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LES TRAÎTRES DE LA NATION SE DÉNUDENT A KINSHASA

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LE RÉGIME DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO VIENT D’OUVRIR LA BOÎTE DE PANDORE.

LA QUESTION QUE LES CONGOLAIS SE POSENT EST : DE QUEL DROIT ET, AU NOM DE QUI ?

Les masques viennent de tomber au grand jour, les traîtres de la république se sont enfin, dénudés. Les loups et les requins qui nivellent la république Démocratique du Congo vers le bas en bradant le territoire national sont bel et bien visibles désormais.

« Questions d’Afrique et d’Ailleurs » qui a toujours alerté l’opinion nationale et internationale sur le fait que le VER est dans le fruit Congo et que ceux qui le gouvernent sont un amas d’illuminés au pouvoir à Kinshasa, n’a-t-il pas raison ?

TENEZ

Les congolaises et congolais sont surpris d’apprendre que le régime de Monsieur Kabila vient de céder une partie du territoire au Rwanda voisin sans consulter personne ; ni l’Assemblée nationale moins encore le Sénat.

Les congolais se souviendront qu’il leur a toujours été dit que leur pays est doté des institutions sur lesquelles, repose la légitimité de décisions engageant, aussi bien la Paix dans le Pays, l’intégrité du territoire, l’intangibilité des frontières que la bonne marche dans le fonctionnement de l’Etat et l’engagement des forces armées dans un territoire tiers ou la déclaration de guerre même si, ici, le chef de l’Etat est habilité à pouvoir, si le pays est en danger, de déclarer la guerre.

Ces institutions sont et, d’aucuns se souviendront ; l’Assemblée nationale et le Sénat, communément appelées, chambres basse et chambre haute.

LA RDC EST-ELLE PRIVATISÉE OU SES DIRIGEANTS SONT-ILS COMPLICES DE SON DÉCOUPAGE AU PROFIT DU RWANDA ?

En décidant de la remise en cause de l’intangibilité des frontières à Kigali pour céder des pans entiers de la RDC au pouvoir de Kigali sans consulter le peuple congolais à travers ses représentants, le régime Kabila vient de s’affaisser sur les institutions de la république et privatiser le Pays.

Pourquoi les membres de la commission mixte RDC-Rwanda ont-ils choisi Kigali pour procéder à la validation des conclusions des travaux de démarcation des frontières communes, s’interrogent le peuple congolais devenu de plus en plus nerveux ?

Pourquoi ont-ils retenu la date du 15 septembre prochain qui tombe comme par hasard et par enchantement le jour prévu pour la rentrée parlementaire à Kinshasa, s’interrogent la presse ?

Voila, entre-autres autant de questions qui surprennent les observateurs et les Congolais qui soupçonnent un complot contre les intérêts supérieurs de la nation.

En terminant leurs travaux le 30 août dernier, les experts de cette commission mixte pouvaient réserver la primeur des conclusions de leurs travaux aux gouvernements de deux Etats, en attendant les débats au niveau de deux chambres de leurs parlements respectifs.

En ayant occulté cette démarche légale et intelligente, les autorités de la République Démocratique du Congo ont trahi le pays et son peuple et donc, ne sont que de traîtres de la nation.

QUI EST LE RESPONSABLE DE LA DÉMARCATION DE CES FRONTIÈRES ?
Pour les non-avisés, ce serait les velléités expansionnistes du pouvoir de Kigali et pourtant, la réalité est que cette situation qui va certainement conduire les deux pays à la Cour Internationale de Justice après le règne de Monsieur Kabila, est imputable à la défaillance et à la complicité du régime de Kinshasa qui se comporte comme des plénipotentiaires de Kigali car, aujourd’hui, les lopins entiers qui vont être cédés au régime Rwandais ne constitue qu’une première étape. Demain, ça sera les eaux territoriales du Lac Kivu.

Plus déconcertant encore c’est le fait que les congolais qui ont fait partie de cette commission destinée, visiblement a enterrer la RDC, n’ont pas exigé et obtenu la consultation des cartes géographiques au Musée de Tervuren à Bruxelles, dans les archives du Ministère des Colonies, au Musée Royale Géographique de Londres, au Musée Toulouse Lautrec à Albi dans le Sud-ouest de la France et ailleurs dans le Monde.

Pour ne pas avoir obtenu cette consultation, la partie Congolaise de cette commission-Mixte a travaillé sous ordre de traîtres et, le Président de la république, Monsieur Kabila, pour ne pas avoir consulté l’Assemblée nationale pour avis dans une question aussi sensible teintée d’une charge émotionnelle et qui concerne l’intégrité du territoire, « questions d’Afrique et d’Ailleurs » accuse Monsieur Kabila d’avoir trahi le pays.

Dans tous les cas, le futur régime qui succédera à l’actuel aura, à la fois le devoir et l’obligation de revisiter cette absurdité comme tant d’autres traités et accords internationaux signés et ratifiés par le régime Kabila.

