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Florilège d’inepties mis à nu :
Ce que les détracteurs de Monsieur Honoré
Ngbanda ne diront jamais aux congolais
Lorsque l’on observe le combat que mène Mr Ngbanda depuis tant d’ années et lorsqu'on lit par exemple , sa déclaration politique http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2013/07/declarationpolitiquealome.pdf rédigée en juin 2004 dans laquelle il décrit clairement ses motivations avant de se lancer officiellement dans le combat de libération de la RDC, chaque congolais peut constater que son engagement, 10 ans après, se caractérise avant tout par sa constance et sa détermination. Mais, il convient de relever que ses alertes aux congolais contre le processus d’occupation et de balkanisation de la RDC en cours datent d’il y a bien plus longtemps encore comme en atteste cet extrait vidéo tirée d’une émission télévisée réalisée sous le régime de Mobutu et au cours de laquelle il répond sans détours aux questions du journaliste Omalowete. Il y décrit de manière incisive la réalité de l’agression du Zaïre en cours à l’époque et il pose la problématique de l’identité des véritables agresseurs, ceux qui se cachent alors derrière Laurent Désiré Kabila .https://www.youtube.com/watch?v=9ZKS7K8wn4c#t=20.
Tout ceci permet de mesurer le ridicule de ceux-làqui entretiennent régulièrement des campagnes de dénigrement contre l’APARECO et son leader. Certes ce phénomène qui n’a jamais entamé le dynamisme de l’APARECO, est de plus en plus marginal du fait qu’avec le temps, la force du discours prôné par notre mouvement (indépendamment de notre projet de société) a permis à nos thèses de se répandre comme une traînée de poudre au sein de toutes les sphères de la société congolaise .
Quel patriote congolais ne sait pas aujourd’hui que : « Kabila est rwandais, qu’il s’appelle en réalité Hyppolite Kanambe, qu’il est un cheval de Troie au service du Rwanda et que la RDC est un pays occupé qui ne peut être libéré par les élections…?»
Sous la pression de l’opinion populaire, même le gouvernement d’occupation s’est vu contraint de reconnaître ouvertement que le pays est occupé, bien que toute honte bue, il a choisi de situer le début de cette occupation à la date de création du M23 plutôt que de reconnaître qu’elle a commencé depuis la chute du régime de Mobutu sans interruption. Qu’à cela ne tienne, la réalité, elle demeure têtue. Car de la RDC à la Communauté internationale, les lignes ont énormément bougé et la vision du combat prôné par Mr Honoré Ngbanda a fait partout des émules,surtout au sein des différentes couches de la population congolaise. Mais, ce progrès fulgurant ne s’est pas fait sans produire des dégâts chez les occupants et leurs valets congolais qui, sous l’effet de la panique et d’un réflexe animal de survie, se sont lancés têtes basses, sur tous les fronts, usant de corruption, de mensonge, de délation, de menace, de violence de toutes sortes, pour faire taire la voix de la résistance. Et dans cette campagne, plusieurs nègres collabos congolais en mal d’argent ou de positionnement politique ont reçu argent et mission de répéter en boucle toute une série d’inepties sur lesquels L’ŒIL DU PATRIOTE a choisi de s’attarder un instant, pour éclairer la lanterne des patriotes résistants qui ont choisi de se battre jusqu'au bout pour libérer leur pays. La transparence et la vérité sont des vertus cardinales de notre combat.
