Le président François Hollande a eu dimanche des entretiens téléphoniques sur la situation en Syrie avec le Premier ministre britannique David Cameron ainsi qu'avec le président Barack Obama, a fait savoir l'Elysée dans des communiqués.![]()
François Hollande et Barack Obama
Le président français a déclaré à son homologue américain que "tout concordait pour désigner le régime de Damas comme l'auteur de ces attaques inacceptables", a dit l'Elysée, faisant allusion à l'attaque chimique présumée près de Damas mercredi dernier.
Quelques heures plus tôt, samedi soir, David Cameron avait eu un entretien téléphonique avec Barack Obama sur la Syrie, et les deux hommes étaient convenus de se consulter concernant "les possibilités de riposte de la communauté internationale", avait dit la Maison blanche.
François Hollande et David Cameron ont eux aussi "convenu de se consulter dans les plus brefs délais sur les réponses à apporter à cet acte intolérable", indique l'Elysée en faisant allusion là de même à l'usage présumé d'armes chimiques à la périphérie de Damas.

François Hollande et Barack Obama
Le président français a déclaré à son homologue américain que "tout concordait pour désigner le régime de Damas comme l'auteur de ces attaques inacceptables", a dit l'Elysée, faisant allusion à l'attaque chimique présumée près de Damas mercredi dernier.
Quelques heures plus tôt, samedi soir, David Cameron avait eu un entretien téléphonique avec Barack Obama sur la Syrie, et les deux hommes étaient convenus de se consulter concernant "les possibilités de riposte de la communauté internationale", avait dit la Maison blanche.
François Hollande et David Cameron ont eux aussi "convenu de se consulter dans les plus brefs délais sur les réponses à apporter à cet acte intolérable", indique l'Elysée en faisant allusion là de même à l'usage présumé d'armes chimiques à la périphérie de Damas.
François Hollande a eu d'autre part une autre conversation téléphonique avec le Premier ministre australien Kevin Rudd, elle aussi consacrée à la Syrie. L'Australie doit assumer la présidence tournante du Conseil de sécurité des Nations unies au mois de septembre.