Le titre de la Repubblica est pour le moins accrocheur : « Sexe et carrière, les chantages au Vatican derrière la renonciation de Benoît XVI ». On y apprend l'essentiel du scandale qui aurait achevé de convaincre Benoît XVI de renoncer à sa charge. Selon le journal, il s’agit de hauts prélats du Vatican qui entretenaient des relations homosexuelles avec des laïcs et auraient subi le chantage de ce que le journal appelle un « lobby homosexuel ».
L'article indique que le rapport confirme des informations déjà évoquées dans l'affaire Vatileaks : les rencontres « mondaines » de certains prélats dans des saunas, centres esthétiques du centre de Rome, etc. Peu de précisions toutefois, notamment sur la monnaie d'échange de ces chantages. Tout juste quelques noms, comme celui de l'ancien gentilhomme de sa sainteté, Angelo Balducci qui, selon la presse, aimait s'entourer d'enfants de chœur, et qui a été impliqué dans des affaires de mœurs et de corruption et arrêté en 2010.
L'article décrit en revanche longuement le processus de l'enquête et laisse clairement entendre que ce rapport pourrait être une véritable bombe à retardement entre les mains du successeur de Benoît XVI. Le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi, a immédiatement qualifié ces informations de fantaisistes et ajouté qu'il n’y aurait ni démenti ni commentaire sur cette affaire.
L'article indique que le rapport confirme des informations déjà évoquées dans l'affaire Vatileaks : les rencontres « mondaines » de certains prélats dans des saunas, centres esthétiques du centre de Rome, etc. Peu de précisions toutefois, notamment sur la monnaie d'échange de ces chantages. Tout juste quelques noms, comme celui de l'ancien gentilhomme de sa sainteté, Angelo Balducci qui, selon la presse, aimait s'entourer d'enfants de chœur, et qui a été impliqué dans des affaires de mœurs et de corruption et arrêté en 2010.
L'article décrit en revanche longuement le processus de l'enquête et laisse clairement entendre que ce rapport pourrait être une véritable bombe à retardement entre les mains du successeur de Benoît XVI. Le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi, a immédiatement qualifié ces informations de fantaisistes et ajouté qu'il n’y aurait ni démenti ni commentaire sur cette affaire.