À mon oeil, avec des apologistes,- kabilistes notoires !...
À dessein, ils mélangent les torchons et les serviettes pour besoin de la cause.
Ils écrivent ; ils parlent tous en même temps pour extérioriser hypocritement leur soutien massif à Kabila comme s'ils avaient perdu la langue dans la bouche, langue qui serait coupée par un brigand, un voleur !
Ils, qui sont-ils ?
Sont des laudateurs, des délateurs, des rétheurs et autres apologistes de la kabilie qui sont clairsemés par-ci et par-là en Afrique, Europe, aux États-Unis, et que savons-nous, encore, à travers le monde !
Ils écrivent ; ils parlent tous dis-je à cause de bons bonbons, qui leur enivrent certainement,- obtenus de leur pourvoyeur (lisez Kabila), les bons bonbons qui sont pleins la bouche. Ils écrivent constamment pour un acte de présence permanent sur le net, sinon le patronyme sera radié du registre général, à Kinshasa. Voilà sans nul doute une des raisons inavouées de leur activisme aigu sur le net. Deux camarades, viennent d'être débauchés pour cette sale besogne de la kabilie et depuis ils balbutient. Ils ne dorment point. Un est aux États-Unis et l'autre est en Europe. Prochainement, je vais afficher de leur nom.
Passons !
Kabila a fraudé aux élections du 28/11/2011 au Congo. Il n'y a pas de doute là-dessus.
J'espère que les Congolais, les vrais, n'ont pas une mémoire courte.
Disons-le tout net !
La machine de cette fraude avait été déjà mise en marche depuis le montage duFichier Général qui était tenu secret par la CENI. Ici l'opinion se rappellera encore des milliers de combattants Udps que les mercenaires kabilistes venus d'Angola, Rwanda, Burundi, Tanzanie, Cuba, Zimbabwe, etc. tuaient ainsi chaque semaine qui ont précédées les élections (à Kinshasa comme ailleurs sur l'étendue) du Congo. Le sang de Congolais a coulé peu avant et peu après ces élections. Les rapports des différents organismes des droits de la personne ont dénoncé le fait en son temps.
Qui est-il ce Congolais digne de ce nom qui ne se rappelle plus de comment Ngoy Mulunda, Jacques Ndjoli, Ndaya et puis Roger Meece pris à témoin : se refusaient de laisser libre accès au SERVEUR CENTRAL, à l'opposition politique spécialement l'Udps, aux fins de se rendre compte de la réalité que regorgeait cette machine électorale, dont les bureaux se situent sur le Boulevard du 30 juin, à Kinshasa aux fins d'éviter toute sorte de suspcion, par exemple ? Le SERVEUR CENTRAL, c'est ce dont on parle, - a été tenu secret par la volonté de Kabila ! Les laudateurs kabilistes qui parlent aujourd'hui peuvent-ils expliquer au public la raison de ce refus ? Qu'on se le dise. Un certain Johnnie Carson, citoyen Américain, et sous-secrétaire d'état chargé des affaires Africaines, était même venu à Kinshasa pour s'enquerir de la situation. Il reconnut le fait. Bref, la volonté de frauder aux élections par Kabila,- était manifeste. Son amorce se situe ici.
Les preuves de l'élection de M. Tshisekedi comme Président de la République Démocratique du Congo, que les laudateurs kabilistes recherchent,- sont connues par Ngoy Mulunda, Jacques Ndjoli, Ndaya et puis Roger Meece. Ils savent de ce qu'ils ont fait des PV signés et autres listes des candidats au soir après la fermeture des bureaux de vote sur l'ensemble du Congo. M. Tshisekedi est gagnant.
Par la suite, les rafistolages que Ngoy Mulunda, Jacques Ndjoli, Ndaya et puis Roger Meece ont brandi comme étant des résultats réels obtenus par Kabila aux élections du 28/11/2011, rentrent dans le champ sinon dans le marché des dupes. Ils ne réflétent point la vérité des urnes au Congo. Pas du tout ! L'Église catholique ne parle pas en l'air. Il est de même de Kamerhe, celui-ci ne pouvait pas reconnaitre la victoire de M. Tshisekedi pour les beaux yeux de ce dernier. Pas du tout ! A-t-il quel intérêt politique pourtant lui qui avait repoussé l'unité autour d'un candidat de l'opposition pour les élections dont il est question ? C'est lequel intérêt ?
Kabila est un fraudeur et tricheur aux élections du 28/11/2011.
