FLASH FLASH INFOS : L'HEURE EST GRAVE A KINSHASA
Il n’était pas loin de 11h00’, lorsque tous les médias se mirent à crépiter pour annoncer la nouvelle de ce drame survenu dans la ville de Kinshasa. Il fait très chaud et c’est la confusion totale ici. Jusque là, tout se déroulait calmement lorsque des jeunes venus de je ne sais pas d’où sont descendus des bus avec des machettes. Ils ont commencé à lancé des pierres et autres projectiles en direction du cortège du Président Tshisekedi. Au même moment une colonne de militaires, venus de l’autre coté de l’Air Force non loin du Camp CETA a tiré sur la foule. C’est la panique générale ici à aéroport de Ndjili. Les combattants en colère sont entrain de pourchasser cette bande de Kuluna et les militaires inciviques qui s’attaquent aux populations. Une cohue menaçante vient d’escalader le mur des entrepôts de la MONUSC. Ils sont partout, ces combattants. Sur la place du cinquantenaire, les jeunes se sont déchainés, se dirigent actuellement vers le palais du Peuple et autres édifices du pouvoir à Kinshasa.
Je suis au niveau de Kingasani, un quartier situé à l’Est de la ville de Kinshasa. J’ai devant moi, une fille de 13 ans en état de choc qui me regarde d’un air hébété. C’est presque la guerre ici entre les combattants et la milice privée de J. Kabila. J’ai aperçu, il y a une demi-heure, un groupe d’hommes et femmes, des vêtements couverts de sangs, se dirigeant vers les entrepôts de la MONUSCO. Mais pourquoi elle n’intervient ces éléments des Nations Unies ? De nombreux ambulanciers de la croix rouge et hôpitaux de la capitale convergent vers l’aéroport où on signales des morts et plusieurs blessés. Le gouvernement est dépassé par l’ampleur des événements. La Tsunami Tshisekedi semble engloutir le pouvoir en place. Plusieurs édifices de l’Etat sont pris d’assaut par les combattants. Les dignitaires du régime Kabila sont aux abois, certains auraient déjà traverser le fleuve.
A suivre !
Il n’était pas loin de 11h00’, lorsque tous les médias se mirent à crépiter pour annoncer la nouvelle de ce drame survenu dans la ville de Kinshasa. Il fait très chaud et c’est la confusion totale ici. Jusque là, tout se déroulait calmement lorsque des jeunes venus de je ne sais pas d’où sont descendus des bus avec des machettes. Ils ont commencé à lancé des pierres et autres projectiles en direction du cortège du Président Tshisekedi. Au même moment une colonne de militaires, venus de l’autre coté de l’Air Force non loin du Camp CETA a tiré sur la foule. C’est la panique générale ici à aéroport de Ndjili. Les combattants en colère sont entrain de pourchasser cette bande de Kuluna et les militaires inciviques qui s’attaquent aux populations. Une cohue menaçante vient d’escalader le mur des entrepôts de la MONUSC. Ils sont partout, ces combattants. Sur la place du cinquantenaire, les jeunes se sont déchainés, se dirigent actuellement vers le palais du Peuple et autres édifices du pouvoir à Kinshasa.
Je suis au niveau de Kingasani, un quartier situé à l’Est de la ville de Kinshasa. J’ai devant moi, une fille de 13 ans en état de choc qui me regarde d’un air hébété. C’est presque la guerre ici entre les combattants et la milice privée de J. Kabila. J’ai aperçu, il y a une demi-heure, un groupe d’hommes et femmes, des vêtements couverts de sangs, se dirigeant vers les entrepôts de la MONUSCO. Mais pourquoi elle n’intervient ces éléments des Nations Unies ? De nombreux ambulanciers de la croix rouge et hôpitaux de la capitale convergent vers l’aéroport où on signales des morts et plusieurs blessés. Le gouvernement est dépassé par l’ampleur des événements. La Tsunami Tshisekedi semble engloutir le pouvoir en place. Plusieurs édifices de l’Etat sont pris d’assaut par les combattants. Les dignitaires du régime Kabila sont aux abois, certains auraient déjà traverser le fleuve.
A suivre !