Les faits
En date du dimanche 5 Avril 2015, jour de Paques symbolisant la victoire pour les chretiens par la Resurrection du Seigneur et Sauveur Jesus-Christ, l'agence BELGA, relayee par divers medias congolais et internationaux, a annonce la triste et revoltante nouvelle de la decouverte par la MONUSCO (Mission de l'ONU pour le maintient de la paix au Congo), sur interpellation des habitants du quartier a cause des odeurs nauseabondes, d'un charnier contenant 425 corps humains en etat de putrefaction avancee au cimetiere Fula-fula de Maluku, banlieue situee a 100 kilometres de Kinshasa. Cette nouvelle d’une horreur inqualifiable nous laisse sans voix, tellement la gravite, de par le nombre des morts et les conditions de leur inhumation vont au-dela du supportable. La fete de Paques fut alors douloureuse pour les Congolais.
Le gouvernement de la RDC a reconnu les faits par la voix du Vice-premier ministre et ministre de l’interieur et de la securite Monsieur Evariste Boshab qui, s’exprimant a ce sujet, a allegue qu’il s'agirait des corps des indigents abandonnes par leurs familles a la morgue de l’Hopital General de Reference de Kinshasa (ex-Hopital Mama Yemo). Il ajoutera en outre que ce serait a la demande expresse des responsables de cette institution hospitaliere, inquietes par la presence prolongee de nombreux corps non-identifies que l’autorite municipale (Hotel de ville de Kinshasa) s’est vu obligee de proceder a cette "drole" d’inhumation. Il signalera en plus la presence de plusieurs foetus et enfants mort-nes dans la dite fosse commune.
Cependant, un autre son de cloche viendra de la presse locale affirmant qu’il s’agirait plutot des victimes des violentes et sanglantes repressions des manifestations des 19, 20 et 21 janvier dernier contre l’initiative Boshab pour modifier la loi electorale. Version du reste confirmee par les populations des alentours ayant affirme a la MONUSCO avoir apercu des camions militaires dans le cimetiere durant les nuits des dits evenements. Des rumeurs persistantes font etat de plusieurs autres charniers dans le pays ; ce qui n’est pas impossible.
De l’analyse des faits
L’extreme gravite averee de ces faits decoule de leur analyse, surtout de par le comportement des acteurs y intervenant :
1) le fait pour les habitants du quartier de n’avoir pas estime bon de saisir la Police Nationale ni les autorites locales, mais plutot la MONUSCO , est comme un appel au secours, caracteristique de la mefiance d’une population a maintes reprises desabusee et reprimee ;
2) quant a la MONUSCO , elle ne s’est pas seulement contentee de saisir les autorites congolaises, mais a alerte la communaute internationale par le canal de l’agence BELGA ; sachant pertinemment bien qu’elle serait relayee par les medias internationaux comme pour prendre le monde a temoin et exprimer une volonte d’exiger que justice soit faite aux victimes et protection assuree aux populations locales ;
3) le gouvernement congolais lui-meme, en n’utilisant pas les autorites administratives (de l’Hopital General de Reference et de l’Hotel de ville), ni le gouvernement provincial et encore moins le tristement celebre, incontournable et inamovible Lambert Mende ministre de l’information dans son role de porte parole du gouvernement, a implicitement reconnu cette extreme gravite en donnant ses explications-justifications par la bouche du Vice-premier ministre et ministre de l’interieur et de la securite.
De la problematique soulevee par l’analyse des faits
L’extreme gravite des faits etant averee par le nombre si important de morts, il ne s’agit donc ni de simple contravention, delit ou crime, mais bien de crimes contre l’humanite. Les questions suivantes devront trouver des reponses immediates :
1°) sur la violation du droit a l'information : y avait-il eu information prealable du public par les autorites de la presence a la morgue de l'Hopital General de Reference des corps non-identifies afin que les familles ayant constate la disparition d’un des leurs puissent aller chercher le corps et lui donner une sepulture digne de ce nom ? Pourquoi n’a-t-on pas fait recours a des organisations specialisees et experimentees telles que la Croix-Rouge ?
