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RDC: dialogue sans Kabila entre les autorités et le M23 à Kampala

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RDC - 
Article publié le : mercredi 05 décembre 2012 - Dernière modification le : jeudi 06 décembre 2012

RDC: dialogue sans Kabila entre les autorités et le M23 à Kampala

La rébellion congolaise du M23 se retirant de Sake, à 35 km de Goma, le 30 novembre 2012.
La rébellion congolaise du M23 se retirant de Sake, à 35 km de Goma, le 30 novembre 2012.
REUTERS/Goran Tomasevic

Après le retrait du M23 de Goma, ville clé de l’est de la République démocratique du Congo, un premier dialogue doit réunir à Kampala les autorités congolaises et les rebelles, sans le président Joseph Kabila, jeudi 6 décembre au soir ou vendredi matin.

« Ce dossier est très, très délicat », confie une source de la présidence en République démocratique du Congo. Selon elle, mardi en début de soirée, les discussions « battaient leur plein » pour trancher sur une question : le président Joseph Kabila doit-il se rendre à Kampala pour rencontrer une délégation du Mouvement du 23-Mars (M23), que l’armée combat depuis mai dans la riche province du Nord-Kivu (est) ?
Le 20 novembre, les rebelles se sont emparés de Goma, la capitale provinciale. Réunie en sommet le 24 novembre à Kampala, la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) a demandé au M23 de quitter la ville et de retourner sur ses positions initiales, adossées au Rwanda et à l’Ouganda. En contrepartie, le président Kabila devait « écouter, évaluer et satisfaire les revendications légitimes ».
Alors que le jour du dialogue n’est pas encore fixé, la source présidentielle annonce que le chef de l’Etat « n’est pas du voyage ». « Aucune disposition ne disait que le président Kabila devait être lui-même présent, renchérit un cadre de la présidence. On a voulu trop personnaliser, et à tort, cette affaire. C’est le gouvernement qui avait signé les accords du 23 mars 2009 », dont les rebelles revendiquent la pleine application.
Aussi, indique-t-on à la présidence, « l’opinion publique est assez divisée sur cette question. Déjà, elle n’avait pas beaucoup aimé qu’il se rende à Kampala » pour le sommet de la CIRGL, présidé par l’Ouganda, médiatrice de la crise dans l’Est congolais. « On doit (…) éradiquer le M23, pas négocier avec lui ou le légitimer comme cela a été fait par la CIRGL », a par exemple martelé Omar Kavota, vice-président de la société civile du Nord-Kivu.
Son animosité est d’autant plus forte qu’il considère l’Ouganda juge et partie. La société civile du Nord-Kivu a en effet plusieurs fois dénoncé l’entrée en RDC de troupes ougandaises venues prêter main forte au M23. Des experts de l’ONU accusent aussi ce pays, et le Rwanda, de soutenir les rebelles – ce que réfutent Kampala et Kigali. Ils affirment par ailleurs que les deux voisins ont appuyé le M23 dans son offensive pour prendre Goma.
Jusque-là, Kinshasa écartait toute discussion avec le M23. Mais, en marge du sommet, le chef de l’Etat congolais a rencontré pour la première fois le président de la branche politique du M23, Jean-Marie Runiga. Ce dernier a revendiqué la pleine application des accords du 23 mars 2009, qui ont régi l’intégration dans l’armée du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), la rébellion dont sont issus la plupart des combattants du M23.
Le chef rebelle a ajouté d’autres doléances et exigé un dialogue « direct » avec Joseph Kabila. « Nous en restons aux spécifications de cette déclaration des chefs d'Etat : 1) écouter le M23, 2) les écouter sur base de ce qui a provoqué leur création, c'est-à-dire la prétendue non-exécution des accords de 2009 », rétorquait fin novembre Lambert Mende, porte-parole du gouvernement.
Samedi, le M23 s’est retiré de Goma et, dès le lendemain, les rebelles s’impatientaient. « Il faut que Kabila se prononce sur un cessez-le-feu rapidement, et qu’il parle avec nous, a déclaré le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, porte-parole militaire du groupe armé. Il ne parle pas, il ne communique pas ! On dirait que pour lui, comme on s’est retiré de Goma, c’est terminé, le dossier est clos. »
Pas clos, mais de plus en plus compliqué. Mercredi, la formation de la délégation congolaise virait toujours au casse-tête. On évoque le départ de quatre membres du Sénat et du Parlement, et du ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda. Mais rien de figé. « Actuellement, la classe politique et les forces vives, y compris l’opposition, ne veulent plus laisser l’initiative du dialogue au seul président », explique la source présidentielle.
L’opposition parlementaire a annoncé qu’elle ne se rendrait pas à Kampala, mais là encore, rien ne semble définitif. « On est encore en discussion avec les autorités », a assuré en début d’après-midi Samy Badibanga. Ce député préside le groupe parlementaire de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le principal parti d’opposition qui a rejeté en 2011 la réélection de Joseph Kabila.

Le Sénat américain gèle les avoirs et interdit les visas aux terroristes du M.23 et à ceux qui les soutiennent

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Kinshasa, 05/12/2012 / Politique
Le gangstérisme et le vandalisme des terroristes du M.23 vus sur les images du monde se pavanant d’emporter le butin de leurs pillages à Goma ont constitué un tel scandale que le Sénat de la plus grande puissance de la planète a tout simplement décrété le gel des avoirs et visas de cette dernière engeance des barbares de notre temps et leurs complices
Tout en saluant cette initiative louable du Sénat américain, l’on doit cesser avec la langue de bois et citer nommément le Rwanda et l’Ouganda dont le soutien aux rebelles du M23 a été démontré plus d’une fois noir sur blanc par les experts des Nations Unies.

Le Sénat américain a adopté à l’unanimité un amendement le jeudi le 29 novembre 2012 imposant des sanctions à ceux qui fournissent des ressources financières, matérielles, ou de soutien technologique au groupe rebelle M23 en République démocratique du Congo. Cet amendement 3199 de la National Defense Authorization Act (NDAA), a été introduit par les sénateurs Dick Durbin (D-Ill.), Chris Coons (D-Del.), Barbara Boxer (Californie), John Boozman (R-Ark.), Sherrod Brown (D-Ohio), et Jim Inhofe (R-Okla.).

« Le M23 a fait preuve d’un mépris inacceptable pour la vie humaine et de l’intégrité territoriale du Congo et semble déterminé à couler l’Afrique centrale dans une spirale mortelle, la guerre dévastatrice qui pourrait mettre la région par terre », a indiqué le sénateur Coons. « Les actions des rebelles du M23, ainsi que ceux qui les aident et les encouragent sont déplorables et doivent être arrêtés immédiatement.

Ces sanctions sont conçues pour arrêter le support illicite et dangereux que le M23 reçoit de ceux qui cherchent à déstabiliser la région. Je félicite le sénateur Durbin pour avoir pris l’initiative de cet amendement, et je suis heureux que le Sénat ait parlé d’une seule voix à l’unanimité l’appui de son passage. " Notons que le sénateur Coons est président du Sous-comité des relations étrangères du Sénat sur les affaires africaines.

Les rebelles dirigés par les criminels de guerre

« La guerre civile dans l’Est du Congo est le conflit le plus meurtrier depuis la Seconde Guerre mondiale et sa barbarie défie toute description », a déclaré le sénateur Durbin. « La semaine dernière, une des forces rebelles bien armée a occupé la ville de Goma et a jeté leur dévolu sur Kinshasa, capitale du Congo ».

« Les rebelles, connus pour leur violence brutale sont dirigés par des criminels de guerre ont le potentiel de déstabiliser la nation toute entière. Alors que la violence continue d’augmenter, il est clair que les rebelles bénéficient de l’appui stratégique et du matériel des forces extérieures. Cet amendement gèle les avoirs et met en œuvre une interdiction de visa pour toute personne fournissant un appui aussi troublant aux rebelles. Notre objectif est de hâter la fin de la violence en affamant les rebelles de leurs principales lignes de soutien ».

Pour rappel, le sénateur Durbin est membre du sous-comité des relations étrangères du Sénat sur les affaires africaines.

Il sied de souligner que l’Est du Congo est en proie à la guerre civile depuis plus de deux décennies. La lutte pour le contrôle des ressources minérales de la vaste région, les conflits ont tué des millions de civils innocents et soumis à des niveaux inqualifiables de violence, notamment le viol comme arme de guerre. Connue comme la « capitale mondiale du viol », environ 1.000 femmes sont agressées chaque jour - soit près de 12 % de toutes les femmes au Congo. Le conflit est aussi marqué par l’utilisation des enfants soldats et la violence sanglante et brutale infligée aux populations civiles.

Un mot sur le M23

Le M23 est un groupe rebelle composé en grande partie de transfuges de l’armée congolaise. Le groupe s’est emparé de la ville de Goma en République démocratique du Congo le 20 novembre dernier. Et malgré le retrait intervenu le week-end dernier, le M23 se trouve à moins de 5 Km de la ville de Goma.

Selon un rapport publié par le Groupe d’Experts des Nations Unies, le groupe rebelle du M23 a bénéficié d’une aide significative à partir du Rwanda voisin.

La semaine dernière, le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté une résolution demandant au M23 de désarmer, de se dissoudre, et de rendre le contrôle de Goma entre les mains du gouvernement congolais. Il a aussi réclamé d’imposer des sanctions sévères au M23 et à ses partisans. Lundi dernier, l’Union africaine a déclaré qu’il envisageait de déployer une force internationale composée d’un contingent tanzanien pour superviser le retrait du M23.

Cesser avec la langue de bois

Il est vrai que les rebelles du M23 ainsi que leurs leaders ont déjà été condamnés par la communauté internationale. Ces sanctions adoptées par le Sénat américain sont les bienvenues, pendant que le M23 semble être blanchi et est même invité à la table des négociations avec le Gouvernement de la Rd Congo.

Le rapport des experts des Nations Unies a démontré comment les deux pays que sont l’Ouganda et le Rwanda apportent leur soutien aux rebelles du M23. S’il y a des sanctions, elles toucheraient d’abord les deux pays. Pendant combien de temps continuera-t-on à ne parler que du soutien extérieur sans pour autant citer nommément le Rwanda et l’Ouganda ? Et ce, lorsqu’on sait que le M23 n’est qu’une marionnette dont les deux pays se servent afin de continuer le pillage des ressources naturelles de la région et perpétuer la guerre.

Ceci pour dire qu’on n’aura rien, si l’on ne parvient pas à dissuader le Rwanda et l’Ouganda de leurs plans machiavéliques qui déstabilisent toute la Région des Grands Lacs. Il est connu que les Etats-Unis et la Grande Bretagne sont les deux soutiens sûrs du Rwanda. Il va seulement falloir que les deux puissances haussent le ton et adoptent des sanctions exemplaires pour obliger les jaloux Kagame et Museveni à ne plus déstabiliser leur voisin.

En tout cas, les Congolais et tous ceux qui sont épris de paix sont fatigués du jeu de certains partenaires de la communauté internationale qui jouent le chaud et le froid pour endormir l’opinion. Tous ceux qui soutiennent ces deux pays cités ci-dessus doivent cesser. A défaut, ils doivent subir le même sort pour complicité. On en a marre.

L’Avenir

Le Sénat américain gèle les avoirs et interdit les visas aux terroristes du M.23 et à ceux qui les soutiennent

Newsletter 7sur7.cd du 05/12/2012

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Jeudi 6 décembre 2012 3h44

MATATA CACHE DES CONTRATS MINIERS: FMI s’en va, argentiers fautifs


Photo d'archives

A la base du divorce, le manque de transparence dans la cession de 25% de participation de la GECAMINES dans COMIDE à Straker International et la vente à USD 70 millions d’un gisement riche en cuivre et cobalt aussitôt revendu à la bourse à plus d’USD 350 millions par ses repreneurs ! C’est une bombe. Un deuxième deuil porté par les RD-Congolais deux semaines après la prise de Goma par les rebelles du M23 : le Fond monétaire international -FMI- a arrêté son programme, le PEG 2, avec le gouvernement RD-congolais.Lire la suite

Malgré la décision de Nemoyato, les prix des boissons n’ont pas baissé




Il y a quelques semaines, les sociétés brassicoles exerçant en RD-Congo avaient décidé de hausser les prix de leurs produits en arguant sur la hausse de la Taxe sur la valeur ajoutée -TVA- et la hausse des prix des matières premières comme le malt. En réaction â ce changement des prix, le ministre de l’Economie Jean Paul Nemoyato a demandé aux deux principales brasseries de la capitale RDCongolaise de revoir à la baisse les prix des boissons. Lire la suite

4 Congolais en grève de la faim à Paris contre la guerre




Depuis samedi 1er décembre, un groupe de quatre Congolais a entamé une grève de la faim devant l’église du Sacré Coeur à Paris. Ils dénoncent la guerre meurtrière en République démocratique du Congo (RDC) et demandent la création d’un Tribunal pénal international pour les crimes au Congo.
Déjà quatre jours de grève de la faim pour Pierrot, Hervé, Nicole et Angélique, quatre jeunes Congolais du RNC (1). 
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Les observations du CSAC



A Monsieur le Directeur de publication du quotidien «Le Phare»
C/° n°3392, Avenue Colonel Lukusa
à Kinshasa/Gombe

Monsieur le Directeur,

Les membres de l’Assemblée plénière et du Bureau du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) ont lu avec intérêt l’article intitulé «Les Nations Unies protestent contre la décision de suspension de Radio Okapi pale CSAC» publié à là page 5 de votre édition du lundi 03 décembre 2012 et nous chargent de porter à votre connaissance tes informations ci-dessous, Lire la suite

Accord du 23 mars : Portes et fenêtres de la RDC ouvertes aux « voisins »




Le Sénat monte la voie du débat … l’Assemblée Nationale disqualifiée. Perçu jusque-là comme un tabou, l’Accord du 23 mars 2009 conclu par le gouvernement congolais et la rébellion du CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple), effacé au mois d’avril 2012 par le M23 qui assume désormais son actif et son passif, a fini par être discuté publiquement le lundi 03 novembre 2012 à la tribune du Sénat Grâce à la question orale avec débat adressée par le sénateur Mokonda Bonza au gouvernement, de nombreuses langues se sont déliées.
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Hier à la Haute Cour Militaire - Chebeya : polémique sur la citation des fugitifs




La querelle sur la citation régulière des trois fugitifs cités dans l’assassinat de l’activiste des droits humains, Floribert Chebeya, s’est poursuivie hier mardi 4 décembre 2012 à la Prison centrale de Makala, malgré l’arrêt avant dire droit rendu par la Haute Cour Militaire(HCM). Par la bouche de son président, le colonel Emmanuel Nsimba, la HCM a, à cet effet, déclaré recevable,Lire la suite

Réévaluation ou négociations de l’accord du 23 mars - Sasssou Nguesso pressenti successeur de Museveni




Le chef de l’Etat du Congo-Brazzaville va prendre la relève de son homologue ougandais Yoweri MUSEVENI pour servir de médiateur entre le M23 et les autres forces sociopolitiques de la RDC dans le cadre de la réévaluation ou négociations sur l’accord signé le 23 mars 2009 à Goma et qui est à l’origine de la guerre actuelle.Lire la suite

Déclaration de l’Association « Les victimes du Kivu » relative à l’éventuelle négociation politique entre la RDC et le M23



Ampliation à la/au/aux :
1.Président et Membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies
2.Chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres des Nations Unies
3.Secrétaire Général des Nations Unies
4.Membres du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaineLire la suite

Liste non exhaustive des groupes armés opérationnels dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu




I.GROUPES ARMES NATIONAUX AU NORD-KIVU ET AU SUD-KIVU

01)MAY MAY APCLS -Alliance des Patriotes pour un Congo Libre et Souverain, (Masisi, Walikale), Nord-Kivu, du Lieutenant- Général Janvier BUINGO Karairi;
02) MAY MAY - FDC- Forces de défense congolaises, ex GUIDE (Walikale), Nord- Kivu, du colonel Luanda Butsi
03) MAY MAY-KIFUAFUA (Ufamandu) Sud-Kivu et (Ziralo), Nord-KivuLire la suite

Négociations avec le M23: Des délégués de Kinshasa ce mercredi à Kampala




L’UDPS se dit non concernée par cette messe noire !
Les négociations avec le mouvement rebelle M23 commencent aujourd’hui mercredi 05 décembre 2012 à Kampala, la capitale de la République de l’Ouganda, ont indiqué les sources gouvernementales congolaises. Les délégués des institutions de la RD Congo sont donc attendus dans cette ville pour prendre part au dialogue.Lire la suite

Assemblée nationale: Le ministre délégué aux Finances présente 2 lois « confuses et lacunaires »




Il s’agit du projet de loi relatif au crédit-bail, et du projet de loi portant code des assurances. Le député national Henri Thomas Lokondo a déclaré, hier mardi 4 décembre, que le ministre délégué près le 1er ministre, en charge des Finances, a présenté, au cours de la séance plénière de l’Assemblée nationale, deux lois trop techniques et difficiles à comprendre.Lire la suite

D’après le Renadhoc : Plus de 15 Jeeps de Mme Olive Lembe Kabila emportées par les rebelles du M23




Le Renadhoc s‘oppose aux négociations directes entre Kinshasa et les hommes du Colonel Sultani Makenga. Le Réseau National des organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme du Congo (Renadhoc) a tenu hier mardi 4 décembre courant à son siège situé dans la commune de Barumbu à Kinshasa, pour faire le point de la situation au Nord-Kivu, caractérisée par les violations graves des droits de l’homme par les éléments du M23.Lire la suite

Kampala - Brazzaville: Kabila-M23 : Museveni facilite, Sassou joue à la médiation !




