

Assemblée parlementaire de la Francophonie
Le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, a tiré à boulets rouges sur les sponsors des mouvements rebelles dans l’Est de la RDC. C’était à l’occasion des travaux du bureau de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie tenue, du 5 au 7 février, à Rabat (Maroc).
Le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, a tiré à boulets rouges sur les sponsors des mouvements rebelles dans l’Est de la RDC. C’était à l’occasion des travaux du bureau de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie tenue, du 5 au 7 février, à Rabat (Maroc).
Premier vice-président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), le président de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, Aubin Minaku, a participé aux travaux du bureau de l’APF organisés, du 5 au 7 février à Rabat, capitale du Maroc.
Du haut de la tribune de cette assemblée, Aubin Minaku a dénoncé les manœuvres dilatoires de certains pays voisins de la RDC, qui cherchent par leur soutien, à ressusciter les forces négatives, notamment le M23, mis en déroute par les Forces armées de la RDC appuyées par la Monusco.
Le speaker de la Chambre basse du Parlement congolais a ainsi fustigé le fait que ces pays apportent le soutien et le renfort aux résidus du M23, en vue de réaliser le projet de déstabilisation permanente de la RDC et de l’ensemble de la région.
Concernant l’évolution de la situation sécuritaire au pays, Aubin Minaku a fait état de la traque lancée sur les forces négatives qui déstabilisent l’Est de la RDC après la défaite du M23.
« Rassurez-vous que la RDC avec l’ensemble de ses partenaires, aspire à la paix dans région et ne ménagera aucun effort pour rendre irréversible le processus de paix en cours », a-t-il indiqué devant ses pairs.
C’est dans ce cadre qu’il a salué la loi d’amnistie votée par les deux Chambres du Parlement congolais pour donner réponse aux engagements nationaux et internationaux.
Sur le plan politique, Aubin Minaku a fait savoir d’une part, l’imminence de la mise en place du gouvernement de cohésion nationale, vecteur de l’union de tous les Congolais à la suite des concertations nationales.
Et d’autre part, le travail de la CENI pour la publication de la feuille de route du cycle électoral d’ici à 2016, selon les prescrits de la Constitution en vigueur en République démocratique du Congo.
Par ailleurs, l’adoption du budget pour l’exercice 2014, la mise en mouvement d’une stratégie dotée de la vocation de rendre l’Assemblée parlementaire de la Francophonie un acteur de l’acception pleine du terme dans la résolution des questions majeures sur la scène internationale, la réintégration de la Guinée-Conakry, du Mali, et le temps d’observation assorti de la conditionnalité liée à la réhabilitation de son parlement auquel est soumis le Madagascar avant de regagner les rangs, le tour d’horizon des événements tragiques qui caractérisent la Centrafrique et la Syrie ont aussi fait le menu des travaux du bureau de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, ayant regroupé une quarantaine de parlementaires.
Du haut de la tribune de cette assemblée, Aubin Minaku a dénoncé les manœuvres dilatoires de certains pays voisins de la RDC, qui cherchent par leur soutien, à ressusciter les forces négatives, notamment le M23, mis en déroute par les Forces armées de la RDC appuyées par la Monusco.
Le speaker de la Chambre basse du Parlement congolais a ainsi fustigé le fait que ces pays apportent le soutien et le renfort aux résidus du M23, en vue de réaliser le projet de déstabilisation permanente de la RDC et de l’ensemble de la région.
Concernant l’évolution de la situation sécuritaire au pays, Aubin Minaku a fait état de la traque lancée sur les forces négatives qui déstabilisent l’Est de la RDC après la défaite du M23.
« Rassurez-vous que la RDC avec l’ensemble de ses partenaires, aspire à la paix dans région et ne ménagera aucun effort pour rendre irréversible le processus de paix en cours », a-t-il indiqué devant ses pairs.
C’est dans ce cadre qu’il a salué la loi d’amnistie votée par les deux Chambres du Parlement congolais pour donner réponse aux engagements nationaux et internationaux.
Sur le plan politique, Aubin Minaku a fait savoir d’une part, l’imminence de la mise en place du gouvernement de cohésion nationale, vecteur de l’union de tous les Congolais à la suite des concertations nationales.
Et d’autre part, le travail de la CENI pour la publication de la feuille de route du cycle électoral d’ici à 2016, selon les prescrits de la Constitution en vigueur en République démocratique du Congo.
Par ailleurs, l’adoption du budget pour l’exercice 2014, la mise en mouvement d’une stratégie dotée de la vocation de rendre l’Assemblée parlementaire de la Francophonie un acteur de l’acception pleine du terme dans la résolution des questions majeures sur la scène internationale, la réintégration de la Guinée-Conakry, du Mali, et le temps d’observation assorti de la conditionnalité liée à la réhabilitation de son parlement auquel est soumis le Madagascar avant de regagner les rangs, le tour d’horizon des événements tragiques qui caractérisent la Centrafrique et la Syrie ont aussi fait le menu des travaux du bureau de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, ayant regroupé une quarantaine de parlementaires.