2°) sur la violation des droits humains, coutumes et traditions seculaires du peuple congolais : quels que soient l’age et l’origine des decedes, L´Etat congolais ne pouvait-il pas proceder a une inhumation plus humaine que celle-la (en catimini) et dans des conditions inhumaines (fosse commune), surtout lorsqu’il est de notoriete publique que, ne pas pouvoir offrir a ses fils une sepulture digne est contraire aux droits humains, aux coutumes et aux traditions seculaires des bantous ;
3°) sur la violation du droit a la vie par la mise en danger de la sante des populations et le non respect de l’environnement : les odeurs nauseabondes respirees ne sont-elles pas un signal clair sur le non-respect des regles de l’art en matiere d’inhumation ayant deja entraine les trois types de pollutions suivantes aux consequences incalculables dans l’immediat sur la sante des populations et l’environnement (pollution de l’air, pollution des sols et surtout des eaux tant souterraines que de surface) ?
4°) sur le manque de prevoyance, violant les regles de bonne gestion hospitaliere et/ou le disfonctionnement des services administratifs : qu’est ce qui a justifie l’accumulation dans cette institution hospitaliere d’un si grand nombre de cadavres humains avant de sonner l’alarme pour leur inhumation, lorsqu'on est sans ignorer l’impossibilite pour sa morgue de contenir ce nombre et les difficultes financieres de cette institution ?
Des consequences logiques decoulant de la gravite des faits
Pour ne pas occulter la verite ni violer le droit a la justice independante permettant sa manifestation incontestable et comme le droit stipule que "Nul ne peut etre juge et partie" dans une affaire le concernant, les autorites congolaises, dont le malaise a ete perceptible devraient avoir l’elegance de laisser cette affaire a une commission independante d’experts pour mener une enquete transparente afin que la lumiere soit faite et qu’au final, les responsabilites tant individuelles que collectives sur le disfonctionnement des services ayant conduit a cette catastrophe soient etablies avec, pour corollaire, la poursuite en justice pour crimes contre l’humanite et violations graves des droits humains. Ces responsabilites concerneront tant les administratifs, que les politiques qui les chapeautent et qui se seraient directement ou indirectement impliques dans ces graves crimes.
Le recours a la MONUSCO serait indique ; car, etant sur place, elle jouit de la confiance des populations et des autorites comme organe d’accompagnement du pays vers la democratisation de ses institutions. Les prochaines echeances electorales exigeant un climat apaise pour leur organisation et leur tenue effective dans la serenite, personne, mieux que la MONUSCO , qui a deja fait ses preuves en la matiere, ne dispose de cette expertise requise. Le tout visant a atteindre trois objectifs :
· retribution des coupables qui doit payer ou etre sanctionnes ;
· exemplarite de la peine (servir d’exemple aux autres) ;
· prouver, si besoin en etait, que la culture de l’impunite tant decriee est bannie en RDC.
De l’indignation a la prise de position de la CCE
La Convention des Congolais de l’Etranger, CCE en sigle, ne saurait pas, par honnetete intellectuelle, ne pas saluer la volonte de transparence affichee par le gouvernement congolais a travers le Vice premier-ministre Boshab. Mais, sans s’eriger en donneur de lecons, elle ne saurait aussi cacher sa douleur, sa deception et son indignation face aux faits aussi graves. Elle se sent concernee par ces deces et exprime sa compassion et sa solidarite avec le peuple congolais dont elle est issue ; car, meme si l’un ou l’autre d'entre nous n’est pas directement touche par la perte d’un etre cher, il s'agit de la mort de plusieurs de ses compatriotes.
Pour elle donc, ce n’est qu’en allant jusqu' au bout de cette logique d’enquete pour etablir les responsabilites que la credibilite du gouvernement congolais, deja mise a mal par plusieurs autres affaires, celle-ci vient amplifier comme la goutte d’eau qui risque de faire deborder le vase, pourra etre retablie vis-a-vis de son propre peuple au nom duquel il pretend gouverner, et de la communaute internationale chargee d’accompagner les institutions de sa jeune democratie. Dans le cas contraire, si dans un delai raisonnable ces actions ne sont pas entreprises, cela equivaudra a un aveu de culpabilite et engagera la responsabilite collective du gouvernement devant le peuple congolais et la communaute internationale toute entiere.
C’est egalement dans cette hypothese, la CCE ainsi que la diaspora congolaise dans tout son ensemble, qui n’est pas souvent reconnue dans ses droits fondamentaux et subit deja moult agressions de ce regime dont des refoulements injustifies de ses membres se rendant pour divers motifs dans le pays de leurs ancetres, envisagera toutes les options et actions pour que les consequences de cette mise en cause de la responsabilite des autorites congolaises soit vraiment ressentie par ces dernieres. Les droits de l’homme etant devenus le critere de la civilisation de notre temps, les crimes contre l’humanite ne peuvent que mobiliser au-dela des frontieres nationales. De Mobutu a Kadhafi, les exemples sont legion en ce domaine !