*Ils doivent fumer le calumet de la paix. Ils doivent préserver les populations civiles des affres de la guerre. Ils doivent, enfin, apprécier à sa juste valeur, l’intérêt général. Chacun des deux camps engagés dans la guerre est tenu d’abdiquer à ses revendications spécifiques, s’il faut aller plus loin, dans la quête de solutions à la crise qui lamine l’Est du pays, plus précisément au Nord et Sud-Kivu, à quelques encablures de festivités de fin de l’année 2012. Lire la suite

Carte sur table !




La ville Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, libérée depuis le vendredi dernier par les insurgés du mouvement du 23 mars, M23, la vie a repris et les populations ont commencé à vaquer paisiblement à leurs occupations, bien que timidement. C’est la conséquence des accords de Kampala, qui avait un autre point majeur, à savoir que les parties en conflit devaient se retrouver pour examiner les points qui achoppent.Lire la suite

Restructuration de la CENI: Les Députés se contredisent !



*Même dans une guerre, il y a, parfois, des moments de répit, de cessez-le-feu, pour évaluer froidement et en toute objectivité, la situation sur terrain ou pour faire la paix. Cela est loin, très loin d’être le cas, pour les dirigeants de la Ceni qui, sans retenue et discernement, sont la cible d\'attaques, de flèches piquetées, venant de toute part, de l’opposition comme, dans une certaine mesure, de la majorité. Lire la suite

Exactions et extorsions à Goma: Renadhoc appelle la CPI à poursuivre le M23 !



Le Réseau National des ONGs des Droits de l’Homme de la République Démocratique du Congo (Renadhoc) a rendu public ce mardi 4 décembre 2012, son nouveau rapport portant sur les violations des droits de l’homme commises par le Mouvement du 23 mars (M23) dans la province du Nord-Kivu.Lire la suite

Amélioration du projet de loi relatif au crédit- bail : Simon Floribert Mbatshi met à la disposition de l’Assemblée des suggestions pertinentes !




Les députés nationaux qui ont siégé hier en plénière au Palais du peuple, ont échangé sur deux projets de loi relatifs au crédit - bail et aux assurances. Dans son intervention devant ses pairs, l’honorable Simon-Floribert Mbatshi Mbatshia, élu de la circonscription électorale de Lukula, district du Bas Fleuve, dans le Bas-Congo, a non seulement fait connaître ses inquiétudes,
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Le FMI coupe ses prêts à la RDC: Le Ministre Patrice Kitebi interpellé par le Sénat !




 Le Ministre délégué aux Finances, Patrice Kitebi est incessamment attendu à la Chambre haute du Parlement. Motif, répondre à la question orale initiée par l’Honorable Sénateur Emery Kalamba au sujet de la suspension du prêt de USD 240 millions américains par le Fonds Monétaire International (FMI). Cela, pour n’avoir pas publié des contrats miniers comme l’avait requis cette institution financière internationale.Lire la suite

Encore des sanctions contre le M23. Le Sénat américain gèle leurs avoirs et interdit les visas au M23 et à ceux qui les soutiennent




*Tout en saluant cette initiative louable du Sénat américain, l’on doit cesser avec la langue de bois et citer nommément le Rwanda et l’Ouganda dont le soutien aux rebelles du M23 a été démontré plus d’une fois noir sur blanc par les experts des Nations Unies. Le Sénat américain a adopté à l’unanimité un amendement le jeudi le 29 novembre 2012 imposant des sanctions à ceux qui fournissent des ressources financières, matérielles, Lire la suite

Jusqu’au 29 décembre prochain à la Halle de la Gombe. Une exposition photo présente les interventions du Pnud en Rdc




Prises en août et septembre dernier à Kinshasa, dans le Bandundu, le Kasaï-Oriental, les Kivus et en Ituri dans la province Orientale, ces photographies, des portraits en grande majorité, témoignent des projets mis en œuvre par le Pnud dans le cadre de son cycle de programmation 2008-2012 dont l’objectif est d’améliorer la vie des Congolaises et des Congolais.
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Kampala VI : La MP Extraparlementaire sera-t-elle oubliée ?




Cette annonce soulève la question de la participation de la Majorité Présidentielle en ce qui concerne la constitution de sa délégation. En effet, le Secrétariat Général de la Majorité Présidentielle n’accorde aucune attention, depuis un certain temps, aux partis politiques membres de la plate-forme présidentielle qui n’ont pas d’élus à l’Assemblée Nationale ni au Sénat. Tout se passe comme si ces partis politiques n’existent pas.
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Après la fin de l’épidémie d’Ebola en RDC. L’heure est au bilan de la gestion de la riposte




L’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola qui portera désormais le nom d’épidémie d’Ebola d’Isiro a pris officiellement fin le 23 novembre avec la Déclaration formelle du Ministre de la Santé publique. Au moins 34 décès auraient péri sur 62 cas enregistrés, soit une létalité de 55% et 13 agents du personnel de santé ont été touchées, soit 20% du chiffre total de personnes atteintes.
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Super Coupe de Kinshasa.Ac Real de Kinshasa sacré Super Champion de Kinshasa en battant aux tirs au but le Sc Rojolu 5-3 (2-2). • La Lifkin a procédé à la remise des trophées, brevets, soulier et sifflet d’or




Pourtant, Sc Rojolu champion de l’Entente provinciale de football de Kinshasa était le premier à ouvrir la marque à la 14è minute par Ntumba Badikolela. Avant que le capitaine Makamba de Real de Kinshasa n’égalise à la 25è minute sur penalty. A la 56è minute, l’Ac Real de Kinshasa a surpris Rojolu en marquant le 2è but par Kaya. Trois minutes plus tard, Rojolu revient au score par Tshusthu Ramazani. Lire la suite

Le sénateur Mokonda accuse le gouvernement de n’avoir « rien fait pour protéger Goma »


Le sénateur Florentin Mokonda Bonza a accusé lundi 3 décembre 2012 à Kinshasa le gouvernement de la République de n’ « avoir rien fait pour protéger la ville de Goma », capitale du Nord-Kivu. « Sur la chute de Goma et ses causes récentes et lointaines, le gouvernement semble n’avoir rien fait pour protéger la capitale du Nord-Kivu. Lire la suite

Le gouvernement congolais « satisfait » du retrait du M23 de Goma



Le gouvernement de la RD Congo s’est dit lundi 3 décembre à Kinshasa « satisfait » du retrait des troupes du M23 de la ville de Goma (Nord-Kivu), samedi 1er décembre. Il a également « dénoncé » l’attaque du camp de Mugunga III abritant 45.000 déplacés par « des hommes du M23 ».

« Selon les témoins, ces actes sont le fait des hommes du M23. Le gouvernement tient à rappeler qu’ils sont constitutifs de crimes contre l’humanité au regard du droit international humanitaire », a déclaré le porte-parole et ministre des Médias Lambert Mende Omalanga, dans un communiqué.

« Le gouvernement exprime en outre sa compassion envers les victimes et promet de faire de son mieux pour que ces actes ne restent pas impunis », a-t-il promis.

Des « hommes en tenue militaire » à Mugunga III

Le camp Mugunga III (à 7 km de Goma), a été attaqué durant « 2 heures » dans la nuit du samedi 1er décembre par des « hommes en tenue militaire, identifiés comme des rebelles du M23 », accusés d’avoir « violé 6 femmes, emporté des biens appartenant aux déplacés et emmenés de force au moins 12 jeunes pour transporter les butins ».

«Nous avons entendu des tirs dans la cité et nous étions surpris que les gens étaient déjà entrés dans le camp. Ils ont pillé dans chaque porte. Celui qui n’avait pas d’argent a donné son téléphone portable ou tout autre chose», a témoigné un déplacé cité par radiookapi.net.

« Nous continuons à demander la paix pour que nous puissions retrouver notre ancienne vie de chez nous », a déclaré Mme Charly Amunazo, présidente du camp des déplacés de Mugunga III.

Dans la même nuit, un groupe d’hommes armés ont emporté au moins 14 vaches, 70 chèvres et 30 moutons dans la localité de Rusayo où le corps d’un des voleurs, en tenue militaire, portant la mention FAC,  a été retrouvé le matin.

«Ce dernier aurait été tué par ses pairs lors du partage du butin», estime le chef de cette entité. Ce serait, selon plusieurs témoignages, les mêmes hommes qui ont pillé dans la nuit de samedi à dimanche un camp de déplacés ainsi que le village de Mugunga.

« Au quartier Mahyuta à Sake, tout le matériel de la radio locale Solidarité a été emporté par ces hommes armés », selon des sources de la région.

Les dessous des cartes de la prise de Goma par le M23/RDF



Intéressantes révélations: La prise précipitée de Goma par le M23/RDF livre ses secrets. La fin proche du règne des appuis haut perchés à Washington a obligé Kagame et Museveni à contraindre Kinshasa à la reconnaissance publique du M23 comme partie au conflit dans l’Est du territoire national. Par la même occasion, Kigali pouvait jouer à la Ponce Pilate dans le conflit dans l’Est de la RDC. Lire la suite

Kampala accueille les pourparlers directs entre Kinshasa et le M23



Le retrait du M23 étant désormais confirmé, Kinshasa a finalement accepté de rencontrer le M23. Ville choisie : Kampala, capitale ougandaise. Sauf imprévu de dernière minute, la délégation officielle qui inclut des membres de l’opposition institutionnelle et de la Société civile quitte Kinshasa aujourd’hui mercredi.
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FARDC : le premier bataillon commando de retour à Goma



Après le retrait des rebelles du Mouvement du 23 mars, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) regagnent la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu depuis le lundi 3 décembre. Elles avaient quitté cette ville, rappelle radiookapi.net, le mardi 20 novembre dernier, quelques heures avant l’entrée des rebelles.
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Général Olenga : des débuts Prometteurs




Sa nomination a été une surprise. Pas, dit-on, auprès de ceux qui connaissent les réalités de notre armée au sein de laquelle le général Olenga jouit d'un préjugé très favorable. On a pu s'en rendre compte qu'aussitôt nommé, il n'a pas perdu une seule seconde pour annoncer ses couleurs. Il a compris et c'est ce que nous aussi croyons avoir compris, que le vrai problème des FARDC, ce n'est pas le matériel pour faire la guerre.Lire la suite

Guerre au Nord-Kivu/Goma : la désolation, unique héritage du M23




Contraint par les fortes pressions exercées par la communauté internationale, le M23 a, à l’issue de deux semaines de siège, quitté la ville de Goma. Dans leurs véhicules, des biens meubles, matériels informatiques,…appartenant à l’administration publique et aux particuliers. Après avoir saccagé et vandalisé les édifices publics et les résidences de particuliers. De quoi irriter toute une population contrainte à une vie de calvaire pendant deux semaines.
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Dans une interview accordée à RFI, Aubin Minaku a déclaré : « les négociations avec le M23 sont «une question de jours»




En République démocratique du Congo, l’espoir renaît dans l’est du pays, après le retrait des rebelles du M23 de la ville de Goma. En échange de ce retrait, le régime du président Kabila va-t-il accepter de parler avec le M23 ? Explications et commentaires d’Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale congolaise en ligne de Kinshasa.
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A moins d’un changement aujourd’hui à Kampala, début des discussions Gouvernement-M23


Richard Muyej

A moins d’un changement qui interviendrait en dernière minute, Kinshasa, à travers son gouvernement, va entamer des discussions avec une délégation du mouvement rebelle M23 à Kampala, la capitale ougandaise. Ce dialogue avec le M23, intervient alors que les experts de l’ONU viennent de renouveler de graves accusations de soutien aux rebelles contre le Rwanda et l’Ouganda.
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Pour protester contre les crimes de guerre en RDC, Quatre Congolais entament une grève de la faim à Paris




Pierrot, Hervé, Nicole et Angélique, ce sont les quatre jeunes Congolais qui ont décidé, depuis samedi 1er décembre 2012, d’entamer une grève de la faim devant l’église du Sacré Cœur à Paris, dans le 18ème arrondissement. Ces Congolais dénoncent la guerre meurtrière en République démocratique du Congo et demandent la création d’un Tribunal pénal international pour les crimes au Congo.Lire la suite

4ème édition du festival Balabala ciné : Pari réussi pour Louis Vogt Voka




Les lampions se sont éteints sur  la 4ème édition du Festival Balabala  Ciné le 29 novembre dernier. La cérémonie de clôture a eu lieu à la hall de la Gombe en présence d'une foule nombreuse venue apprécier le talent du jeune cinéaste congolais Louis Vogt Voka. Dans son mot de circonstance, Louis Vogt Voka, directeur du festival a remercié l'ambassade de France pour son soutien à la réussite de cette 4ème édition ainsi que tous les réalisateurs venus de quelques pays d'Afrique.
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Après leur fermeture pendant une semaine, les banques et l'aéroport de Goma bientôt opérationnels




Goma libre, les activités commencent à reprendre leur cours normal. Il en est des banques et de l'aéroport de Goma qui vont bientôt être opérationnels après les affres de la guerre du M23. Le gouverneur du Nord-Kivu a annoncé cette décision à l'issue de la réunion du Comité urbain de sécurité présidée par le ministre national de l'Intérieur, Richard Muyej Mangez tenue mardi 4 décembre.
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Contre la flambée des prix alimentaires et la faim, la Banque mondiale s’engage pour le maintien des efforts




Depuis la crise financière internationale de 2008 qui a débouché sur une crise alimentaire, énergétique, économique, ….les prix des produits alimentaires connaissent une tendance à la  hausse sur le marché international. Conséquence : les pays importateurs des produits alimentaires font face à une inflation importée qui a une incidence négative sur les prix internes et aggrave la pauvreté.Lire la suite

Découpage municipal en vue : La commune de N'Djili passe de 13 à 19 quartiers



Comprenant à l'époque 7 quartiers, la commune de N'Djili qui est  passée avec le temps à 13, tend à s'élargir à 19. Cette perspective, apprend-on, s'inscrit dans la logique du découpage municipal.  Une disposition administrative visant à faciliter la gestion de certaines entités, au regard de la croissance de la population.

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Assainissement de la ville de Kinshasa : La commune de Ngiri-Ngiri dotée d'un nouveau centre de tri d'immondices




Un nouveau centre de tri d'immondices et déchets vient d'être érigé dans la commune de Ngiri-Ngiri, il est situé sur l'avenue Birmanie, entre les avenues Kola et Ngiri-Ngiri. La construction de ce centre de tri d'immondices et déchets, porte à deux ou trois le nombre de ces ouvrages dans la commune de Ngiri- Ngiri. Lire la suite

Linafoot /tournoi qualificatif : Le démarrage est annoncé pour le dimanche 16 décembre




En prévision du bon déroulement de son championnat pour cette saison sportive. La Ligue nationale de football (LINAFOOT) prévoit pour le dimanche 16 décembre prochain sur toute l'étendue de la République démocratique du Congo, le démarrage du tournoi qualificatif pour l'accession au championnat de la division 1.
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Trophées UFC 2012 : Trente trois nominés retenus pour onze meilleurs joueurs




Inspirée du trophée de la FIFA - FIFPRO mondial, l’Union des Footballeurs du Congo (UFC) a publié, le vendredi 30 novembre dernier, en son siège à Kinshasa, la liste de 33 nominés des «trophées UFC» de la saison sportive 2012, en raison des trois joueurs par poste, du gardien de but à l’avant centre.
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Nord-Kivu : le Rénadhoc regrette l'absence de progrès dans le secteur des droits de l'homme




Pour la plate-forme, la situation est restée préoccupante et s'est même fortement détériorée, surtout avec la nouvelle agression qu'a connue le pays. Dans un rapport synthèse rendu public le 4 décembre sur des violations des droits de l'homme commises par le M23, le Réseau national des ONG de défense des droits de l'homme du Congo (Rénadhoc) a dénoncé la provocation et l'accroissement des souffrances des populations civiles dans le Nord-Kivu. Lire la suite

Goma : la gestion post-conflit s'avère difficile



La ville meurtrie tente, après le départ des éléments du M23, de noyer son chagrin dans un timide regain de vitalité. La ville de Goma se remet, petit à petit, de sa torpeur après son occupation par les rebelles du M23. Les « Gomatraciens », qui ont retrouvé le sourire après l'évacuation des rebelles, tiennent à vite oublier les instants de traumatisme qu'ils ont vécus avec l'entrée des rebelles. Lire la suite

Interview. Benoit Yulama : « Nous aurons tort de ne pas croire en la personne du chef de l'État »




Défenseur inconditionné de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de la RDC, Benoit Yulama analyse sans état d'âme la situation dans l'est de la RDC et dénonce l'infiltration dont souffrent l'armée et une classe politique congolaise à la merci des intérêts étrangers. Il demeure pourtant confiant en l'avenir des Forces armées de la RDC et au retour de la paix.
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Est de la RDC : renforcement de l'appui de l'Union européenne aux personnes les plus touchées par les récentes violences




Une enveloppe supplémentaire de quinze millions d'euros vient d'être ajoutée à celle de soixante-cinq millions prévue pour l'aide humanitaire de la Commission pour l'année finissant. La Commission européenne (CE) travaille en collaboration avec les autorités budgétaires de l'Union européenne (UE) pour accroître son aide humanitaire dans l'est de la RDC et dans la région des Grands lacs. Lire la suite

