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14/05/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE MERCREDI (CongoForum)

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14/05/14/REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE MERCREDI (CongoForum)
L’expulsion des Congolais de la Rdc de la République voisine du Congo, la démission de Justin Biakwira, chef du groupe UNC au Parlement, les derniers incidents du stade Tata Raphaël où plusieurs spectateurs ont perdu la vie, de nouveaux bruits concernant la révision de la Constitution et la disparition de l’artiste comédien Mira Mikanza dit « Koko Swing » sont les sujets ayant retenu l’attention des journaux parus ce mercredi à Kinshasa.
Kin – Brazza
Sous le titre «Mbata ya bakolo» : la gifle du réveil pour Kinshasa », Le Phare publie un article qui dépasse la simple description des faits pour prendre le mal à la racine.      
« Après lecture du rapport de la mission d’enquête de l’Assemblée Nationale sur la chasse aux ressortissants de la République Démocratique du Congo au Congo/Brazzaville, aucun doute n’est plus permis quant à la détermination des autorités de ce dernier pays de ne pas écouter leurs homologues de Kinshasa. Le refus de Brazzaville de voir un Etat tiers, même voisin, s’ingérer de ses questions internes est sans équivoque. Le principe de la souveraineté du voisin du grand Congo est clairement et fermement réaffirmé.
Au vu du langage des sourds qui s’est installé entre les deux capitales les plus rapprochées du monde, avec des promesses sans lendemain de cessation des expulsions massives des RDCongolais et des traitements inhumains et dégradants leurs infligés, il ne reste plus à Kinshasa qu’à tirer les leçons de l’opération « Mbata ya bakolo ».
Nombre d’observateurs pensent que c’est le moment ou jamais, pour les gouvernants et les populations de la RDC, de se réveiller et de se mobiliser pour bâtir réellement un pays plus beau qu’avant, comme clamé depuis bientôt 54 ans dans l’hymne « sacré » de l’indépendance. Comme dit dans nos livraisons précédentes, le Congo/Brazzaville vient de rappeler au Congo/Kinshasa qu’il doit redevenir un « pays normal », capable d’offrir à ses concitoyens des conditions de vie de nature à les empêcher d’aller mendier le pain des voisins.
Le pari à gagner en urgence par les gestionnaires de la RDCongo, c’est celui de la chasse en urgence contre la pauvreté. Celle-ci devrait passer par la maximisation des recettes publiques et leur utilisation rationnelle. Scandale géologique, agricole, environnemental, énergétique et culturel, notre pays n’a aucune raison de figurer au rang des Etats les plus démunis de la planète. Il est assez paradoxal de noter qu’un pays qui regorge du pétrole, du diamant, de l’or, du cuivre, du cobalt, du coltan, de la cassitérite, de l’uranium…affiche un budget de misère plafonné autour de 8 milliards de dollars, alors que son voisin angolais dépasse les 60 milliards.      
L’atelier organisé l’année dernière par le ministère du Budget au sujet du « coulage » des recettes publiques a démontré que si toutes les recettes publiques étaient canalisées vers les caisses de l’Etat, la RDC accéderait au boom économique dans un bref délai. Hélas, ce n’est pas encore le cas. Des personnes physiques et morales continuent de s’enrichir au détriment du Trésor public et du contribuable congolais. Il est impensable que des citoyens d’un pays qui héberge les trois quarts des forêts africaines, des quantités inestimables d’eau douce, un potentiel énergique estimé à plus de 100.000 mégawatts puissent mourir de faim et de soif, considèrent l’électricité comme un produit de luxe, et vivent de l’importation des produits alimentaires venant d’ailleurs.
 Si elles étaient exploitées de manière planifiée, et leurs revenus canalisés vers des plans cohérents de développement, les ressources naturelles disponibles auraient dû, depuis le départ du colonisateur belge en 1960, replacer la RDC sur l’orbite des pays émergents. L’on croit rêver, lorsque l’on observe l’indice de développement humain d’aujourd’hui entre Congolais et Canadiens, Sud-Coréens, Sud-Africains, Marocains, Egyptiens… alors qu’il y a un demi-siècle, ils partageaient le même fauteuil au plan du Produit intérieur brut.
