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17/10/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE VENDREDI (CongoForum)

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17/10/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE VENDREDI (CongoForum)
Il continue à y avoir des commentaires du projet de loi budgétaire 2015 déclaré recevable à l’Assemblée nationale, d’autres sur la motion contre Kitebi, sur les incidents de Lodja… Beaucoup d’articles s’occupent d’un rapport de l’ONU sur les agissements de la police congolaise . Lambert Mende répond à la Sous-secrétaire d’Etat américaine, Linda Thomas-Greenfield, qui a soutenu que les Présidents africains devraient faire deux mandats et, puis, s’en aller…  

3° mandat de JKK, dit « Révision constitutionnelle ».
On parle beaucoup de la révision constitutionnelle. La controverse bat son plein à Kinshasa et dans quelques autres pays africains. Aux interrogations légitimes des uns sur l’architecture institutionnelle en gestation en RDC se juxtaposent des considérations plus ou moins triviales des autres.Des ténors de la communauté internationale s’invitent régulièrement dans ce débat. C’est le cas de madame Linda Thomas-Greenfield, sous secrétaire d’Etat US aux Affaires africaines, auteure d’une tribune comminatoire intitulée « Deux mandats et puis s’en va » parue chez Jeune Afrique (N° 2804 du 5 au 11 octobre 2014), fait savoir Forum des As sous le titre: » RDC : Lambert Mende répond à Linda Thomas-Greenfield ».
« Plutôt que de chercher à importer des schémas institutionnels prêts-à-porter en Afrique, les vrais amis de ce continent feraient donc mieux de prendre en compte la corrélation qui existe entre tout système politique et son environnement socioculturel », dixit le porte-parole du Gouvernement de la RDC.         

La Prospérité pousse une exclamation presque semblable  « Au-delà des arguments de Linda Thomas-Greenfield et des Evêques : Constitution, Lambert Mende réplique ! » 
Et de soutenir ; Il n’est pas du genre à se taire. Il répond à tout ce qui est de nature à entretenir la  confusion dans les esprits. Lambert Mende, ministre des Médias et Porte-parole du Gouvernement, a réagi à la mise au point de la CENCO à la suite des violences perpétrées par des individus non autrement identifiés sur des prêtres qui disaient la messe à Lodja. La Prospérité ajoute qu’il répond, par ailleurs, à la Sous-secrétaire d’Etat américaine, Linda Thomas-Greenfield, qui a soutenu que les Présidents africains devraient faire deux mandats et, puis, s’en aller. Il souligne qu’en Allemagne, la Chancelière Angela Merkel est au pouvoir depuis 2005. Au Luxembourg, Jean-Claude Junker a été Premier ministre de 1995 à 2013. En Bolivie, le Président Evo Morales entame un troisième mandat, précise ce journal.  
(Forum des As et La Prospérité ont bien raison d’écrire  que Lambert Mende « écarte toute confusion dans les esprits ». Il se prend les pieds dans son argumentation de telle manière que plus personne ne peut douter de la parfaite inconsistance de ses arguments ! En effet, que nous dit-il ? Qu’il faut s’occuper de «  la corrélation qui existe entre tout système politique et son environnement socioculturel »  et ne pas « importer des schémas institutionnels prêts-à-porter en Afrique » ? Autrement dit, il faut « faire africain » et non « imiter l’étranger ». Après quoi il cite l’Allemagne (vieille nation bantoue, sans doute ?), le Grand Duché de Luxembourg (qui ressemble sans doute à la RDC par son immense superficie ?) et la Bolivie. Mais bien sûr, il omet de signaler qu’Evo Morales a bien été réélu pour un 3° mandat, mais qu’il n’a pas fait réviser la Constitution spécialement pour cela. Et, sur les 3 exemples cités, seul Morales est président. Junker et Merkel sont des Premiers Ministres. Junker l’a été dans une monarchie constitutionnelle où le Grand-Duc a encore moins de pouvoir réel que le Roi des Belges, Merkel en Allemagne où le Président de la République, élu par le Parlement, a tout au plus un rôle protocolaire. En réalité, ce genre de comparaison devrait éveiller dans les esrits une autre question. Si l’on admire tant les régimes où l’homme le plus puissant du pays est le Premier Ministre, ne faudrait-il pas envisager une tout autre Révision de la Constitution . Une révisin qui aurait pour but de réduire considérablement le rôle du Présiden t. En effet, le Premier Ministre, lui, est constamment et entièrement soumis au contrôle parlementaire.         