Transport aérien : Arik Air lance son vol inaugural sur Kinshasa ce 5 décembre




Dans un communiqué rendu public le week-end dernier, l'entreprise nigériane annonce que la capitale de la RDC sera la troisième destination en Afrique centrale après Luanda et Douala. Le premier vol commercial est prévu pour ce mercredi  de l'aéroport international Murtala Muhammed de Lagos vers l'aéroport de Ndjili à Kinshasa. Lire la suite

Budget 2013 : augmentation salariale des fonctionnaires



L'annonce a été faite par le vice-Premier ministre et ministre du Budget, Daniel Mukoko,  au Sénat. Le budget pour l'exercice 2013 est déjà adopté par la chambre basse du Parlement. Il a atteint 7.468,2 milliards FC, avec des recettes supplémentaires de 495,2 milliards FC. Devant les membres de la chambre haute du Parlement, Daniel Mukoko Samba leur a fait part des efforts fournis par le gouvernement de la République Lire la suite

Restrictions : Banza Mukalay conditionne le contrat de sponsoring des équipes nationales




À travers une circulaire, l'autorité sportive gouvernementale impose l'organisation des matchs des compétitions nationales dans les stades appartenant à l'État ; et il conditionne la signature du contrat de sponsorisation des équipes nationales sportives à l'aval du gouvernement. Le ministre de la Jeunesse, Sports et Loisirs, Culture et Arts, Baudouin Banza Mukalay Sungu,Lire la suite

Hommage : coup de projecteur sur les mille et une facettes de Tabu Ley




L'exposition-photo ouverte au public depuis le 20 novembre au Centre Wallonie-Bruxelles engage les visiteurs à suivre, illustrations à l'appui, le brillant itinéraire d'un chanteur dont la musique n'a cessé d'emballer et d'inspirer les jeunes générations. Les Kinois ont jusqu'au 7 décembre pour découvrir et mieux s'imprégner des aspects particuliers du parcours hors du commun de l'artiste Pascal Sinamoyi, dit Tabu Ley Rochereau.Lire la suite

Troïka économique : consolidation de la stabilité macroéconomique



La réunion a brossé le tableau de la situation économique récente, le suivi du programme économique du gouvernement et la situation de la paie par voie bancaire. Sous la présidence du Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, la réunion de la troïka stratégique du 3 décembre a noté avec satisfaction la poursuite de la bancarisation pour les Forces armées de la RDC (Fardc)Lire la suite

Balabala ciné : le court métrage Ngitukulu fascine la Halle de la Gombe




Projeté en dernier à  la clôture de la quatrième édition du festival itinérant de films documentaires le 29 novembre à l'Institut français, la réalisation de Pepy Ndumba Wane a montré des images impressionnantes des prouesses quotidiennes de Rose Mata, une femme sans bras. Le tableau que le public a vu défiler les treize minutes du court métrage était saisissant. Lire la suite

Le FMI cesse ses prêts à la RDC



Le Fonds Monétaire International a suspendu 240 millions de dollars de prêts à la République démocratique du Congo, pour ne pas avoir publié des contrats miniers, comme l’avait requis l’organisation internationale.

Newsletter 7sur7.cd du 05/12/2012

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Jeudi 6 décembre 2012 3h44

MATATA CACHE DES CONTRATS MINIERS: FMI s’en va, argentiers fautifs


Photo d'archives

A la base du divorce, le manque de transparence dans la cession de 25% de participation de la GECAMINES dans COMIDE à Straker International et la vente à USD 70 millions d’un gisement riche en cuivre et cobalt aussitôt revendu à la bourse à plus d’USD 350 millions par ses repreneurs ! C’est une bombe. Un deuxième deuil porté par les RD-Congolais deux semaines après la prise de Goma par les rebelles du M23 : le Fond monétaire international -FMI- a arrêté son programme, le PEG 2, avec le gouvernement RD-congolais.Lire la suite

Malgré la décision de Nemoyato, les prix des boissons n’ont pas baissé




Il y a quelques semaines, les sociétés brassicoles exerçant en RD-Congo avaient décidé de hausser les prix de leurs produits en arguant sur la hausse de la Taxe sur la valeur ajoutée -TVA- et la hausse des prix des matières premières comme le malt. En réaction â ce changement des prix, le ministre de l’Economie Jean Paul Nemoyato a demandé aux deux principales brasseries de la capitale RDCongolaise de revoir à la baisse les prix des boissons. Lire la suite

4 Congolais en grève de la faim à Paris contre la guerre




Depuis samedi 1er décembre, un groupe de quatre Congolais a entamé une grève de la faim devant l’église du Sacré Coeur à Paris. Ils dénoncent la guerre meurtrière en République démocratique du Congo (RDC) et demandent la création d’un Tribunal pénal international pour les crimes au Congo.
Déjà quatre jours de grève de la faim pour Pierrot, Hervé, Nicole et Angélique, quatre jeunes Congolais du RNC (1). 
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Les observations du CSAC



A Monsieur le Directeur de publication du quotidien «Le Phare»
C/° n°3392, Avenue Colonel Lukusa
à Kinshasa/Gombe

Monsieur le Directeur,

Les membres de l’Assemblée plénière et du Bureau du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) ont lu avec intérêt l’article intitulé «Les Nations Unies protestent contre la décision de suspension de Radio Okapi pale CSAC» publié à là page 5 de votre édition du lundi 03 décembre 2012 et nous chargent de porter à votre connaissance tes informations ci-dessous, Lire la suite

Accord du 23 mars : Portes et fenêtres de la RDC ouvertes aux « voisins »




Le Sénat monte la voie du débat … l’Assemblée Nationale disqualifiée. Perçu jusque-là comme un tabou, l’Accord du 23 mars 2009 conclu par le gouvernement congolais et la rébellion du CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple), effacé au mois d’avril 2012 par le M23 qui assume désormais son actif et son passif, a fini par être discuté publiquement le lundi 03 novembre 2012 à la tribune du Sénat Grâce à la question orale avec débat adressée par le sénateur Mokonda Bonza au gouvernement, de nombreuses langues se sont déliées.
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Hier à la Haute Cour Militaire - Chebeya : polémique sur la citation des fugitifs




La querelle sur la citation régulière des trois fugitifs cités dans l’assassinat de l’activiste des droits humains, Floribert Chebeya, s’est poursuivie hier mardi 4 décembre 2012 à la Prison centrale de Makala, malgré l’arrêt avant dire droit rendu par la Haute Cour Militaire(HCM). Par la bouche de son président, le colonel Emmanuel Nsimba, la HCM a, à cet effet, déclaré recevable,Lire la suite

Réévaluation ou négociations de l’accord du 23 mars - Sasssou Nguesso pressenti successeur de Museveni




Le chef de l’Etat du Congo-Brazzaville va prendre la relève de son homologue ougandais Yoweri MUSEVENI pour servir de médiateur entre le M23 et les autres forces sociopolitiques de la RDC dans le cadre de la réévaluation ou négociations sur l’accord signé le 23 mars 2009 à Goma et qui est à l’origine de la guerre actuelle.Lire la suite

Déclaration de l’Association « Les victimes du Kivu » relative à l’éventuelle négociation politique entre la RDC et le M23



Ampliation à la/au/aux :
1.Président et Membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies
2.Chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres des Nations Unies
3.Secrétaire Général des Nations Unies
4.Membres du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaineLire la suite

Liste non exhaustive des groupes armés opérationnels dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu




I.GROUPES ARMES NATIONAUX AU NORD-KIVU ET AU SUD-KIVU

01)MAY MAY APCLS -Alliance des Patriotes pour un Congo Libre et Souverain, (Masisi, Walikale), Nord-Kivu, du Lieutenant- Général Janvier BUINGO Karairi;
02) MAY MAY - FDC- Forces de défense congolaises, ex GUIDE (Walikale), Nord- Kivu, du colonel Luanda Butsi
03) MAY MAY-KIFUAFUA (Ufamandu) Sud-Kivu et (Ziralo), Nord-KivuLire la suite

Négociations avec le M23: Des délégués de Kinshasa ce mercredi à Kampala




L’UDPS se dit non concernée par cette messe noire !
Les négociations avec le mouvement rebelle M23 commencent aujourd’hui mercredi 05 décembre 2012 à Kampala, la capitale de la République de l’Ouganda, ont indiqué les sources gouvernementales congolaises. Les délégués des institutions de la RD Congo sont donc attendus dans cette ville pour prendre part au dialogue.Lire la suite

Assemblée nationale: Le ministre délégué aux Finances présente 2 lois « confuses et lacunaires »




Il s’agit du projet de loi relatif au crédit-bail, et du projet de loi portant code des assurances. Le député national Henri Thomas Lokondo a déclaré, hier mardi 4 décembre, que le ministre délégué près le 1er ministre, en charge des Finances, a présenté, au cours de la séance plénière de l’Assemblée nationale, deux lois trop techniques et difficiles à comprendre.Lire la suite

D’après le Renadhoc : Plus de 15 Jeeps de Mme Olive Lembe Kabila emportées par les rebelles du M23




Le Renadhoc s‘oppose aux négociations directes entre Kinshasa et les hommes du Colonel Sultani Makenga. Le Réseau National des organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme du Congo (Renadhoc) a tenu hier mardi 4 décembre courant à son siège situé dans la commune de Barumbu à Kinshasa, pour faire le point de la situation au Nord-Kivu, caractérisée par les violations graves des droits de l’homme par les éléments du M23.Lire la suite

Kampala - Brazzaville: Kabila-M23 : Museveni facilite, Sassou joue à la médiation !




*Ils doivent fumer le calumet de la paix. Ils doivent préserver les populations civiles des affres de la guerre. Ils doivent, enfin, apprécier à sa juste valeur, l’intérêt général. Chacun des deux camps engagés dans la guerre est tenu d’abdiquer à ses revendications spécifiques, s’il faut aller plus loin, dans la quête de solutions à la crise qui lamine l’Est du pays, plus précisément au Nord et Sud-Kivu, à quelques encablures de festivités de fin de l’année 2012. Lire la suite

Carte sur table !




La ville Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, libérée depuis le vendredi dernier par les insurgés du mouvement du 23 mars, M23, la vie a repris et les populations ont commencé à vaquer paisiblement à leurs occupations, bien que timidement. C’est la conséquence des accords de Kampala, qui avait un autre point majeur, à savoir que les parties en conflit devaient se retrouver pour examiner les points qui achoppent.Lire la suite

Restructuration de la CENI: Les Députés se contredisent !



*Même dans une guerre, il y a, parfois, des moments de répit, de cessez-le-feu, pour évaluer froidement et en toute objectivité, la situation sur terrain ou pour faire la paix. Cela est loin, très loin d’être le cas, pour les dirigeants de la Ceni qui, sans retenue et discernement, sont la cible d\'attaques, de flèches piquetées, venant de toute part, de l’opposition comme, dans une certaine mesure, de la majorité. Lire la suite

Exactions et extorsions à Goma: Renadhoc appelle la CPI à poursuivre le M23 !



Le Réseau National des ONGs des Droits de l’Homme de la République Démocratique du Congo (Renadhoc) a rendu public ce mardi 4 décembre 2012, son nouveau rapport portant sur les violations des droits de l’homme commises par le Mouvement du 23 mars (M23) dans la province du Nord-Kivu.Lire la suite

Amélioration du projet de loi relatif au crédit- bail : Simon Floribert Mbatshi met à la disposition de l’Assemblée des suggestions pertinentes !




Les députés nationaux qui ont siégé hier en plénière au Palais du peuple, ont échangé sur deux projets de loi relatifs au crédit - bail et aux assurances. Dans son intervention devant ses pairs, l’honorable Simon-Floribert Mbatshi Mbatshia, élu de la circonscription électorale de Lukula, district du Bas Fleuve, dans le Bas-Congo, a non seulement fait connaître ses inquiétudes,
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Le FMI coupe ses prêts à la RDC: Le Ministre Patrice Kitebi interpellé par le Sénat !




 Le Ministre délégué aux Finances, Patrice Kitebi est incessamment attendu à la Chambre haute du Parlement. Motif, répondre à la question orale initiée par l’Honorable Sénateur Emery Kalamba au sujet de la suspension du prêt de USD 240 millions américains par le Fonds Monétaire International (FMI). Cela, pour n’avoir pas publié des contrats miniers comme l’avait requis cette institution financière internationale.Lire la suite

Encore des sanctions contre le M23. Le Sénat américain gèle leurs avoirs et interdit les visas au M23 et à ceux qui les soutiennent




*Tout en saluant cette initiative louable du Sénat américain, l’on doit cesser avec la langue de bois et citer nommément le Rwanda et l’Ouganda dont le soutien aux rebelles du M23 a été démontré plus d’une fois noir sur blanc par les experts des Nations Unies. Le Sénat américain a adopté à l’unanimité un amendement le jeudi le 29 novembre 2012 imposant des sanctions à ceux qui fournissent des ressources financières, matérielles, Lire la suite

Jusqu’au 29 décembre prochain à la Halle de la Gombe. Une exposition photo présente les interventions du Pnud en Rdc




Prises en août et septembre dernier à Kinshasa, dans le Bandundu, le Kasaï-Oriental, les Kivus et en Ituri dans la province Orientale, ces photographies, des portraits en grande majorité, témoignent des projets mis en œuvre par le Pnud dans le cadre de son cycle de programmation 2008-2012 dont l’objectif est d’améliorer la vie des Congolaises et des Congolais.
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Kampala VI : La MP Extraparlementaire sera-t-elle oubliée ?




Cette annonce soulève la question de la participation de la Majorité Présidentielle en ce qui concerne la constitution de sa délégation. En effet, le Secrétariat Général de la Majorité Présidentielle n’accorde aucune attention, depuis un certain temps, aux partis politiques membres de la plate-forme présidentielle qui n’ont pas d’élus à l’Assemblée Nationale ni au Sénat. Tout se passe comme si ces partis politiques n’existent pas.
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Après la fin de l’épidémie d’Ebola en RDC. L’heure est au bilan de la gestion de la riposte




L’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola qui portera désormais le nom d’épidémie d’Ebola d’Isiro a pris officiellement fin le 23 novembre avec la Déclaration formelle du Ministre de la Santé publique. Au moins 34 décès auraient péri sur 62 cas enregistrés, soit une létalité de 55% et 13 agents du personnel de santé ont été touchées, soit 20% du chiffre total de personnes atteintes.
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Super Coupe de Kinshasa.Ac Real de Kinshasa sacré Super Champion de Kinshasa en battant aux tirs au but le Sc Rojolu 5-3 (2-2). • La Lifkin a procédé à la remise des trophées, brevets, soulier et sifflet d’or




Pourtant, Sc Rojolu champion de l’Entente provinciale de football de Kinshasa était le premier à ouvrir la marque à la 14è minute par Ntumba Badikolela. Avant que le capitaine Makamba de Real de Kinshasa n’égalise à la 25è minute sur penalty. A la 56è minute, l’Ac Real de Kinshasa a surpris Rojolu en marquant le 2è but par Kaya. Trois minutes plus tard, Rojolu revient au score par Tshusthu Ramazani. Lire la suite

Le sénateur Mokonda accuse le gouvernement de n’avoir « rien fait pour protéger Goma »


Le sénateur Florentin Mokonda Bonza a accusé lundi 3 décembre 2012 à Kinshasa le gouvernement de la République de n’ « avoir rien fait pour protéger la ville de Goma », capitale du Nord-Kivu. « Sur la chute de Goma et ses causes récentes et lointaines, le gouvernement semble n’avoir rien fait pour protéger la capitale du Nord-Kivu. Lire la suite

Le gouvernement congolais « satisfait » du retrait du M23 de Goma



Le gouvernement de la RD Congo s’est dit lundi 3 décembre à Kinshasa « satisfait » du retrait des troupes du M23 de la ville de Goma (Nord-Kivu), samedi 1er décembre. Il a également « dénoncé » l’attaque du camp de Mugunga III abritant 45.000 déplacés par « des hommes du M23 ».

« Selon les témoins, ces actes sont le fait des hommes du M23. Le gouvernement tient à rappeler qu’ils sont constitutifs de crimes contre l’humanité au regard du droit international humanitaire », a déclaré le porte-parole et ministre des Médias Lambert Mende Omalanga, dans un communiqué.

« Le gouvernement exprime en outre sa compassion envers les victimes et promet de faire de son mieux pour que ces actes ne restent pas impunis », a-t-il promis.

Des « hommes en tenue militaire » à Mugunga III

Le camp Mugunga III (à 7 km de Goma), a été attaqué durant « 2 heures » dans la nuit du samedi 1er décembre par des « hommes en tenue militaire, identifiés comme des rebelles du M23 », accusés d’avoir « violé 6 femmes, emporté des biens appartenant aux déplacés et emmenés de force au moins 12 jeunes pour transporter les butins ».

«Nous avons entendu des tirs dans la cité et nous étions surpris que les gens étaient déjà entrés dans le camp. Ils ont pillé dans chaque porte. Celui qui n’avait pas d’argent a donné son téléphone portable ou tout autre chose», a témoigné un déplacé cité par radiookapi.net.

« Nous continuons à demander la paix pour que nous puissions retrouver notre ancienne vie de chez nous », a déclaré Mme Charly Amunazo, présidente du camp des déplacés de Mugunga III.

