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Joseph Kabila: ses jours sont ils comptés?

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Dans une résolution, le parlement européen scelle à son tour la fin de Kabila

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Le Parlement européen,
–  vu ses précédentes résolutions sur la République démocratique du Congo, en particulier celles du 9 juillet 2015(1) et du 17 décembre 2015(2),
–  vu le communiqué de presse commun du 16 février 2016 de l’Union africaine, des Nations unies, de l’Union européenne et de l’Organisation internationale de la Francophonie sur la nécessité d’un dialogue politique ouvert à tous en République démocratique du Congo et vu l’engagement de ces organisations à soutenir les acteurs congolais dans leurs efforts en vue de la consolidation de la démocratie dans le pays,
–  vu la déclaration locale de l’Union européenne du 19 novembre 2015 dans la foulée du lancement du dialogue national en République démocratique du Congo,
–  vu la déclaration du président du Conseil de sécurité des Nations unies du 9 novembre 2015 sur la situation en République démocratique du Congo,
–  vu la déclaration locale de l’Union européenne du 21 octobre 2015 sur la situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo,
–  vu la déclaration du porte-parole du Service européen pour l’action extérieure du 12 octobre 2015 sur la démission du chef de la commission électorale en République démocratique du Congo,
–  vu les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies sur la République démocratique du Congo, en particulier la résolution 2198 (2015) sur la reconduction du régime de sanctions contre la République démocratique du Congo et le mandat du groupe d’experts et la résolution 2211 (2013), qui a reconduit le mandat de la mission de stabilisation des Nations unies en République démocratique du Congo (MONUSCO),
–  vu le communiqué de presse commun du 2 septembre 2015 du groupe des envoyés et représentants internationaux pour la région des Grands Lacs de l’Afrique sur les élections en République démocratique du Congo,
–  vu le rapport annuel du haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme du 27 juillet 2015 sur la situation des droits de l’homme et les activités du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme en République démocratique du Congo (BCNUDH),
–  vu la déclaration du 25 janvier 2015 de la vice-présidente de la Commission et haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité (VP/HR), Federica Mogherini, à la suite de l’adoption de la nouvelle loi électorale en République démocratique du Congo,
–  vu le rapport du 12 janvier 2015 du groupe d’experts des Nations unies sur la République démocratique du Congo,
–  vu la déclaration de Nairobi de décembre 2013,
–  vu l’accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo et la région signé en février 2013 à Addis-Abeba,
–  vu la charte africaine des droits de l’homme et des peuples de 1981,
–  vu la charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance,
–  vu la constitution congolaise du 18 février 2006,
–  vu l’accord de Cotonou,
–  vu l’article 135, paragraphe 5, et l’article 123, paragraphe 4, de son règlement,
A.  considérant que les prochaines élections présidentielles et législatives, qui doivent avoir lieu en novembre 2016, pourraient représenter une nouvelle occasion de transition démocratique du pouvoir;
B.  considérant que le nombre de mandats du président de la République démocratique du Congo est constitutionnellement limité à deux;
C.  considérant que le président Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001, a été accusé par ses adversaires d’utiliser des moyens administratifs et techniques pour s’efforcer de retarder les élections et de rester au pouvoir au-delà de la fin de son mandat et qu’il n’a pas encore déclaré publiquement qu’il se retirerait à la fin de celui-ci; que ceci a causé un accroissement des tensions politiques, des troubles et des violences dans tout le pays;
D.  considérant que des doutes ont été exprimés quant à l’indépendance et à l’impartialité de la commission électorale nationale indépendante;
