L’AFFECTION DES COLLABOS CONGOLAIS
Si la mythomanie est connue, il n’en est pas le cas de la nouvelle forme d’une maladie analogue observée chez certains sujets congolais. Si un mythomane n’a de manie que la production en continue des mensonges, les sujets atteints de la nouvelle affection, en addition à la manie du mensonge, font plus. Ils produisent des impostures, des intoxications et des analyses biaisées qui sèment la confusion en RDC, un état morbide dont profitent les mutins, rebelles ou les terroristes du M-23, appelez-les comme vous voulez et selon votre école politique, et tous les oiseleurs impérialistes du monde entier connus comme la communauté internationale. A la demande de celle-ci, le virus d’instabilité politique et de catastrophe humanitaire en RDC a été inoculé à l’Etat congolais depuis 1994.
Des observateurs judicieux et consciencieux de la vie politique de la RDC se sont donné un sérieux mal pour trouver un nom pratique au nouveau fléau aux manies d’impostures, d’intoxications et d’analyses biaisées très caractéristiques. Ces manies ont été observées chez l’aile éperdue et indélicate de l’opposition congolaise et ses membres, chez les opposants congolais de la diaspora chez qui les signes précités sont aggravés par une susceptibilité et une barbarie impétueuse et épique contre tous ceux qui ne se font ni ne se laissent contaminer par eux et particulièrement chez les internautes d’une opposition, qui craint et déteste son vrai nom, comme Djamba Yohé, Thomas Mbembele, Roger Bongos, John Kings, Ongenda Willy, Matthieu Belole, Jean-Derick Mossi, Richard Babadi, Kasalobi, Awazi Kasele, Liliane weber, Yves Kongolo, Guy Kasongo, José Wetshiko, Robert Nkasu, Jacques Matanda, Tryphon Mabanza, Alex Kum, Anti Lokuta, Robert Mbelo et qui savons-nous encore.
L’ « imposturose » ou l’ « intoxicose », puisqu’il faut trouver un nom à la nouvelle maladie psychique observée, qui est comme une forme de mythomanie couplée de paranoïa, se moque de la morale et foule aux pieds tout ce qui ne leur permet pas de provoquer le printemps arabe au Congo pour la conquête, dans la pagaille, de l’imperium de l’opposant mythique à tout en dehors de ce qu’il pense ou veut. Le virus de cette affection résiste à bien des traitements avisés proposés par la parole de Dieu, la raison et les théories scientifiques consacrées et connues universellement. C’est un virus qui contredit et combat farouchement tout ce qui est contre les intérêts de ses victimes dans une insouciance qui laisse très peu d’avenir à la RDC.
Il a été observé que l’ « imposturose » ou l’ « intoxicose » des activistes de l’opposition congolaise connaît deux variantes :
L’« imposturose » constante, figée ou rigide dont la seule marotte est la reprise sempiternelle des mêmes mensonges et idées sans tenir compte de quoi que ce soit d’autre, de la logique ou de la vérité des faits. Elle affirme pour affirmer. Elle est observée chez John King principalement et un peu chez l’Apareco qui a mis au point l’identité d’Hyppolite Kanambe, le concept dit kanambisme, le terme kanambie qui, à partir de leur consécration par l’Apareco, sont utilisés à tout bout de champ par les détracteurs du pouvoir.
L’ « imposturose » paramétrique, souple ou à géométrie variable basée sur la déformation, par des principes intellectuels et la maîtrise de la théorie d’argumentation, de tout ce qui sert à la gloire ou à la bonne appréciation du pouvoir. Elle est caractérisée par des sarcasmes continuels, des sophismes, des mythes et anecdotes pour berner ou valider des mensonges, l’attribution des nationalités haïes en RDC aux bêtes noires, par la déformation systématiques de tout pour le tourner contre le pouvoir en RDC, l’usage de l’infographie pour créer des réalités virtuelles à partir desquelles on développe des intox et impostures virtuelles contre le pouvoir. C’est la forme d’imposturose développée par Djamba Yohé, Candide Okeke, Rolain Mena, Honoré Ngbanda, Ongenda Willy, Kongolo, etc.
Comment construire un asile pour ces malades psychiques quand eux-mêmes ne se voient pas dans l’obligation d’être internés ? La liberté d’opinions en démocratie procure les meilleures conditions du développement et de la propagation de cette affection psychique gravissime. Les interner de force réveillerait les instincts accusateurs de tous les défenseurs partiaux et partisans de droits de l’homme. Puisqu’ils sont libres dans la nature, les Rwandais et autres Impérialistes peuvent compter sur eux pour réaliser, aux couleurs très congolaises, leurs desseins malveillants en RDC.
Avez-vous déjà vu un fou qui se dit fou dans ce monde ? N’est-ce pas les vrais sorciers accusent les personnes normales de sorcellerie ? Ainsi par la projection, bien connue en psychanalyse, les malades de l’imposturose attribuent leurs manies et marottes à leurs bêtes noires politiques et s’en prennent à tous ceux qui se montrent vaillants contre la manifestation de leurs marottes.
Samy BOSONGO