Chers compatriotes,
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Comme promis, notre attention de ce jour repose sur celui que j'appelle "Homme prodige", celui qui a gravi tous les échelons pour devenir la 2ème personnalité de la république. Le voici: Aubin MINAKU.
A peine porté au perchoir de notre Assemblée Nationale, l'homme avait déjà marqué sa différence. Sur les traces du Secrétaire-général Boshab, l'homme prend son courage d'affronter la diaspora hostile au Chef de l'Etat. Sa tournée en Belgique laisse encore des traces. Mais il y a plus à dire pour cet homme, qui est devenu, pour nous, l'exemple de la réussite par le travail.
En effet, les vicissitudes de la vie, les difficultés liées à un parcours politique, l'homme les a connues et affrontées. Il y a à peine 3 ans, personne ne pouvait parier sur lui. C'est quelqu'un vraisemblablement qui ne demande rien, si ce n'est que le besoin de mériter. On dira de lui que son ascension a été rapide; c'est ignorer son parcours que le dire. Ici même sur la toile, je m'étais fait l'obligation de publier son riche CV; ça laisse un "ouf, tout ça?". Il mérite d'être imité.
Maintenant, comme pour tout grand-homme qui réussit, aux côtés des félicitations se joignent les critiques; même les plus acerbes. On reproche naturellement des choses à l'homme, mais pour quelle fin? Les paroles qui sortent des bouches de ceux qui médisent sur l'homme, sont souvent des calomnies et dénotent par là une volonté de nuire et d'en découdre avec ce dernier. Pourquoi?
Il est souvent difficile de répondre à des telles questions, quand on a pas tous les éléments d'appréciation. Mais on peut facilement comprendre que toute réussite a son revers: la haine et la jalousie. L'homme, comme tout responsable politique, a un cabinet, mais aussi... sa cour. Pourquoi la cour des autres refuse de lui accorder le droit d'avoir aussi sa propre cour? Le paradoxe laisse le champ libre à toute imagination. Si seulement les choses pouvaient être simples, cela faciliterait bien des choses. Je ne fais pas partie de sa cour, mais je peux comprendre qu'elle existe: c'est la réalité du pouvoir. Soit.
Le Président Aubin MINAKU, tant à la majorité qu'à l'Assemblée Nationale, doit gérer une grande famille, qui lui demande de facto de gérer plusieurs ambitions, même quand elles se confrontent. Une tâche est loin d'être aisée. Ceci exige de notre part une marge de tolérance importante, pour comprendre que le soutien, c'est aussi d’accepter les faiblesses de celui que l'on soutient. Soutenons-le. Les deux prochains articles, dans cette démarche, viseront le Secrétaire-général Boshab et Son excellence Antoine Ghonda. Boseka nga te, nazo meka.
Bon début de semaine.
L'humble et serviable Papy TAMBA
tambakuma@hotmail.fr