Sous le titre « Incidents de Lodja, le gouvernement tient à la liberté d’expression »L’Avenir revient sur la condamnation par le gouvernement congolais de toute démarche tendant à restreindre le droit à la liberté d’expression et d’opinion. Il désapprouve tout comportement susceptible de porter atteinte à ce droit qui est inaliénable étant donné que tout citoyen congolais est habileté à émettre son opinion sur les questions qui touchent à la vie nationale.
Rapport de l’ONU sur les droits de l’homme
Ici, le « document qui fâche », c’est la publication par le Bureau des Nations unies aux droits de l’homme en RDC d’un rapport documenté sur les brutalités policières durant l’opération «Likofi», contre les «Kulunas».
Le Potentiel titre en manchette « Le chef de bureau de l’ONU pour les droits de l’Homme en RDC déclaré persona non grata, montrant ansi que la RDC a gardé l’habitude de caser le thermom !tre pour faire baisser la fièvre. 
Ce journal fait savoir que ça grouille entre le gouvernement de la RDC et les Nations Unies. Kinshasa n’a pas supporté les affirmations contenues dans le dernier rapport du Bureau de Nations unies pour les Droits de l’homme en RDC. Kinshasa a donc demandé hier jeudi le rappel du chef du Bureau de l’ONU pour les droits de l’homme en République démocratique du Congo, Scott Campbell, au lendemain de la publication d’un rapport de ses services dénonçant des crimes commis par des policiers, précise-t-il.       
« RDC-ONU : le clash », commente pour sa part Le Phare. Il se penche sur le rapport concernant « des policiers cagoulés » ayant semé la discorde entre Kinshasa et New YorkLa RDC réclame le rappel de Scott Campbell, écrit-il sèchement.   Le Phare évoque un «véritable coup de tonnerre dans les relations entre Kinshasa et l’Onu, 72 heures après la publication par le Bureau des Nations unies aux droits de l’homme en RDC d’un rapport documenté sur l’opération «Likofi», contre les «Kulunas». Selon le journal, la cause du clash est l’affirmation contenue dans le rapport et selon laquelle les policiers n’ont pas opéré à visages découverts et qu’ils portaient des cagoules chaque fois qu’ils descendaient sur le terrain où ils se sont rendus coupables, confirme le rapport, d’une quarantaine d’exécutions sommaires. Résultat, constate le journal, Kinshasa dément et le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej accuse ce rapport de ne pas refléter la réalité et réclame le rappel pur et simple du Directeur du Bureaudes droits de l’homme des Nations-Unies Scott Campbell à Kinshasa.            
« Selon l’ensemble des informations recueillies par le BCNUDH, les violations des droits de l’homme répertoriées auraient été commises par des agents de la PNC, notamment des unités spécialisées de la LENI et du Groupe mobile d’intervention (GMI), qui se trouvaient sous le commandement alterné tous les jours des généraux Célestin Kanyama Tshishiku et Seguin Ngoy Sengelwa. Par ailleurs, soutiennent les limiers de la Monusco, des sources concordantes ont fait part de l’implication d’un haut gradé de la police de Kinshasa, et de plusieurs officiers de police dans les exécutions sommaires et extrajudiciaires et les disparitions forcées durant « Likofi ». Il s’agirait d’officiers de plusieurs unités de la PNC, notamment du Groupe mobile d’intervention de Kinshasa Ouest (GMI Kin-Ouest), du Groupe mobile d’intervention de Kinshasa Est (GMI Kin-Est), d’un commissariat de police à Kingabwa et la LENI, qui auraient agi sur ordre de ce haut-gradé. « La plupart des exécutions auraient été commises par balles, étranglement ou pendaison. Selon des sources crédibles, le haut-gradé aurait été présent durant certaines exécutions. Aussitôt après, un officier supérieur de la police se chargeait de récupérer les corps pour les déposer à la morgue de l’HGRK, où un agent en charge des kulunas les recevait et les entreposait. Les corps auraient été ensuite transportés dans un camion remorque sur la route du Bandundu et jetés dans le fleuve ou enterrés dans des fosses communes » a-t-on précisé dans le rapport ».     