E.  considérant que depuis janvier 2015, des responsables de la sécurité et du renseignement congolais s’en prennent à des militants pacifiques, à des dirigeants politiques et à d’autres qui s’opposent aux tentatives visant à permettre au président Kabila de modifier la constitution de manière à rester au pouvoir au-delà de la limite des deux mandats fixée par celle-ci; que les groupes de défense des droits de l’homme font continuellement état de l’aggravation de la situation en ce qui concerne les droits de l’homme et la liberté d’expression et de réunion en République démocratique du Congo, y compris un recours à une force excessive contre des manifestants pacifiques et une augmentation du nombre de procès répondant à des motivations politiques; considérant que la MONUSCO a recensé plus de 260 violations des droits de l’homme liées aux élections, essentiellement contre des adversaires politiques, des membres de la société civile et des journalistes, au cours de l’année dernière; que le BCNUDH en République démocratique du Congo a affirmé avoir enregistré plus de 400 cas de violation des droits de l’homme, y compris 52 arrestations, depuis le début de 2016;
F.  considérant qu’en juin 2015, le président Kabila a annoncé le lancement d’un dialogue national; que les préparatifs officiels d’un tel dialogue n’ont pas encore commencé car deux groupes majeurs de l’opposition ont décidé de ne pas participer à ce qu’ils considèrent comme une tactique dilatoire;
G.  considérant qu’en septembre 2015, sept grandes personnalités politiques ont été expulsées de la coalition au pouvoir en République démocratique du Congo pour avoir signé une lettre pressant le président Kabila de respecter la constitution et de ne pas s’agripper au pouvoir après l’expiration de son mandat; que des heurts violents ont éclaté le même mois à Kinshasa, où un rassemblement s’opposant à toute tentative de troisième mandat anticonstitutionnel a été violemment attaqué;
H.  considérant que les personnes détenues arbitrairement sont notamment Fred Bauma et Yves Makwambala, des défenseurs des droits de l’homme du mouvement Filimbi (« sifflet »), qui ont tous deux été arrêtés pour avoir participé à un séminaire qui cherchait à encourager les jeunes Congolais à s’acquitter de leur devoir civique de manière pacifique et responsable et qui sont désormais incarcérés pour 11 mois, leur libération ayant déjà été exigée par le Parlement européen dans sa résolution susmentionnée du 9 juillet 2015;
I.  considérant que les chefs des principaux partis d’opposition, organisations non-gouvernementales et mouvements de jeunes pro-démocratie au Congo ont appelé les citoyens congolais à rester chez eux, sans aller au travail ou à l’école, le 16 février 2016, dans le cadre d’une action « ville morte », pour commémorer les personnes tuées pendant une marche pour la démocratie le 16 février 1992 et protester contre les retards dans l’organisation des élections présidentielles et ce qu’ils affirment être le non-respect de la constitution par le gouvernement;
J.  considérant que huit jeunes militants et au moins 30 partisans de l’opposition politique ont été placés en détention le 16 février 2016, ou aux alentours de cette date, dans le cadre de cette grève nationale, alors que d’autres militants ont reçu des menaces par SMS provenant de numéros de téléphone inconnus et que le ministre de l’emploi Willy Makiashi a interdit aux agents publics de participer à la grève; que six membres du mouvement LUCHA ont été condamnés à six mois de prison; que des commerçants et des fonctionnaires qui avaient observé la journée « ville morte » ont vu leur magasin fermé ou ont été l’objet de sanctions disciplinaires;
K.  considérant que l’Union africaine, les Nations unies, l’Union européenne et l’Organisation internationale de la Francophonie ont souligné conjointement l’importance du dialogue et de la recherche d’un accord entre les acteurs politiques qui respecte la démocratie et l’état de droit, et ont pressé tous les acteurs politiques congolais de coopérer pleinement avec les médiateurs désignés par la communauté internationale;
L.  considérant que la situation est aggravée par la persistance et le renforcement de l’impunité en République démocratique du Congo; que la sécurité en République démocratique du Congo continue à se détériorer, en particulier dans la partie orientale du pays, du fait de la violence causée par plus de 30 groupes armés étrangers et nationaux, et qu’il est constamment fait état de violations des droits de l’homme et du droit international, y compris des attaques ciblées contre des civils, des violences sexuelles et à caractère sexiste largement répandues, l’enrôlement systématique et la maltraitance d’enfants par des groupes armés et des exécutions extrajudiciaires;
M.  considérant qu’il y a récemment eu une détérioration de la liberté des médias en République démocratique du Congo; que des fonctionnaires de l’État ont neutralisé la liberté d’expression en fermant des médias (en particulier ceux qui diffusaient des messages sur les manifestations), des services de SMS et l’internet; qu’en février 2016, le gouvernement a fermé deux chaînes de télévision privées à Lubumbashi; que dans son dernier rapport annuel, publié en novembre 2015, Journalistes en danger, l’organisation partenaire de Reporters sans frontières, a répertorié 72 cas d’attaques contre des journalistes et des médias en République démocratique du Congo et a révélé que 60 % des violations de la liberté de la presse sont dues à des agents des services militaires ou de sécurité, à l’Agence de renseignement nationale ou à la police; que la retransmission des programmes de Radio France International a été suspendue pendant l’action « ville morte »;