La chute libre du Congo/Kinshasa au plan économique, industriel et social peut-être assimilé à un « crime contre l’humanité » à charge de ses gouvernants.
La chasse contre la pauvreté devrait passer par le retour à la bonne gouvernance, à la justice distributive, à l’accroissement du revenu national au prorata du potentiel minier, agricole, forestier, énergétique, environnemental et humain du pays et à son utilisation à des fins nobles d’amélioration du bien-être du grand nombre. Il est possible de maintenir le Congolais à Rutshuru, Ubundu, Malemba Nkulu, Pweto, Walikale, Watsa, Budjala, Basankusu, Dekese, Katako-Kombe, Tshimbulu, Ngandajika, Bulungu, Popokabaka, Kimvula, Lukula… s’il peut trouver un emploi dans sa ville natale ou son village, y bénéficier de l’eau potable et de l’électricité, y recevoir des soins de qualité dans un hôpital de référence, étudier dans des conditions décentes, bref, vivre comme à Kinshasa ou Lubumbashi.         
Pendant que nos compatriotes sont déclarés indésirables au Congo/Brazzaville, en Angola, République Centrafricaine, en Zambie, en Tanzanie, en Ouganda, au Burundi, au Rwanda…la classe politique brille par la jouissance et le gaspillage des ressources. Les dépenses de souveraineté, notamment les fameux émoluments et salaires des animateurs des institutions et des cabinets politiques, aspirent l’essentiel des ressources nationales. Alors que les provinces de la République souffrent encore d’un enclavement total par manque de routes, chemins de fer, ports et aéroports modernes… que les entreprises privées et publiques ainsi que les petites et moyennes entreprises ferment en chaîne…que les fonctionnaires connaissent des fins de mois difficiles…que le Congolais moyen vit avec moins d’un dollar par jour, l’on assiste au défilé quotidien à Kinshasa et dans les principales villes du pays de grosses cylindrées achetées aux frais du contribuable congolais.
 N’est-il pas possible de sacrifier les véhicules de luxe et les émoluments plantureux des « VIP » au profit des équipements et intrants de l’agriculture, de la pêche et de l’élevage ? Les fonds engloutis dans la construction des autoroutes à Kinshasa ne pouvaient-ils pas être affectés à la construction des routes bitumées devant relier Kinshasa aux provinces du Bandundu, de l’Equateur, des deux Kasaï, du Katanga, du Maniema, du Sud-Kivu, du Nord-Kivu, de la Province Orientale ?
La culture de la jouissance et du gaspillage en faveur du petit nombre, au détriment de la multitude, ne serait pas la meilleure stratégie de lutte contre la fuite des Congolais vers l’étranger. Au contraire ! A partir des événements de Brazzaville aujourd’hui et de Luanda hier, il est temps que les Congolais apprennent à se prendre en charge. Il est temps que ceux qui gouvernent le grand Congo cherchent à savoir combien d’entre nous ont accès à l’emploi, à un salaire minimum indexé au panier de la ménagère, à l’eau potable, à l’électricité, aux soins médicaux, à l’école ou à l’université, aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, au transport, au logement, aux loisirs. Le minimum doit être garanti au Congolais si l’on veut qu’il cesse d’être un éternel nécessiteux, prêt à aller chercher le bonheur même en enfer ».
Toujours à ce sujet, La Prospéritétitre « Les autorités congolaises de la Rdc demandent la suspension de l’opération Mbata ya Bakolo ».      
Porteur d’un message du président Joseph Kabila à son homologue congolais Denis Sassou N’Guesso, le président du Sénat de la Rdc Léon Kengo wa Dondo a été reçu en audience par le président congolais ce 10 mai, à Oyo, à plus de 400 Km au Nord de Brazzaville, souligne ce journal qui indique que « La teneur de ce message est la demande par le président de la Rdc, Joseph Kabila à son homologue congolais Denis Sassou N’Guesso de suspendre l’opération « Mbata ya bakolo ». Pour La Prospérité, « En père de famille, en homme de paix et en médiateur dans plusieurs crises, nous osons croire que le président Denis Sassou N’Guesso prendra en compte les doléances exprimées par les autorités de la Rdc lesquelles devaient permettre à ces dernières à prendre les mesures et des précautions pour faire face à ce flux de la population venant de Brazzaville qui avoisine près de 70 milles refoulés sans papiers».
Démission de Justin Bitakwira