L’administrateur de « Questions d’Afrique et d’Ailleurs »
Willy Delors ONGENDA
Juriste, Formateur et Communicologue.
Sud-Ouest/France.
Photo : LE RÉGIME DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO VIENT D’OUVRIR LA BOÎTE DE PANDORE.  LA QUESTION QUE LES CONGOLAIS SE POSENT EST : DE QUEL DROIT ET, AU NOM DE QUI ?  Les masques viennent de tomber au grand jour, les traîtres de la république se sont enfin, dénudés. Les loups et les requins qui nivellent la république Démocratique du Congo vers le bas en bradant le territoire national sont bel et bien visibles désormais.  « Questions d’Afrique et d’Ailleurs » qui a toujours alerté l’opinion nationale et internationale sur le fait que le VER est dans le fruit Congo et que ceux qui le gouvernent sont un amas d’illuminés au pouvoir à Kinshasa, n’a-t-il pas raison ?                      TENEZ  Les congolaises et congolais sont surpris d’apprendre que le régime de Monsieur Kabila vient de céder une partie du territoire au Rwanda voisin sans consulter personne ; ni l’Assemblée nationale moins encore le Sénat.  Les congolais se souviendront qu’il leur a toujours été dit que leur pays est doté des institutions sur lesquelles, repose la légitimité de décisions engageant, aussi bien la Paix dans le Pays, l’intégrité du territoire, l’intangibilité des frontières que la bonne marche dans le fonctionnement de l’Etat et l’engagement des forces armées dans un territoire tiers ou la déclaration de guerre même si, ici, le chef de l’Etat est habilité à pouvoir, si le pays est en danger, de déclarer la guerre.  Ces institutions sont et, d’aucuns se souviendront ;  l’Assemblée nationale et le Sénat, communément appelées, chambres basse et chambre haute.   LA RDC EST-ELLE PRIVATISÉE OU SES DIRIGEANTS SONT-ILS COMPLICES DE SON DÉCOUPAGE AU PROFIT DU RWANDA ?  En décidant de la remise en cause de l’intangibilité des frontières à Kigali pour céder des pans entiers de la RDC au pouvoir de Kigali sans consulter le peuple congolais à travers ses représentants, le régime Kabila vient de s’affaisser sur les institutions de la république et privatiser le Pays.  Pourquoi les membres de la commission mixte RDC-Rwanda ont-ils choisi Kigali pour procéder à la validation des conclusions des travaux de démarcation des frontières communes, s’interrogent le peuple congolais devenu de plus en plus nerveux ?  Pourquoi ont-ils retenu la date du 15 septembre prochain qui tombe comme par hasard et par enchantement le jour prévu pour la rentrée parlementaire à Kinshasa, s’interrogent la presse ?  Voila, entre-autres autant de questions qui surprennent les observateurs et les Congolais qui soupçonnent un complot contre les intérêts supérieurs de la nation.   En terminant leurs travaux le 30 août dernier, les experts de cette commission mixte pouvaient réserver la primeur des conclusions de leurs travaux aux gouvernements de deux Etats, en attendant les débats au niveau de deux chambres de leurs parlements respectifs.  En ayant occulté cette démarche légale et intelligente, les autorités de la République Démocratique du Congo ont trahi le pays et son peuple et donc, ne sont que de traîtres de la nation.  QUI EST LE RESPONSABLE DE LA DÉMARCATION DE CES FRONTIÈRES ? Pour les non-avisés, ce serait les velléités expansionnistes du pouvoir de Kigali et pourtant, la réalité est que cette situation qui va certainement conduire les deux pays à la Cour Internationale de Justice après le règne de Monsieur Kabila, est imputable à la défaillance et à la complicité du régime de Kinshasa qui se comporte comme des plénipotentiaires de Kigali car, aujourd’hui, les lopins entiers qui vont être cédés au régime Rwandais ne constitue qu’une  première étape. Demain, ça sera les eaux territoriales du Lac Kivu.   Plus déconcertant encore c’est le fait que les congolais qui ont fait partie de cette commission destinée, visiblement a enterrer la RDC, n’ont pas exigé et obtenu la consultation des cartes géographiques au Musée de Tervuren à Bruxelles, dans les archives du Ministère des Colonies, au Musée Royale Géographique de Londres, au Musée Toulouse Lautrec à Albi dans le Sud-ouest de la France et ailleurs dans le Monde.  Pour ne pas avoir obtenu cette consultation, la partie Congolaise de cette commission-Mixte a travaillé sous ordre de traîtres et, le Président de la république, Monsieur Kabila, pour ne pas avoir consulté l’Assemblée nationale pour avis dans une question aussi sensible teintée d’une charge émotionnelle et qui concerne l’intégrité du territoire, « questions d’Afrique et d’Ailleurs » accuse Monsieur Kabila d’avoir trahi le pays.  Dans tous les cas, le futur régime qui succédera à l’actuel aura, à la fois le devoir et l’obligation de revisiter cette absurdité comme tant d’autres traités et accords internationaux signés et ratifiés par le régime Kabila.  L’administrateur de « Questions d’Afrique et d’Ailleurs » Willy Delors ONGENDA Juriste, Formateur et Communicologue. Sud-Ouest/France.
 
WL
 
"Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur"
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