CHERS COMPATRIOTES,
Le soutien de personnalités illustres ne suffit
pas, il faut encore que les femmes s'affirment
La RDC, quant à elle, n'est pas à Kampala pour revenir bredouille, elle a le rôle de jouer ce cinéma d'une "République" qui gagne contre les soi-disant insurgés du M-23 en s'exprimant à la presse avec la hargne d'un catcheur qui défie son challenger, mais ce qu'elle fait vraiment à Kampala, c'est de l'aplaventrisme pareil à celui qui a accouché des Accords de Munich avec pour acteurChamberlain et Daladier, le 30 septembre 1938. Voilà comment "Média Larousse" résume ce que furent les "Accords de Munich"qui sont comparables au piège que le Rwanda et l'Ouganda tendent à la RDC, laquelle préoccupée par la paix à tout prix négocie à rabais et hypothèque à jamais la RDC :
Hitler, Mussolini comme Paul Kagamé et Y. Museveni font
signer les "Accords de Munich" à Daladier et Chamberlain.
C'est à cet exercice des dupes que joue Kampala à la RDC
Cliquez "Les Accords de Munich" en image d'actualité
Paul Kagamé est sûr de gruger des bénéfices sans concessions répondant à toutes les conditions qu'il impose aux Congolais, comme toujours d'ailleurs. Et comme, les "Délégués de Kampala", branche gouvernementale, sont corrompus jusqu'à lie, ceux-ci vont ratifier sans rechigner ni rouspéter le "Traité de Kampala". Depuis que j'ai communiqué la conduite des "Parlementaires" de la première vague à l'"Hôtel Munyonyo Resort", il s'observe une retenue dans la conduite de la "Délégation", mais cela n'est qu'une accalmie qui cache mal ce qui se passe vraiment en Ouganda. Le manque de regard et d'exigence de l'ordre du jour de ce qui se discute par les Congolais à Kampala est là la plus grande démission de l'élite que nous sommes.
D'aucuns me diront, comme l'a fait remarquer "Roland Kiloka Ngoie" que la RDC et le M-23 se sont entendus sur le conducteur des négociations. En vérité, c'est qui ce document-là ? Une diversion, car ce qui y est mis en affiche de libellé, ce ne sont pas les points de la discussion, mais un vade mecum technique des étapes à suivre durant les négociations faites à rabais par la Délégation rdécienne, mais la vraie "Table des matières" est cachée. Pourquoi les Congolais, au niveau de toutes les instances de leur représentativité de demandent-ils pas que la lumière soit faite par le dévoilement du vrai ordre du jour avec des thèmes de discussions claires et que la République fasse comme la France, c'est-à-dire communique l'évolution de ces discussions au fil des jours sans cachotterie. Qui peut dire quand il n'a pas pris aux négociations ce qui s'y passe ? Personne, aucune Instance. C'est comme ça depuis :
- Les Accords de Lusaka dont on ne connaît rien mais qui furent en réalité la reconnaissance par la RDC d'endosser la responsabilité de payer la dette des armes acquises par les rébellions rwandaises à l'Est de la RDC au détriment du trésor public, or ces armes qui ne furent jamais rendu à la RDC ont participé à l'occupation du Kivu, au massacre des Congolais et à l'assassinat de Monseigneur Christophe Munzihirwa et Mgr Kataliko par la torture et l'Empoisonnement, tous Archevêque de Bukavu ;
- Les Accords de Sun City dont on n'a que l'idée du partage de pouvoir de 1 + 4 ;
- Les Négociations de Naïrobi 1, 2, 3 qui ne relatent que le dossier de délimitation d'un no man's land contre les FARDC et l'exigence de brasser les rébellions dans l'armée de l RDC, exigence qui n'est que consécration de Sun City qui a consenti à donner le "Ministère de la Défense Nationale" au RCD/Goma, à Ruberwa, mais au fond à Paul Kagamé pour préparer administrativement l'occupation du Nord-Kivu avec la complicité de Kinshasa ;
- Les Négociations de Kampala avant le M-23 et qui se soldèrent tous par des sommes à payer au Rwanda et à ses militaires dans le but de dédommager la constante mobilisation, selon Kigali, de ses troupes pour intervenir contre les FDLR qui gruge son trésor public pour la défense nationale de son territoire ;
- Les Négociations de Naïrobi achevées à l'Hôtel Yhoussi de Goma, lesquels Accords ont consacré l'hypothèque du Nord-Kivu dans le promontoire Goma, Masisi, Kalehe, Rutshuru et Kanyabanyonga. Ces Accords ont reconnus au CNDP, représenté par un Rwandais, "Désiré Kamanzi" le droit de ne pas voir muter les combattants illégaux du CNDP brassés dans les FARDC à vivre à demeure au Nord-Kivu sans être envoyé ailleurs, en RDC.
Au-delà de ce rappel, que se passe-t-il à "Kampala" et quel genre de Traité veut-t-on y signer quand bien même j'ai déjà évoqué ce mot dans les paragraphes cidessus ?
