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JOSEPH KABILA SE MOQUE ET, POUR UNE FOIS, IL A RAISON DE SE MOQUER D'EUX

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RDC

MONSIEUR KABILA ET SA FAMILLE BIOLOGIQUE SE MOQUENT DES SUPPUTATIONS DE SA FAMILLE POLITIQUE QUI S’AGITE ET SURSAUTE A L’IDEE DE LE VOIR SE MAINTENIR AU POUVOIR EN 2.016, AINSI QUE DE « L’OPPOSITION » LOCALE QUI, CONFIE-T-IL, EN PRIVEE, FAIT DES VACARMES POUR RIEN.

« Question d’Afrique et d’Ailleurs » qui a comme ligne de conduite de ne pas s’attaquer aux hommes politiques mais à leurs actions au pouvoir félicite, cette fois, Joseph Kabila pour son courage et sa résistance aux pressions sans cesse répétées de l’axe régional francophone Africain favorable aux modifications de leurs constitutions et à l’amendement des articles et alinéas qui interdisent les chefs d’Etats de se maintenir au pouvoir.

Une fois n’est pas coutume, le président de la république Démocratique du Congo a balayé les menaces proférées contre lui en provenance de Brazzaville lors d’une vidéoconférence qui l’a réveillé en pleine nuit par invitation du président du Congo-Brazzaville et qui regroupait, outre ce dernier, les chefs d’Etats du Gabon, du Togo et du Burkina.

L’unique objet figurant à l’ordre du jour fut de le sensibiliser à éviter de créer, en Afrique francophone, un mauvais précédent qui consisterait à s’effacer du pouvoir comme le lui demande, instamment, son peuple ainsi que la communauté internationale. 

Après l’exposé des faits par le président Sassou-Nguésso, la parole était donnée à Bongo fils du Gabon puis à Eyadema qui ont tous les deux, insisté sur le fait que son attitude de quitter le pouvoir donnerait des idées à leurs populations respectives et du fil à retordre à ses collègues qui se trouveraient aux pieds du mur.

Quant à Blaise Compaoré qui a pris la parole en troisième position avant de donner la parole à Joseph Kabila, il a démontré l’inféodation inacceptable aux occidentaux que s’apprêterait de montrer Joseph Kabila et la lâcheté qui risquerait de « déstabiliser » les pays d’Afrique francophone.
Prenant la parole, très courageusement, Joseph Kabila a dit a ses collègues qu’il était encore jeune et qu’il a conscience qu’il est au pouvoir depuis 13 ans ; qu’il est très sensibles aux appels de son peuple ainsi que de la communauté internationale et très attaché aux vertus démocratiques. 

En conséquence, a-t-il précisé, même si tout n’est pas encore fait, je dois me retirer, voir ce qui se passera après moi quitte à revenir plu tard démocratiquement.

A la question lui posée par L’homme de Brazza de savoir ce qu’il en savait de son lendemain en RDC hors du pouvoir, le président de la RDC a affirmé qu’il ne se reprochait de rien et que l’alternance politique doit s’opérer dans son pays comme il l’a dit et annoncer à la face du monde.

Après cette réponse, Joseph Kabila a pris congé de ses collègues. Prenant cette position pour un affront à son égard, Denis sassou-Nguésso piqua une colère noire et, 24 heures après, l’homme de Brazza faisait expulser, dans des conditions que l’on sait, les Kinoises et les Kinois de son territoire avec pour but, de déstabiliser Kinshasa.

Nous apprenons que parmi les expulsés de Brazzaville figurent aussi de nombreux malfaiteurs de nationalité du Congo-Brazzaville qui avait pour mission de semer le désordre et créer l’insécurité dans la capitale de la RDC, Kinshasa, pour faire payer, dans un premier temps à Joseph Kabila, ce que Monsieur Sassou qualifie d’attitude irrévérencieuse à son égard.
Des sources concordantes, l’élimination physique du jeune président de la RDC serait décidée entre Libreville-Brazaville-Lomé et Ougadougou.

Kabila qui lui, est un enfant soldat, aurait sensibilisé l’administration Américaine sur ce danger qui voit sa tête mise à prix par les ces hommes qu’il ne connait pas assez, d’ou les périples des officiels Américains dans la région.
Force est de préciser que depuis, la ceinture sécuritaire rapprochée de Joseph Kabila a été relativement restructurée avec l’incorporation de certains éléments de race noire de la Monusco et d’une demi-douzaine d’américains noirs. 

CE QUI ETONNE ET SURPREND.
C’est justement la capacité du président de la RDC de tenir cette information secrète et de laisser marcher ses proches collaborateurs qui croient, dur comme fer, que leur Raïs se maintiendrait au pouvoir dans deux ans.

Ce qui surprend, c’est son manque de respect aux chefs de ses maisons civiles et militaires qui ont, tous les deux, subi dernièrement l’incorporation, dans leurs services respectifs de nombreux personnels sans explications et les « opposants » locaux qui ne sont au courant de rien.

Il a fallu qu’un diplomate occidental en poste à Kinshasa, informe le Patriarche Antoine GIZENGA, en informel, pour que celui-ci téléphone Joseph Kabila, le vendredi 22 Août dernier 2.014 en milieu d’après-midi pour que celui-ci réponde à la seule personnalité Rd congolaise qu’il respecte que « Tout ce qu’il a appris est vrai »

Ansi, l’ANR qui passe tout son temps à torturer, sans cause les Congolais, à les raquetter, à torturer les prisonniers politiques, fasse enfin, son travail qui consiste à surveiller le pays, a protéger son chef qui est certainement en danger de mort car, les Rdcongolais qui n’ont jamais la chance d’avoir un ancien président en vie, puissent garder Joseph Kabila en qualité de sénateur avec les avantages dus à chaque ancien chef de l’Etat et ce, nonobstant ses bévues sans nombre.

L’administrateur de « Questions d’Afrique et d’Ailleurs »
Willy Delors ONGENDA
France.
Photo de Questions d'Afrique et d'Ailleurs.
Photo de Questions d'Afrique et d'Ailleurs.
         
 
WL
 "Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur"

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