Geneve, le mercredi 25 avril 2015
Pour la Convention des Congolais de Suisse,
Severine TSHIMINI MBUYI
Presidente
Avec le soutien de WWW.ORGANICA-CARE.COM
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Face aux fosses communes et charniers humains decouverts au Congo-Kinshasa
Indignation de la Convention des Congolais de l’Etranger[CCE]
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Les faits
En date du dimanche 5 Avril 2015, jour de Paques symbolisant la victoire pour les chretiens par la Resurrection du Seigneur et Sauveur Jesus-Christ, l'agence BELGA, relayee par divers medias congolais et internationaux, a annonce la triste et revoltante nouvelle de la decouverte par la MONUSCO (Mission de l'ONU pour le maintient de la paix au Congo), sur interpellation des habitants du quartier a cause des odeurs nauseabondes, d'un charnier contenant 425 corps humains en etat de putrefaction avancee au cimetiere Fula-fula de Maluku, banlieue situee a 100 kilometres de Kinshasa. Cette nouvelle d’une horreur inqualifiable nous laisse sans voix, tellement la gravite, de par le nombre des morts et les conditions de leur inhumation vont au-dela du supportable. La fete de Paques fut alors douloureuse pour les Congolais.
Le gouvernement de la RDC a reconnu les faits par la voix du Vice-premier ministre et ministre de l’interieur et de la securite Monsieur Evariste Boshab qui, s’exprimant a ce sujet, a allegue qu’il s'agirait des corps des indigents abandonnes par leurs familles a la morgue de l’Hopital General de Reference de Kinshasa (ex-Hopital Mama Yemo). Il ajoutera en outre que ce serait a la demande expresse des responsables de cette institution hospitaliere, inquietes par la presence prolongee de nombreux corps non-identifies que l’autorite municipale (Hotel de ville de Kinshasa) s’est vu obligee de proceder a cette "drole" d’inhumation. Il signalera en plus la presence de plusieurs foetus et enfants mort-nes dans la dite fosse commune.
Cependant, un autre son de cloche viendra de la presse locale affirmant qu’il s’agirait plutot des victimes des violentes et sanglantes repressions des manifestations des 19, 20 et 21 janvier dernier contre l’initiative Boshab pour modifier la loi electorale. Version du reste confirmee par les populations des alentours ayant affirme a la MONUSCO avoir apercu des camions militaires dans le cimetiere durant les nuits des dits evenements. Des rumeurs persistantes font etat de plusieurs autres charniers dans le pays ; ce qui n’est pas impossible.
De l’analyse des faits
L’extreme gravite averee de ces faits decoule de leur analyse, surtout de par le comportement des acteurs y intervenant :
1) le fait pour les habitants du quartier de n’avoir pas estime bon de saisir la Police Nationale ni les autorites locales, mais plutot la MONUSCO , est comme un appel au secours, caracteristique de la mefiance d’une population a maintes reprises desabusee et reprimee ;
2) quant a la MONUSCO , elle ne s’est pas seulement contentee de saisir les autorites congolaises, mais a alerte la communaute internationale par le canal de l’agence BELGA ; sachant pertinemment bien qu’elle serait relayee par les medias internationaux comme pour prendre le monde a temoin et exprimer une volonte d’exiger que justice soit faite aux victimes et protection assuree aux populations locales ;
3) le gouvernement congolais lui-meme, en n’utilisant pas les autorites administratives (de l’Hopital General de Reference et de l’Hotel de ville), ni le gouvernement provincial et encore moins le tristement celebre, incontournable et inamovible Lambert Mende ministre de l’information dans son role de porte parole du gouvernement, a implicitement reconnu cette extreme gravite en donnant ses explications-justifications par la bouche du Vice-premier ministre et ministre de l’interieur et de la securite.
De la problematique soulevee par l’analyse des faits
L’extreme gravite des faits etant averee par le nombre si important de morts, il ne s’agit donc ni de simple contravention, delit ou crime, mais bien de crimes contre l’humanite. Les questions suivantes devront trouver des reponses immediates :
1°) sur la violation du droit a l'information : y avait-il eu information prealable du public par les autorites de la presence a la morgue de l'Hopital General de Reference des corps non-identifies afin que les familles ayant constate la disparition d’un des leurs puissent aller chercher le corps et lui donner une sepulture digne de ce nom ? Pourquoi n’a-t-on pas fait recours a des organisations specialisees et experimentees telles que la Croix-Rouge ?