N.  considérant que le programme indicatif national 2014-2020 pour la République démocratique du Congo, qui bénéficie d’un financement de 620 millions d’euros au titre du 11e Fonds européen de développement, donne la priorité au renforcement de la gouvernance et de l’état de droit, et notamment à la réforme de la justice, de la police et de l’armée;
1.  demande aux autorités de la République démocratique du Congo de s’engager expressément à se conformer à la constitution et à assurer la tenue d’élections dans les délais, avant la fin de 2016, conformément à la charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, et à garantir un environnement propice à des élections transparentes, crédibles et ouvertes à tous; souligne que le bon déroulement des élections sera crucial pour la stabilité à long terme et le développement du pays;
2.  se dit profondément préoccupé par la détérioration de la sécurité et de la situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo et en particulier par les informations faisant continuellement état d’une augmentation de la violence politique et par les restrictions sévères et les intimidations auxquelles les défenseurs des droits de l’homme, les adversaires politiques et les journalistes se trouvent confrontés à la veille du prochain cycle électoral; insiste sur le fait qu’il est de la responsabilité du gouvernement de prévenir tout approfondissement de la crise politique actuelle et toute escalade de la violence et de respecter, protéger et promouvoir les droits civils et politiques de ses citoyens;
3.  condamne fermement l’usage de la force contre des manifestants pacifiques et non armés; rappelle que la liberté d’expression, d’association et de réunion est à la base d’une vie politique et démocratique dynamique; condamne fermement les restrictions de plus en plus fortes de l’espace démocratique et la répression ciblée des membres de l’opposition, de la société civile et des médias; demande la libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers politiques, y compris d’Yves Makwambala, de Fred Bauma et des autres militants et partisans de Filimbi et de LUCHA, ainsi que du défenseur des droits de l’homme Christopher Ngoyi;
4.  estime que la lutte contre l’impunité est une condition préalable au rétablissement de la paix en République démocratique du Congo; demande que le gouvernement de la République démocratique du Congo, conjointement avec les partenaires internationaux, lance une enquête complète, approfondie et transparente sur les violations des droits de l’homme qui ont eu lieu pendant les manifestations liées aux élections, dans le but d’identifier toute action illégale ou déni de droits ou de libertés; demande instamment que des mesures soient prises pour que les auteurs des violations des droits de l’homme, des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des violences sexuelles contre les femmes ainsi que les responsables de l’enrôlement d’enfants soldats soient dénoncés, identifiés, poursuivis et punis conformément au droit pénal national et international;
5.  demande à la vice-présidente/haute représentante et aux États membres d’exploiter pleinement l’ensemble des instruments politiques, y compris les recommandations publiées dans le rapport final de la mission d’observation électorale de l’UE pour 2011 et dans le rapport de la mission de suivi de 2014 et d’exercer des pressions politiques au plus haut niveau afin d’éviter la propagation de la violence électorale en République démocratique du Congo et tout déstabilisation supplémentaire de la région des Grands Lacs;
6.  prend acte de la volonté de l’Union européenne et de la communauté internationale de soutenir le processus électoral congolais, pour autant qu’un calendrier électoral valide soit publié et que les dispositions constitutionnelles soient respectées; estime que ce soutien devrait se concentrer sur l’inscription des électeurs, la formation et la sécurisation des élections; insiste sur le fait que la nature et le montant de l’aide de l’Union européenne au processus électoral en République démocratique du Congo doit dépendre des progrès réalisés dans la mise en œuvre des recommandations des missions d’observation électorale de 2011 et de 2014, en particulier en ce qui concerne les garanties de l’indépendance de la commission électorale nationale indépendante, la révision des listes électorales, les exigences budgétaires et le respect du cadre constitutionnel;