(Compte tenu du fait qu’il s’agissait ici d’une opération dirigée contre le banditisme, non d’une banale opération de surveillance ou de maintien de l’ordre, le port de cagoules peut être considéré comme normal. La plupart des polices du monde auraient agi de même. Le fait que cet anonymat, destiné à éviter à eux-mêmes et aux leurs de possibles représailles de la pègre, pouvait aussi leur être utile pour échapper à des poursuites a-t-il inspiré à des agents de néfastes idées de « dépasser » leurs instructions ? C’est là-dessus qu’il faudrait investiguer, n’en déplaise à  Mr. Richard Muyej, plutôt que de casser le thermomètre. NdlR)
Motion de défiance contre Kitebi
Le Potentiel la qualifie qualifie d’« acharnement contreproductif ».    
Prenant fait et cause pour le ministre, ce quotidien signale qu’à l’Assemblée nationale, l’Opposition a décidé d’en découdre avec le ministre délégué aux Finances, Patrice Kitebi. Elle est arrivée à réunir une soixantaine de signatures pour soumettre au vote une motion de défiance contre l’argentier national. A dire vrai, Patrice Kitebi n’est qu’un bouc émissaire.
(On vise à déstabiliser le gouvernement et d’ailleurs, comme nous l’expliquions hier, le « montage » compliqué des responsabilités en matières de finances dans l’équipe Matata fait que le PM lui-même, et le VPM et Ministre du Budget se trouvent indirectement mis en cause. Depuis 2006, où les institutions de la III° République ont commencé à fonctionner, aucune motion de défiance n’a « passé » à l’Assemblée. Mais les auteurs de la motion peuvent toujours espérer des défections, parmi les « formations périphériques » de la Majorité car les « mécontents de la MP » tout comme les « ministrables de l’Opposition ‘concertante’ » ont en commun le désir de faire « tomber » Matata et ainsi de forcer la main à JKK pour que naisse enfin le fameux « gouvernement de cohésion nationale » promis il y a plus d’un an.    
Cela illustre encore une fois la colossale perte de temps et d’énergie qui découle de toutes lles entourloupes imaginées pour ne pas reconnaître la nullité 
des élections de novembre-décembre 2011. Il faut rappeler qu’elles ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections. Il aurait dû y avoir  une protestation générale des démocrates de tous les partis, car un démocrate ne saurait accepter que son candidat gagne par la fraude, la corruption et le mensonge. Au lieu de quoi on n’a assisté qu’à des élucubrations pour défendre la victoire « officielle » de JKK, et à d’autres élucubrations pour défendre celle, tout aussi hypothétique, de Tshisekedi.    
Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir ! NdlR)
Embouchant carrément le clairon pour sonner l’alarme, La Prospérité clame « Face à la motion de défiance de Badibanga : Majorité, Tous derrière Kitebi !      
Selon le quotidien, le cri de cœur est donc là. Dans la Majorité, l’on considère que  laisser couler Kitebi, c’est compromettre toutes les chances, pour l’actuel Premier Ministre, Matata Ponyo,  de  travailler.  «Autrement dit, casser Kitebi, c’est aussi casser et sacrifier Matata et, avec lui, l’ensemble de son équipe. D’où, l’appel à l’unisson et à la conjonction des efforts, pour ne pas offrir à Samy Badibanga Ntita, le Président du Groupe parlementaire Udps & Alliés, initiateur de la motion de défiance, l’occasion de faire aboutir sa démarche aux effets d’une «bombe» à déflagration», explique ce quotidien. D’où, l’appel à l’unisson et à  la conjonction des efforts, pour ne pas offrir à Samy Badibanga Ntita, le Président du Groupe parlementaire Udps & Alliés, initiateur de la motion de défiance, l’occasion de faire aboutir sa démarche aux effets de « bombe »  à déflagration. Ainsi, croit le quotidien, dans les cercles huppés, que la Majorité, en dépit de ses dernières convulsions nées, peut-être, de cendres des ambitions individuelles, comme cela a toujours été le cas  à la veille des grands bouleversements politiques en RD. Congo, est tenue de se ressaisir, à tout prix.
Si le quotidien précédemment cité crie au feu et sonne l’alarme, on donne plutôt dans l’ahuriseement chezForum des As, qui note « Drôle motion de défiance a l’Assemblée nationale : le Budget engage, les Finances payent devant les députés », avant de s’interroger : Quid du « détournement de fonds » destinés à l’Opposition ? Le gap que brandissent les députés de l’Opposition devrait-il être attribué à une composante institutionnelle qui n’existe pas encore ? A quel niveau l’erreur a-t-elle été réellement commise au sein du Gouvernement ? Autant de questions que charrie la motion de défiance contre le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Finances. 