Des inepties à la pelle…
Tous ceux qui ont suivi l’intervention des deux cadres de l’APARECO Patrick Lukika et José Ilunga le mercredi 28 mai 2014 sur la Radio Bendele https://app.box.com/s/imd6ilnoirjmw6bzxl6r ont sans doute pu mesurer à quel point, plusieurs faits colportés et attribués volontairement par ses détracteurs au Président national de l’APARECO s’avèrent sans fondement. Nous en avons sélectionné quelques-uns et cette liste n’est malheureusement pas exhaustive :
- - «Affaire Prima Curia » : Dernièrement, c’est encore un prétendu professeur à l’esprit bien tordu qui a tenté de profiter de l’ignorance des congolais pour associer Mr Honoré Ngbanda à cette confrérie créée dans les années 60 par Mobutu, Bomboko, Nendaka et consorts. Or, il suffit de se référer à la biographie de Mr Ngbanda pourtant accessible à tous, pour se rendre compte qu’à la même époque lui n’était qu’un adolescent, jeune élève du petit séminaire de Bolongo à Lisala. Et tout au long de sa longue carrière, il est resté bien loin de ce type d’activités. Aucun homme politique congolais, aucun chef d’Etat africain ne peut affirmer avoir vu un seul jour Monsieur NGBANDA dans les écuries secrètes de la Franc-maçonnerie, la Rose-Croix, ou chez un Marabout à Kinshasa ou ailleurs en Afrique! Un défi lancé aux détracteurs d’apporter une seule preuve !
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- L' affaire Barthélemy Bisengimina Rwema » : Depuis qu’il est établi aujourd’hui que cet ancien collaborateur de Mobutu a favorisé depuis de longues années le travail d’infiltration et de noyautage des institutions de la RDC par certains de ceux qui ne rêvent que de la balkaniser, les pourfendeurs de Mr Ngbanda ont voulu profiter de ce fait pour lui reprocher la présence de Bisengimana Rwema aux côtés de Mobutu pendant tant d’années, mettant sans doute ainsi en péril les intérêts du Zaïre et de son peuple.D'autres vont jusqu'à lui reprocher sa complicité pour avoir travaillé avec Bisengimana sans le dénoncer. Cependant, ceux qui véhiculent ces allégations se gardent bien de dire aux congolais que Mr Bisengimana a pris ses fonctions aux cotés de Mobutu un peu après son coup d’Etat en 1965.En novembre 1966, Bisengimana est d’abord membre du collège des conseillers du chef de l’Etat en charge des Mines et de l’Energie: il devient ainsi l’un des collaborateurs de Mr Gérard Kamanda wa Kamanda,Secrétaire général à la Présidence de la République. Il deviendra ensuite Directeur de cabinet adjoint toujours en charge des mines et de l’énergie et sous la direction de Mr Evariste LOLIKI nommé nouveau Directeur de cabinet de Mobutu, lorsque ce dernier crée cette fonction par ordonnance. Et C’est également par l'ordonnance numéro 69/096 que Bisengimana Rwema est nommé Directeur de cabinet du chef de l’Etat le 8 Mai 1969. Il occupera cette fonction jusqu’en 1977 année au cours de laquelle il sera alors remplacé par Maître Nimy Maidika Ngimbi par l'ordonnance numéro 77/043 du 23 février 1977.
Les faits sont là ! Et comme chacun peut constater,au moment où Mr Bisengimana accède aux plus hautes fonctions de Directeur de Cabinet aux côtés du Président Mobutu en mai 1969, Honoré Ngbanda est jeune étudiant dans sa première année à l’Université Lovanium. Son CV et ses nombreux promotionnels sont des témoins objectifs ! Mais les personnes qui s’en prennent à lui à ce sujet, se gardent bien de mentionner ou encore d’interpeller éventuellement ceux des congolais qui étaient au gouvernement ou responsables des services à l’époque…Ils ne diront jamais aux Congolais que Honoré Ngbanda n’est entré à la Présidence qu’en 1972 en tant que cadre subalterne et quand Bisengimana a quitté la Présidence de la République, Honoré Ngbanda était diplomate en Belgique depuis 1976 ! Mais personne parmi ces gens ne diront aux Congolais que les vrais chefs de services qui ont travaillé avec Bisengimana qu’il faut interpeller, c’étaient Mokolo, Seti, Omba, Tukuzu et consorts… Sauf Ngbanda !.