Eh bien comme je le dis et redis, c'est "Un Traité". Celui-ci est désormais en vigueur, mais sous une forme de gestation. La façon dont la zone occupée du Nord-Kivu avec le CNDP jusqu'ici à la récente révolte du M-23 sont-là le visage vrai de cette effectivité fonctionnelle de ce Nord-Kivu existant comme République intérieure en RDC sans statut juridique reconnu par le Parlement congolais et l'ONU. Que l'on prenne pour acquis, par les Congolais, que même si le nom de projet va changer, la nomination du "Traité de Kampala" sera ratifié.
Avion de la flotte East-African Airways de la communauté
Africaine réunissant le Kenya, la Tanzanie et l'Ouganda.
C'est ce concept que les multinationales caresse au N-Kivu,
Le Rwanda et l'Ouganda pour être performant, il faut le Kivu
- Une Conférence permanente des Chefs d'État (Session ordinaire e extraordinaire) ;
- Une Chambre de Commerce tripartite Naïrobi, Kampala, Dar-Es-Salaam) ;
- Des Compagnies à Chartes ( dans plusieurs domaines dont ceux de l'électricité et des régies de distribution d'eau potable et industrielles ;
- Une Communauté des Armées Alliées (Une sorte de l'OTAN à la manière britannique parce que les ententes dans ce sens étaient mises en convergence avec Londres pour la formation des militaire de l'Union) ;
- Une compagnie multinationale d'aviation civile, la East-African Airways ;
- Un congoglomérat hôtelier rattaché aux Parcs Nationaux (Kenya, Ouganda, Tanzanie) ;
- Un système d'enseignement organisé pour l'intégration des compétences des trois pays, etc.
On peut voir clairement les drapeaux des trois États
ayant formé la East-African Communauty décennie '60
Le N.-Kivu fonctionne comme ça depuis le 2 août 1998
II. PROJET ALLEMAND ET BRITANNIQUE
DU XIX ET DÉBUT DU XX IÈME SIÈCLE
MES CHERS COMPATRIOTES,
Observer bien cette carte du Congo de 1910, le Rwanda n'a pas
de frontière lacustre avec le Lac-Kivu, celle-ci survient en 1910
Le Lac Kivu avant cette date, 1910, est intégralement congolais.
Pour comprendre ça, je me fais l'obligation d'expliquer ce mystère
Le louvoiement des frontières congolaises est une ambition lointaine que les "Multinationales" avec des complices locaux ont revisité. Depuis les années '60, Grégoire Kayibanda, puis Juvénal Habyarimana, Pasteur Bizimungu avec son petit frère d'infortune "Paul Kagamé" cherchent à gruger les frontières orientales du Congo. Le Cocktail a pris de toute sa saveur quand les multinationales se sont mêlés dans ce louvoiement, mais avec d'autres raisons, celles de leurs ancêtres du tournant du XIX ième au XX ième siècle. Mais, c'est en particulier en 1914 que même les hautes personnalités britanniques ont boudé ce projet de vouloir amincir le Congo pour des projets très égoïstes :
"Au début de 1914, les Anglais et les Allemands envisageaient le partage au cours des colonies portugaises et du Congo en tout ou en partie au cours des Traités secrets. L'opposition de Poincaré fut catégorique. L'ambassadeur anglais à Paris Monsieur Bertie dans sa dépêche du 12 février 1914 disait à Sir Edward Grey, Ministre des Affaires Étrangères : "« Quand les nouveaux arrangements avec l'Allemagne seront rendus publics, je crains fort que le cri de Perfide Albionne retentisse plus justifié cette fois que d'habitude »" Source : Histoire du Congo-Léo, "Le projet de partage anglo-allemands du Congo-Belge" pg 176. Robert Cornevin.
Il n'y a pas eu que des Européens qui ont critiqué cette façon de vouloir s'agrandir avec le territoire congolais. En RDC, le journaliste de la Revue Zaïre, "Clément Vidibio", en 1969 a aussi fait le point là-dessus en critiquant les appétits du Rwanda lorsque ce pays demandait les bons offices des Congolais pour les réconcilier au niveau des États, à savoir Rwanda et Burundi :(Icit)***
En somme, l'Allemagne constatant la faiblesse de la Belgique qui comptait sur elle pour protéger ses territoires africains contre la pression de la France à l'Est et du Portugal au Sud-Ouest ne faisait pas poids devant Londres et Berlin. Londres et Berlin ne voulaient pas aider la Belgique à garder ses possessions sans contrepartie. L'Allemagne et la Grande Bretagne imposèrent à la Belgique de leur céder des territoires à l'Est du Congo. Elles y parvinrent, avec peine et larmes, Bruxelles céda les points géodésiques qui avaient été fixés comme frontières de l'extrême Est du Congo, terrain qu'elle avait acquis au cours des premières explorations géographiques et qui étaient encore à explorer. La Belgique dans cette transaction forcée a perdu 8000 Km2 amputé par l'Allemagne au bénéfice de ses territoires africains.