7.  rappelle que la pleine participation de l’opposition, de la société civile indépendante et des experts électoraux de la commission électorale nationale indépendante est un facteur important de légitimation du processus électoral; rappelle que la commission électorale nationale indépendante doit être une institution impartiale; souligne que les autorités devraient mettre la disposition de la commission électorale nationale indépendante les ressources financières nécessaires pour permettre un processus complet et transparent;
8.  invite la vice-présidente/haute représentante à intensifier le dialogue avec les autorités de la République démocratique du Congo au titre de l’article 8 de l’accord de Cotonou afin d’obtenir des éclaircissements définitifs concernant le processus électoral; rappelle l’engagement pris par la République démocratique du Congo en vertu de l’accord de Cotonou de respecter les principes de démocratie, d’état de droit et de respect des droits de l’homme, parmi lesquels la liberté d’expression, la liberté des médias, la bonne gestion des affaires publiques et la transparence des mandats politiques; demande instamment au gouvernement congolais de respecter ces dispositions conformément aux articles 11b, 96 et 97 de l’accord de Cotonou et, dans le cas contraire, demande à la Commission d’engager la procédure prévue aux articles 8, 9 et 96 de l’accord de Cotonou;
9.  demande à l’Union européenne d’envisager l’imposition de sanctions ciblées contre les personnes responsables des violences en République démocratique du Congo, y compris des interdictions de voyage et des gels d’avoirs, pour contribuer à éviter de nouvelles violences;
10.  demande instamment à la délégation de l’Union européenne de suivre l’évolution de la situation et d’utiliser tous les outils et instruments appropriés, notamment l’instrument européen pour la démocratie et les droits de l’homme, afin de soutenir les défenseurs des droits de l’homme et les mouvements en faveur de la démocratie;
11.  demande de rétablir un rapporteur des Nations unies sur les droits de l’homme en République démocratique du Congo;
12.  rappelle que la paix et la sécurité sont des conditions préalables à des élections réussies; prend acte, à cet égard, de la reconduction du mandat de la MONUSCO et demande le renforcement de ses compétences concernant la protection des civils dans le contexte électoral;
13.  réaffirme sa profonde préoccupation concernant la situation humanitaire alarmante en République démocratique du Congo, causée en particulier par les conflits armés violents dans les provinces orientales du pays; demande à l’Union européenne et à ses États membres de maintenir leur assistance au peuple de la République démocratique du Congo afin d’améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables et de lutter contre les conséquences du déplacement, de l’insécurité alimentaire, des épidémies et des catastrophes naturelles;
14.  condamne les actes de violence sexuelle qui ont cours dans l’est du Congo; observe que les autorités congolaises ont organisé 20 procès ces derniers mois pour des violences sexuelles dans l’est du Congo, qui ont condamné 19 officiers de l’armée, et qu’il faut en faire beaucoup plus; encourage vivement les autorités congolaises à poursuivre leur lutte contre l’impunité en enquêtant sur les cas de violences sexuelles et en poursuivant leurs auteurs;
15.  se félicite de la décision des autorités congolaises de revoir les dossiers d’adoption bloqués depuis le 25 septembre 2013; prend acte des travaux du comité interministériel congolais sur la délivrance sporadique de permis de sortie pour les enfants adoptés; invite le comité interministériel à poursuivre ses travaux avec diligence et de manière cohérente, dans une atmosphère sereine; demande à la délégation de l’Union européenne et aux États membres de suivre la situation de près;
16.  invite l’Union africaine et l’Union européenne à assurer un dialogue politique permanent parmi les pays de la région des Grands Lacs de manière à éviter toute déstabilisation supplémentaire;
17.  charge son Président de transmettre la présente résolution au Conseil, à la Commission, à la vice-présidente de la Commission européenne/haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, à l’Union africaine, au Président, au premier ministre et au parlement de la République démocratique du Congo, au Secrétaire général des Nations unies, au Conseil des droits de l’homme des Nations unies ainsi qu’à l’assemblée parlementaire paritaire ACP-UE