- - Crimes et assassinats :
On peut donc noter par ailleurs, que contrairement à ce que certains ont vainement tenté de laisser croire aux Congolais, lorsque ont eu lieu un certain nombre de grands événements tragiques qui ont marqué l’opinion congolaise, n’en déplaisent à ses détracteurs, Mr Honoré Ngbanda n’était pas chef des services. Tous les grands drames qu’on évoque lors de la deuxième République ont eu lieu sous la responsabilité des autres chefs des services dont certains sont paisiblement à Kinshasa aux côtés des occupants rwandais. Citons quelques exemples:
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L’Assassinat de Lumumba en 1961 et les pendaisons de la Pentecôte le 1er juin 1966 ont eu lieu sous Mr. Victor NENDAKA. Au moment de l’assassinat de Pierre MULELE le 3 octobre 1968 , c’est Mr AKOFOMO qui est à la tête des services. Au moment de l’affaire des Massacres des étudiants de Lovanium le 04 juin 1969 c’est le Colonel EFOMI. L’exécution des auteurs du «coup monté et manqué » en 1973 a eu lieu sous les ordres de l’auditeur général des FAZ, le Général LIKULIA, alors que les services étaient sous les ordres de SETI YALE et de MOKOLO wa MPOMBO.
Concernant les “massacres de Lubumbashi en mai 1990 au-delà du fait qu’il existe aujourd’hui une sérieuse controverse sur ce qui s’est réellement passé à Lubumbashi, nous rappelons aux congolais attachés à la vérité des faits , qu’au moment de ces événements Monsieur Ngbanda n’était plus en charge des “services“, il était déjà nommé conseiller politique du Chef de l’Etat depuis le mois d’Avril 1990. Mr Ngbanda avait été donc remplacé par le général Likulia à la tête des services un mois avant les incidents de Lubumbashi ! Autre preuve : dans le procès de cette affaire de Lubumbashi où le Gouverneur Koyagialo et « ses complices » avaient été jugés et condamnés (avant d’être lavés), Mr Honoré Ngbanda n’a été cité ni comme suspect, ni même comme témoin ! N’est-ce pas étonnant d’entendre les mensonges débités par certains congolais à ce sujet ? Mais tous ces faits historiques n’intéressent guère les pourfendeurs de Mr Ngbanda qui préfèrent plutôt les ignorer.Tout ce qui les préoccupe, c’est d’entretenir leur fonds de commerce : les ragots des égouts qu’ils déversent sur les réseaux sociaux pour noyer l’homme qui gêne leur contrat à la mangeoire.
De même concernant l’affaire du « massacre des chrétiens » L’œil du Patriote a déjà eu à éclairer l’opinion à ce sujet, en se basant tout simplement sur les conclusions des enquêtes menées par la CNS (Conférence Nationale Souveraine). Nous rappellerons juste qu’au moment des faits Mr Ngbanda était Ministre de la Défense et non Ministre de l’Intérieur, et que les éminents juristes et officiers de la commission de la CNS (hostiles à Mobutu) qui ont mené l’enquête ont clairement attribué la responsabilité individuelle de ce drame « (…) au Commissaire d’Etat à l’Administration du Territoire, Monsieur MANDUNGU BULA NYATI, et au Gouverneur de la Ville de Kinshasa, Monsieur KIBABU MADIATA NZAU » (sic) Cf : .http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/flash/1617-journees-du-16-fevrier-et-1e-mars-1992-rappel-que-dit-le-rapport-d-enquete-de-la-cns.html.ive
Bien entendu, Mr Ngbanda n’occulte pas la responsabilité collective du gouvernement Nguz a Karl-I-Bond dont il était membre à l’époque, mais la nuance est importante.
Ceux qui colportent des inepties au sujet de ces affaires ont délibérément fait le choix d’ignorer toutes les personnes directement citées ou clairement impliquées dans ces dossiers. Elles préfèrent en attribuer toute la responsabilité à Mr Ngbanda, non pas dans l’intérêt du Congo, mais pour leurs propres intérêts et pour leur besoin de positionnement par rapport à la mangeoire.
- - Biens mal acquis et détournement de fond :
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Juge Leys
Primo, lors des travaux de la CNS, la commission en charge des enquêtes concernant les biens mal acquis n’a pas incriminé Monsieur Ngbanda. Alors que tous les barons du régime Mobutu avaient bénéficié des biens zaïrianisés des étrangers, les membres de la Commission des biens mal acquis ont été surpris de constater que leur «cible», Honoré Ngbanda, car il en était une, ne figurait sur aucune liste des «acquéreurs», comme on les appelait à l’époque!
