

Comme en France et dans plusieurs pays africains de l’espace francophone, la nécessité de disponibiliser d’un organisme public de contrôle de qualité a été réaffirmé là où il fait défaut et de budgétiser le fonctionnement là où il existe lors du Forum international “Normes pour l’Afrique “.
Le bien-fondé des Normes considérées comme un processus consistant à élaborer, diffuser et appliquer des références résultat d’un choix collectif raisonné, en vue de servir de base d’entente face aux problèmes répétitifs et enjeux potentiels quel que soit le domaine de l’activité humaine a été au centre du Forum international tenu du 20 au 21février au Fleuve Congo Hôtel.
Sous le thème “ Normes pour l’Afrique “ et la seconde du genre après celle de Yaoundé au Cameroun, cette rencontre a été organisée à Kinshasa en réponse à une des résolutions prises par les Chefs d’Etat et de gouvernement lors du 14ème Sommet de le Francophonie tenu en octobre dans la capitale de la RDC.
Il a été plus question au cours de cette deuxième édition du Forum de plaider pour une meilleure prise en compte de la normalisation, de la métrologie et de la qualité dans les politiques des Etats africains du RNF (Réseau Normalisation et Francophonie).
Eléments déterminant à l’heure actuelle de la mondialisation, la normalisation, la métrologie et l’évaluation de la conformité sont pourtant en veilleuse en Afrique en général et dans le monde francophone du continent noir en particulier. C’est pourquoi, il a été convenu de mettre en place ou de renforcer selon le cas les capacités de l’infrastructure qualité compte tenu du rôle attendu d’elle comme facilitateur essentiel au développement économique et à l’intégration régionale des pays de l’Afrique ayant en partage la langue française. Il a été aussi souhaité d’accélérer la mobilisation de toutes les parties prenantes à la normalisation de l’Afrique francophone : entreprises, administrations, laboratoires, organismes techniques et consommateurs qui souhaitent disposer en Afrique des informations, compétences, outils, infrastructures, processus... pour l’intégration de la normalisation au sens large dans les stratégies de développement industriel, commercial et social et compétitivité à l’international.
La sensibilisation de diverses communautés des pays africains de l’espace francophone au bien-fondé des Normes a été recommandée. La pertinence de la normalisation sans l’implication des utilisateurs et des consommateurs est une démarche vouée à l’échec. Ainsi, il est envisagé d’intégrer le cours ayant trait aux Normes dans les enseignements des élèves et des étudiants. Des bourses d’études pour encourager les recherches dans ce domaine sont désormais une priorité. Le contrôle de qualité à travers des organismes publics bien soutenus et financés par l’Etat a été bien rappelé .La France, le Sénégal et le Cameroun ont été cités en référence en matière de la normalisation, de la métrologie et de l’évaluation de la conformité. La RDC qui dispose d’un établissement public capable de fonctionner comme plusieurs Etats modernes n’a qu’à mettre en sourdine son Décret N°011/32 du 29 juin 2011 pour bien permettre le contrôle de la qualité par l’OCC.
La perception du Tally et des frais liés à la production pétrolière comme par le passé relancera le travail de cet organisme ayant reçu mission de veiller à la qualité de vie des Congolais .Lors de son allocution de bienvenu, le DG de l’OCC avait allongé la liste des bienfaits liés à la normalisation constituant sous d’autres cieux un puissant levier de progrès technique, de développement économique … Pour Albert Kasongo Mukonzo, la normalisation est à la fois outil d’échange permettant le développement des marchés par l’harmonisation des règles, des pratiques et la clarification des transactions, outil de développement susceptible d’ assurer la nationalisation de la production et le transfert de technologies nouvelles, outil stratégique pour l’entreprise ou l’acteur économique participant aux travaux et elle est enfin outil de politique publique en constituant un complément de la réglementation et une référence pour l’ouverture dé la transparence des marchés.
Comme, on le voit la normalisation touche à tous. Ce n’est pas par hasard que le ministre en charge de l’industrie Petites et moyennes entreprises a souligné dans son discours inaugural au nom du premier Ministre que” le développement intégral et durable de l’espace francophone en particulier dépendra de la place qu’occupera la normalisation dans la vie de tous les jours “.Rémy Musungay avait parlé en présence de la Représentante personnelle du Chef de l’Etat à la Francophonie ,de ses nombreux collègues ayant fait le déplacement du Fleuve Congo Hôtel, des Ambassadeurs et d’autres personnalités du monde de la Normalisation. L’OCC qui a été au four et moulin dans la tenue de ce Forum international a organisé à la veille de l’ouverture de cette rencontre des journées scientifiques à l’intention de ses cadres sur les normes et le 22 février, il a fait visiter son laboratoire situé l’Avenue Kabasele (ex Flambeau) dans la commune de Gombe. Certains délégués ont été émerveillés par la présence des matériels de qualité capables de fournir les résultats de qualité en un temps record.