Donald Trump: il faut jeter Nicolas Sarkozy en prison

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USA : Donald Trump « Il Faut Jeter Nicolas Sarkozy en Prison Pour Avoir Contribué à l’Expansion du Terrorisme »

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Donald Trump est un personnage étonnant. Le milliardaire, qui distille les déclarations provocantes, souvent taxées de racisme et de misogynie, a eu un mot négatif pour François Hollande.
Interviewé cette semaine par un journaliste de Chicago Tribune lors d’une séance de dédicaces dans la Trump Tower à New York, Donald Trump fustige Nicolas Sarkozy.
À la question : « Que pensez-vous de Nicolas Sarkozy » ; Le millionnaire réplique : « Je vais être très clair : je n’apprécie guère l’ancien président de la République. Je n’éprouve pas de compassion pour cet homme qui se pose aujourd’hui en victime. Si la France a aujourd’hui un problème avec sa classe politique elle a résolument un problème avec la place qu’occupe la prison dans son arsenal punitif. Il doit être condamné pour avoir aidé les terroristes à s’installer en Libye et pour avoir déstabilisé le monde. »
Les nouvelles victoires du milliardaire lors du « Super Tuesday » inquiètent outre-Atlantique. La recherche « Comment émigrer au Canada ? » a explosé la nuit dernière sur Google aux États-Unis.
Donald Trump défie tous les pronostics. Les observateurs de la campagne estimaient que l’homme d’affaires allait s’effondrer lors des primaires, il n’en est rien. Sa posture anti-establishment a encore séduit mardi 1er mars lors du « Super Tuesday ». Sur les dix États où des électeurs républicains étaient appelés aux urnes, le milliardaire est ressorti vainqueur dans six.
Après ses succès dans le New Hampshire, en Caroline du Sud et dans le Nevada, il est désormais plus que jamais le favori républicain pour la course à la Maison-Blanche. Ted Cruz, pourtant largement distancé, semble être le seul des quatre autres candidats en lice chez les conservateurs à pouvoir lui contester l’investiture. Lire la Suite

Moïse Katumbi serait il en danger de mort? Un extrait du Front civil RP

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Front Civil RP: Moïse Katumbi échappe à une tentative de piège par Joseph dit Kabila! Les milices terroristes appelés  » gardes républicaines » qui n’obéissent qu’à Joseph dit Kabila, installe la terreur sur les populations de cette partie du territoire!

fcrp2https://fcrpcongo.files.wordpress.com/2015/07/6205f-drapeau-de-la-rdc-copie.gif?w=49&h=28Lion