Malgré l'issue du conflit de 1914-1918, les grandes questions qui n'avaient pas été bien résolues avant l'hécatombe de l'immense conflit meurtrier en Europe. Après le Traité de Versailles de 1919 et la création de la Société des Nations qui céda à al Belgique le Ruanda-Urundi sous-tutelle, Bruxelles ne récupérera pas totalement ces partie perdues après la Première guerre Mondiale, c'est cet événement-là qui a agrandi la superficie du Rwanda, car le territoire enlevé à la Belgique au Congo-Belge fut le "fossé géologique de la Ruzizi" et du "Lac Kivu". Voilà comment, en 1898, le Rwanda est entré dans ses frontières actuelles et la carte du Congo par le Rwanda-Kivu fut redessinée sous la forme que l'on a devant les yeux. Mais aussi, remarquons les tribus et leurs terres sans faux-fuyant tels que représentées par les géographes et historiens Belges.
En somme, les Allemands avaient vu bien avant le monde entier, le Coltan et le cassitérite pour leur industrie militaire du début du siècle passé. C'est ce dossier que les multinationales ont ouvert et poussent le Rwanda à faire une guerre à la RDC sans une"Déclaration de guerre" en bonne et due forme. Revisitons la carte et scrutons l'histoire par l'image pour découvrir sans efforts d'explorations intellectuels assidus la falsification de l'histoire selon le régime de Kigali accompagné par celui de Kampala. On y voit nullement aucune tribu du Rwanda mentionnée dessus. Ce ne sont pas les Congolais qui ont dressé cette carte, mais les Belges, lesquels ? Ceux du Clergé qui sont à la base de toutes les études anthropologiques du Congo dont le Père Tempels.
Noms et territoires des tribus du Kivu réactualisées
Par le Professeur-Père Jésuite, Léon de Saint Moulin,
Il m'a donné cours par ses élèves étudiants stagiaires.
Aucun "Mwanyamulenge" n'est mis en contexte ethnique.
Revenons à ce dossier avec les textes de leurs récits. L'ultimatum était tombé au bureau de "Jules Renkin", le Ministre Belge de la Colonie, en 1914. L'Allemagne du "Kaiser Guillaume II" voulait qu'on cède par la Belgique la "Vallée de la Ruzizi". Le motif est simple, c'est la teneur en mines de cette zone-là est la raison qui a incité "Berlin" à exiger de la Belgique l'annexion de la parenthèse entre le Nord-Kivu et le Sud-Kivu actuel. Les discussions étaient vives, déjà, en 1910 et en 1911, l'Allemagne avait obtenu avec un consentement informelle de la Grande Bretagne pour la révision des frontières entre le Congo-Belge et l'Empire Prussien du Rwanda. Notons en passant qu'au début de l'"État indépendant du Congo", le Rwanda n'avait pas des frontières avec le Lac-Kivu, le Congo s'étendait jusqu'aux rivages orientales de lac qui a comme villes riveraines, Bukavu et Goma.
C'est donc dans la controverse d'une polémique musclée que l'Allemagne a grugé les frontières du Congo avant la Première Guerre Mondiale. Le Ministre belge, Jules Renkin, a eu à résoudre, pour le "Congo-Belge", des problèmes susceptibles de conflit armée :
"Des divergences s'étaient produites sur les diverses cartes établies en 1885 à l'occasion des premières négociations de l'EIC. Mais lors de la notification officielle de la neutralité adressé le 1er août 1885, le Comte de Hatzfeld en prenaient acte pour l'Empereur. Cette frontière fut reconnue à nouveau le 15 mars 1895. La Révolte des troupes du Baron Dhanis ayant entraîné l'évacuation du Kivu par les Forces de l'EIC, le Capitaine allemand Bethe, en novembre 1898, s'établit sur une ligne Ruzizi-Kivu. Après avoir précisé que cette occupation était une simple mesure de sécurité, les Allemands s'y maintiennent malgré les transactions proposées par l'EIC (donnant le territoire contesté à bail). Les négociations se prolongent. Le 10 avril 1910, un protocole fixe la frontière à la ligne médiane du Kivu. Des discussions auront alors lieu sur les îles du lac après l'accord du 6 août 1906." Source : "Le conflit du Kivu" pg 174, dans Histoire du Congo-Léo, Robert Cornevin.
Récapitulons, bien avant Jules Renkin, encore cette histoire de tous ces remue-ménage frontalier à l'Est du Congo, sinon ces problèmes d'hégémonisme en Afrique orientale et des Grands-Lacs avant que n'éclate la "Première Guerre Mondiale" avec ses conséquences dans la région. L'idée de faire de la zone des "Grands-Lacs" un ensemble confédéré de la puissance économique de l'Europe a été entrevue par les trois grandes puissance de l'Europe centrale du XIX ième siècle. La concentration des troupes de la vieille Europe pour le positionnement n'était pas aussi concentrée ailleurs que dans la région qui va du Lac Victoria au Lac Nyassa. Ce sont des pièges que les puissances européennes d'alors se sont fait pour contourner la difficulté d'un qui arrive le premier. Dans la région des Grands-Lacs africains ce sont ces pays que je projette qui ont compris l'importance de s'offrir les espaces territoriaux :
- La Grande Bretagne ;
- L'Allemagne ;
- La France.
