Dans un communiqué nous parvenu ce samedi 11 janvier 2014, le bureau du prophète Mukungubila dénonce le mandat émis par le régime de « Kabila » contre son chef. Par contre, ce bureau demande à la communauté internationale de diligenter une enquête pour :
- Clarifier ce qui s’est passé autour du 30 décembre 2013,
- Poursuivre les auteurs des massacres.
Dans le même communiqué, le bureau de Mukungubila annonce que leurs fidèles, hommes, femmes et enfants sont traqués par les militaires du régime « Kabila », et les femmes violées par les militaires.
Le bureau de Mukungubila persiste et signe : « Plus de 100 civils non armés ont été massacrés le 30 décembre dernier. » et de terminer : « Nous appelons la communauté internationale à réagir afin de mettre fin à ces crimes contraires au droit international. »
Et pour ce bureau, les criminels sont donc à chercher du coté du régime « Kabila ».
Bras de fer et guerre de tranchées en perspective.
Bruxelles, le 11 janvier 2014
Cheik FITA