Dans la même nuit, un groupe d’hommes armés ont emporté au moins 14 vaches, 70 chèvres et 30 moutons dans la localité de Rusayo où le corps d’un des voleurs, en tenue militaire, portant la mention FAC,  a été retrouvé le matin.

«Ce dernier aurait été tué par ses pairs lors du partage du butin», estime le chef de cette entité. Ce serait, selon plusieurs témoignages, les mêmes hommes qui ont pillé dans la nuit de samedi à dimanche un camp de déplacés ainsi que le village de Mugunga.

« Au quartier Mahyuta à Sake, tout le matériel de la radio locale Solidarité a été emporté par ces hommes armés », selon des sources de la région.

Les dessous des cartes de la prise de Goma par le M23/RDF



Intéressantes révélations: La prise précipitée de Goma par le M23/RDF livre ses secrets. La fin proche du règne des appuis haut perchés à Washington a obligé Kagame et Museveni à contraindre Kinshasa à la reconnaissance publique du M23 comme partie au conflit dans l’Est du territoire national. Par la même occasion, Kigali pouvait jouer à la Ponce Pilate dans le conflit dans l’Est de la RDC. Lire la suite

Kampala accueille les pourparlers directs entre Kinshasa et le M23



Le retrait du M23 étant désormais confirmé, Kinshasa a finalement accepté de rencontrer le M23. Ville choisie : Kampala, capitale ougandaise. Sauf imprévu de dernière minute, la délégation officielle qui inclut des membres de l’opposition institutionnelle et de la Société civile quitte Kinshasa aujourd’hui mercredi.
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FARDC : le premier bataillon commando de retour à Goma



Après le retrait des rebelles du Mouvement du 23 mars, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) regagnent la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu depuis le lundi 3 décembre. Elles avaient quitté cette ville, rappelle radiookapi.net, le mardi 20 novembre dernier, quelques heures avant l’entrée des rebelles.
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Général Olenga : des débuts Prometteurs




Sa nomination a été une surprise. Pas, dit-on, auprès de ceux qui connaissent les réalités de notre armée au sein de laquelle le général Olenga jouit d'un préjugé très favorable. On a pu s'en rendre compte qu'aussitôt nommé, il n'a pas perdu une seule seconde pour annoncer ses couleurs. Il a compris et c'est ce que nous aussi croyons avoir compris, que le vrai problème des FARDC, ce n'est pas le matériel pour faire la guerre.Lire la suite

Guerre au Nord-Kivu/Goma : la désolation, unique héritage du M23




Contraint par les fortes pressions exercées par la communauté internationale, le M23 a, à l’issue de deux semaines de siège, quitté la ville de Goma. Dans leurs véhicules, des biens meubles, matériels informatiques,…appartenant à l’administration publique et aux particuliers. Après avoir saccagé et vandalisé les édifices publics et les résidences de particuliers. De quoi irriter toute une population contrainte à une vie de calvaire pendant deux semaines.
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Dans une interview accordée à RFI, Aubin Minaku a déclaré : « les négociations avec le M23 sont «une question de jours»




En République démocratique du Congo, l’espoir renaît dans l’est du pays, après le retrait des rebelles du M23 de la ville de Goma. En échange de ce retrait, le régime du président Kabila va-t-il accepter de parler avec le M23 ? Explications et commentaires d’Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale congolaise en ligne de Kinshasa.
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A moins d’un changement aujourd’hui à Kampala, début des discussions Gouvernement-M23


Richard Muyej

A moins d’un changement qui interviendrait en dernière minute, Kinshasa, à travers son gouvernement, va entamer des discussions avec une délégation du mouvement rebelle M23 à Kampala, la capitale ougandaise. Ce dialogue avec le M23, intervient alors que les experts de l’ONU viennent de renouveler de graves accusations de soutien aux rebelles contre le Rwanda et l’Ouganda.
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Pour protester contre les crimes de guerre en RDC, Quatre Congolais entament une grève de la faim à Paris




Pierrot, Hervé, Nicole et Angélique, ce sont les quatre jeunes Congolais qui ont décidé, depuis samedi 1er décembre 2012, d’entamer une grève de la faim devant l’église du Sacré Cœur à Paris, dans le 18ème arrondissement. Ces Congolais dénoncent la guerre meurtrière en République démocratique du Congo et demandent la création d’un Tribunal pénal international pour les crimes au Congo.Lire la suite

4ème édition du festival Balabala ciné : Pari réussi pour Louis Vogt Voka




Les lampions se sont éteints sur  la 4ème édition du Festival Balabala  Ciné le 29 novembre dernier. La cérémonie de clôture a eu lieu à la hall de la Gombe en présence d'une foule nombreuse venue apprécier le talent du jeune cinéaste congolais Louis Vogt Voka. Dans son mot de circonstance, Louis Vogt Voka, directeur du festival a remercié l'ambassade de France pour son soutien à la réussite de cette 4ème édition ainsi que tous les réalisateurs venus de quelques pays d'Afrique.
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Après leur fermeture pendant une semaine, les banques et l'aéroport de Goma bientôt opérationnels




Goma libre, les activités commencent à reprendre leur cours normal. Il en est des banques et de l'aéroport de Goma qui vont bientôt être opérationnels après les affres de la guerre du M23. Le gouverneur du Nord-Kivu a annoncé cette décision à l'issue de la réunion du Comité urbain de sécurité présidée par le ministre national de l'Intérieur, Richard Muyej Mangez tenue mardi 4 décembre.
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Contre la flambée des prix alimentaires et la faim, la Banque mondiale s’engage pour le maintien des efforts




Depuis la crise financière internationale de 2008 qui a débouché sur une crise alimentaire, énergétique, économique, ….les prix des produits alimentaires connaissent une tendance à la  hausse sur le marché international. Conséquence : les pays importateurs des produits alimentaires font face à une inflation importée qui a une incidence négative sur les prix internes et aggrave la pauvreté.Lire la suite

Découpage municipal en vue : La commune de N'Djili passe de 13 à 19 quartiers



Comprenant à l'époque 7 quartiers, la commune de N'Djili qui est  passée avec le temps à 13, tend à s'élargir à 19. Cette perspective, apprend-on, s'inscrit dans la logique du découpage municipal.  Une disposition administrative visant à faciliter la gestion de certaines entités, au regard de la croissance de la population.

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Assainissement de la ville de Kinshasa : La commune de Ngiri-Ngiri dotée d'un nouveau centre de tri d'immondices




Un nouveau centre de tri d'immondices et déchets vient d'être érigé dans la commune de Ngiri-Ngiri, il est situé sur l'avenue Birmanie, entre les avenues Kola et Ngiri-Ngiri. La construction de ce centre de tri d'immondices et déchets, porte à deux ou trois le nombre de ces ouvrages dans la commune de Ngiri- Ngiri. Lire la suite

Linafoot /tournoi qualificatif : Le démarrage est annoncé pour le dimanche 16 décembre




En prévision du bon déroulement de son championnat pour cette saison sportive. La Ligue nationale de football (LINAFOOT) prévoit pour le dimanche 16 décembre prochain sur toute l'étendue de la République démocratique du Congo, le démarrage du tournoi qualificatif pour l'accession au championnat de la division 1.
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Trophées UFC 2012 : Trente trois nominés retenus pour onze meilleurs joueurs




Inspirée du trophée de la FIFA - FIFPRO mondial, l’Union des Footballeurs du Congo (UFC) a publié, le vendredi 30 novembre dernier, en son siège à Kinshasa, la liste de 33 nominés des «trophées UFC» de la saison sportive 2012, en raison des trois joueurs par poste, du gardien de but à l’avant centre.
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Nord-Kivu : le Rénadhoc regrette l'absence de progrès dans le secteur des droits de l'homme




Pour la plate-forme, la situation est restée préoccupante et s'est même fortement détériorée, surtout avec la nouvelle agression qu'a connue le pays. Dans un rapport synthèse rendu public le 4 décembre sur des violations des droits de l'homme commises par le M23, le Réseau national des ONG de défense des droits de l'homme du Congo (Rénadhoc) a dénoncé la provocation et l'accroissement des souffrances des populations civiles dans le Nord-Kivu. Lire la suite

Goma : la gestion post-conflit s'avère difficile



La ville meurtrie tente, après le départ des éléments du M23, de noyer son chagrin dans un timide regain de vitalité. La ville de Goma se remet, petit à petit, de sa torpeur après son occupation par les rebelles du M23. Les « Gomatraciens », qui ont retrouvé le sourire après l'évacuation des rebelles, tiennent à vite oublier les instants de traumatisme qu'ils ont vécus avec l'entrée des rebelles. Lire la suite

Interview. Benoit Yulama : « Nous aurons tort de ne pas croire en la personne du chef de l'État »




Défenseur inconditionné de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de la RDC, Benoit Yulama analyse sans état d'âme la situation dans l'est de la RDC et dénonce l'infiltration dont souffrent l'armée et une classe politique congolaise à la merci des intérêts étrangers. Il demeure pourtant confiant en l'avenir des Forces armées de la RDC et au retour de la paix.
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Est de la RDC : renforcement de l'appui de l'Union européenne aux personnes les plus touchées par les récentes violences




Une enveloppe supplémentaire de quinze millions d'euros vient d'être ajoutée à celle de soixante-cinq millions prévue pour l'aide humanitaire de la Commission pour l'année finissant. La Commission européenne (CE) travaille en collaboration avec les autorités budgétaires de l'Union européenne (UE) pour accroître son aide humanitaire dans l'est de la RDC et dans la région des Grands lacs. Lire la suite

Transport aérien : Arik Air lance son vol inaugural sur Kinshasa ce 5 décembre




Dans un communiqué rendu public le week-end dernier, l'entreprise nigériane annonce que la capitale de la RDC sera la troisième destination en Afrique centrale après Luanda et Douala. Le premier vol commercial est prévu pour ce mercredi  de l'aéroport international Murtala Muhammed de Lagos vers l'aéroport de Ndjili à Kinshasa. Lire la suite

Budget 2013 : augmentation salariale des fonctionnaires



L'annonce a été faite par le vice-Premier ministre et ministre du Budget, Daniel Mukoko,  au Sénat. Le budget pour l'exercice 2013 est déjà adopté par la chambre basse du Parlement. Il a atteint 7.468,2 milliards FC, avec des recettes supplémentaires de 495,2 milliards FC. Devant les membres de la chambre haute du Parlement, Daniel Mukoko Samba leur a fait part des efforts fournis par le gouvernement de la République Lire la suite

Restrictions : Banza Mukalay conditionne le contrat de sponsoring des équipes nationales




À travers une circulaire, l'autorité sportive gouvernementale impose l'organisation des matchs des compétitions nationales dans les stades appartenant à l'État ; et il conditionne la signature du contrat de sponsorisation des équipes nationales sportives à l'aval du gouvernement. Le ministre de la Jeunesse, Sports et Loisirs, Culture et Arts, Baudouin Banza Mukalay Sungu,Lire la suite

Hommage : coup de projecteur sur les mille et une facettes de Tabu Ley




L'exposition-photo ouverte au public depuis le 20 novembre au Centre Wallonie-Bruxelles engage les visiteurs à suivre, illustrations à l'appui, le brillant itinéraire d'un chanteur dont la musique n'a cessé d'emballer et d'inspirer les jeunes générations. Les Kinois ont jusqu'au 7 décembre pour découvrir et mieux s'imprégner des aspects particuliers du parcours hors du commun de l'artiste Pascal Sinamoyi, dit Tabu Ley Rochereau.Lire la suite

Troïka économique : consolidation de la stabilité macroéconomique



La réunion a brossé le tableau de la situation économique récente, le suivi du programme économique du gouvernement et la situation de la paie par voie bancaire. Sous la présidence du Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, la réunion de la troïka stratégique du 3 décembre a noté avec satisfaction la poursuite de la bancarisation pour les Forces armées de la RDC (Fardc)Lire la suite

Balabala ciné : le court métrage Ngitukulu fascine la Halle de la Gombe




Projeté en dernier à  la clôture de la quatrième édition du festival itinérant de films documentaires le 29 novembre à l'Institut français, la réalisation de Pepy Ndumba Wane a montré des images impressionnantes des prouesses quotidiennes de Rose Mata, une femme sans bras. Le tableau que le public a vu défiler les treize minutes du court métrage était saisissant. Lire la suite

Le FMI cesse ses prêts à la RDC



Le Fonds Monétaire International a suspendu 240 millions de dollars de prêts à la République démocratique du Congo, pour ne pas avoir publié des contrats miniers, comme l’avait requis l’organisation internationale.

Accord du 23 mars : Portes et fenêtres de la RDC ouvertes aux « voisins »

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Le Sénat monte la voie du débat … l’Assemblée Nationale disqualifiée. Perçu jusque-là comme un tabou, l’Accord du 23 mars 2009 conclu par le gouvernement congolais et la rébellion du CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple), effacé au mois d’avril 2012 par le M23 qui assume désormais son actif et son passif, a fini par être discuté publiquement le lundi 03 novembre 2012 à la tribune du Sénat Grâce à la question orale avec débat adressée par le sénateur Mokonda Bonza au gouvernement, de nombreuses langues se sont déliées.

Bien que sur le tard, la chambre haute du Parlement a enfin montré la voie du débat à l’ensemble de la communauté nationale. Il est à espérer que le semi-déballage de lundi dernier va permettre aux idées de circuler abondamment au sujet de la situation sécuritaire de l’Est. Plus les Congolais vont se parler, pense-t-on, et davantage des « vérités » pourraient être tirées des placards pour servir à la construction d’une paix durable dans cette partie du pays. Pendant que des millions de compatriotes se réjouissent de la fin de la langue de bois au niveau du Sénat, ils ne peuvent chasser de leurs esprits le spectacle désolant qui continue de leur offrir l’Assemblée Nationale, où les députés sont prêts à en venir aux mains pour maintenir un voile tout noir sur ce qui se passe au Kivu. Comment mobiliser les Congolaises et Congolais pour sauver la patrie en grand danger de balkanisation, s’il leur est interdit de savoir qui a fait quoi pour que le Nord-Kivu soit transformé en un Etat dans un Etat? Pour d’aucuns, la chambre basse du Parlement s’est autodisqualifiée et ne devrait plus, en toute logique, traiter des questions sécuritaires de l’Est du pays.
Car, au terme des échanges entre la plénière du Sénat et les ministres en charge de la Défense Nationale, des Affaires Etrangères ainsi que le vice-ministre de l’Intérieur, il a été constaté que le M23 est une rébellion créée de toutes pièces parle Rwanda et le Burundi, avec pleins d’infiltrés civils et militaires de ces deux pays. Par conséquent, l’Exécutif national congolais est tombé dans plusieurs pièges, notamment celui du découpage du territoire national pour satisfaire les caprices d’une ethnie aux velléités séparatistes, de la création d’une police spéciale et d’une administration spéciale pour sa sécurité, de la privatisation des chaînes de commandement de l’armée et de la police nationale à son seul profit, de l’amnistie générale des crimes de ses membres depuis 2003, du placement de ses « chômeurs » .dans les institutions de la République, les entreprises publiques et l’administration publique, de la prise en charge de la nébuleuse des réfugiés, etc.
Ce «mariage » contre nature ressemble, à maints égards, à une politique de portes et fenêtres de la RDC» largement ouvertes à ses «voisins de l’Est. S’il est acquis, comme l’ont révélé les rapports préliminaires et finals des experts des Nations Unies ainsi que les propres enquêtes du gouvernement congolais, que le M23 est un pantin articulé des régime de Kigali et Kampala, l’on peut en déduire que l’Accord du 23 mars offre, aux parrains de ce mouvement rebelle, toutes les opportunités de positionner leurs, hommes de mains congolais, rwandais et ougandais dans tous les rouages de la vie nationale congolaise.
Il importe du reste de souligner qu’à la lumière d’alliances à répétition entre les rébellions congolaises et les maîtres de Kampala et Kigali, le système congolais de défense et de renseignements n’a plus de secret pour ceux-ci. A partir de Kampala ou de Kigali, les officiers et soldats rwandais ou ougandais savent à quel point frapper pour mettre l’armée congolaise à genoux. Il a été donné d’apprendre que les chaînes de commandement de l’armée et de la police nationale congolaises sont truffées de sujets rwandais et ougandais.