La course, entre ces puissances précitées, fut amorcée de façon inattendue, mais on peut penser que c'est par la voie de renseignement et d'espionnage que la "France" n'a pas réussi à s'installer dans la région des "Grands-Lacs". "L'histoire de Fachoda" est en elle-même la "Halte" qui mit la France KO à être présente aux frontières du Congo-oriental. Le fait que la Grande Bretagne et la France sont restées seules dans cette Afrique des Hautes terres et Milles collines aura été ce qui a donné de l'instance pour mettre la Belgique à genou. Entre-temps, c'est là l'origine d'une "République rwandaise" actuelle voisine de la RDC par le Lac Kivu, sinon, les Rwandais entreraient au Congo par la voie terrestre vu le fait que le Lac Kivu nous appartenait en totalité.
En substance, la partie orientale de la RDC est une zone enviée et revendiquée injustement. Le Protocole des Ententes de la Conférence de Berlin avaient établi plusieurs saillances accordant aux États Européens et Américains présents à la Conférence de 1885, les facilités élargies pour le commerce et la circulation dans l'État indépendant du Congo. L'agression de la RDC vient en continuité avec l'état d'Esprit qui a prévalu à Berlin pour exploiter l'Afrique sans peine. Cependant, la guerre froide aura été un grand frein pour pousser les Africains à céder du terrain dans leurs États devenus indépendants. La chute de la ville de Berlin a reconduit les mêmes facilités ayant prévalu pour coloniser l'Afrique.
Subsidiairement à cette situation de la fin de la guerre froide, parce que Moscou n'était plus une menace à l'expansion des États-Unis et de l'Europe occidentale partout dans le monde, un complot de grande envergure des multinationales du monde occidental a eu lieu avec dans son viseur le Congo par le Rwanda et l'Ouganda en se servant des Africains. "Paul Kagamé" et"Yoweri Museveni". On n'a pas besoin des preuves, ces gens tuent, Washington, Paris, Londres, Bruxelles se taisent. Et l'ONU, elle ne s'en préoccupe que du bout des lèvres avec des déclarations creuses et des contingents qui font la comptabilité macabres des massacres de Congolaises et Congolais exterminés chez-eux.
Irions-nous jusqu'à nous poser des questions de nature en mettre en examen "le génocide au Rwanda" ? On ne peut pas nier ce génocide, mais toutes les questions sont permises pour connaître l'origine primordiale de cet odieux "Crime contre l'humanité" qui s'est transformé en génocide sans intermittence en RDC et que l'on ne veut pas arrêter malgré la présence de 20.000 soldats de l'ONU/MONUSCO au grand mépris de la Charte des Nations-Unies en ses articles du Chapitre VII. Au contraire, les soldats de l'ONU ont aussi violé les femmes en RDC et se sont par-là même déshonorés. Comment dédirions-nous autrement cette situation ? Sinon dire que tout ce qui se passe en RDC est planifié par une guilde internationale qui a l'aval de la Communauté internationale dirigeante.
III. LA RÉPUBLIQUE DU NORD-KIVU
MES CHERS COMPATRIOTES,
La République de Kabila a complètement assassiné tout le monde
elle efface la trace et les empreintes des Congolais authentiques
pour intégrer une étrange classe politique qui s'impose avec le fusil
- Azarias Ruberwa ;
- James Kabarebe ;
- Bizima Karaha ;
- Deo Bugera ;
- Jules Mutebusi ;
- Laurent Nkundabatware ;
- Bosco Ntanganda.
Il faut comprendre la persistance de la guerre comme une décision de harcèlement meurtrière pour faire lâcher prise aux Congolais de trop vouloir garder le "Kivu" dans le giron de la RDC avec un contrôle quasi total de l'État congolais sur sa province. En effet, le monde de la "Haute Finance Internationale" est train de faire voir aux Congolaises et Congolais que rien ne va l'empêcher de parvenir à ses but et objectifs. La science politique de cette fraude s'est mué dans les problèmes tribaux et ethnique afin que le centre de toute la problématique de sécurité végète sur le thème des "Droits de la minorité". Dès lors, on a essayé plusieurs façon de rendre la vie difficile aux Congolais avec des improvisation de concepts inventés dans le but que l'un d'entre-eux accroche. Il s'est passé successivement substitué à des questions de cet ordre des Idées-Forces diviseurs pour mettre le Congo au point mort. Bien sûr que certains concepts ont fonctionné, mais au bout d'un moment, ils se sont essoufflés parce que reposant sur les mensonges, à savoir :
- Les Banyamulenge, tribu congolaises persécutée ;
- Les Tutsi congolais, apparu en 1998 pour perturber la concorde citoyenne rwando-congolaises ;
- Hutu congolais, apparu en 2002, pour recaler les efforts de sortie de crise en vue d'avoir toujours l'initiative par Kigali d'entrer avec son armée en RDC au motif de droit de poursuite ;
- Les Congolais de l'Est comme si auparavant il a existé les Congolais de l'Ouest, du Nord et du Sud dans le langage vernaculaire de la RDC, c'était en 2006 lors des élections qui ont privilégiés Kabila au détriment des autres candidats dont certains sont en prison au Congo, à La Haye et d'autres morts carrément ;
- Des Congolais d'Expression rwandophone comme entendu à la mort du Général
Pourtant avant la guerre des Grands-Lacs, l n'a jamais existé des problèmes de stigmatisation tribale au Congo entre minorité et majorité, entre rwandophone et congolophone, entre Tutsi et Congolais et entre Congolais et Hutu. Si ces problèmes là ont existé, ils avaient pignon sur rue au Rwanda pas au Congo ni au Zaïre. Les Rwandais eux-mêmes, ceux qui avaient choisi de vivre en RDC n'ont pas voulu se qualifier par le patronyme spécifique de leurs tribus, ils se sont tout simplement fait appeler les"Banyarwanda". Et même avec ce nom-là, il n'y a jamais eu de distinguo de type discriminatoire ou encore de ségrégation pour se reconnaître rwandophone, nilotique (comme bien d'autres personnes aiment à évoquer ce nom-là alors que nilotique n'st pas une race, mais le nom d'un riverain qui habite le promontoire de la Vallée du Nil).