Secundo, en 1998 suite à la décision du gouvernement belge de bloquer les comptes de tous les mobutistes, Monsieur Honoré Ngbanda a instruit son avocat Mme Rose Marie Sukenik afin qu’une plainte soit déposée contre l’Etat belge et mette un terme à cette décision à son encontre. Maitre Mutombo Bakafwasenda travaillait dans ce même cabinet durant son exil à l’époque. Il est aujourd’hui au PPRD mais il pourrait en témoigner.
L’Etat belge avait alors désigné le juge Leys pour mener une enquête approfondie sur Mr Honoré Ngbanda. Le juge belge a séjourné pendant 3 mois en RDC pour ses investigations. La démarche du juge Leys s’est soldée en faveur de Mr Honoré Ngbanda contre lequel il n’a rien trouvé. Ses comptes bancaires lui ont donc tous été restitués. Ainsi ni les enquêtes de la CNS, ni celle de la justice belge n’accréditent les thèses malveillantes de détournements de fonds véhiculées par les détracteurs de Mr Ngbanda qui chantent et répètent comme des perroquets : « Yee moto aboma mboka na Mobutu» (traduisez : c’est lui qui a détruit le pays avec Mobutu). Mais, pourquoi ceux qui s’intéressent tellement à Honoré Ngbanda comme gestionnaire de l’Etat n’interpellent-ils jamais ceux qui ont réellement géré le budget et les recettes de l’Etat congolais avec Mobutu comme Kengo (3 fois premier ministre), Paypay (2 fois gouverneurs de la Banque centrale et Ministre des finances), Djamboleka (2 fois gouverneurs de la Banque centrale),Tambwe Mwamba (PDG/OFIDA, Ministre des finances et budget) et j’en passe… ? C’est là que se situe le mystère de leur campagne !
Comble du ridicule, les collabos qui tentent d’intoxiquer l’opinion , n’oseront jamais dire aux congolais que, Laurent Désiré Kabila ou même Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » , ont tous tenté de faire revenir Honoré Ngbanda en RDC. Non pas en lui demandant de verser des sommes d’argent en contrepartie comme cela a été le cas des Kengo et consorts, mais plutôt en lui promettant s’il accepte un poste conséquent, une restitution de ses biens confisqués et une enveloppe substantielle.Cherchez donc l’erreur !
« Errare humanum est »,
l’erreur est humaine, mais…
Face à l’imminence du danger qui guette la RDC et les effets désormais palpables et visibles du processus d’occupation et de balkanisation de notre pays, les véritables patriotes résistants congolais doivent resserrer les rangs. Personne n’est parfait, mais la qualité du combat et la détermination de ceux qui ont choisi de se lever pour aller au combat restent essentielle. Ceux qui déploient des artifices grossiers pour brouiller le message de la résistance ont déjà choisi leurs camps .Leurs attaques aussi ridicules que pathétiques contre le Président national de l’APARECO auront contribué à les dévoiler. Alors que la RDC a plus besoin que jamais de ses filles et fils les plus vaillants, les congolais gagneraient sans doute à savoir (preuves à l’appui) ce que faisaient, écrivaient ou disaient certains de ces compatriotes devenus agents de la distraction pendant les tractations de Sun City ou ailleurs, ou encore à partir de quelles années les mots « occupation, balkanisation de la RDC, résistance à l’occupation etc… ».sont apparus dans leur vocabulaire politique …d’opportunistes ? Ont-ils combattu de manière constante l’OCCUPATION de la RDC ou n’y comprenaient-ils même déjà pas grand-chose ? Pourtant, le problème fondamental auquel est confronté notre pays aujourd’hui est bien celui-là. On peut organiser autant d’élections que l’on voudra tant que le système en place continuera à gangrener nos institutions comme une pieuvre et ses multiples tentacules, les congolais continueront à voguer de désillusions en désillusions. Comme le disait un patriote « l’assiette Congo est sale.Avant que les congolais puissent manger dedans,il faut d’abord la nettoyer ». A bon entendeur…
Paris, le 15 Juin 2014
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE