C’est en principe demain vendredi que s’ouvre la session plénière du mois de mars. Il s’agit d’une session complexe d’autant qu’elle devra statuer sur la mise en place des membres de la CENI et ceux de la Commission nationale des droits de l’homme.
En prélude de cette ouverture, le président de la République a reçu hier mercredi au Palais du peuple les deux bureaux de deux chambres parlementaires. Cette séance de travail est à classer dans le cadre de son travail de routine et de ses prérogatives constitutionnelles
Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire est l’invité de marque de son collègue de la Rd Congo. Cette visite qui entre dans le cadre de la diplomatie parlementaire entre les deux pays, permettra à celui-ci de tenir un discours devant la plénière.
La session plénière de mars qui va s’ouvrir demain au Palais du peuple est celle de tous les enjeux, quand on sait la complexité des matières à traiter dans ces deux chambres parlementaires. Il s’agira de la mise en place des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (réformée) et ceux de la Commission Nationale des Droits Humains (nouvellement créée). Deux matières sensibles au regard de la poursuite du processus électoral, après la présidentielle et les législatives du 28 novembre 2011.
Kabila au Palais du peuple
En prélude de l’ouverture de la session de mars 2013 à la Chambre haute tout comme à la Chambre basse du parlement, le Président de la République Joseph Kabila a reçu hier mercredi 13 janvier, au Palais du peuple les deux bureaux de deux chambres parlementaires. Cette séance de travail à la veille de la rentrée parlementaire entre dans le cadre de la routine du travail et des prérogatives constitutionnelles du Chef de l’Etat en sa qualité de garant constitutionnel du bon fonctionnement des institutions de la République. Celui-ci voudrait également que le parlement considéré comme le temple de la démocratie joue pleinement son rôle de chambres législatives, quand on sait que cette session compte les arriérés législatifs et aussi l’inscription d’autres matières au calendrier de la session qui prendra fin le 15 juin de la même année.
Des sources proches de la chambre basse font état d’une certaine habitude du chef de l’Etat qui rend visite aux deux chambres, afin de jeter un coup d’œil au travail qui sera fait. Il s’agit notamment des lois pour lesquelles, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions, il doit donner certaines directives. Il est à signaler que le chef de l’Etat avait annoncé une concertation et il lui revenait de rencontrer les présidents de deux chambres qui, selon certaines indiscrétions, devraient organiser ce dialogue s’il doit se tenir.
La session proprement dite
Il sied de signaler que c’est Aubin Minaku Ndjalandjoko, président de l’Assemblée nationale qui va procéder demain vendredi 15 mars 2013 à l’ouverture sollenele de la session de mars. Et ce, conformément aux dispositions constitutionnelles et réglementaires. Cette session sera non seulement consacrée essentiellement à l’installation des nouveaux membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, mais aussi de la Commission Nationale des Droits Humains. A ceci, sans oublier les arriérés législatifs.
Ces deux commissions d’appui à la démocratie sont une nécessité pour la poursuite du processus électoral, mais aussi pour prevenir et réprimer les crimes, les viols et les violences en cette période de guerre d’agression imposée à la Rd Congo par le Rwanda, à travers le M23 interposé. Cette session ne va pas se limiter seulement aux deux dossiers de la CENI et de la CNDH, elle s’apesantira également sur les accords interantionaux , régionaux et nationaux que la RD Congo a signés. Par exemple : la relecture de l’Accord-cadre du 24 février mal compris par certains politiciens en mal de positionnement. Cet exercice parlementaire est d’autant plus important dans cette période difficile que traverse la RD Congo.
Guillaume Soro, invité de marque de l’Assemblée nationale
Sauf changement de dernière minute, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro va fouler le sol congolais, ce jeudi 14 mars par l’aéroport international de N’Djili. A sa descente d’avion, le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro va tenir un point de presse. Son arrivée a été annoncée lors de l’audience accordée par le président de l’Assemblée nationale Aubin Minaku à l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire la semaine dernière.
La visite de Guillaume Soro entre dans le cadre de la diplomatie parlementaire entre les deux pays post-conflit. Celui-ci va assister à l’ouverture de la session de mars 2013 et tiendra un discours comme à l’accoutumée, et à l’usage protocolaire. L’on sait combien, le Président ivoirien Alassane Draman Ouattara s’est impliqué pour la tenue du 14ième Sommet de la Francophonie en Afrique centale, plus précisement en République Démocratique du Congo. Cette implication se poursuit par la diplomatie parlementaire entre les deux institutions parlementaires.