Il existe effectivement une composante de la population rwandaise vivant en RDC, c'est celle de la communauté desBanyarwanda, Tutsi et Hutus confondus. Et en clair, ce n'est pas elle qui pose problème, c'est Kigali qui les instrumentalise et les utilise même comme bouclier humain. Le "Massacre de Gatumba" organisé par "Azarias Ruberwa" est un exemple craint. C'est là sans doute qu'un problème de définition par rapport à la nationalité congolaise se pose, car cette communauté vit en RDC depuis près d'un siècle, sinon plus à cause de l'immigration des Rwandais voulue par les Belges. Mais ce problème n'est pas aussi compliqué à résoudre qu'il faille pour le traiter passer par la voie de la guerre. On a donc profité de créer une tragédie humaine, par cette réalité-là, celle liée plus aux véritables crises récurrentes due à la difficile cohabitation, parfois mauvaise, des Rwandais entre-eux.
En provoquant la guerre des Grands-Lacs, on a réveillé les origines des Rwandais du Congo leurs différences ethniques selon que l'on soit Tutsi et Hutu. En fin de compte, ce stratagème a été transmuté chez les "Congolais" contre les populations d'origine rwandaise. "Paul Kagamé" a capitalisé dessus au cours de sa guerre contre le régime de "Juvénal Habyarimana". Dès lors, les"Hutus du Congo" et les "Tutsis du Congo" se sont redécouverts différents en se dédouanant du patronyme commun des"Banyarwanda" qui leur allait très bien. Et ce faisant, leur guerre rwando-rwandais a été implanté sans difficulté en RDC. Pourtant, la "Guerre des Grands-Lacs" ne fait pas de quartier à ses victimes.
De toutes les façons, ce qu'il faut comprendre dans cette histoire qui a séparé les Hutus et les Tutsis vivant en RDC à la suite des "offensives du FPR au Rwanda", c'est la propagande xénophobe de "Paul Kagamé" dans le sein de la communauté de ses propres frères et sœurs vivant au Congo sans se découvrir différents par la généalogie de leur descendance. Le plus grand nombre est congolais, mais les Tutsi et les Hutus meurent quand ils se tirent entre eux entre le FDLR et le M-23, hier RCD/Goma, CNDP. Pourtant, il ne s'agit vraiment pas de la guerre tribalo-ethnique, mais bien de la contrebande des minerais, c'est pour cela que l'on se tue et que l'on massacre les Congolais à grande échelle avec le prétexte d'un conflit pour éradiquer la xénophobie des Congolais contre leurs compatriotes rwandophones.
C'est sur la jachère de ce concept que le "Projet de Balkanisation" passe, car le monde entier sera sensible contre quiconque pourvoie à une politique de sélection ethnique, cela réussit avec la propagande de mensonge, car les Congolais et les Rwandais vivent sans se cogner la figure, c'est Paul Kagamé qui a introduit cette basse coutume. Ce qui fait valoir l a contrebande est sur plusieurs palier de la réalité de la guerre des "Grands-Lacs", ce sont les Rwandais, eux-mêmes, qui ont clamé cela. Autrement dit, toute l'opulence de la richesse que le Rwanda expose à la face du monde n'est rien d'autre que les ressources volées au Congo qui ont tout achetée et tout rénové, comme l'Armée rwandaise et le renouveau de la ville de Kigali qui ambitionne de porter la robe de"Singapour" dans une décennie. D'ici-là, ce sont les Congolais qui sont les dindons de la farce. Au sujet de cette vanité de n'avoir pas de difficultés à s'auto-financer, écoutons "Patrick Manzimakha" qui est haut cadre à la Banque Africaine de Développement qui s'en vante chez Colette Braeckman :
"Pour "Patrice Manzimhaka", Conseiller à la Présidence rwandaise, il s’agit d’une guerre autofinancée. Elle est payée par les ressources du pays (RDC), et celles-ci ne manquent pas." Source : Colette Braeckman, Le Soir 5 février 1999.
Avant de faire un trait sur ce thème relatif à la création d'une "République", les Congolais doivent se rendre à l'évidence que toute l'invasion de "Goma" a été orchestré depuis le bureau de "Joseph Kabila" qui cherche à tout prix à livrer la "Marchandise"pour la mission dont il est chargé d'accomplir. L'"Armée de la RDC" n'est pas aussi faible que ça, mais c'est le refus de ce jeune-homme-là qui fait problème et blocage à tout. Pour s'en rendre compte, il faut simplement se demander comment "Joseph Kabila"parvient-il à mobiliser une force de feu pour combattre les autres zones de la République en révolte comme chez les "Enyele". Dans cette opération-là, la "MONUC" est venue à sa rescousse avec ses hélicoptères sans tergiverser comme au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. Par-delà cette évidence, il y a aussi des questions qu'il faut se poser sur "la présence des FARDC en Centrafrique" et cela à l'insu de la nation congolaise. Car, si les Congolais ne savent pas se battre, comment ont-ils réussi à contenir les rébellions de la RDC avant l'émergence des "Rebelles Séléka" dont tout le monde en parle aujourd'hui ?
De tout ça. Il n'y a pas que le "Bureau de Joseph Kabila" qui met de la levure à la patte dans le "Projet de Balkanisation de la RDC", Il y a aussi des gouverneurs. Goma fut occupé comme une ville que les fantômes s'offrent parce qu'ils entrent invisibles dans l'agglomération. Le M-23 ne sont pas des fantômes, il sont faits de cher et de sang. Avant leur entrée dans Goma, Kinshasa a dit qu'il ne laissera jamais la ville tomber aux mains des rebelles, la MONUSCO a dit la même chose, mais le jour de l'ultimatum de ce dernier, les soldats, sans combattre sont sortis d'eux-mêmes de la ville en laissant le matériel de guerre derrière eux à la portée de l'ennemi qui le récupère comme prise de guerre. Il faut bien se dire que ce "miracle-là" est une conspiration, c'est tout. Mais, dans la société congolais actuelle, tout est normal et aucun palier de l'organisation des Institutions de l'État, comme le Cours et Tribunaux de la République, la Société Civile et les Organisations des masses n'ont demandé des comptes pour comprendre la reddition de l'Armée d'un grand pays devant le petit poucet rwandais.
La faiblesse devant l'ennemi est une faute grave que l'on punit à la Cour martiale, même s'il s'agit d'un civil. Car, à partir du moment que l'on assume des Fonctions Publiques qui ont en leur organigramme la "Force Publique" c'Est-à-dire l'Armée et la Police, on n'est plus qu'une autorité civile, on est les deux, savoir civile et militaire. Il est presque certains que des personnalités de premier ordre dans les deux Provinces en savent quelque chose. Je ne suis pas dupes si je soupçonne les Gouverneurs :
- Julien Paluku ;
- Marcellin Chisambo ;
- Les Généraux en détachement au Kivu (s) ;
- Leurs Administrations, etc.
Pourquoi pas ? Ces hommes auraient été interpellés, c'est cela qui se fait partout dans le monde. Lorsque "Bruxelles" est tombé en 1940, le "Maire" de cette Métropole de Belgique et du Congo fut interrogé par la "Sûreté belge" à la fin de la guerre. Il en était de même pour les hautes personnalités, même le chef de l'État de ce pays. Or, si on interpelle le chef de l'État belge par les Instances du "Royaume" dans le but de savoir pourquoi la défaite éclair a eu lieu pendant que les "militaires belges" résistaient et n'étaient pas prêts à la reddition, qu'est-ce qui empêcherait le "Parlement congolais" d'interpeller "Joseph Kabila" sur la chute de Goma entre les mains du M-23. C'est une tradition de la Fonction Publique de demander des comptes dans le cas d'une situation qui a mis le pays et le peuple en danger.
Contrairement à cas évoqué comme exemple à la "Belgique", il n'y a pas d'analogie à faire ni spéculer pour comparer les responsables belges à la gouvernance congolaise. La "Deuxième Guerre Mondiale" a duré cinq ans, mais la guerre au Congo dure près de 20 ans avec le même homme au pouvoir durant 12 ans, "Joseph Kabila". Celui-ci quand le pays fait aux ennemis, son armée perd toujours au champ de bataille et se fait enlever le matériel de guerre, ce qui n'a jamais été le cas en Belgique, car la troupe qui s'efface de l'offensive s'arrange pour déplacer les dispositifs militaires de combat. Lorsque la France fut occupé et passé sous le "Régime de Vichy", le Général Salan et ses compagnons d'armes ont incendié tous les navires de Guerre de Toulon pour ne pas laisser aux allemands "les vaisseaux de la Marine française". Il est clair que "Joseph Kabila" a trahi, mais il est également évident que "Julien Paluku" et "Marcellin Chisambo" sont dans le coup.
D'ailleurs, ces derniers s'efforcent, surtout Julien Paluku à initier des moyens pour aider Joseph Kabila à modifier la"Constitution" pour briguer d'un troisième mandat à la Présidence de la République. Comme quoi, le complot continue et la République est déjà en essor et n'attend plus que l'aval des négociateurs du "Traité de Kampala" qui vont conclure avec le M-23 le cessez-le-feu dans le sens d'Accommoder la fausse rébellion à faire main basse au Nord-Kivu. Or, en réalité, ces négociations-là n'auraient jamais eu lieu en Ouganda qu'avec ceux-là même qui ont "organisé l'invasion de Goma". Il s'agit ni plus ni moins que de recherche des possibles issues pour affirmer le M-23 comme maître du terrain au Nord-Kivu et finalement propriétaire de cette province, or ceux qui dirigent le M-23 sont des Rwandais.
Par ce temps qui passe, il faut comprendre que les acteurs consentant de ce projet sont également au Congo et travaillent pour l'avènement de cette "République". L'invasion de "Goma" n'a pas été un victoire éclair du M-23, c'est une simulation concertée entre les autorités de première ligne du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Que l'on ne se méprenne point, la population du Kivu, au sens de son entendement le plus large, par leur "Parlement provincial" et même dans celui de Kinshasa, donc de la RDC doivent interpeller les Gouverneur du Nord-Kivu et le Sud-Kivu. L'occupation de Goma a été une conspiration et les organisateurs de cette arnaque sont dans le cercle des gouverneurs de ces deux Kivu cités, donc Nord, Sud et Maniema par ricochet à travers, le soi-disant"Général Tango-Fort" car cet individu n'est pas à sa première trahison. "Mushake" c'est lui qui a livré nos soldats à l'ennemi.
IV. LE MÉPRIS DE LA FEMME CONGOLAISE
À MARIE THERESE NLANDU
CHERS COMPATRIOTES,
Il est indigne avec l'élite que nous avions laissions
arriver ces crimes sur nos sœurs, mères et filles
Le monde entier s'indigne pour ce qui se passe en "Syrie" et actuellement, la France et les États occidentaux sont en train de faire appliquer le "Droit" dans tout le sens large de ce terme au "Mali". Or, il n'apparaît nulle part que cette même Communauté internationale qui montre tant d'intérêt pour le "Mali" se signale prête à résoudre, avec l'ONU ou le monde, la longue guerre au Congo organisé et maintenu par le "Président rwandais Paula Kagamé". C'est une vérité qui n'est plus de Polichinelle, mais scandaleuse tout simplement.
Présentement, nous avons échoué de faire appliquer le "Droit Pénal International" contre nos assaillants. Certes, nous avons réussi de faire échouer le "Plan de la Balkanisation", mais nous n'avons pas de mode opératoire pour empêcher le crime de continuer son chemin sur notre territoire. Pour contraindre cet état des choses, les femmes, comme :
- Madame Nlandu ;
- Dimandja Loteta ;
- Dunia Sendwe ;
- Madame Kaumbu ;
- Patrizia Diomi ;
- Djamba Marie-Adélaïde ;
- Odile Wanuke.
Ces femmes doivent parvenir, selon leur propre génie, à susciter un leadership puissant des femmes congolaises. Cela requiert un genre de mobilisation dont elles-mêmes devraient donner un nom avec "une Idée-force" qui traduit ce qu'elles sont en train de viser.
Désiré Kamanzi est le cas qui
doit faire annuler "Kampala",
Cet homme est Rwanda, il a
signé les Accord RDC-CNDP
- Faire arrêter les Négociations de Kampala ;
- De dénoncer le soi-disant Facilitateur, Crispus Walter Kayonga, le Ministre de la Défense de l'Ouganda, car ce dernier est de ceux qui ont préparé l'invasion de Goma, le 20 novembre dernier et qui a ordonné aux troupes ougandaises de se joindre au M-23 à partir de "Bunagana" à la frontière Ouganda-Congo, ces Rapports sont clairs dans les bulletins d'informations de guerre de la MONUSCO, laquelle a d'ailleurs demandé la récusation de ce Ministre comme Facilitateur ;
- Qualifier ce Rendez-Vous de des Négociations de Kampala comme illégal en ressortant le rôle criminel de l'Ouganda dans la déstabilisation de la RDC ;
- Projeter à l'avant plan les femmes victimes de la cruauté rwando-ougandaise dans la guerre des Grands-Lacs ;
- Porter plainte contre l'ONU pour non-protection au peuple membre signataire de la Charte des Nations-Unis ;
- Motiver les femmes juristes de la RDC à faire le tour de toute cette question pour établir un vade mecum avec les pistes nécessaires pour entreprendre les procédures des plaintes contre :
- Le Rwanda ;
- L'Ouganda ;
- Paul Kagamé ;
- Yoweri Museveni ;
- James Kabarebe ;
- Crispys Walter Kayonga, etc ...
- Faire cause commune dans le processus avec des avocats congolais pénalistes et spécialisés dans le domaine de la criminalité internationale, etc ...
Il faut bien commencer quelque part, car la voie militaire et diplomatique empruntée ne donne pas des résultats. Partant, il faut maintenant contourner ce conflit faux par des pistes moins lourdes et truffées des mensonges de l'ONU pour parvenir à le faire cesser la tragédie et les drames sans nom en RDC.
Pourquoi "Madame Thérèse Nlandu" devrait absolument faire partie d'une "Association des Femmes Juristes Congolaise" pour introduire un dossier de poursuite criminelle contre "le Rwanda, l'Ouganda, Kagamé et Museveni" ? La réponse est simple. "Madame Thérèse Nlandu" est juriste, elle parle la langue du droit sans complaisance, mais à cela, elle connaît le revers de la médaille du contre-droit. En effet, celle-ci a l'expérience carcérale de la prison injustement subit par la conspiration de "Joseph Kabila" contre sa personne via les juges acquis à sa cause. Et de là, il est facile de voir combien la faiblesse de la RDC vis-à-vis des bandits qui grugent la République est vivace. En somme, il y a renoncement du gouvernement central congolais de se battre pour restaurer l'État de droit et mettre fin à la fausse rébellion qui est présenté à l'Afrique et au monde comme conglaisement légitime par des faussaire de l'identité congolaise.