2°) sur la violation des droits humains, coutumes et traditions seculaires du peuple congolais : quels que soient l’age et l’origine des decedes, L´Etat congolais ne pouvait-il pas proceder a une inhumation plus humaine que celle-la (en catimini) et dans des conditions inhumaines (fosse commune), surtout lorsqu’il est de notoriete publique que, ne pas pouvoir offrir a ses fils une sepulture digne est contraire aux droits humains, aux coutumes et aux traditions seculaires des bantous ;
3°) sur la violation du droit a la vie par la mise en danger de la sante des populations et le non respect de l’environnement : les odeurs nauseabondes respirees ne sont-elles pas un signal clair sur le non-respect des regles de l’art en matiere d’inhumation ayant deja entraine les trois types de pollutions suivantes aux consequences incalculables dans l’immediat sur la sante des populations et l’environnement (pollution de l’air, pollution des sols et surtout des eaux tant souterraines que de surface) ?
4°) sur le manque de prevoyance, violant les regles de bonne gestion hospitaliere et/ou le disfonctionnement des services administratifs : qu’est ce qui a justifie l’accumulation dans cette institution hospitaliere d’un si grand nombre de cadavres humains avant de sonner l’alarme pour leur inhumation, lorsqu'on est sans ignorer l’impossibilite pour sa morgue de contenir ce nombre et les difficultes financieres de cette institution ?
Des consequences logiques decoulant de la gravite des faits
Pour ne pas occulter la verite ni violer le droit a la justice independante permettant sa manifestation incontestable et comme le droit stipule que "Nul ne peut etre juge et partie" dans une affaire le concernant, les autorites congolaises, dont le malaise a ete perceptible devraient avoir l’elegance de laisser cette affaire a une commission independante d’experts pour mener une enquete transparente afin que la lumiere soit faite et qu’au final, les responsabilites tant individuelles que collectives sur le disfonctionnement des services ayant conduit a cette catastrophe soient etablies avec, pour corollaire, la poursuite en justice pour crimes contre l’humanite et violations graves des droits humains. Ces responsabilites concerneront tant les administratifs, que les politiques qui les chapeautent et qui se seraient directement ou indirectement impliques dans ces graves crimes.
Le recours a la MONUSCO serait indique ; car, etant sur place, elle jouit de la confiance des populations et des autorites comme organe d’accompagnement du pays vers la democratisation de ses institutions. Les prochaines echeances electorales exigeant un climat apaise pour leur organisation et leur tenue effective dans la serenite, personne, mieux que la MONUSCO , qui a deja fait ses preuves en la matiere, ne dispose de cette expertise requise. Le tout visant a atteindre trois objectifs :
· retribution des coupables qui doit payer ou etre sanctionnes ;
· exemplarite de la peine (servir d’exemple aux autres) ;
· prouver, si besoin en etait, que la culture de l’impunite tant decriee est bannie en RDC.
De l’indignation a la prise de position de la CCE
La Convention des Congolais de l’Etranger, CCE en sigle, ne saurait pas, par honnetete intellectuelle, ne pas saluer la volonte de transparence affichee par le gouvernement congolais a travers le Vice premier-ministre Boshab. Mais, sans s’eriger en donneur de lecons, elle ne saurait aussi cacher sa douleur, sa deception et son indignation face aux faits aussi graves. Elle se sent concernee par ces deces et exprime sa compassion et sa solidarite avec le peuple congolais dont elle est issue ; car, meme si l’un ou l’autre d'entre nous n’est pas directement touche par la perte d’un etre cher, il s'agit de la mort de plusieurs de ses compatriotes.
Pour elle donc, ce n’est qu’en allant jusqu' au bout de cette logique d’enquete pour etablir les responsabilites que la credibilite du gouvernement congolais, deja mise a mal par plusieurs autres affaires, celle-ci vient amplifier comme la goutte d’eau qui risque de faire deborder le vase, pourra etre retablie vis-a-vis de son propre peuple au nom duquel il pretend gouverner, et de la communaute internationale chargee d’accompagner les institutions de sa jeune democratie. Dans le cas contraire, si dans un delai raisonnable ces actions ne sont pas entreprises, cela equivaudra a un aveu de culpabilite et engagera la responsabilite collective du gouvernement devant le peuple congolais et la communaute internationale toute entiere.
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