

17ème sommet du Comesa
Les rideaux sont tombés sur les travaux du 17ème sommet du Marché commun de l’Afrique australe (Comesa). Deux jours d’échanges ont suffi aux chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres du Comesa pour « forger un chemin porteur de succès dans la nouvelle économie mondiale ».
Les rideaux sont tombés sur les travaux du 17ème sommet du Marché commun de l’Afrique australe (Comesa). Deux jours d’échanges ont suffi aux chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres du Comesa pour « forger un chemin porteur de succès dans la nouvelle économie mondiale ».
Joseph Kabila, qui préside désormais aux destinées de cette organisation sous-régionale, croit en la capacité des Etats membres d’atteindre dans un horizon proche l’objectif de l’émergence.
C’est à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, que les pays membres du Marché commun de l’Afrique australe (Comesa) se sont donné rendez-vous pour le 17ème sommet de cette organisation sous-régionale. Placé sous le thème : « Consolidons les échanges intra-Comesa en développement les micro, petites et moyennes entreprises », la rencontre de Kinshasa a balisé la voie dans le processus d’intégration et d’enrichissement des pays de la région.
Et, le président de la RDC Joseph Kabila Kabange, qui hérite de la présidence tournante de cette organisation, pense que les assises de Kinshasa ont permis non seulement d’ « examiner les défis qui persistent », mais surtout d’« adopter les dispositions permettant de nous forger un chemin porteur de succès dans la nouvelle économie mondiale ».
Rappelant l’objectif de l’émergence auquel aspirent tous les pays africains, Joseph Kabila a relevé que « le Comesa est aujourd’hui l’un des instruments privilégiés de cette quête de l’unité, de l’efficacité économique et de l’amélioration de nos conditions d’existence ». Il s’agit de « la construction en commun d’une œuvre d’enrichissement collectif, dont les fruits sont partagés » ; un « facteur de cohésion et de paix » pour l’ensemble du continent.
Tout nouveau président en exercice du Comesa, Joseph Kabila a décliné quatre lignes d’action pour « sortir du cercle vicieux dans lequel nous enferme le système international des échanges ». C’est notamment : la formation des hommes pour maitriser la science, la technologie et l’innovation, facteurs essentiels du développement économique et social ; l’exigence de paix et de sécurité ; les infrastructures sans lesquelles aucun véritable progrès ne pourrait être envisagé ; l’industrialisation, l’analyse ayant démontré que le schéma actuel de l’exportation des matières premières à l’état brut ne conduira pas au développement escompté.
La promotion des PME et PMI ayant été placée au centre des assises de Kinshasa, Joseph Kabila a toutefois fait remarquer qu’il ne s’agissait pas pour les pays du Comesa de « limiter volontairement nos ambitions en termes de développement industriel, mais plutôt d’emprunter une voie d’accession progressive à la compétitivité ».
Le Sommet de Kinshasa ayant été essentiellement consacré à la consolidation du commerce intra-Comesa en développant les micros, petites et moyennes entreprises, les pays membres ont, dans une déclaration commune, mis en évidence le « rôle important que les PME/PMI doivent jouer dans le processus d’intégration et d’enrichissement de la région ».
C’est à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, que les pays membres du Marché commun de l’Afrique australe (Comesa) se sont donné rendez-vous pour le 17ème sommet de cette organisation sous-régionale. Placé sous le thème : « Consolidons les échanges intra-Comesa en développement les micro, petites et moyennes entreprises », la rencontre de Kinshasa a balisé la voie dans le processus d’intégration et d’enrichissement des pays de la région.
Et, le président de la RDC Joseph Kabila Kabange, qui hérite de la présidence tournante de cette organisation, pense que les assises de Kinshasa ont permis non seulement d’ « examiner les défis qui persistent », mais surtout d’« adopter les dispositions permettant de nous forger un chemin porteur de succès dans la nouvelle économie mondiale ».
Rappelant l’objectif de l’émergence auquel aspirent tous les pays africains, Joseph Kabila a relevé que « le Comesa est aujourd’hui l’un des instruments privilégiés de cette quête de l’unité, de l’efficacité économique et de l’amélioration de nos conditions d’existence ». Il s’agit de « la construction en commun d’une œuvre d’enrichissement collectif, dont les fruits sont partagés » ; un « facteur de cohésion et de paix » pour l’ensemble du continent.
Tout nouveau président en exercice du Comesa, Joseph Kabila a décliné quatre lignes d’action pour « sortir du cercle vicieux dans lequel nous enferme le système international des échanges ». C’est notamment : la formation des hommes pour maitriser la science, la technologie et l’innovation, facteurs essentiels du développement économique et social ; l’exigence de paix et de sécurité ; les infrastructures sans lesquelles aucun véritable progrès ne pourrait être envisagé ; l’industrialisation, l’analyse ayant démontré que le schéma actuel de l’exportation des matières premières à l’état brut ne conduira pas au développement escompté.
La promotion des PME et PMI ayant été placée au centre des assises de Kinshasa, Joseph Kabila a toutefois fait remarquer qu’il ne s’agissait pas pour les pays du Comesa de « limiter volontairement nos ambitions en termes de développement industriel, mais plutôt d’emprunter une voie d’accession progressive à la compétitivité ».
Le Sommet de Kinshasa ayant été essentiellement consacré à la consolidation du commerce intra-Comesa en développant les micros, petites et moyennes entreprises, les pays membres ont, dans une déclaration commune, mis en évidence le « rôle important que les PME/PMI doivent jouer dans le processus d’intégration et d’enrichissement de la région ».
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