La presse étrangère et locale l'ont dit : 1) " les résultats ne sont pas crédibles ; 2) M. Tshisekedi a fait mouche ; 3)"les résultats que je publiais provenaient du bureau de PUND à Kinshasa (Cf. Ngoy Mulunda !)"; etc. 4) Nous exigeons la vérité des urnes ; 5) les élections étaient entâchées de beaucoup d'irrégularités ; 6) et malgré les irrégularités elles ne changent point l'ordre d'arrivée [sic], etc.etc."
Dans toutes ces déclarations, il n'y a pas une seule qui soit alléchante pour Kabila et pour ses laudateurs attitrés. Loin delà ! On ne le dira jamais assez. Il n'y a pas de petit péché d'un côté et grand de l'autre. Le Centre Carter, qui a été si complaisant dans ce dossier électoral au Congo, pour déclarer que les irrégularités n'annulaient pas l'ordre d'arrivée pourtant vues et vécues : se retrouve être dans un pays où lorsqu'un acte est irrégulier, il n'y a pas de salut dans les échappatoires. Il n'y a pas des faux-fuyants. Ils sont plutôt stricts chez eux et agissent en conséquence !
Et pour preuve, en 1972 aux États-Unis d'Amérique : qu'est-ce qui poussa Richard Nixon à la démission, alors Président de la toute Puissante Amérique ?
Ce fut juste pour un simple fait d'avoir installé des micros d'écoute espionnage dans les bureaux de ses adversaires démocrates dans le bâtiment de Watergate, à Washington ! Nixon en payant de son poste en retour ! Pour tous ces laudateurs kabilistes, sauriez-vous lire avec intérêt ce lien ci-dessous pour vous taire dans le domaine, et à jamais ?http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Hommes_du_pr%C3%A9sident_(film) !
Ainsi vécu, lu et su. Votre Kabila est fraudeur et tricheur aux élections du 28/11/2011 et se doit de partir.
La fraude qu'elle soit petite ou grande c'est du pareil au même.
En mot de la fin.
J'ai lu ceci à propos de ces élections qui ont été fraudées par Kabila face à M. Tshisekedi : " [...] Il semble que dans les chancelleries, lorsqu'on veut rire un peu pour se détendre, on parle des élections congolaises comme une calamité." (Cf. G. Tshilumba 21/2/2013). Allez-y comprendre quelqu'chose !
Et qui dira-t-il qu'il n'a pas été informé ?
Albert
À dessein, ils mélangent les torchons et les serviettes pour besoin de la cause.
Ils écrivent ; ils parlent tous en même temps pour extérioriser hypocritement leur soutien massif à Kabila comme s'ils avaient perdu la langue dans la bouche, langue qui serait coupée par un brigand, un voleur !
Ils, qui sont-ils ?
Sont des laudateurs, des délateurs, des rétheurs et autres apologistes de la kabilie qui sont clairsemés par-ci et par-là en Afrique, Europe, aux États-Unis, et que savons-nous, encore, à travers le monde !
Ils écrivent ; ils parlent tous dis-je à cause de bons bonbons, qui leur enivrent certainement,- obtenus de leur pourvoyeur (lisez Kabila), les bons bonbons qui sont pleins la bouche. Ils écrivent constamment pour un acte de présence permanent sur le net, sinon le patronyme sera radié du registre général, à Kinshasa. Voilà sans nul doute une des raisons inavouées de leur activisme aigu sur le net. Deux camarades, viennent d'être débauchés pour cette sale besogne de la kabilie et depuis ils balbutient. Ils ne dorment point. Un est aux États-Unis et l'autre est en Europe. Prochainement, je vais afficher de leur nom.
Passons !
Kabila a fraudé aux élections du 28/11/2011 au Congo. Il n'y a pas de doute là-dessus.
J'espère que les Congolais, les vrais, n'ont pas une mémoire courte.
Disons-le tout net !
La machine de cette fraude avait été déjà mise en marche depuis le montage duFichier Général qui était tenu secret par la CENI. Ici l'opinion se rappellera encore des milliers de combattants Udps que les mercenaires kabilistes venus d'Angola, Rwanda, Burundi, Tanzanie, Cuba, Zimbabwe, etc. tuaient ainsi chaque semaine qui ont précédées les élections (à Kinshasa comme ailleurs sur l'étendue) du Congo. Le sang de Congolais a coulé peu avant et peu après ces élections. Les rapports des différents organismes des droits de la personne ont dénoncé le fait en son temps.