Il a été du reste constaté une chose bizarre : il s’agit d’un mouvement général de défections d’officiers et soldats rwandophones des FARDC au Nord et Sud-Kivu, dès que le général Bosco Ntaganda, traqué par le mandat d’arrêt international émis contre lui par la CPI (Cour Pénale Internationale), a pris ses distances vis-à-vis du pouvoir de Kinshasa et décidé de sauver sa peau en provoquant une mutinerie. Par la suite, afin de ne pas gêner l’initiative des mutins vis-à-vis de la communauté internationale, il a subtilement passé la main au colonel Sultani Makenga qui, à son tour, s’est débarrassé du label CNDP au passé sombre au profit de celui, vierge, du M23.
Dans le contexte actuel, si l’Accord du 23 mars 2009 est très mal évalué dans ses volets politiques, militaires, administratifs, économiques et sociaux, l’on va assister à une nouvelle invasion des FARDC, de la Police nationale congolais, et dés centres de décision de la République par des Congolais, des Rwandais et des Ougandais ayant un pied dedans et un pied dehors, comme en 1996 lors de la guerre de « libération » de l’AFDL (Alliance des Forcés Démocratiques pour la Libération du Congo) et en 2003 avec l’Accord Global et Inclusif ayant sanctionnant la fin du Dialogue Intercongolais.
Le décor planté avec l’Accord du 23 mars 2009 fait peser sur la RDC la menace de voir le Nord-Kivu basculer dans l’escarcelle du Rwanda, et la Province Orientale dans celle de l’Ouganda.
Kimp

RDC:VOICI L´ULTIME SOLUTION D´UNE PAIX DURABLE

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Après les 5 chantiers, le sixième chantier doit être celui de la paix et la sécurité par la construction de ce mur de 1215 Km RDC – RWANDA – OUGANDA – BURUNDI : LA PAIX A UN PRIX, LE MUR DE SÉCURITÉ ! La RDC avec ses 2 345 000 Km² de superficie, c´est 76,55 fois la Belgique, 4,23 fois la France et 6,54 fois l´Allemagne. Elle est plus grande que 10 pays de l´Europe centrale réunis : la France, l´Allemagne, l´Autriche, la Belgique, le Pays-Bas, l´Espagne, le Portugal, la Suisse, l´Italie et le Luxembourg. Entourée des 9 pays voisins dont les frontières s´étalent sur 10 744 km, notre pays est un sous-continent au cœur de l´Afrique. Sur les 10744 Km de séparation avec ses voisins, la répartition est comme suite: 2511 Km avec l´Angola, 233 Km avec le Burundi, 1577 Km avec la République Centrafricaine, 2410 Km avec le Congo-Brazza, 217 Km avec le Rwanda, 628 Km avec le Soudan du sud, 473 Km avec la Tanzanie, 765 Km avec l´Ouganda et 1930 Km avec la Zambie. Sur tous les 9 voisins, la bête noire, c´est le Rwanda qui a moins de Kilomètres, soit 217 Km seulement de frontière terrestre et naturelle (le lac Kivu), qui nous pose de récurrents problèmes de sécurité ! Bien que dans le passé sous le régime Mobutu, il y a eu deux guerres d´invasion, Shaba 1 et Shaba 2 au Katanga avec des rebelles ex-Katangais venus de l´Angola et, des intrusions de Moba 1 et Moba 2 avec la rébellion du M´zée Laurent D. Kabila, la RDC n´a jamais connu une insécurité d´une ampleur de manière à lui coûter plus de 6 millions de morts. Certes, après l´indépendance, le pays a connu des tumultes avec plusieurs rébellions à son actif, mais jamais la sommation des victimes concernant toutes ces rebellions avaient atteint 6 millions de victimes comme c´est le cas avec ces invasions répétées du Rwanda sous couvert des rébellions factices. En effet, depuis la marche de la " libération" menée à partir de 1996 par l´AFDL et ses alliés de l´époque, cela fait 16 ans que l´Est de la RDC est plongé dans une tragédie sans précédent qualifiée d´une grande catastrophe humanitaire de l´après seconde guerre mondiale compte tenu des atrocités indescriptibles qui s´y déroulent jusqu´à présent. Toutes les tentatives de négociations, accords de paix et autres rencontres bilatérales n´ont rien apporté. Au contraire, la mauvaise foi du voisin Rwanda n´est plus à démontrer et, du jour au jour, à la clair de la lune, ses visées expansionnistes ne sont plus cachées. Et, à chaque fois, les raisons sur ces guerres récurrentes varient selon les acteurs occasionnels, manipulés et robotisés sur le terrain dont la plupart d´eux, à prédominance ethnique Tutsis s´appuient sur le Rwanda. Ce pays est à son tour soutenu par son allié de tous les temps, l´Ouganda, pays qui fait 765 Km de frontière commune avec la RDC. A ces deux pays, l´on peut aussi ajouter l´allié de la première heure, le Burundi avec une frontière de 233 Km. Ainsi, sur 10744 Km, la RDC a plus des problèmes sur les 217 Km avec le Rwanda, les 233 Km avec le Burundi et les 765 Km avec l´Ouganda, ce qui fait un total de 1215 Km. Si après moult tentatives de paix, tous ces pays nous ont payé avec la monnaie de singe, payons notre sécurité avec la vraie monnaie moyennant nos richesses par la construction d´un mur qui, à notre avis serait la seule solution pour mettre hors d´état de nuire, tous ces groupuscules montés de toutes pièces par nos voisins de l´Est dans l´unique but de tuer les congolais et piller les richesses de la RDC. La paix a un prix, même s´il faut engloutir des milliards cela vaudrait la peine car 6 millions de victimes ne font pas froid aux yeux de ceux qui continuent impunément à violer, tuer et piller à l´Est de la RDC. Cette solution peut paraître très radicale, mais à l´instar des États-Unis, de l´Israël et de la Chine que nous avons pris comme exemple, au niveau de l´Afrique, cela ne sera pas une première. Déjà, nous pouvons citer l´exemple du mur séparant le territoire Marocain avec celui sous contrôle du Front Polisario. Pour lutter contre toute migration du travail en provenance du Zimbabwe, le Botswana a érigé une barrière métallique électrifiée de 500 Km sur sa frontière avec le Zimbabwe. L´Espagne qui a un pied en Afrique à travers les enclaves de Ceuta et Melilla, a dressé un mur séparant l´Afrique et l´Europe pour empêcher les infiltrations des immigrés africains vers l´Europe. Le cas des États-Unis avec le Mexique. Le mur à la frontière entre le Mexique et la Californie, près de San Diego. Les États-Unis et le Mexique ne sont pas en guerre. Le problème entre ces deux pays se situe au niveau du taux élevé d´immigration clandestine des Mexicains des régions frontalières pauvres vers les États-Unis pour survivre. Bien que le Mexique est le deuxième partenaire commercial des États-Unis, les deux étant membres de l´ALENA, l´accord de libre- échange Nord-Américain, cela n´a pas empêché les États-Unis de prendre une décision sévère le 26 octobre 2006 lorsque le Président G.W. Bush a promulgué la loi "Secure Fence Act" destinée à renforcer la surveillance de la frontière avec le Mexique. C´est cette loi qui est à l´origine de la construction de ce mur de 1125 Km de long entre la Californie et le Texas. Ce mur, qualifié "mur de la honte", est constitué de barres d´acier espacées de 20 cm, doté d´une troisième barrière virtuelle équipée des caméras, de senseurs terrestres, d´avions sans pilotes et d´une technologie avancée en matière de surveillance. En plus, plus de 1800 gardes supplémentaires renforcent la patrouille déjà pléthorique des gardes-frontières. Tout ça, rien que pour contenir le flux migratoire des Mexicains ! S´il y a eu mort d´hommes sur le long de cette frontière, cela est dû plus au fait d´ escalader ces doubles murs d´une hauteur de 5 mètres que d´une tuerie émanant d´un ou des groupe(s) armé(s) semant la désolation et la mort sur cette frontière de 3500 Km qui sépare les deux pays. Dans la région, le Mexique est l´un des alliés de premier plan des États-Unis, il lui garantit son approvisionnement en pétrole et en ressources minières. A la fin des travaux, son coût pourra atteindre les 7 milliards de dollars. Pour autant, comme nous pouvons le remarquer, lorsqu´il s´agit de sa sécurité, même avec son allié de taille, ce pays n´a pas lésiné sur ses moyens en prenant ses précautions d´usage pour assurer la sécurité sur son territoire. Le cas de l´Israël avec la Palestine. L´on se rappellera, malgré les protestations du monde entier et l´appel de la Cour Internationale de Justice (CIJ) ordonnant à Israël d´ arrêter la construction du mur entre l´état hébreux et la Cisjordanie, mais à cause de sa sécurité qui n´a pas de prix, Israël s´est décidé contre vents et marées, de construire ce mur de 703 Km, qualifié aussi, mur de la honte. Ce contentieux entre les deux pays vieux de plus de 60 ans a nécessité plusieurs rencontres au sommet qui n´ont pas abouti. Ce mur qui atteint 8 mètres de hauteur soit le double du mur de Berlin, a été l´unique solution pour Israël de contrer les Kamikazes palestiniens qui venaient se faire exploser dans la partie occupée par l´État hébreux en signe de protestation à l´occupation. La paix et la sécurité ayant un prix, l´État hébreux n´avait pas un autre choix que d´ériger ce mur qui a coûté plus de 1,2 milliards d´euro. Le cas de la Chine Pour ce pays, l´histoire nous enseigne que c´est sous la dynastie Qin (221 à 206 av. Jésus) et celles de Ming (1368-1644) que la grande muraille a été entamée puis achevée pour marquer et défendre la frontière nord de la chine contre les peuples venus du nord. Sa longueur de 7300 Km, sa hauteur qui varie entre 5 et 17 mètres, sa largeur oscillant entre 5 et 7 mètres et sa durée de construction qui s´étale sur plusieurs siècles, témoignent l´importance accordée à la paix et la sécurité déjà à cette époque avant Jésus-Christ. Juste pour dire, que la survie d´un peuple, d´une nation passe par la paix et sa sécurité. Dieu lui-même connaissant le jour où il détruira la terre, en attendant, c´est aux hommes de prendre les dispositions sécuritaires pour leur vie sur terre. La Chine n´allait pas être celle que nous voyons aujourd´hui si les dynasties antérieures n´eurent pas cette idée géniale de construire la grande muraille. Le cas de la RDC Actuellement, notre pays a démontré sa bonne foi et ne pourra être taxé de tous les maux s´il adoptait une telle mesure draconienne. Jusque-là, personne ne s´est apitoyée sur le sort de nos 6 millions de victimes et encore moins du manque à gagner sur le pillage de nos minerais, encouragé et entretenu par la communauté internationale. Raison pour laquelle, après les 5 chantiers, le sixième chantier doit être celui de la paix et la sécurité par la construction de ce mur de 1215 Km. Car à cette allure, si nous ne prenons pas garde, le nombre total des victimes de cette guerre de basse intensité, dépassera les 15 et 20 millions dans les prochaines années, et ce, sans que la communauté internationale s´en émeuve comme c´est le cas depuis toujours. La construction d´un tel ouvrage videra les subterfuges de nos voisins de l´Est et, mettra la RDC à l´abri du pillage sauvage de ses minerais et de l´insécurité récurrente de ses paisibles citoyens. Trop, c´est trop ! Certes, il faut entretenir une relation amicale entre nos voisins de l´Est, c´est pourquoi, sur le long de ce mur entre les trois pays, des postes frontaliers officiels - sous formes " des portes " - seront prévus en vue de contrôler le trafic humain et le négoce des marchandises. "Ces portes" sur ces frontières bien contrôlées, diminueront la fuite des capitaux et le commerce illégal de nos minerais vers l´Est. Sur la frontière naturelle comme sur le lac Kivu, que toute la côte soit gardée par des militaires ou gardes frontières et que par endroit, des barbelés soient installés pour empêcher des infiltrations. Le Kivu étant une province très riche et convoitée même par les pays n´ayant pas des frontières communes avec la RDC, il faut dès à présent que nous puissions faire de notre mieux pour protéger notre pays de cette convoitise. Elle (convoitise) a une dimension universelle d´autant plus que toutes les multinationales viennent se servir à l´Est de la RDC derrière le dos du Rwanda, qui elle, profite de la porosité de nos frontières et de la fragilité de notre gouvernement. Par ailleurs, si la communauté internationale par l´intermédiaire de la Monuc hier et la Monusco aujourd´hui, en 12 ans de présence en RDC a englouti un budget d´un milliard par an, ce qui totalise à ces jours, une bagatelle somme de 12 milliards mais n´est pas arrivée à sécuriser surtout les 217 Km de frontière avec le Rwanda et, aussi les 765 Km avec l´Ouganda et enfin les 233 Km avec le Burundi, il faut se dire qu´un mur de 1215 Km aurait coûté peut être moins. Or, un tel ouvrage allait nous apporter une paix durable. La paix n´ayant pas de prix, il faudrait combien de milliards et combien de victimes pour que la paix revienne réellement au Kivu ? Faisons le compte et agissons pour une paix durable. Si les États-Unis pour contrer seulement le flux migratoire des Mexicains ont songé à prendre une telle décision pour sa sécurité intérieure, si Israël pour sa paix et sa sécurité contre les attentats palestiniens a pris une telle décision et si la chine d´antan a songé de se protéger des invasions de ses voisins du nord, qui viendra encore taxer notre solution ultime avec ce mur comme étant un mur de la honte ? Jusqu´à preuve du contraire, la RDC n´a envahi aucun pays de la région mais c´est toujours elle qu´on martyrise et, elle est devenue la risée de toute la planète. Malgré ses richesses, elle soufre, et elle est 187ème sur 187. Sa population est l´une la plus pauvre de cette planète. Elle est à ces jours-ci, la seule nation qui vit une situation exceptionnelle avec des injustices et des souffrances indescriptibles face au monde civilisé. Voici plus de 127 ans (80 ans de colonisation + 32 ans de Mobutisme + 15 ans de Kabilisme Père & Fils) que ce peuple pleure, qui s´en occupe ? Au contraire, comme des charognards, toutes (C.I. et multinationales) rodent tout autour de ce peuple qu´elles asphyxient et poussent petit à petit vers la mort pour qu´au moment venu, s´accaparer de son corps et de son pays en même temps. Pour la paix et la sécurité de notre pays, fermons nos yeux concernant le coût de ce mur. C´est à ce prix là que nous assurerons la survie de la paisible population de l´Est contre son extermination et, c´est à ce prix là que nous protégerons nos minerais et notre chère nation. JP-Vununu

QUELQUES ARTICLES DE L'ACCORD DE LEMERA SIGNE LE 23 OCTOBRE 1996

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Mesdames, Messieurs,
 Nous vous prions de prendre connaissance, de l’accord de Lemera qui est même l’origine de la souffrance de nos frères et sœurs  de l’Est de la RD CONGO. Nous vous prions de faire, une large diffusion de ce fameux accord de la mort appelé :Accord de Lemera .
 
 
ACCORD DE LEMERA
 
Accord de LEMERA signés le 23 Octobre 1996 par les fondateurs  de  l’ADL « NDLR :il s’agit de Laurent Désiré  KABILA du PRP, Parti de la Révolution Populaire, André  Ngandu KISASE  du MNC/L – CNRD « Mouvement National Congolais/Lumumba, Conseil national de résistance pour la démocratie de Anselme MASASU du MRLZ « Mouvement Révolutionnaire pour  la Libération du Zaïre » de Deogratias  Bugera  de l’ADP « Alliance Démocratique des Peoples  »,et de BIZIMA KAHARA qui les a approuvés.
Art 1. Il est crée, en ce jour du 23 octobre 1996 à l’Hôtel        Lemera, une Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo qui sera soutenue militairement par des forces combattantes de l’AFDL.
Art 2. Le sol est le sous - sol congolais appartient à l’AFDL.
Art 3. L’AFDL devra demeurer une institution de l'idéologie de libération.
Art 4.Prêchant le panafricanisme, l’Alliance s’engage à céder  300 Kilomètres  aux  frontières Congolais, à l’intérieur du pays, pour  sécuriser  ses voisins Ougandais, Rwandais et Burundais contre l’insurrection rebelle.
Art 5. Dès que l’Alliance aura gagnée la victoire, une rétribution spéciale sera allouée aux Alliés. Sa détermination est de compétence de l’instance supérieure de l’Alliance.
Art 6. Tous les politiciens des années soixante en RD CONGO et ceux ayant collaboré avec le régime MOBUTU seront mis en retraite politique.
Art 7. La nationalité sera accordée collectivement aux camarades banyamulenges et aux populations d’origine Rwandaise établies au pays avant la date de l’indépendance de notre pays
 «  Le 30 Juin 1960 ».
Art 8 .L’Anglais et Swahili devront concurrencer le Français dans l’espace linguistique de notre pays.
 
Mireille Frimel  DIMBUMBA
(00243) 99 82 77 652_89 94 85 763
dimbumbafrimel@yahoo.fr _ frimadimbumba@gmail.com _ mireille.dimbumba@cartopressconsult.com

La RDCongo: la guerre à l'Est et les enjeux cachés (Kinshasa, mai 2012)


RDC - M23 : le temps des négociations s'ouvre à Kampala | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

RDC-RWANDA: 29 STRATEGIES UTILISEES PAR LE PRESIDENT RWANDAIS PAUL KAGAME

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Lu pour vous
http://www.congovirtuel.info/ver3/index.php/site-map/articles/103-negociations-de-kampala-l-opposition-congolaise-une-fois-encore-divisee

Opposition congolaise
Opposition congolaise
NEGOCIATIONS DE KAMPALA : L’OPPOSITION CONGOLAISE UNE FOIS ENCORE DIVISEE
L’actualité en République démocratique du Congo est restée dominée cette semaine par les pourparlers de Kampala entre le mouvement rebelle du 23 mars (M23) et le gouvernement de la RDC. Dans l’opinion tant nationale qu’internationale, la question est sur toutes les lèvres. L’heure de la discussion est arrivée, soutiennent-ils les uns et les autres. Dans la capitale ougandaise, les deux parties vont devoir se faire une idée sur le cadre des négociations. Déjà, pour la partie gouvernementale, les termes de référence sont connus. Pour Kinshasa, il  s’agit d’écouter les revendications des rebelles et de les évaluer selon les termes de ce que d’aucuns ont appelés Kampala V. Dans tous les cas, il n'est pas question de négociations du  genre Sun City. De sources concordantes, l’on apprend que la délégation gouvernementale conduite par  Raymond Tshibanda, Ministre des affaires étrangères congolaises, est depuis le jeudi 06 décembre 2012 dans la capitale ougandaise. Quant à  celle du M23, elle  est attendue ce vendredi 07 décembre 2012 dans la matinée.
 Par ailleurs, l’on se souviendra que pendant  deux jours, la famille politique de l’opposition congolaise était en discussion à Kinshasa, question de tabler sur sa présence ou non à ces discussions. Au terme de leurs discussions, l’opposition congolaise dans un communiqué lu par Lisanga Bonganga,  rapporteur des FACS (Forces acquises au changement) la plate forme qui soutient Etienne Tshisekedi,  a laissé  entendre que l’opposition congolaise ne prendra pas part aux discussions de Kampala.  Dans le même ordre d’idées, le jeudi matin sur les antennes de la radio France internationale, Martin Fayulu Madidi a corroboré cette information. Selon ce dernier l’opposition ne peut participer à ces négociations dont elle ne connaît ni les tenants ni les aboutissants.
 
L'amour de la patrie passe au devant de celui de ma femme.
L'inconditionnel patriote
Elie du Jardin.

Corruption : la RDC toujours mauvaise élève de la classe----Le Phare du 7 dec;201

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Rubrique : Actualité


Corruption : la RDC toujours mauvaise élève de la classe
La République Démocratique du Congo occupe toujours les bas-fonds du
classement mondial des pays les plus corrompus de la planète, publié
le mercredi 5 décembre 2012 par l’Ong Transparency International. Sur
une liste de 174 Etats, le Congo démocratique pointe à la 160me place.
Certains seraient tentés de parler d’une timide avancée par rapport à
2011, année au terme de laquelle notre pays était aligné à la 168me
place.

Cela est d’autant inquiétant que quatre de nos voisins immédiats, à
savoir l’Ouganda (130me), le Congo/Brazzaville (144me), l’Angola
(157me) et le Burundi (165me) ne sont pas loin. Il ne serait peut-être
pas exagéré de soutenir que l’Afrique Centrale est logée à une très
mauvaise enseigne. Cela ne peut étonner au regard des réseaux maffieux
qui existent entre la RDC et ces différents pays dans le secteur du
trafic illicite des minerais (or, diamant, cuivre, cobalt, coltan).
Comme pour noircir davantage son dossier, la RDC compte, au nombre de
ses alliés, le Zimbabwe, classé 163me. Quant on pense au rôle joué par
ce pays dans le pillage du diamant du Kasaï Oriental, à travers la
Sengamines, on ne peut qu’adhérer aux conclusions de Transparency
International.

Le régime de Kinshasa semble avoir la manie de copier les mauvais
exemples alors que les bons ne manquent dans son voisinage. La
Tanzanie (102me) et la Zambie (88me par exemple) auraient pu servir de
boussoles aux Congolais, dans la voie de la lutte contre la
corruption.

D’aucuns croient que la énième mauvaise note récoltée par la RDC,
épinglée comme une des plus mauvais élèves de sa classe, est liée au
flou qui continue d’entourer les contrats miniers et pétroliers. Le
gouvernement congolais est en effet accusé du refus de jouer la carte
de la transparence dans les transactions relatives à la cession, à des
nébuleuses occidentales, asiatiques, nord-américaines, sud-américaines
et même africaines, de ses gisements de cuivre, de cobalt, d’or, de
diamant, de cassitérite, de coltan, de pétrole, etc.

Pourtant, que d’encre et de salive versées dans le dossier de fameux
contrats chinois et autres, pour attirer l’attention des décideurs
congolais sur les risques du bradage des richesses nationales ! En
dépit des débats houleux au Parlement, qui par moments, tendaient à
glisser vers des duels aux couteaux, les compatriotes signataires et
bénéficiaires de marchés puant la magouille s’étaient arc-boutés sur
leur position. Même la campagne dite des « mains propres » visant la
revisitation des contrats miniers s’était terminée en eau de boudin,
la complaisance et les règlements des comptes ayant pris le pas sur le
souci de la transparence.

Il y a aussi la corruption qui gangrène les finances publiques,
l’administration publique, l’appareil judiciaire, les centres de
décision politique, etc. Le climat des affaires, sévèrement critiqué
dans les milieux politiques, diplomatiques et financiers
internationaux, a subi des réformes de surface dont l’application
laisse à désirer. Le Parlement a cru fixer des règles du jeu rigides
en votant une loi régissant les marchés publics. Ici aussi les
mafiosi, surtout ceux opérant dans le domaine des infrastructures
routières, ne se lassent pas de ponctionner des millions de dollars
dans le Trésor public, pour des chantiers le plus souvent inachevés ou
des travaux de qualité à faire pleurer.

Bien que la corruption ait a été dénoncée en son temps par le Chef de
l’Etat dans son discours d’investiture en décembre 2006, à l’entame de
son premier mandat, et qu’une opération « tolérance-zéro » ait été
lancée, le phénomène a la peau dure.

Le sévère avertissement du FMI

Comme pour tirer les oreilles aux décideurs congolais et attirer leur
attention sur la marche du pays vers l’abîme de la corruption, le
Fonds Monétaire International a été contraint de frapper. Ainsi,
compte tenu de la légèreté avec laquelle sont négociés les contrats
miniers, la RDC est sommée de rembourser à cette institution de Breton
Wood la bagatelle de 350 millions de dollars américains reçus au titre
d’appuis budgétaires. Quant au fonds de 250 millions Usd inscrit au
chapitre des investissements et à celui de 2 milliards de dollars
promis au titre de contribution au budget 2013, l’un et l’autre sont
suspendus, jusqu’à nouvel ordre. En somme, si elle n’arrête pas de
jouer avec le feu, la RDC risque de payer cher sa mauvaise gouvernance
économique au niveau des institutions financières internationales.
L’ambition de devenir un pays émergent à l’horizon 2030 a un prix. Et,
notre pays est loin d’avoir pris la bonne voie pour se hisser à un
podium aussi exigeant.

Kimp

Le criminel Sultani Makenga du M23 allié de la majorité présidentielle e...

ETATS-UNIS - La baisse du chômage va à l'encontre des calculs des analystes.

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REUTERS/Jason Reed
Voilà une bonne nouvelle pour la croissance américaine. Le taux de chômage américain est tombé en novembre à son niveau le plus bas en près de quatre ans sous l'effet d'une forte baisse de la population active, selon le rapport officiel sur l'emploi publié vendredi à Washington.Le taux de chômage a reculé de 0,2 point par rapport à octobre, pour s'établir à 7,7%, en données corrigées des variations saisonnières, son niveau le plus faible depuis décembre 2008, a indiqué le département du Travail.Cette baisse va à l'encontre des calculs des analystes dont la prévision médiane donnait une remontée du chômage à 8,0%.
L'ouragan Sandy n'a pas eu d'effet notable Les chiffres du ministère montrent cependant qu'elle a découlé d'une diminution de la population active par rapport à octobre supérieure à celle du nombre de personnes recensées officiellement comme étant au chômage.Le gouvernement indique d'autre part que les embauches ont augmenté de 5,8% par rapport à octobre, l'économie américaine ayant créé en novembre 146.000 emplois de plus qu'elle n'en détruisait, en données corrigées des variations saisonnières.C'est mieux que ce sur quoi tablaient les analystes (120.000 créations de postes), mais le ministère a revu en baisse de près de 20% son estimation de celles d'octobre, à 138.000.
Le ministère indique que l'ouragan Sandy n'a pas eu d'effets notables sur son estimation de l'emploi et du chômage en novembre, notant que les chiffres qu'il a reçus des zones frappées par la catastrophe ne faisaient pas apparaître d'écarts anormaux. Il ajoute que l'économie a créé en moyenne depuis le début de l'année 151.000 emplois nets par mois, soit à peu près autant qu'en 2011. L'accélération des embauches annoncée par le ministère est une bonne nouvelle (altérée par la révision en forte baisse des créations d'emplois du mois précédent), mais la situation du marché du travail est encore loin d'être bonne, comme le montre la baisse du taux d'activité.
Le nombre de chômeurs reste sous-estimé Cette mesure du nombre des personnes employées ou cherchant activement du travail par rapport à l'ensemble de la population a reculé de 0,2 point par rapport au mois précédent, pour retomber à 63,6%, tout juste au-dessus de son niveau du mois d'août (63,5%), où elle avait touché son niveau le plus faible depuis 1981. La baisse du taux de chômage officiel observée depuis son pic de 10% atteint en octobre 2009 apparaît toujours nourrie par l'occultation d'un nombre croissant de chômeurs découragés ou ayant cessé de chercher du travail pour diverses autres raisons.
Le pays comptait en novembre 12,0 millions de chômeurs officiellement recensés comme tels, auxquels ils conviendrait d'ajouter, selon les données du ministère, près de 3,5 millions de personnes qui voudraient un emploi mais ne sont pas recensées dans la population active. Le gouvernement indique d'autre part que le salaire hebdomadaire moyen des salariés du privé a rebondi de 0,2% par rapport au mois précédent, sous l'effet d'une hausse du salaire horaire, le temps de travail hebdomadaire moyen étant resté stable, à 34,4 heures par semaine.En glissement annuel, le salaire hebdomadaire moyen a augmenté de 1,7%, indique le ministère, précisant que cette hausse a été inférieure à l'inflation telle qu'il l'a mesurée pour la dernière fois (2,2% en octobre).

Présidentielle ghanéenne : élections sur le fil du rasoir

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Huit candidats sont en lice, mais au Ghana le bipartisme est très marqué.Huit candidats sont en lice, mais au Ghana le bipartisme est très marqué.© Pius Utomi Ekpei/AFP
Qui de John Dramani Mahama ou de Nana Akufo-Addo sera le prochain président du Ghana ? Les citoyens sont appelés aux urnes vendredi 7 décembre dans un pays souvent présenté comme un modèle mais où la campagne a été d'une rare violence verbale.
Les immenses panneaux publicitaires qui habillent habituellement les principales artères d'Accra ont presque tous disparu. À leur place, des affiches à l'effigie des deux principaux candidats à l'élection présidentielle du 7 décembre : le président sortant, John Dramani Mahama, sous la bannière du Congrès démocratique national (NDC), et Nana Akufo-Addo, porte-drapeau du Nouveau Parti patriotique (NPP, opposition). Le Ghana n'a plus d'yeux que pour eux. Leurs visages, les couleurs de leurs partis respectifs - noir, rouge, blanc, vert pour le NDC ; rouge, blanc, bleu pour le NPP - s'affichent partout, accrochés aux arbres, aux poteaux électriques et à la tôle des logements de fortune.
Les deux hommes ont déjà prouvé qu'ils avaient les épaules sinon pour gouverner, du moins pour occuper le devant de la scène politique. Akufo-Addo, 68 ans, a été le ministre des Affaires étrangères de John Kufuor de 2003 à 2007 avant de se présenter à la magistrature suprême en 2008. Mahama a dû assurer l'intérim au pied levé à la mort de John Atta Mills en juillet dernier. Lui qui ne voulait même pas être son vice-président (« Mahama aurait préféré rester au Parlement panafricain [où il a siégé de 2004 à 2008, NDLR] », confie un de ses proches) s'est retrouvé à la tête de l'État. Il a su inverser un rapport de forces, pourtant favorable au NPP pendant les premières semaines de la campagne, tout en respectant la mémoire du président défunt, le tout avec autorité et diplomatie. Ses méthodes : le changement (les ministres ont été appelés à plus de discipline) dans la continuité (l'équipe gouvernementale et les conseillers sont restés les mêmes). Surtout, à 54 ans, il a su s'imposer et unifier une formation considérablement affaiblie par la fronde du couple Rawlings.
"Sans Mahama, l'élection serait déjà pliée"
Certains cadres du parti au pouvoir concèdent que le mandat d'Atta Mills a été « compliqué » et que, « sans Mahama, l'élection serait déjà pliée ». Car si les perspectives de croissance restent positives (8,3 % et 7,7 % attendus en 2012 et 2013), celle-ci ne crée pas assez d'emplois et les Ghanéens tardent à voir les retombées de la production pétrolière, lancée en décembre 2010. La confiance dans le gouvernement s'est érodée. « Ces cinq dernières années, les réformes ont ralenti de manière spectaculaire et inquiétante », a sévèrement conclu le think-tank ghanéen Imani dans un rapport rendu public dix jours avant le scrutin. Pour ne rien arranger, des accusations de corruption ont été portées contre des membres importants du NDC.
Élections parlementaires
Le 7 décembre, les Ghanéens éliront aussi leurs députés. 230 sièges sont à pourvoir. Sous la précédente législature, le NDC (au pouvoir) totalisait 114 élus, contre 107 pour le NPP (principal parti d'opposition). V.D.
Le NPP s'est appuyé sur ce ressentiment pour faire campagne. Alors qu'en 2008 le ministre Akufo-Addo n'avait eu que trois mois pour convaincre, il a cette fois sillonné le pays, et plusieurs fois. Ses proches assurent qu'il a beaucoup appris de sa défaite en 2008. Son parti, aussi, a fait son autocritique : « On était arrogants, on ne pensait pas perdre », reconnaît Kwesi Busia, ancien responsable du NPP aux États-Unis et proche du candidat.
Depuis que le capitaine Jerry Rawlings a cédé aux sirènes du multipartisme en 1992, chaque consultation a été qualifiée de « test pour la démocratie ». Aujourd'hui, et après quatre élections libres, est-ce encore le cas ? Oui. D'abord parce qu'en 2008 il a fallu toute l'influence et la sagesse de John Kufuor pour que la situation ne dégénère pas. Quelques mois après l'élection, l'ancien président avait expliqué au quotidien britannique Financial Times que des poids lourds de son parti, le NPP, avaient tenté de faire annuler une partie des résultats qu'ils contestaient. Cette année, Akufo-Addo a prévenu : « Nous serons encore plus vigilants. » Ensuite parce que la démocratie ghanéenne est encore loin d'avoir atteint sa maturité. Certes, elle a fait des progrès. Les trois débats télévisés organisés, sur le modèle américain, à Tamale, Kumasi et Accra ont été d'un bon niveau. La commission électorale a instauré un système biométrique de vérification du vote. Mais sa mise en place a pris du retard, et environ 20 000 noms litigieux ont été retirés des listes au dernier moment afin d'éviter tout risque de vote multiple. « Ce système biométrique, c'est une première, s'inquiète un membre du NPP. Les machines sont fragiles, et il pourrait y avoir des erreurs. »
Surtout, le débat politique est toujours aussi vif : la campagne a été d'une rare violence verbale, les insultes ont fusé, et quand les partisans des deux camps se sont croisés, la tension a été palpable. Le 22 novembre, des heurts ont éclaté quelques heures avant la visite de Mahama à Kyebi, ville natale d'Akufo-Addo dans la Eastern Region. Des pro-NPP avaient arraché les affiches et les drapeaux à son effigie. Les services de sécurité annoncent avoir recensé un millier de foyers potentiels de troubles violents.
Bipartisme prononcé
Il faut dire que les enjeux dépassent le cadre de cette présidentielle. Dans deux ans, le NDC doit renouveler son bureau politique, et une grande partie des cadres actuels seront remplacés. Une victoire de Mahama lui permettrait d'asseoir son emprise dans la perspective de ce renouvellement. Et si Akufo-Addo perd, le réveil sera difficile pour le NPP. « Ce sera très dommageable. Je crains que nous ne soyons pas capables de nous en remettre », admet un membre du NPP, qui dit redouter une explosion du parti.
Le scrutin sera-t-il aussi serré qu'il y a quatre ans, quand l'écart entre Akufo-Addo et John Atta Mills n'avait été que de 40 000 voix sur 9 millions de suffrages exprimés ? Une majorité d'observateurs estime que oui. Mais le 20 novembre, en publiant un sondage donnant le NPP vainqueur au premier tour avec 52,2 %, contre 46,9 % au NDC, un institut londonien a semé le doute. Le bipartisme prononcé qui caractérise le système politique ghanéen devrait en tout cas se confirmer. Les six autres candidats, qui avaient recueilli moins de 10 % des suffrages en 2008, joueront un rôle d'arbitre, leurs partis se rabattant sur les élections législatives, qui ont lieu en même temps.
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Vincent Duhem (@vincentduhem), envoyé spécial

M23 : vérités sur sa réalité et ses revendications

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Lu pour vous
M23 : vérités sur sa réalité et ses revendications

Que veut exactement le M23? La question mérite d'être posée, maintenant que l'on s'approche de la phase d'évaluation (et non de négociation) des revendications de ce groupe de suppôts aux agresseurs rwando-ougandais. Cette question ne ramène à une autre - préalable celle-là - de savoir qu'est-ce que le M23 et quelles étaient leurs motivations de départ, afin de parvenir à établir une éventuelle connexion entre cette "réalité originelle" et les "revendications" d'aujourd'hui en sachant que celles-ci sont nées à la suite de l'occupation momentanée de Goma par les troupes rwandaises déguisées en M23. C'est connu.
Au commencement fut un groupe de militaires des FARDC issus du CNDP, un mouvement autrefois armés qui se mua en parti politique conformément aux accords du 23 mars 2012. Fin 2011 - début 2012, des remous s'élèvent des rangs de l'armée à l'Est, et l'on parle d'un certains nombre de doléances, notamment les avancements en grade, l'amélioration et la régularisation de la paie de la solde ainsi que d'autres conditions de vie des hommes de troupe.
La réalité c'est que ces revendications ont vu le jour quand la haute hiérarchie militaire a entrepris d'opérer des mutations des militaires stationnés aux Kivu vers d'autres provinces. C'est donc ici que naîtront ces remous sur fonts ethnicistes. On entendra dire que ces militaires s'opposent à tout déplacement parce qu'ils veulent protéger les-leurs contre des tentatives d'extermination. Là aussi surgit une réclamation de rapatriement des réfugiés congolais vivant notamment au Rwanda.
On se souvient, à ce sujet, que Kigali avait voulu renvoyer sans ménagement tous ces "réfugiés", mais le Gouvernement congolais était parvenu à y mettre un stop avec le concours du HCR, car il fallait réunir toutes les conditions d'usage pour ce faire : identifier ces "réfugiés", obtenir leur constamment, aménager les cadres d'accueil, organiser leur insertion, etc.
La réalité est que c'est ici que se situe le noeud du problème, ce fameux plan d'occupation ethnique d'un espace territorial sur le sol congolais avec tout ce que cela implique comme, notamment, l'accaparement des zones minières en vue de leur exploitation au détriment du Trésor public. Tout le problème est donc celui-là : établir une zone d'occupation ethnique avec une prime des ressources minières, mais aussi une protection et une sécurisation militaire par ces anciens éléments du CNDP, bref le schéma même de Laurent Nkunda qui refusa de gagner Kinshasa après le Dialogue intercongolais sous prétexte qu'il fallait un accord militaire après ces accords politiques de Sun City. On connaît la suite, jusqu'à son équipée sur Bukavu où il alla soutenir Jules Mutebusi, lui-même mis en déroute par feu Budja Mabe.
C'est donc sur cette plage ethnico-affairiste que les futurs mutins-rebelles vont commencer à surfer, jusqu'à ce que fin mars - début avril 2012, le Chef de l'Etat, Joseph Kabila effectue une descente au Nord Kivu. A l'occasion, le Président de la République, qui s'entretient notamment avec les notables de la provinces en swahili bora, émet trois messages essentiels : Bosco Ntaganda ne continuera plus à bénéficier de l'impunité et qu'il pourra faire l'objet d'un procès même devant la justice congolaise s'il ne se met pas du côté de la paix; il n'existe pas d'armée dans l'armée car l'armée n'est pas ethnique; aussi longtemps qu'il sera au pouvoir, il ne sera pas question de céder la moindre portion de terre du Congo.
les évènements sont connus. Kabila arrivait à Goma après que Ntaganda eu fait son entrée terroriste après avoir semé la terreur à Rusthuru. Quelques temps après, on va apprendre l'éclatement d'une mutinerie. Les "mutins" vont gagner leur traditionnel Masisi-Rutshuru en tuant une centaine de civils. La terreur commence et le discours officiel du moment est connu : revendications d'ordre militaire strictement. Mais personne n'est dupe, car le plan d'occupation-balkanisation de la RDC est en marche. Bref, toutes les appréhensions autour du discours de Berlin II se déploiement en réalité sous le nez et la barbe de toute la communauté internationale. Et ce n'est pas par hasard que, sur leurs 21 points de revendication, les rebelles-suppôts du Rwanda mentionnent le retour des réfugiés congolais du Rwanda et des autres pays de la région.
De la mutinerie, on évoluera jusqu'à l'annonce d'une rébellion qui se prénommera M23 avant de se doter d'une branche armée, l'ARC, et d'une direction politico-administrative. Là aussi on assiste à la matérialisation de ce plan de balkanisation qui s'est précisé le même jour où Goma tombait aux mains des troupes rwandaises comme le confirment les experts de l'Onu. Ce même jour là, en effet, s'ouvrait sur facebook une page nommée "United Free State of Kivu, État Libre et Unie du Kivu". La page présente cette dénomination comme un groupe inter-communautaire, mais personne n'est dupe, puisque la page présente un drapeau et même des modèles de timbre.
Alors revenons à la question de départ : qu'est-ce que le M23 et que veut-il? En réalité il ne sert à rien de chercher à y répondre. D'abord parce que, finalement, on sait pas définir clairement ce que cette nébuleuse veut exactement. Toutes les soi-disant revendications ne sont que des leurres pour camoufler la vraie réalité qu'est le plan (en cours d'échec) d'occupation d'une partie du territoire congolais. Sinon on ne comprendrait pas que ces donneurs de leçons de gouvernance, des droits de l'homme ou de démocratie se soient comportés en desperados en mettant Goma à sac tout en maintenant un dispositif de terreur pour ternir, le moment venu, l'image de la Police et des FARDC. Ensuite parce que, comme dans un bal de chauves, les évènements ont démontré que le coup est venu du Rwanda et de l'Ouganda, véritables maîtres d'ouvrage délégués (MODE) du plan de balkanisation concocté outre Grands Lacs et outre mers...
Que resterait-il alors à faire avec ces suppôts des agresseurs? Rien de plus que de refuser d'établir le moindre fil de dialogue. C'est à ce stade que l'on se situe avec "l'évaluation" de leurs revendications, et l'on peut parier fort qu'au moment de l'évaluation de leurs fameuses revendications, il ne restera que la signature au bas de la feuille lorsque toutes les mentions sans objet auront été biffées.
Pascal Debré Mpoko

ALERTE: «KABILA» acheterait des députés nationaux, 30.000 USD

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LARGE DIFFUSION

Plusieurs membres de l’opposition seraient corrompus par le gouvernement de J. Kabila par le canal du Président de l’assemblée nationale Aubin Minaku pour aller à Kampala, signer des accords contre le Peuple Congolais.

D’après nos sources  plusieurs opposants sont menacés de morts notamment M. Fayulu, Pathy Katanga, Prof Kalele, ces cadres de l’opposition se sont  opposés au complot contre la Nation congolaise que J. Kabila et Museveni veulent embarquer le Peuple congolais à travers une opposition cosmétique à Kampala.

Nous devons nous mobiliser contre ce complot de dialogue à Kampala c’est pour cautionner la Balkanisation et donner aux  BanyaRwanda le plein pouvoir en RDC étant donné que dans leurs revendications, ils demandent les postes de souveraineté nationale.
Attention : Si ces politiciens ventriotes n’arrêtent par leur projet d’aller à Kampala, assister à cette mafia contre la RDC, je citerai prochainement leurs noms sur le Net.
Réveillons-nous l’heure est grave. NON à Kampala.

Yves Kongolo

A Kinshasa, des sources bien informées indiquent que les présidents des Groupes parlementaires à l’Assemblée nationale - il y en a quatorze dont quatre appartenant à l’opposition - ont été approchés par le Bureau de cette Chambre du Parlement au sujet d’une «mission» d’une durée de quinze jours qu’ils devraient effectuer incessamment en Ouganda. «La mission est financée par la Présidence de la République», confie une source qui souligne au passage que «Joseph Kabila» tente d’«acheter» les députés nationaux en les entraînant dans un dossier nébuleux dont ils maîtrisent ni les tenants ni les aboutissants. Connaissant la vénalité des politiciens congolais, la Présidence aurait prévu des frais de mission estimés à 30.000 $US par président de Groupe. «Joseph Kabila» devrait recevoir dans les prochains jours dix députés de chaque Groupe parlementaire de l’opposition (UDPS/FAC, MLC/Alliés, UNC/Alliés et les Libéraux sociaux démocrates chrétiens). De quoi vont-ils parler ? Toute la question est là ! En attendant, les discussions feraient rage au sein de ces Groupes. Pour les uns, il faut accepter l’offre de «Joseph Kabila». Pour d’autres, il n’en est pas question. 
En prévision des pourparlers avec les leaders du M23, «Joseph Kabila» multiplie des consultations. L’homme semble avoir trouvé l’«arme de légitimation massive» des résultats des négociations à venir. Les chefs des 14 groupes parlementaires de l’Assemblée nationale auraient été appelés à la rescousse. Ils devraient effectuer une «mission» à Kampala. Objet : évaluer les accords du 23 mars 2009. Pour allécher les parlementaires, la Présidence de la République aurait prévu des frais de mission estimés à 30.000 $US par chef de Groupe.
A Goma, les rebelles du M23 «poursuivent» leur retrait de la ville. Le «redéploiement» à une vingtaine de kilomètres pourrait prendre fin ce samedi 1er décembre. En fait, les «amis» de Jean-Marie Runiga Lugerero et de Sultani Makenga restent sceptiques sur la sincérité de «Joseph Kabila». La prise du chef-lieu de la province du Nord Kivu les mettait en position de force face à un adversaire retors. Le mouvement rebelle tente ainsi d’empêcher le pouvoir kabiliste rétablir «l’ordre ancien» qui régnait dans cette ville avant le 20 novembre. Certains responsables de la rébellion invoquent à l’appui de cette position le fait que leur mouvement n’a pas pris part à l’élaboration de la résolution arrêté à Kampala par les chefs d’Etat de la Région. Ils se sont inclinés "par respect" aux chefs d’Etat.
Comme pour montrer que le désengagement des troupes rebelles «de la ligne de front sur l’axe Goma-Bukavu» ne signifie nullement la fin des hostilités, Bertrand Bisimwa, porte-parole des insurgés, a, dans un communiqué daté du jeudi 29 novembre, attiré l’attention «de l’opinion tant internationale que nationale» sur les propos qu’auraient tenus le chef d’état-major intérimaire des forces terrestres, le général François Olenga. celui-ci aurait déclaré qu’«il va fusiller toute personne qui a été en contact» avec les forces rebelles. «Le M23 dit qu’il ne tolérera pas la moindre exaction commise sur la population innocente des territoires laissés à la communauté internationale lors de son retrait (…)», prévient le communiqué.

Evaluer l’accord du 23 mars

A Kinshasa, des sources bien informées indiquent que les présidents des Groupes parlementaires à l’Assemblée nationale - il y en a quatorze dont quatre appartenant à l’opposition - ont été approchés par le Bureau de cette Chambre du Parlement au sujet d’une «mission» d’une durée de quinze jours qu’ils devraient effectuer incessamment en Ouganda. «La mission est financée par la Présidence de la République», confie une source qui souligne au passage que «Joseph Kabila» tente d’«acheter» les députés nationaux en les entraînant dans un dossier nébuleux dont ils maîtrisent ni les tenants ni les aboutissants. 
Connaissant la vénalité des politiciens congolais, la Présidence aurait prévu des frais de mission estimés à 30.000 $US par président de Groupe. «Joseph Kabila» devrait recevoir dans les prochains jours dix députés de chaque Groupe parlementaire de l’opposition (UDPS/FAC, MLC/Alliés, UNC/Alliés et les Libéraux sociaux démocrates chrétiens). De quoi vont-ils parler ? Toute la question est là !
En attendant, les discussions feraient rage au sein de ces Groupes. Pour les uns, il faut accepter l’offre de «Joseph Kabila». Pour d’autres, il n’en est pas question. «Le Parlement congolais n’a pas été représenté au sommet de Kampala, à quel titre va-t-il évaluer un dossier qui lui est totalement étranger pour avoir été conclu entre Joseph Kabila et le CNDP», commente une critique de ce projet. Une source parlementaire d’enchaîner : «Il appartient au gouvernement d’aller négocier et de venir rendre compte à l’Assemblée nationale». Notons que des parlementaires de l’opposition ont exigé la convocation du Congrès. Sans oublier la mise en accusation de «Joseph Kabila» pour «haute trahison». Aux dernières nouvelles, plusieurs députés de l’opposition auraient levé l’option d’effectuer ce déplacement. 

Les «gages» donnés à Paul Kagame 

Les observateurs s’attendent à un dialogue de sourds entre «Joseph Kabila» et le M23. Dans une déclaration faite le jeudi 29 novembre à l’occasion d’une «question orale» au Sénat, le ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, a laissé entendre que le gouvernement «a respecté tous ses engagements signés avec le Congrès national pour la défense du peuple». Il a ajouté que «la rébellion du M23 - qui émane du CNDP - est un prétexte pour faire la guerre à la RDC». «Jamais le M23 n’a voulu utiliser la guerre comme moyen pour pouvoir faire entendre ses revendications», a rétorqué, pour sa part, Jean-Marie Runiga, le chef politique du M23, dans une interview accordée à Radio Okapi. «Dès le début on a demandé un dialogue, c’est le gouvernement de Kinshasa qui n’a jamais accepté le dialogue et en refusant ce dialogue, il a préféré attaqué le M23, (…)», a-t-il ajouté. Pour lui, les forces du M23 n’auraient fait qu’exercer leur droit de « légitime défense ». Runiga a, par ailleurs, justifié la décision de son Mouvement d’associer l’opposition politique, la société civile et la diaspora à la table de négociations. Selon lui, «c’est parce que nous sommes fatigués de faire des négociations en solo, en secret avec Kabila. Il ne respecte jamais ses engagements». Dans une intervention, mercredi 28 novembre, sur les ondes de la RTBF-radio, le ministre de la Communication Lambert Mende a accusé le M23 de n’avoir aucun "agenda". Selon lui, cette lacune le pousse à multiplier ses revendications. 
Notons que les observateurs se posent des questions sur la nature des «gages» que le numéro un Congolais a pu donner à son ancien parrain Paul Kagame lors de leur tout dernier entretien dans la capitale ougandaise. D’aucuns imaginent le pire en alléguant que le «raïs» - pour préserver son pouvoir - n’aurait pas manqué de promettre à Kagame l’organisation d’un «référendum» d’autodétermination dans les localités et villes passées sous le contrôle du M23. Objectif : transformer la partition de fait actuelle en partition de droit. Délire ? L’avenir le dira.
En tous cas, l’implication éventuelle des groupes parlementaires de l’opposition dans les prochaines tractations de Kampala est perçue comme une volonté du pouvoir kabiliste de donner «l’onction nationale» à des discussions dont l’enjeu reste l’unité physique du territoire national. Les parlementaires nationaux vont-ils brader leur honorabilité et le destin collectif juste pour quelques dollars de plus? L’heure est aux manoeuvres politiciennes...
[Baudouin Amba Wetshi/CongoIndependant]
 

Les « FAC » à l’heure de la fédération des intelligences.
La salle est pleine, dans les couloirs, on voyait des jeunes avec des stylos, papiers et autres se bousculer pour noter, comprendre pour ensuite faire des propositions constructives aux politiques congolais.
C’est la nouvelle optique des Forces Acquises au Changement. Se démarquer, faire autrement, en donnant la place à l’élite congolaise, une table des données afin de pouvoir faire le vrai diagnostic du mal congolais et trouver les remèdes adéquats.
Il était presque 10hoo’ que les ténors des les forces acquises au changement ont tenu le samedi passé à notre dame de Fatima une conférence-débat centré sur le thème : la crise de la légitimé et la guerre à l’Est de la RDC, conséquences des élections du 28 novembre 2011.
Mr Jérôme Bonso s’est appesanti sur le processus électoral en Afrique subsaharienne de 1990 à ce jour.
Après avoir énuméré quelques causes exogènes en abordant les causes de la relance du processus démocratique, il a énuméré certaines causes exogènes  notamment le vent de la perestroïka, et autres causes endogènes notamment les contestations estudiantines, la lettre de 13 parlementaires et la pression syndicale. Sans oublier les obstacles dans le processus électoral entre autre le non respect des règles préalables dans le chef même de l’organe chargé d’organiser ces élections.
Quant au Professeur Milala, ce brillant professeur relève que l’histoire politique du Congo est une sorte de la tragi-comique. Il a cité la tragédie de l’assassinat de Lumumba, ainsi que le génocide congolais qui ne fait émouvoir personne dans le monde comme si on s’en moquait. C’est comique que nos dirigeants se compromettent dans des accords avec des groupes rebelles fabriqués par le Rwanda et l’Ouganda dans une sorte d’organisation maffieuse pour nous imposer leur politique et balkaniser la RDC. C’est dans une action collective générée depuis le bas, la base populaire qu’on peut amener le vrai changement en RDC. Ce n’est que dans le respect des règles démocratiques, respect de la volonté commune, du choix du peuple qu’on peut transformer la souveraineté en Institution. Le professeur préconise que tout soit mis en œuvre pour donner à toutes les couches de la population les informations essentielles pour leurs sensibiliser et leurs amener à la connaissance générale.
 