L’Avenir
En prélude de cette ouverture, le président de la République a reçu hier mercredi au Palais du peuple les deux bureaux de deux chambres parlementaires. Cette séance de travail est à classer dans le cadre de son travail de routine et de ses prérogatives constitutionnelles
Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire est l’invité de marque de son collègue de la Rd Congo. Cette visite qui entre dans le cadre de la diplomatie parlementaire entre les deux pays, permettra à celui-ci de tenir un discours devant la plénière.
La session plénière de mars qui va s’ouvrir demain au Palais du peuple est celle de tous les enjeux, quand on sait la complexité des matières à traiter dans ces deux chambres parlementaires. Il s’agira de la mise en place des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (réformée) et ceux de la Commission Nationale des Droits Humains (nouvellement créée). Deux matières sensibles au regard de la poursuite du processus électoral, après la présidentielle et les législatives du 28 novembre 2011.
Kabila au Palais du peuple
En prélude de l’ouverture de la session de mars 2013 à la Chambre haute tout comme à la Chambre basse du parlement, le Président de la République Joseph Kabila a reçu hier mercredi 13 janvier, au Palais du peuple les deux bureaux de deux chambres parlementaires. Cette séance de travail à la veille de la rentrée parlementaire entre dans le cadre de la routine du travail et des prérogatives constitutionnelles du Chef de l’Etat en sa qualité de garant constitutionnel du bon fonctionnement des institutions de la République. Celui-ci voudrait également que le parlement considéré comme le temple de la démocratie joue pleinement son rôle de chambres législatives, quand on sait que cette session compte les arriérés législatifs et aussi l’inscription d’autres matières au calendrier de la session qui prendra fin le 15 juin de la même année.
Des sources proches de la chambre basse font état d’une certaine habitude du chef de l’Etat qui rend visite aux deux chambres, afin de jeter un coup d’œil au travail qui sera fait. Il s’agit notamment des lois pour lesquelles, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions, il doit donner certaines directives. Il est à signaler que le chef de l’Etat avait annoncé une concertation et il lui revenait de rencontrer les présidents de deux chambres qui, selon certaines indiscrétions, devraient organiser ce dialogue s’il doit se tenir.
La session proprement dite
Il sied de signaler que c’est Aubin Minaku Ndjalandjoko, président de l’Assemblée nationale qui va procéder demain vendredi 15 mars 2013 à l’ouverture sollenele de la session de mars. Et ce, conformément aux dispositions constitutionnelles et réglementaires. Cette session sera non seulement consacrée essentiellement à l’installation des nouveaux membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, mais aussi de la Commission Nationale des Droits Humains. A ceci, sans oublier les arriérés législatifs.
Ces deux commissions d’appui à la démocratie sont une nécessité pour la poursuite du processus électoral, mais aussi pour prevenir et réprimer les crimes, les viols et les violences en cette période de guerre d’agression imposée à la Rd Congo par le Rwanda, à travers le M23 interposé. Cette session ne va pas se limiter seulement aux deux dossiers de la CENI et de la CNDH, elle s’apesantira également sur les accords interantionaux , régionaux et nationaux que la RD Congo a signés. Par exemple : la relecture de l’Accord-cadre du 24 février mal compris par certains politiciens en mal de positionnement. Cet exercice parlementaire est d’autant plus important dans cette période difficile que traverse la RD Congo.
Guillaume Soro, invité de marque de l’Assemblée nationale
Sauf changement de dernière minute, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro va fouler le sol congolais, ce jeudi 14 mars par l’aéroport international de N’Djili. A sa descente d’avion, le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro va tenir un point de presse. Son arrivée a été annoncée lors de l’audience accordée par le président de l’Assemblée nationale Aubin Minaku à l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire la semaine dernière.
La visite de Guillaume Soro entre dans le cadre de la diplomatie parlementaire entre les deux pays post-conflit. Celui-ci va assister à l’ouverture de la session de mars 2013 et tiendra un discours comme à l’accoutumée, et à l’usage protocolaire. L’on sait combien, le Président ivoirien Alassane Draman Ouattara s’est impliqué pour la tenue du 14ième Sommet de la Francophonie en Afrique centale, plus précisement en République Démocratique du Congo. Cette implication se poursuit par la diplomatie parlementaire entre les deux institutions parlementaires.
L’Avenir