La Prospérité titre: « Groupe parlementaire UNC et alliés : Justin Bitakwira démissionne !»        
Il s’agity de  ladémission du président du groupe parlementaire de l’opposition UNC et Alliés, Justin Bitakwira. Ce dernier a annoncé sa démission dans une correspondance adressée au président de son parti l’Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe. Le journal révèle les raisons de ce départ et indique que Justin Bitakwira se dit «calomnié et humilié» dans ce groupe, malgré son statut de président. Mais l’intéressé précise qu’il reste membre de l’UNC. Depuis un certain temps, rapporte le quotidien, Justin Bitakwira se serait effacé à la tête de son groupe parlementaire.Le journal estime que cette démission laisse supposer qu’il existait un malaise dans la maison UNC & Alliés.
L’Avenir donne la même information à la Une. Ce journal croit savoir que l’élu d’Uvira dans le Sud-Kivu n’était plus en odeur de sainteté avec ses anciens collègues du parti à cause de la création de son école du parti, dénommée « Académie consciente ». Cette école avait été mal jugée par ses anciens collègues du parti qui craignaient qu’il ne prenne tout le monde en otage et instaure la pensée unique. L’Avenir indique que cet épisode révèle que le parti cher à Vital Kamerhe est poursuivi par un signe indien. En effet, commente le journal, cette démission est la énième après celle de Thierry Betuwa Tshituka Bushala Bwamba et de Mme Martine Bukasa, respectivement ancien représentant de l’Union pour la Nation Congolaise en Norvège ; ancien membre du collège des fondateurs de l’AFDC et Vice-président national en charge du Kasaï-Oriental et ancien conseiller principal financier du Gouverneur Dominique Kanku, puis Présidente de la Ligue des femmes de l’UNC.
Le Phare annonce que « Président du Groupe parlementaire UNC et Alliés : Bitakwira rend le tablier » et « l’élu d’Uvira motive sa décision par la crise de confiance qui règne entre lui et certains cadres de son parti ». Toutefois, il réaffirme sa loyauté à son leader, Vital Kamerhe, et son appartenance à l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), en tant que simple membre. « Bitakwira vient de rendre le tablier au moment où des soupçons s’accumulaient autour de son entrée au gouvernement de cohésion nationale annoncé par le président de la République à la clôture des concertations nationales, alors que sa formation politique avait boycotté ce forum. A l’Assemblée nationale, la guerre de leadership entre lui et le Secrétaire général du parti, Bertrand Ewanga, était largement ouverte. Leurs divergences sur la loi d’amnistie adoptée par l’Assemblée nationale annonçaient déjà la levée des boucliers. Connu pour ses interventions musclées riches en proverbes, l’élu d’Uvira faisait profil bas, depuis un certain temps, lors des débats en plénière de l’Assemblée Nationale. Il faut noter qu’il avait séché la Convention de la plate-forme « Sauvons la RDC » à Fatima, jugeant l’alliance Kamerhe - Fayulu contre nature ».
Comptes du gouvernement
Forum des As revient sur l’affaire des comptes du gouvernement dans les banques commerciales. Le quotidien affirme que cette affaire s’avère plus politicienne que technique.Certains parleraient même des dessous des cartesà peine voilés. Forum des As dit craindre qu’un « exercice parlementaire de contrôle classique tourne à un règlement des comptes politiciens sur fond de la pratique bien de chez nous : le fameux ‘Otes-toi de là, que je m’y mette’ ».  Tout se passe comme si par Kitebi, la cible serait le Premier ministre en personne, analyse le journal. Reste que ce qui a tout l’air des manœuvres politiciennes risque de porter un coup dur à la crédibilité du pays, désespère le quotidien.       
(Comme nous l’avons déjà fait remarquer, il se peut que la manière dont, ces derniers temps, l’on cherche systématiquement des poux sur la tête ait pour but de pousser le gouvernement à « poser la question de confiance », à lui refuser celle-ci par une « majorité de circonstance », certains parlementaires de la MP votant avec l’opposition, et à amener ainsi Matata à démissionner. La crise gouvernementale deviendrait ainsi ouverte, ce qui forcerait JKK a sortir enfin son « nouveau gouvernement ». La situation actuelle où le gouvernement est en sursis, démissionnaire sans l’être, n’est confortable pour personne, sauf pour Kabila, et encore, du seul point de vue de son maintien à son poste. NdlR)
Révision de la Constitution

