C’est au moment ou on dénombre une demi-douzaine de morts, dans le village de MEBO dans le territoire de BENI exécutés cette fois encore dans les massacres qu’il organise en complicité avec Mbusa Nyamwisi et qu’il s’époumone, en vain de mettre sur le dos des rebelles Ougandais ;
Au moment ou se tient un sommet dans la capitale Sénégalaise(Dakar) sur la sécurité du continent Africain, sommet au cours duquel, son nom fut cité à quatre fois étant désigné comme un des chefs d’Etats du continent pendant le pouvoir duquel, le continent noir a enregistré un nombre très élevé d’assassinats et la gestion très approximative du pouvoir ;
C’est au moment ou les balles crépitaient dans la Province Orientale à Kisangani, ville dans laquelle, les populations sont encore traumatisées et n’ont pas encore panser les plaies des massacres occasionnés par les armées étrangères à cause de LDKabila venu avec une horde de délinquants étrangers et conflit dans lequel, son nom est repris dans le rapport Mapping ;
C’est au moment ou, sur les cinquante pays reconnus comme étant les plus pauvres du monde, classés selon l’indicateur de développement humain (IDH) du PNUD, la palme revient à la République Démocratique du Congo qu’il prétend dirigé avec un lot de malnutrition, de pauvreté, de l’illettrisme sous une situation sanitaire désastreuse avec des écoles délabrées dans des campagnes comme l’indique, hélas ! Une de ces photos et ponctué par un déficit criant de centres de santé de proximité... la RDC étant, sous sa « direction » victime du creusement des inégalités à cause notamment de son amateurisme dans l’exercice du pouvoir ;
C’est en ce moment-là que le « président » Rdcongolais, visiblement très tendu, fort embarrassé, apeuré, consterné et inquiet, s’est étalé, devant les deux chambres(haute et basse) dans la confusion, les contradictions et la victimisation, bégayant, pendant une heure, dans la lecture approximative d’un texte lui rédigé, sans comprendre ce qu’il lisait ni ce qu’il disait ne comprenant même pas le contenu pour affirmer que la présence de la Monusco en RDC ne se justifiait plus (…) ;
Que les forces obscures de l’intérieur et de l’extérieur guettent la moindre distraction de sa part pour allumer le feu comme pour reconnaitre publiquement que lui et son gouvernement ont toujours été distraits ;
Pire, pendant que les observateurs s’interrogent sur ce que sera ce qu’il convient d’appeler désormais, l’agglomérat dirigé par Matata et que lui appelle honteusement : « Gouvernement de Transition » maintenant que Jean-Pierre Bemba a désavoué les membres de son Parti qui sont pris en flagrant délit de prostitution politique et que ces derniers ne représentent pas le MLC avec la nomination d’une fraiche Secrétaire Générale ;
Sachant et considérant que dans cet agglomérat le Mouvement de Libération du Congo était, malgré tout, considéré comme le seul partie d'opposition quand on sait que Kengo n'a jamais été de l'opposition même au sens figuré ;
Aujourd'hui donc, le monde découvre que le gouvernement Matata II n’est pas de cohésion nationale comme l’aurait cru « kabila » pendant soixante douze heures mais, un coup d'épée dans l'eau du pouvoir qui ramène celui-ci à la case de départ et que les « Concertations Nationales d’octobre 2.013 n’ont accouché que d’une souris car, il s’avère, aux yeux du monde, que ce nouveau gouvernement pour rire n’est ni plus ni moins qu’une cohésion du parti au pouvoir et parasites de celui-ci avec, à la clés, certains individus affamés comme Thomas LUHAKA qui vient d’hériter par ailleurs d’un cabinet cannibalisé, vandalisé par le « ministre sortant de PT&NTIC, Kin Kiey qui a tout emporté y compris les rideaux et les câbles de téléphones en passant par les ampoules jusqu’aux cuves des toilettes.
Un Congolais se décrivant comme un messager galactique, (R. Blanco) n’a-t-il pas raison d’écrire le 04 Décembre 2.014 :
« 1. Si Kanambe ne s'entête pas à mourir à Kinshasa, il sera le premier à prendre le large par les airs. Destination : ARUSHA (Tanzannie).
2. La plupart de collabos à double nationalité ou résidents en Europe / Afrique du sud auront déjà pris la poudre d'escampette quelques jours plutôt. Le cas de Francis Kalombo, Zacharie Bababaswe, Kin-kiey Mulumba Mende... Ils sont nombreux.
3. Les retardataires auront trois options :
a) Fuir par le fleuve en traversant de nuit par pirogue vers Brazzaville. Très dangereux vue la colère des kinois martyrisés et chosifiés par eux. La mort n'est qu'à deux pas.
b) Essayer d'atteindre l'Angola ou le Congo Brazza par le Bas-Congo. Très pénible et risque de mourir en route car habitués de rouler dans des véhicules de luxe...
c) Se cacher quelque part à Kinshasa en attendant des jours meilleurs pour se reconvertir en opposants ou membres du nouveau régime (pour les opportunistes nés)... Pour survivre ici, il faut avoir bien vécu avec ses voisins... Sinon !
***Les moins chanceux subiront la vindicte populaire (brûlés vifs, lapidation...). Avec la famine qui règne à Kin actuellement, ils risquent même d'être cannibalisés.
Dans tout ça, mieux vaut prendre ses distances en ce moment. L'HOMME PRUDENT VOIT LE MAL ET S'EN ECARTE.
Ooooooo balobaki te. Balobi. Ya soooolo. »
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Alors, nous disons :
Quelle prémonition ; Quel avertissement !!!!
Et comme l’histoire de son pays, la République Démocratique du Congo est répétitive, si ce Monsieur, « messager galactique » comme il s’appelle avait raison !
Ce qui étonne chez Monsieur Kabila ; comme pour se donner bonne conscience à l’instar d’un Griot qui vient de commettre une bévue dans son récital au deuil du chef du village, l’homme s’égare dans la pensée du texte qu’il n’a pas écrit en énumérant, tour à tour, les vrais notables de la RDC ; KIMPA, LUMUMBA(…) pour ne citer que ceux-là comme pour attirer la compassion des peuples de la République Démocratique du Congo ; peine perdue.
Pris de panique, le « président Congolais feint de parler de la souveraineté comme s’il en savait quelque chose et dénonce ce que son texte qualifia d’interférences étrangères dans les affaires du pays s’il n’était pas lui-même, un PROBLÈME du de la RDCONGO.
Les peuples de ce pays, peut-il trouver ou chercher la solution à un problème avec l’auteur même de celui-ci ?
« Question d’Afrique et d’Ailleurs » demande vivement à « kabila » de préserver sa vie.
C’EST LE DISCOURS LE PLUS MÉDIOCRE JAMAIS PRONONCE EN AFRIQUE PAR UN CHEF DE L’ETAT QUE LES CONGOLAIS ONT ENTENDU LE LUNDI 15 DÉCEMBRE 2.014 DE LA BOUCHE DE LEUR « président »
Flou et évasif devant les enjeux de l’heure, la modification des articles verrouillés de la constitution, l’homme se confond dans le programme des « lois électorales », du recensement(…), ce fut la honte pour le Pays.
L’administrateur
Prof Willy Delors ONGENDA
« WL »
Juriste et Journaliste
Sud-Ouest de la France
00.33.6.35.62.63.81
WL
"Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur"