit ce jours au Congolais que les larmes les plus chaudes que l'on verse sur une tombe viennent des mots que l'on a pas dits et les choses que l'on a pas faites.
CONGOLAIS, RÉVEILLEZ-VOUS CAR, SI VOUS LISEZ ATTENTIVEMENT LES ÉCRITS SE TROUVANT SUR LA PHOTO CI-DESSOUS DE VOTRE DÉFUNT PRÉSIDENT, VOUS COMPRENDREZ QUE L'HOMME SE RETOURNE SUR SA TOMBE.
L'administration.
WL
00.33.6.35.62.63.81
WL