Le professeur Kalélé, Coordonnateur Adjoint des « FAC », a dénoncé la duplicité des dirigeants actuels et leur compromission. Il appelle cependant à la responsabilité de la Jeunesse congolaise.
Quant à l’honorable Martin Fayulu, ce dernier a déploré le fait que la RDC soit devenue la risée du monde. Après une brève rétrospection sur tous les beaux discours des gouvernants depuis 1960 à ce jour, on se demande alors pourquoi cet état chaotique dans lequel se trouve le géant Congo ? où allons-nous ? Que faire pour renverser la vapeur ?
Par ailleurs, le Président de l’ECiDé invite les congolais à un grand débat pour fédérer les intelligences,  une fédération de l’intelligence congolaise. Ce dialogue national entre congolais serait un cadre de réflexion non pas pour le partage équilibré ou déséquilibré du pouvoir mais pour que le Peuple congolais uni dans sa diversité réfléchisse et aborde la situation globale et générale du pays et essayer de trouver de pistes des solutions.
A une question posée par un invité à savoir sur l’impact de la politique de la chaise occupée à l’assemblée nationale par le groupe « FAC ». Le coordonateur des « FAC » a répondu que cela paye du fait que l’opposition met en évidence, à la lumière tous les projets machiavéliques, diaboliques contre la RDC et son peuple. S’il n’y avait peut être pas la présence de l’UDPS-FAC et certains membres de l’opposition, J. Kabila aurait déjà signé ces accords avec le M23. La démocratie certes c’est la loi de la majorité, mais c’est aussi la loi de la raison. Notre combat à cet hémicycle  transmis par la RTNC pour des nombreux  congolais ici et ailleurs sensibilise davantage l’opinion nationale et internationale permet aux congolais de découvrir ceux qui trahissent la Nation. Voilà le sens de notre présence au Parlement « Alerter le monde ».
Colette Mavinga
 

RDC - M23 : le temps des négociations s'ouvre à Kampala

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07/12/2012 à 07h:30 Par Jeune Afrique
Jean-Marie Runiga, chef politique du M23, à Goma, le 27 novembre 2012.Jean-Marie Runiga, chef politique du M23, à Goma, le 27 novembre 2012.© AFP/Phil Moore
Les négociations entre les autorités de RDC et les rebelles devaient se tenir à partir de vendredi 7 décembre au matin à Kampala, mais pourrait prendre du retard. La délagation du M23 était toujours attendue dans la capitale ougandaise. Le président Joseph Kabila ne devrait pas être présent et le principal parti de l'opposition congolaise (UDPS de Étienne Tshisekedi) a refusé d'y être représenté.
Mis à jour le 07/12/12 à 12H30
« Les délégations du gouvernement de RDC et du M23 vont entamer des réunions préliminaires ce vendredi à Kampala pour résoudre le conflit dans l'Est de la RDC», a déclaré jeudi 6 décembre à la presse le porte-parole du gouvernement ougandais, Fred Opolot. Mais la délégation de la rébellion qui agit au Nord-Kivu, conduite par son chef politique Jean-Marie Runiga, était toujours attendue à Kampala, ce qui pourrait retarder l'ouverture des discussions.
« Ma délégation est partie ce (vendredi) matin vers 06h00 heures (05H00 GMT) et devrait arriver à Kampala cet après-midi ou ce soir », a déclaré Jean-Marie Runiga, interrogé par téléphone. «Je ne suis pas sûr quand exactement (les négociations commenceront), peut-être dimanche », a-t-il ajouté.
« Le point clé de l'ordre du jour est d'abord les règles de base et le cadre de travail des réunions à venir, puis des règles quant aux observateurs et quant à la composition » de leur délégation, a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement ougandais.
Les autorités congolaises, une délégation composée d'élus et conduite par le ministre des Affaires étrangères Raymond Tshibanda, sont déjà présentes dans la capitale ougandaise. Des négociations auxquelles le principal parti d'opposition, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a refusé de participer.
Agenda
« Nous espérons que (les discussions) commenceront dans les prochains jours », a indiqué le chef de l'administration du ministère ougandais des Affaires étrangères, James Mugume, confirmant « des consultations en cours sur le financement et la logistique » des négociations.
Si ces négociations sont une étape importante vers un retour à la paix, nombre d’incertitudes subsistent. « Ce qui n'est pas clair, c'est l'agenda de ces négociations car le M23 semble avoir un agenda très extensible, » relève Thierry Vircoulon, de l'International Crisis Group (ICG).
« Kinshasa dit "on parle seulement des accords du 23 mars" », a noté mercredi Jean-Marie Runiga. Mais « de notre côté, nous avons prévu de pouvoir parler (...) d'autres questions politiques et juridiques, ayant trait à la défense et à la sécurité, à l'économie et aux finances, au social et au développement. »
Mécanisme d'application
Quelle que soit l'issue des négociations, il restera à appliquer un éventuel nouvel accord. « Ce qui a pêché la dernière fois était l'absence de mécanisme d'application, avec une mise en oeuvre finalement très biaisée de part et d'autre, » rappelle Thierry Vircoulon.
Le président Joseph Kabila, absent à Kampala, prendra part au sommet des pays d'Afrique australe qui se tiendra également vendredi à Dar es Salaam. Un sommet largement consacré à la RDC qui verra le Sud-Africain Jacob Zuma et l’Angolais José Eduardo Dos Santos, par le passé d'importants alliés de la RDC, être représentés.
(Avec AFP)


Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC - M23 : le temps des négociations s'ouvre à Kampala | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

KAMPALA - UN SOMMET POUR RIEN

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Chers Compatriotes,

Veuillez assurer une large diffusion de ce document très important pour le devenir de notre pays

Ce que je crois,

LE SOMMET DE KAMPALA = UNE PROMENADE ET UN LOISIR PLUTÔT QU'UNE SOLUTION AU PROBLÈME DE LA RDC

Chers Compatriotes, 

Agissons énergiquement cette fois-ci car la balkanisation a pris sa vitesse de croisière. J'ai honte de mon Pays la RDC et ses Dirigeants traîtres de la cause nationale 
(LES ANTI-PATRIOTES).

Le sommet de Kampala, n'a aucun sens pour des raisons évoquées ci-dessous:

Analysez tout simplement le document en pièce-jointe et le commentaire ci-dessous, vous vous en rendrez compte. 

1)
Hippolyte Kanambé (alias Joseph Kabila un nom d'emprunt pour masquer son identité rwandaise) lui-même est membre effectif de M23, dont nous avions déjà dénoncé il y a de cela plusieurs mois. Non seulement il finance ce groupe, mais c'est aussi sa branche armée pour accélérer le processus de la balkanisation du Congo avec les grandes puissances occidentales, notamment la Belgique, Les États Unis et la Grande Bretagne, dont le Rwanda et l'Ouganda sont des acteurs principaux tout en tirant profit de tout genre: Appui militaires, logistiques, financiers, expertises sécuritaire, de renseignement et de la défense, à travers les missions diplomatiques de ces pays occidentaux basés à Kinshasa, Kigali et Kampala.   

2)
En tant que Rwandais, et profitant de sa position du Président de la RDC, Hippolyte Kanambé traite directement avec son Oncle James Kabarebe et Paul Kagamé son Autorité morale, car il fut son Aide de Camp dans l'Armée Patriotique Rwandaise (APR).
En plus de ceci, il a réussi à infiltrer les rwandais dans tous les services de souveraineté de la RDC: FARDC, ANR, DEMIAP, DGM, Présidence, Gouvernement, Parlement (Députés et Sénateurs), les Sociétés d'État, les Administrations Provinciales et Locales. Cette action facilitée par les traîtres et anti-patriotes congolais constitue aux yeux du Peuple Congolais la plus haute trahison depuis le 30 Juin 1960.

3)
Mr. Mwando Simba qui conduit la délégation congolaise au sommet de Kampala est l'artisan numéro 1 du déboire consécutif que subit les FARDC. En tant que Ministre de la Défense, et profitant de sa double nationalité, il a favorisé à grande échelle l'infiltration des rwandais au sein des FARDC, grâce à l'appui de la coopération militaire belge. A contribué aussi à ce sale besogne, le Général Didier Etumba en sa qualité du Chef d'État Major Général. 

4) 
Profitant des réseaux tissés, au regard du document en pièce-jointe, le Rwanda et l'Ouganda ont eu à faciliter leur plan de balkanisation, grâce à l'appui interne des anti-patriotes, traîtres et Politichiens qui excellent dans la médiocrité, dont le souci de la population et de l'unité de la nation semblent être moins préoccupant pour eux. Donc, ils ont vendu notre maison, la RDC.
D'ailleurs l'ancien Président Suisse de passage à Kananga tout récemment a confirmé ce plan de balkanisation.


5)
Les négociations avec le M23 ne sont autre que la confirmation du plan de balkanisation qui doit passer à une étape supérieure, si nous peuple congolais continuons à dormir. Nous finirons par être expulsés de notre terre, la terre de nos ancêtres, car les ennemis sont à la fois internes et externes.
6)
La seule solution actuellement est le mot d'ordre à tous les congolais de s'attaquer énergiquement à tous ces congolais traîtres, leurs familles et leurs biens au pays.
  
Chaque congolais qui aime son pays et qui incarne le sens patriotique doit réagir, sinon c'est la disparition tout simple du Peuple Congolais. 


Parole du Patriote
Ne jamais trahir sa Patrie, ni son Peuple
 

DECLARATION DE L’ASADHO A L’OCCASION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’HOMME.

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[1]ASADHO 
B.P.16737                 
KINSHASA 1
R.D. Congo                                     
Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme  
African Association for the Defense of Humans Rights
 
DECLARATION DE L’ASADHO A L’OCCASION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’HOMME.
« L’ASADHO invite le Conseil de sécurité des Nations Unies et la Procureur près la CPI à ouvrir une enquête sur les crimes internationaux  et les violations des droits de l’Hommes commis par les éléments du M23 et alliés à Goma, Province du Nord Kivu»
A l’occasion de la  célébration du soixante quatrième anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits d’homme, ce 10 Décembre 2012, l’Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme « ASADHO » en sigle, attire l’attention de la Communauté internationale  en général et, celle du  Conseil de sécurité et de la Procureur près la Cour Pénale Internationale en particulier, sur les crimes internationaux commis par le M 23, alliés du Rwanda et de l’Ouganda, dans la partie Est de la R.D.Congo.
En effet, depuis l’entrée des réfugiés rwandais en RDCongo,  après le génocide rwandais de 1994, les régions de l’ Est ont connu l’émergence de plusieurs mouvements ou groupes armés parrainés par certains pays voisins, particulièrement le Rwanda et l’Ouganda  et certains milieux maffieux internationaux très actifs dans le trafic d’armes de guerre,  l’exploitation et le commerce illicites des ressources naturelles.
Les membres de ces différents groupes armés ont depuis lors entretenu un climat de terreur et d’insécurité dans lequel ils commettent diverses violations des droits de l’Homme: viols massifs des femmes et jeunes filles, esclavages sexuels, enrôlement forcés  et la participation des enfants aux hostilités, crimes de guerre, atteintes à la vie, atteintes à l’environnement, pillage des ressources naturelles et biens publics et privés,  incendies des villages,…
Beaucoup d’auteurs de ces violations des droits de l’Homme, malgré qu’ils sont bien connus, bénéficient d’une impunité générale soit parce qu’ils sont alliés du Gouvernement congolais soit parce qu’ils sont protégés par les autorités du Rwanda.
 A ce jour, malgré le dialogue inter congolais, la présence du contingent très important des casques bleus de Nations Unies, les élections législatives et présidentielles de 2006 et de novembre 2011, la sécurité et la paix pour les populations du Kivu tardent toujours à venir.
Le drame humanitaire, le pillage systématique des biens publics et privés, les atteintes aux droits de l’homme et les crimes internationaux commis par le M23 et leurs alliés rwandais lors de la prise, de l’occupation et l’évacuation de la ville de Goma viennent aggraver la situation des droits de l’Homme à l’Est de la R.D.Congo.
 Malgré le communiqué du 21 novembre 2012 de Madame la Procureur près la Cour Pénale Internationale, le M23 et ses alliés n’ont été dissuadés à commettre de nouveau ces crimes internationaux et violations des droits de l’homme à Goma.
L’ASADHO s’inquiète de cette attitude du M23 et de ses alliés qui trouve sa justification dans le fait que beaucoup d’auteurs de ces  crimes sont toujours restés impunis.
Elle considère que les négociations qui se déroulent maintenant entre le M23 et le Gouvernement  congolais ne peuvent pas servir à couvrir les auteurs de ces crimes et violation des droits de l’Homme ci - haut décrits.
Pour l’ASADHO, le 64eme anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ne peut avoir de pertinence pour les populations de l’Est  que dans la mesure où le Conseil de sécurité et la CPI pourraient pousser à ce que les auteurs de ces crimes soient poursuivis et punis.
Face à cette situation,  l’ASADHO recommande :
§  Au Conseil de sécurité :
 
-       De mettre sur pied en toute urgence, une commission ad hoc pour enquêter sur les violations des droits humains commis à Goma par le M 23 et les militaires rwandais ;
 
-       De condamner et sanctionner,  la participation du Rwanda et de l’Ouganda à  la rupture de la paix et à la violation droits humains par  les rebelles du M 23 ;
 
§  A Madame la Procureur près la Cour Pénale Internationale :
 
-       De dépêcher une mission à Goma pour enquêter sur les crimes internationaux commis par le M 23 et alliés ;
 
§  Au Gouvernement congolais :
 
-       De se refuser de couvrir, par des accords avec le M23, les auteurs des crimes internationaux commis par les rebelles du M23 et leurs alliés.
 
                                                                     Fait  à Kinshasa, le 07 décembre 2012
 
                                                                               ASADHO
Pour toute information, contactez :
 
Me Dora Zaki : Vice Présidente Nationale : + 243 99 4096 131
Me Jean KEBA, Directeur chargé de la protection des victimes : + 243998306105


[1]                      *Organisation  affiliée à la Commission Internationale des Juristes (Genève), à la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), dotée du statut d’observateur auprès de la Commission africaine des Droits de l’Homme et des peuples (Banjul) et Membre du Réseau OMCT/SOS Torture.
ASADHO – Bureau National : Lokele n°3, Commune de Gombe,
Kinshasa /Gombe, Local 2, RD. Congo                                                                       E-mail : asadhokin@yahoo.fr
Tél. (00243) 9999 37493                                                                                            Site web : http:/www.asadho-rdc.net                                                

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Maître Jean Claude Katende
Avocat au Barreau de LUBUMBASHI
Président National de l'ASADHO
Tél :+¨243 811 729 908, + 243 9970 32 984
Skype: jckatende1
KINSHASA
 République Démocratique du Congo                  

Intervention au Mali : la France et les États africains veulent aller vite, Washington doute | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

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Intervention au Mali : la France et les États africains veulent aller vite, Washington doute | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
07/12/2012 à 16h:00
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Des combattants d'un groupe islamiste près de Gao, dans le nord du Mali, le 21 septembre 2012.Des combattants d'un groupe islamiste près de Gao, dans le nord du Mali, le 21 septembre 2012.© AFP
Paris et les États africains veulent obtenir rapidement le feu vert de l'ONU pour mener une intervention militaire internationale dans le nord du Mali. De leur côté, les Américains sont plus sceptiques et doutent de la capacité de Bamako et de ses voisins à mener à bien l'opération.
Contrairement à Paris et aux États africains, Washington ne semble pas vouloir se presser sur le dossier malien. « Les États-Unis ne sont pas satisfaits des préparatifs de la Cedeao (Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest) pour cette mission, ils n'ont pas confiance dans la capacité des troupes africaines et de l'armée malienne à faire le travail », a expliqué un diplomate occidental.
Washington, explique-t-il, « voudrait deux missions différentes : une pour soutenir l'armée malienne et faciliter le dialogue politique, et une autre pour combattre les groupes terroristes » comme Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui ont pris le contrôle du nord du Mali.
Bamako et la Cedeao ont soumis à l'ONU des plans pour une force internationale de 3 300 hommes et demandent au Conseil de sécurité d'autoriser rapidement son déploiement. Le Conseil doit se prononcer sur la base d'une résolution préparée par la France, qui espère son adoption avant Noël.
Pour le secrétaire d'État américain adjoint aux affaires africaines Johnnie Carson, qui témoignait mercredi devant une commission du Sénat, les plans de la Cedeao « ne répondent pas à plusieurs question essentielles », dont les « capacités des forces maliennes et internationales de réaliser les objectifs de la mission » et son financement.
Automne 2013
Lors de consultations à huis clos mercredi au Conseil de sécurité, la France et les pays africains, notamment l'Afrique du Sud, ont plaidé pour une adoption rapide de la résolution.
Le texte, qui doit être soumis par Paris à ses 14 partenaires en début de semaine prochaine, autorisera l'envoi à Bamako de la force militaire, baptisée Mission internationale de soutien au Mali (Misma).
Des instructeurs européens s'efforceront de rebâtir l'armée malienne, actuellement en piteux état, en prévision d'une reconquête du nord. Celle-ci ne pourra pas commencer avant l'automne 2013, selon le patron des opérations de maintien de la paix Hervé Ladsous.
Parallèlement, la résolution appellera à un dialogue national à Bamako et à une réconciliation entre le gouvernement malien et les touaregs sécessionnistes du Nord.
Washington traite cette crise comme « un problème de terrorisme », déplore un diplomate qui souligne cependant que tout le monde s'accorde sur la menace que font peser des groupes comme Aqmi au Nord-Mali.
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a de son côté publié un rapport soulignant les risques de l'opération, notamment en termes de violations des droits de l'homme.
"Poker"
Dans ces conditions, les tractations autour de la résolution risquent d'être ardues même si, souligne un diplomate occidental, il n'y a « pas d'objection fondamentale à l'approche française, en dehors des États-Unis ».
Au final, affirme un autre diplomate, « il y aura une résolution autorisant la force mais ça va être compliqué ». « C'est un jeu de poker, les Américains ne vont pas mettre leur veto », ajoute-t-il.
Les autres Européens du Conseil, Royaume-uni et Allemagne, sont en faveur de l'autorisation. Russie et Chine ne devraient pas s'y opposer.
Des questions se posent cependant sur le passage de la phase d'entraînement à la reconquête du Nord, ou sur le financement d'une opération qui devrait coûter au moins 200 millions d'euros. Paris a demandé au secrétariat général de l'ONU d'estimer une éventuelle aide logistique de l'ONU à l'opération, qui serait aussi financée par l'Union européenne, les États-Unis et la France.
(Avec AFP)
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