« Le référendum s’annonce imminent » annonce Le Télégramme du Congo dans son n° 56.
« Décriée par l’Opposition et la Société civile, contestée par la communauté internationale, la révision de la Constitution en République démocratique du Congo aura finalement lieu. Ainsi en a décidé le Bureau politique de la Majorité présidentielle, qui joue le rôle « d’organe de conception, d’orientation et de décision » de cette famille politique du Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange.       
Selon les sources concordantes proches de la Majorité présidentielle, le Bureau politique aurait pris la décision d’organiser le référendum au cours de sa réunion du 25 avril dernier tenue à Procoki, à Kinshasa. L’objectif, à en croire ces sources, serait de « réviser les articles non verrouillés. » Il s’agirait, affirme-ton, de « rendre la constitution plus dynamique et plus adaptée au contexte actuel»     
Si l’article 220 relatif au « nombre et à la durée des mandats du Chef de l’Etat (article verrouillé), ne serait pas concerné par la révision de la Constitution, certaines dispositions seraient à réviser, relèvent les sources déià citées. La révision constitutionnelle viserait, entre autres, le mode d’élections des députés nationaux et provinciaux ainsi que celui de désignation des gouverneurs de province et de vice-gouverneurs Toujours selon les sources proches de la Majorité présidentielle, aucune date n’est prévue pour le référendum envisagé.
Sur ce sujet, beaucoup craignent que les opérations à mener ne puissent aller jusqu’au- delà de 2016, date de l’expiration du mandat, constitutionnellement le dernier, du président Kabila, qui bénéficierait ainsi d’un « report technique », d’une prolongation.   
Car, pour organiser le référendum, il faut au préalable le recensement de la population pour réunir les données démographiques nécessaires au découpage du pays en circonscriptions électorales conformes aux réalités du terrain. Il faut des matériels électoraux appropriés pour le référendum, des agents à déployer dans les circonscriptions électorales pour l’exécution de diverses tâches relevant des opérations du terrain.
Ces agents, comme ceux chargés du recensement, doivent être formés et motivés. Il faut donc de l’argent pendant qu’on en cherche pour les élections locales, de plus en plus problématiques.