Prouver, à charge de Mercenaires rwandais, ougandais et consorts que ces Accords (CNDP, Kampala, etc.) que signent la RDC ont renforcé les crimes de guerre et crimes contre humanité en terre congolaise, étant de surcroît rwandais et non congolais, commettant ainsi des infractions de faux en écritures publiques ( ils se réclament d'être des officiers ou cadres de l'Etat). Source : Madame Thérèse Nlandu, tiré de ses écrits multiples, adapté par l'écriture de L'Encrier du Rédacteur de l'Atlantique Nord.
La doctrine de "Madame Nlandu" que nous venons de lire sous ses aspects généraux est cette facette qui n'a pas encore montré sa part de concours dans ce que nous faisons. "Madame Nlandu" est complètement d'accord avec l'idée de poursuivre les faux Congolais qui se prévalent d'une qualité qui n'est pas la leur. Pour savoir que les "Jean-Marie Runiga" ne sont pas Congolais, c'est par la violence faite aux femmes et à la population congolaise. Qui va dire que les "Congolais ne les aiment pas ?" Personne, car dans ce que la RDC endure et a enduré, la souffrance que Paul Kagamé, le Rwanda et l'Ouganda ont amené au Congo sont des torture appliquées à toute la nation congolaise. Bien plus, au lieu d'entendre un langage d'apaisement et des compassion, Shetani Makenga, Vianney Kazarema, François Ricogoza promettent à la RDC une offensive encore plus délirantes de la terre brûlée.
La cruauté des armées et milice "Made in Rwanda" en RDC sont d'une virulence qui dépasse les crimes des histoires du passé. Le Président Rwandais, Paul Kagamé est profondément rongé par une haine contre les Congolais au point que même les Européens œuvrant en Afrique s'en sont rendus compte. Je mets un extrait de la lettre d'un prêtre italien qui reprochait à "Romano Prodi"d'Avoir remis un prix d'excellence à Paul Kagamé. Prenons connaissance de cette remarque du religieux :
« Très cher Romano Prodi, je suis fort déçu de toi. Tu n’as pas pensé aux conséquences de ton geste. Tu "t’es foutu"de nous tous et des gens qu'affectueusement nous accompagnons dans cette vaste région des Grands Lacs. Tu as posé plutôt toute ta confiance sur un simple mot du "Président Paul Kagamé" et tu lui as délivré le prix sans te demander beaucoup pourquoi. » Source : Père Luigi le Stocco - des Missionnaires Xavériens de Parme, Rome : 01 septembre 2007.
Voilà le plus "ignoble des mépris" des Rwandais
commandé par "Paul Kagamé" sur la Congolaise
Oserons-nous, nous associer "aux Congolaises", à "Madame Thérèse Nlandu" qui a une doctrine d'engagement judiciaire et à tous les autres sympathisants en accord avec ce chapitre pour faire une requête en annulation des "Accords de Kampala" que va signer la "Délégation congolaise" d'ici demain avec le M-23, alors que ces hommes armés sont l'émanation du Rwanda et de l'Ouganda et pour qui ces Accords ne signifient rien, mais un sursis pour reprendre les armes le moment opportun pour se créer un pays au "Nord-Kivu" au détriment de la "RDC". Pourquoi laisserions-nous une Délégation faible et corrompu hypothéquer notre territoire, car d'ici mercredi, un "Accord sera signé" entre la RDC et le M-23. Ceci n'est pas faux, l'argent que les "Délégués ont reçu" les condamnent à livrer la marchandise de la reddition et de la défaite.
Que dire en substance ? Femmes Congolaises, unissez-vous, les hommes congolais aussi bien entendu. Agissons vite, sinon le"Traité de Kampala" verra le jour dans moins d'une semaine, soit le "Mercredi prochain" plus ou moins. Ceux qui fomentent la guerre ont trouvé un nouveau moyen subtil de distraire les Congolais pour ne pas suivre de près ce qui se passe avec la "Délégation congolaise de Kampala". Ces architectes de la subversion ont réussi à créer une chicane qui vire à un tribalisme primaire, c'est celui qui s'est levé entre "Baluba" et "Bakongo". Ces invectives sont parvenues à occuper les "Congolais" à s'échanger les injures et discutent peu sur ce qui se passe à l'"Hôtel Munyonyo Resort", en Ouganda. Les Congolais risquent d'être surpris par le"Mukonyonyo". Que les Notables de nos tribus Kongo et Luba s'interposent et fasse arrêter ces discussions mesquines qui donnent aux balkanisateurs l'occasion de nous diviser juste l'instant de signer le "Traité de Kampala" Nous sommes tous avertis.
PS : Je pense au vieux "Malonga Miatudila" et "Mukulumpa Arthur Kalombo" de faire cesser les invectives.
Djamba Yohé,
Gaton-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique Nord,
Ottawa, le 21 janvier 2013,
Canada.