De cette manière, les problèmes congolais peuvent trouver des solutions pensées par les Congolais eux-mêmes. En dépit du retrait de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS en sigle, de la Majorité présidentielle, le comité directeur de cette formation
tient à voir son président national soutenir l’autorité morale de cette plateforme créée depuis 2006, à savoir Joseph Kabila Kabange. Le n°1 du parti a été encouragé dans ce sens au cours de la session ordinaire du Comité directeur de l’UDS tenu hier lundi 30 juin sur place à Kinshasa. Cette rencontre statutaire a donné l’occasion à l’organe exécutif de cette formation politique de faire un large tour d’horizon de l’actualité politique en Rd Congo.
Saluant le retour de la paix sur toute l’étendue du territoire national et la montée des forces congolaises de défense et de sécurité, l’UDS rejette toute ingérence étrangère susceptible de mettre péril l’indépendance et la souveraineté de la RDC acquises au prix du sang versé par le peuple congolais. Pour le parti politique cher à Crispin Kabasele Tshimanga, « aucune puissance étrangère ne consentira aucun sacrifice pour le bonheur des populations congolaises si ce n’est que perpétuer le néocolonianisme, le pillage de nos richesses et la domination de l’impérialisme international soutenu par la maffia financière internationale» Face à ce constat, l’UDS invite l’Opposition et un groupe de la société civile « au patriotisme et à privilégier le dialogue permanent pour que les problèmes congolais trouvent des solutions congolaises pensées par les Congolais eux-mêmes ».
Accueillant favorablement le message présidentiel à l’occasion du 54ème anniversaire de l’accession de la RDC à la souveraineté nationale, l’UDS s’est réjouie du retour de la paix grâce, soutient-elle, aux efforts consentis par le commandant suprême des FARDC (Forces Armées de la RDC) et de la PNC (Police Nationale Congolaise). L’UDS salue les sacrifices consentis par les hommes des troupes et les services de sécurité pour protéger les populations civiles face aux diverses menaces ayant comme véritable soubassement le pillage des ressources naturelles de ce grand pays de l’Afrique centrale. Par rapport au calendrier des élections urbaines, municipales et locales publié par la CENI, l’UDS ne trouve rien à redire. Cette formation politique encourage l’Abbé Malumalu à respecter son programme d’action et à continuer la réorganisation de la CENI. Presque dans la même logique, le Comité directeur a réaffirmé sa position favorable à la révision constitutionnelle qui, selon les ténors du parti, « relève de la souveraineté de tout Etat et ne peut faire l’objet d’aucun marchandage ou des pressions extérieures ».
Après le départ de l’UDS de la Majorité présidentielle suite à plusieurs méfaits constatés au sein de cette plateforme dont le règne de l’injustice, du tribalisme et du mensonge, l’existence d’un climat délétère et des divergences graves non réglées au mépris de la Charte de la MP, la formation chère à Crispin Kabasele évolue au sein de la Dynamique des partis extraparlementaires dé tendance kabiliste, en sigle DPE/TK. La création cette tendance a été rendue possible par les autres partis extraparlementaires mal compris dans leur démarche contre la gestion de l’actuel SG de la MP.
KERK
Saluant le retour de la paix sur toute l’étendue du territoire national et la montée des forces congolaises de défense et de sécurité, l’UDS rejette toute ingérence étrangère susceptible de mettre péril l’indépendance et la souveraineté de la RDC acquises au prix du sang versé par le peuple congolais. Pour le parti politique cher à Crispin Kabasele Tshimanga, « aucune puissance étrangère ne consentira aucun sacrifice pour le bonheur des populations congolaises si ce n’est que perpétuer le néocolonianisme, le pillage de nos richesses et la domination de l’impérialisme international soutenu par la maffia financière internationale» Face à ce constat, l’UDS invite l’Opposition et un groupe de la société civile « au patriotisme et à privilégier le dialogue permanent pour que les problèmes congolais trouvent des solutions congolaises pensées par les Congolais eux-mêmes ».
Accueillant favorablement le message présidentiel à l’occasion du 54ème anniversaire de l’accession de la RDC à la souveraineté nationale, l’UDS s’est réjouie du retour de la paix grâce, soutient-elle, aux efforts consentis par le commandant suprême des FARDC (Forces Armées de la RDC) et de la PNC (Police Nationale Congolaise). L’UDS salue les sacrifices consentis par les hommes des troupes et les services de sécurité pour protéger les populations civiles face aux diverses menaces ayant comme véritable soubassement le pillage des ressources naturelles de ce grand pays de l’Afrique centrale. Par rapport au calendrier des élections urbaines, municipales et locales publié par la CENI, l’UDS ne trouve rien à redire. Cette formation politique encourage l’Abbé Malumalu à respecter son programme d’action et à continuer la réorganisation de la CENI. Presque dans la même logique, le Comité directeur a réaffirmé sa position favorable à la révision constitutionnelle qui, selon les ténors du parti, « relève de la souveraineté de tout Etat et ne peut faire l’objet d’aucun marchandage ou des pressions extérieures ».
Après le départ de l’UDS de la Majorité présidentielle suite à plusieurs méfaits constatés au sein de cette plateforme dont le règne de l’injustice, du tribalisme et du mensonge, l’existence d’un climat délétère et des divergences graves non réglées au mépris de la Charte de la MP, la formation chère à Crispin Kabasele évolue au sein de la Dynamique des partis extraparlementaires dé tendance kabiliste, en sigle DPE/TK. La création cette tendance a été rendue possible par les autres partis extraparlementaires mal compris dans leur démarche contre la gestion de l’actuel SG de la MP.
KERK
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