(L’idée du recours au référendum a été émise précisément à cause de l’hypothèse qu’il s’agirait de toucher aux « articles verrouillés ». Ce serait alors logique puisque, le verrouillage étant l’œuvre du Souverain Primaire qui l’a accepté avec le reste de la Constitution en 2005, celui-ci pourrait, tout aussi souverainement, défaire ce qu’il a fait. S’il ne s’agit que de modifications de détails non-verrouillés, recourir au référendum n’est pas indispensable et c’est une solution extrêmement longue et onéreuse par rapport à un simple vote du Parlement ! Ce serait donc le contraire de ce qu’il faut faire pour épargner le temps et l’argent dont on nous dit sans cesse qu’ils manquent. Par contre, le fait de faire à nouveau courir aux urnes le Souverain Primaire permettrait plus facilement de prétendre que l’on a affaire à une « Nouvelle Constitution » et que donc il faut « remettre à zéro » le compteur des mandats, selon la « formule Wade ». NdlR)
La Prospérité aussi s’intéresse au processus électoral. Ce journal revient sur la rencontre entre le patron de la Monusco et le président de la commission électorale. « Les navettes de Martin Kobler au siège de la CENI ne se font plus compter, fait remarquer le quotidien pour qui ces vas-et-viens (sic) révèlent l’engagement de la communauté internationaleà accompagner le processus électoral en cours en RDC ». Martin Kobler n’est pas le seul élément de la communauté internationale qui s’illustre dans ce domaine, écrit le journal, rappelant que la semaine dernière, c’était le Secrétaire d’Etat Américain, John Kerry, qui a promis à Malumalu un soutien financier des USA à hauteur de 30 millions de dollars et insisté sur l’urgence d’accélérer le processus.
Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections. Il aurait dû y avoir  une protestation générale des démocrates de tous les partis, car un démocrate ne saurait accepter que son candidat gagne par la fraude, la corruption et le mensonge. Au lieu de quoi on n’a assisté qu’à des élucubrations pour défendre la victoire « officielle » de JKK, et à d’autres élucubrations pour défendre celle, tout aussi hypothétique, de Tshisekedi.         
Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir !
Foot mortel 
« Caf-C1 : Zamalek demande la délocalisation de son match contre V.Club », titre Le Potentiel.
A la suite du drame survenu dimanche dernier au stade Tata Raphaël à Kinshasa, le club égyptien à travers une correspondance adressée lundi à la Confédération africaine de football (Caf) demande une délocalisation de son match contre V. Club, cela dans le cadre de la première journée de la phase des poules de la 18ème ligue des champions.
Le même journal, dans un autre article, titre : « Le match V.Club se joue au stade Tata Raphaël ». Malgré les derniers incidents qui ont fait plus d’une dizaine de morts à l’issue du match V. Club- Mazembe, la Caf a confirmé la rencontre V.Club- Zamalek au stade Tata Raphaël. 

Disparition du comédien  Mira Mikanza alias Koko Swing
Le Potentieltitre « La Monusco rend un dernier hommage au comédien "Koko Swing"».   
Martin Kobler, l’actuel chef de la Monusco a rendu hommage  au comédien congolais Mira Mikanza sur Twiter.
C’est du moins ce qu’on peut lire sur le site Internet de Radio Okapi, dit-il avant de rappeller : « Originaire de la Rdc, le comédien « Koko swing » est décédé le dimanche 11 mai 2014 à Kinshasa. Il ne s’agit nullement du diplomate américain qui a assumé les fonctions du représentant spécial du SG des Nations Unies en Rdc  de 2003 à 2008. Mais plutôt de l’artiste comédien congolais qui le parodiait .     
En 2006, entre les deux tours de la présidentielle, la tension est à son comble entre les partisans du Chef de l’Etat Joseph Kabila et de son challenger Jean-Pierre Bemba. William Lacy Swing, le représentant de Koffi Annan en Rdc, multiplie des appels au calme. Le comédien Mira Mikanza saisit l’occasion pour tourner un clip qui relaie et porte loin l’appel du chef de la Mission de l’Onu de l’époque en Rdc. Il se déguise en William Swing qu’il appelle dans sa parodie Koko Swing. Les Kinois  accueillent avec plaisir cet appel à l’armée rouge, une allusion faite à la Garde présidentielle et à l’armée verte, la garde du candidat Jean-Pierre Bemba de ne pas s’affronter en pleine ville de Kinshasa ».  

La Prospérité titre : « Mira Mikanza alias Koko Swing n’est plus ». Evoquant les circonstances de sa mort, ce journal explique : « D’après les informations à notre possession,  il a souffert d’une infection pulmonaire, depuis deux mois. Mira Mikanza avait été admis en milieu de la semaine dans un hôpital tenu par des religieuses à la suite d’une rechute ».

© CongoForum, le mercredi 14 mai 2014

Pour plus de détails sur l’actualité congolaise, voyezwww.CongoForum.be

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