KERK
Sous le thème “ Normes pour l’Afrique “ et la seconde du genre après celle de Yaoundé au Cameroun, cette rencontre a été organisée à Kinshasa en réponse à une des résolutions prises par les Chefs d’Etat et de gouvernement lors du 14ème Sommet de le Francophonie tenu en octobre dans la capitale de la RDC.
Il a été plus question au cours de cette deuxième édition du Forum de plaider pour une meilleure prise en compte de la normalisation, de la métrologie et de la qualité dans les politiques des Etats africains du RNF (Réseau Normalisation et Francophonie).
Eléments déterminant à l’heure actuelle de la mondialisation, la normalisation, la métrologie et l’évaluation de la conformité sont pourtant en veilleuse en Afrique en général et dans le monde francophone du continent noir en particulier. C’est pourquoi, il a été convenu de mettre en place ou de renforcer selon le cas les capacités de l’infrastructure qualité compte tenu du rôle attendu d’elle comme facilitateur essentiel au développement économique et à l’intégration régionale des pays de l’Afrique ayant en partage la langue française. Il a été aussi souhaité d’accélérer la mobilisation de toutes les parties prenantes à la normalisation de l’Afrique francophone : entreprises, administrations, laboratoires, organismes techniques et consommateurs qui souhaitent disposer en Afrique des informations, compétences, outils, infrastructures, processus... pour l’intégration de la normalisation au sens large dans les stratégies de développement industriel, commercial et social et compétitivité à l’international.
La sensibilisation de diverses communautés des pays africains de l’espace francophone au bien-fondé des Normes a été recommandée. La pertinence de la normalisation sans l’implication des utilisateurs et des consommateurs est une démarche vouée à l’échec. Ainsi, il est envisagé d’intégrer le cours ayant trait aux Normes dans les enseignements des élèves et des étudiants. Des bourses d’études pour encourager les recherches dans ce domaine sont désormais une priorité. Le contrôle de qualité à travers des organismes publics bien soutenus et financés par l’Etat a été bien rappelé .La France, le Sénégal et le Cameroun ont été cités en référence en matière de la normalisation, de la métrologie et de l’évaluation de la conformité. La RDC qui dispose d’un établissement public capable de fonctionner comme plusieurs Etats modernes n’a qu’à mettre en sourdine son Décret N°011/32 du 29 juin 2011 pour bien permettre le contrôle de la qualité par l’OCC.
La perception du Tally et des frais liés à la production pétrolière comme par le passé relancera le travail de cet organisme ayant reçu mission de veiller à la qualité de vie des Congolais .Lors de son allocution de bienvenu, le DG de l’OCC avait allongé la liste des bienfaits liés à la normalisation constituant sous d’autres cieux un puissant levier de progrès technique, de développement économique … Pour Albert Kasongo Mukonzo, la normalisation est à la fois outil d’échange permettant le développement des marchés par l’harmonisation des règles, des pratiques et la clarification des transactions, outil de développement susceptible d’ assurer la nationalisation de la production et le transfert de technologies nouvelles, outil stratégique pour l’entreprise ou l’acteur économique participant aux travaux et elle est enfin outil de politique publique en constituant un complément de la réglementation et une référence pour l’ouverture dé la transparence des marchés.
Comme, on le voit la normalisation touche à tous. Ce n’est pas par hasard que le ministre en charge de l’industrie Petites et moyennes entreprises a souligné dans son discours inaugural au nom du premier Ministre que” le développement intégral et durable de l’espace francophone en particulier dépendra de la place qu’occupera la normalisation dans la vie de tous les jours “.Rémy Musungay avait parlé en présence de la Représentante personnelle du Chef de l’Etat à la Francophonie ,de ses nombreux collègues ayant fait le déplacement du Fleuve Congo Hôtel, des Ambassadeurs et d’autres personnalités du monde de la Normalisation. L’OCC qui a été au four et moulin dans la tenue de ce Forum international a organisé à la veille de l’ouverture de cette rencontre des journées scientifiques à l’intention de ses cadres sur les normes et le 22 février, il a fait visiter son laboratoire situé l’Avenue Kabasele (ex Flambeau) dans la commune de Gombe. Certains délégués ont été émerveillés par la présence des matériels de qualité capables de fournir les résultats de qualité en un temps record.
KERK