Le Gouvernement a soumis à l’Assemblée nationale le projet de loi portant reddition des comptes pour l’exercice 2015. Pendant l’examen de ce projet de loi au niveau de la Chambre basse du Parlement, les députés ont relevé qu’un montant de 207.814.080 Fc a été payé sur le crédit de l’Opposition politique, alors que celle-ci n’est pas en réalité bénéficiaire de cette dépense. Tout simplement parce que les structures qui devaient en bénéficier n’existent pas encore. Sur base de cette anomalie, une motion de défiance a été déposée contre le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Finances par les délégués de l’Opposition parlementaire alors que, selon Forum des As, le paiement de ces 207 814 080 Fc a été engagé, sur base de «documents dignes de foi», par le ministère du Budget dans le cadre normal de la chaîne de dépense. Aubin Minaku, le président de l’Assemblée nationale, a prévu d’organiser à ce propos la plénière de ce vendredi à 10 heures pour écouter Patrice Kitebi , telle est la démonstration, chiffres à l’appui, de Forum des As.        
(Qu’est-ce qu’un « document digne de foi » ? Un reçu signé par un « porte-parole jamais élu ? Une facture de peintre en bâtiment certifiant que le Palais du Peuple a été repeint « aux frais de l’Opposition ?  Comme tout est possible au Congo, l’imagination s’emballe et imagine les « gags » les plus fabuleux… NdlR)
Mais Forum des As évoque aussi « L’autre face de la motion de défiance : l’imminence du Gouvernement donne des idées aux opposants », relate-t-il dans un autre article. 
Tout le problème, c’est de savoir si la Majorité présidentielle va convoler en justes noces avec l’Opposition pour discréditer le Régime. Une motion de défiance contre le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Finances à l’Assemblée nationale à l’initiative des députés de l’Opposition politique. Voilà qui semble d’ailleurs constituer la dernière démarche des opposants qui s’appuient sur le projet de loi portant reddition des comptes, écrit le journal qui s’interroge ensuite si les membres de la Majorité vont-ils apporter leur caution à cette messe dite officiellement par l’Opposition politique ?
(C’est même plus compliqué que cela ! L’initiative de la motion a été prise par l’UDPS et alliés, donc par ne composante de l’Opposition dite « dure » ou « radicale ». Mais si Matata venait à « faire la culbute » et si, comme l’espèrent les intéressés, cela devait réussir à « forcer la main » de JKK et à hâter aux forceps l’accouchement du « nouveau gouvernement » les bénéficiares de la manœuvre devraient se situer plutôt dans l’aopposition « concertante », qui est le « ventre mou » de l’Oppositon et dans la masse gélatineuse et passablement inconsistante des « composantes périphériques » de la MP. On ne voit donc plus tr bien qui cherche quoi et qui roule pour qui. A moins qu’il s’agisse de démontrer que la vie parlementaire ressemble beaucoup à un cirque. Mais cela, franchement, on s’en doutait déjà ! NdlR)
Sénat
La vie au Sénat semble nettement plus calme et moins amusante. L’ACP en parle en ces termes « Présentation au Sénat de trois projets de loi de ratification et d’adhésion par le ministre des Affaires étrangères »      
Selon son bulletin quotidien, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie, Raymond Tshibanda, a présenté jeudi au Sénat, l’économie de trois projets de loi autorisant la ratification de l’accord pour la promotion et la protection mutuelle des investissements, signé entre l’Inde et la RDC, l’adhésion de la RDc au pacte de non agression et de défense commune de l’Union africaine (UA).

Mais à ce sujet, Le Phare titre : «Des armées étrangères en RDC, Pacte de non agression… : inquiets, les Sénateurs veulent voir clair».        
Selon le journal, trois accords ont été au centre des débats lors de la plénière de jeudi au Sénat : le traité de la Promotion et protection des investissements signé à New Delhi le 13 avril 2010, le pacte de non-agression et de défense commune de l’Union Africaine et le traité de Protection de l’emblème de la Croix-Rouge.  Le Ministre des Affaires Etrangères, Coopération internationale et Francophonie, Raymond Tshibanda, venu obtenir l’autorisation pour leur ratification, a rencontré les préoccupations des sénateurs qui tenaient à comprendre en fonction de quels accords des troupes burundaises et aussi ougandaises se trouvent sur le territoire congolais et pourquoi le Parlement n’en est pas informé. Déclarant partager les mêmes frustrations que les élus, le ministre Tshibanda a fait remarquer que certaines de ces préoccupations nécessitent l’implication de ses collègues des secteurs concernés. Affaire à suivre donc.

© CongoForum, le vendredi 17 octobre 2014

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