Qui est-il ce Congolais digne de ce nom qui ne se rappelle plus de comment Ngoy Mulunda, Jacques Ndjoli, Ndaya et puis Roger Meece pris à témoin : se refusaient de laisser libre accès au SERVEUR CENTRAL, à l'opposition politique spécialement l'Udps, aux fins de se rendre compte de la réalité que regorgeait cette machine électorale, dont les bureaux se situent sur le Boulevard du 30 juin, à Kinshasa aux fins d'éviter toute sorte de suspcion, par exemple ? Le SERVEUR CENTRAL, c'est ce dont on parle, - a été tenu secret par la volonté de Kabila ! Les laudateurs kabilistes qui parlent aujourd'hui peuvent-ils expliquer au public la raison de ce refus ? Qu'on se le dise. Un certain Johnnie Carson, citoyen Américain, et sous-secrétaire d'état chargé des affaires Africaines, était même venu à Kinshasa pour s'enquerir de la situation. Il reconnut le fait. Bref, la volonté de frauder aux élections par Kabila,- était manifeste. Son amorce se situe ici.
Les preuves de l'élection de M. Tshisekedi comme Président de la République Démocratique du Congo, que les laudateurs kabilistes recherchent,- sont connues par Ngoy Mulunda, Jacques Ndjoli, Ndaya et puis Roger Meece. Ils savent de ce qu'ils ont fait des PV signés et autres listes des candidats au soir après la fermeture des bureaux de vote sur l'ensemble du Congo. M. Tshisekedi est gagnant.
Par la suite, les rafistolages que Ngoy Mulunda, Jacques Ndjoli, Ndaya et puis Roger Meece ont brandi comme étant des résultats réels obtenus par Kabila aux élections du 28/11/2011, rentrent dans le champ sinon dans le marché des dupes. Ils ne réflétent point la vérité des urnes au Congo. Pas du tout ! L'Église catholique ne parle pas en l'air. Il est de même de Kamerhe, celui-ci ne pouvait pas reconnaitre la victoire de M. Tshisekedi pour les beaux yeux de ce dernier. Pas du tout ! A-t-il quel intérêt politique pourtant lui qui avait repoussé l'unité autour d'un candidat de l'opposition pour les élections dont il est question ? C'est lequel intérêt ?
Kabila est un fraudeur et tricheur aux élections du 28/11/2011.
La presse étrangère et locale l'ont dit : 1) " les résultats ne sont pas crédibles ; 2) M. Tshisekedi a fait mouche ; 3)"les résultats que je publiais provenaient du bureau de PUND à Kinshasa (Cf. Ngoy Mulunda !)"; etc. 4) Nous exigeons la vérité des urnes ; 5) les élections étaient entâchées de beaucoup d'irrégularités ; 6) et malgré les irrégularités elles ne changent point l'ordre d'arrivée [sic], etc.etc."
Dans toutes ces déclarations, il n'y a pas une seule qui soit alléchante pour Kabila et pour ses laudateurs attitrés. Loin delà ! On ne le dira jamais assez. Il n'y a pas de petit péché d'un côté et grand de l'autre. Le Centre Carter, qui a été si complaisant dans ce dossier électoral au Congo, pour déclarer que les irrégularités n'annulaient pas l'ordre d'arrivée pourtant vues et vécues : se retrouve être dans un pays où lorsqu'un acte est irrégulier, il n'y a pas de salut dans les échappatoires. Il n'y a pas des faux-fuyants. Ils sont plutôt stricts chez eux et agissent en conséquence !
Et pour preuve, en 1972 aux États-Unis d'Amérique : qu'est-ce qui poussa Richard Nixon à la démission, alors Président de la toute Puissante Amérique ?
Ce fut juste pour un simple fait d'avoir installé des micros d'écoute espionnage dans les bureaux de ses adversaires démocrates dans le bâtiment de Watergate, à Washington ! Nixon en payant de son poste en retour ! Pour tous ces laudateurs kabilistes, sauriez-vous lire avec intérêt ce lien ci-dessous pour vous taire dans le domaine, et à jamais ?http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Hommes_du_pr%C3%A9sident_(film) !
Ainsi vécu, lu et su. Votre Kabila est fraudeur et tricheur aux élections du 28/11/2011 et se doit de partir.
La fraude qu'elle soit petite ou grande c'est du pareil au même.
En mot de la fin.
J'ai lu ceci à propos de ces élections qui ont été fraudées par Kabila face à M. Tshisekedi : " [...] Il semble que dans les chancelleries, lorsqu'on veut rire un peu pour se détendre, on parle des élections congolaises comme une calamité." (Cf. G. Tshilumba 21/2/2013). Allez-y comprendre quelqu'chose !
Et qui dira-t-il qu'il n'a pas été informé ?
Albert