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Le Front Civil Résistance Populaire FCRP s’insurge contre les méthodes  terroristes de la milice de Joseph dit Kabila dit  »garde républicaine ». Ces miliciens  n’obéissent qu’à Joseph dit  »Kabila », ils sont plus de 30 Milles éparpillés sur tout le territoire dont 10 Milles sont infiltrés dans la police nationale en préparation du soulèvement populaire!  Moïse Katumbi est en danger permanent, la milice de Joseph dit  »Kabila » le  traque pour l’assassiner!
Centre Opérationnel du Front Civil de Résistance Populaire
Manoeuvres politiciennes :
Lubumbashi : Des éléments de la « GR » en visite nocturne dans la ferme de Katumbi?
Résultat de recherche d'images pour "moïse katumbi et joseph kabila"                                                 Moïse Katumbi Chapwe, piégé
Résultat de recherche d'images pour "moïse katumbi et joseph kabila"                                                    Joseph dit Kabila  le piégeur
Selon des sources bien informées à Lubumbashi, plusieurs éléments de la garde prétorienne de « Joseph Kabila », communément appelés « GR », ont été aperçus dans la nuit de mercredi 23 à jeudi 24 mars dans une ferme appartenant à l’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe.
A en croire ces sources, un camion rempli des membres de la « garde républicaine » est arrivé aux environs de minuit dans cette propriété de Moïse Katumbi. Des sympathisants de celui-ci auraient été alertés par des villageois. « Ces militaires n’ont quitté le lieu que vers 4 h00 du matin de ce jeudi 24 mars ». La ferme dont question s’appellerait « Futuka ». Elle serait située à une trentaine de kilomètres de Lubumbashi.
La rédaction de Congo Indépendant a tenté en vain de joindre au téléphone l’ancien gouverneur qui se trouverait à l’étranger. « Le président Joseph Kabila considère Moïse Katumbi comme son adversaire le plus coriace, explique un activiste de la société civile joint au téléphone à Lubumbashi. Kabila est à l’affût du moindre prétexte pour éliminer ’Moïse’ politiquement. Il n’est pas exclu que ces ’GR’ aient profité de l’absence du propriétaire des lieux pour enfouir un petit arsenal et accuser celui-ci de préparer la sécession au Katanga ».
Depuis le mois de janvier dernier, l’auteur de ces lignes n’a cessé de rapporter une ambiance digne d’un « état de siège de fait » qui règne dans l’ex-Shaba en général et dans la nouvelle province du Haut Katanga en particulier. On assiste à une sur-militarisation injustifiée de cette Région plutôt paisible pendant que les rebelles ougandais de l’ADF massacrent, en toute impunité, des habitants du territoire de Beni dans la province du Nord Kivu.
On apprend ainsi que l’ancien patron de la police nationale John Numbi Banza Tambo – qui est considéré comme le suspect numéro un dans l’assassinat du défenseur des droits humains Floribert Chebeya et de son collaborateur Fidèle Bazana – aurait « repris du service ». La police, l’armée et l’ANR (Agence nationale de renseignements) disposent des pouvoirs accrus pour arrêter qui elles veulent, quand elles veulent. Les activités des partis politiques sont interdites. Les « marches de soutien » organisées par le PPRD en faveur du président sortant « Joseph Kabila », elles, restent autorisées.
C’est le lieu de rappeler cette dépêche de l’ACP datée du 27 janvier. Celle-ci rapportait qu’au cours d’une parade mixte police-armée organisée au camp Vangu, à Lubumbashi, le « général » Jean Claude Kifwa, commandant de la 2ème zone de défense militaire, s’est permis de lancer une « sévère mise en garde » en direction de ceux qu’il considère comme étant des « manifestants perturbateurs de l’ordre public ». Entendez, des dirigeants des partis de l’opposition.
Kifwa qui a obtenu son grade sans devoir user le fond de ses pantalons dans des académies militaires semble ignorer que la force publique doit respecter la Constitution et non se mettre au service d’un individu, fût-il le chef de l’Etat. Kifwa semble ignorer que l’article 6 de la Loi fondamentale proclame la reconnaissance du « pluralisme politique ».
Jean-Claude Kifwa et les autres sbires au service du « raïs » devraient savoir qu’un opposant est avant tout un Citoyen. A ce titre, celui-ci n’est pas tenu d’aimer ou de ne pas aimer les dirigeants de son pays. Il a, en revanche, le droit sacré de se demander, comme disait Alfred de Vigny, si les gouvernants en place conduisent le pays dans la bonne direction. Dans le cas contraire, le Citoyen a parfaitement le droit de critiquer et de contester son gouvernement sans devenir pour autant un « ennemi de la République ».
Depuis le mois de septembre 2015, plusieurs fonctionnaires oeuvrant dans l’ancienne province du Katanga ont été « virés » sans d’autre forme de procès non pas pour avoir commis des fautes professionnelles. Mais simplement parce qu’ils seraient réputés membres ou sympathisants des organisations non affiliées à la « majorité présidentielle ». Là où le bât blesse est que ces fonctionnaires ont perdu leurs situations respectives sur ordre de « Joseph Kabila ». Quelle bassesse!
Chaque jour, des personnalités politiques étiquetées « G7 » font face à diverses tracasseries militaro-policières dans l’ancienne province du Katanga. « Joseph Kabila », à travers ses « petits soldats », ne cesse de restreindre les droits et libertés de ses ex-alliés, devenus ses contempteurs les plus résolus. C’est le cas notamment de l’ancien gouverneur Katumbi dont la ferme a été « visitée » la nuit dernière par des « GR » qui ne rendent compte qu’à « Joseph Kabila ». Affaire à suivre.
B.A.W 
© Congoindépendant 2003-2016

Page de l'histoire: liste des membres du gouvernement Etienne Tshisekedi de 1991

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MEMBRES DU GOUVERNEMENT DURANT LA
TRANSITION MOBUTISTE
 
GOUVERNEMENT D'ETIENNE TSHISEKEDI
( Ordonnance d'investiture : 14 octobre 1991)
 
MinistèresNoms et famille politique
1. IntérieurMathieu BOSUNGA LOOMBE (PDSC)
2. Relations extérieuresBUKETI BUKAYI (FDU)
3. Justice et Garde des SceauxRoger GISANGA (UDPS)
4. Défense nationale, Sécurité du Territoire & Anciens C.NGBANDA NZAMBO KO ATUMBA (FDU)
5. FinancesFaustin BIRINDWA (UDPS)
6. Plan et RavitaillementIFEFA MANDJI (FDU)
7. Economie, PMEFernand TALA NGAI(RLP)
8. BudgetBaudouin KABISI (FCN)
9. Transport & CommunicationsNoël MBALA NKODI (UFERI)
10. CommercePaul KAPITA SHABANGI (UDPS)
11. Fonction publiqueDenis BAZINGA (UDPS)
12. Travaux PubliqueMUTOMBO KIAMOKASA (UFERI)
13.MinesMUKENGE NDIBU (FDU)
14.Energie et HydrocarburesKAKWATA (PDSC)
15.Agriculture-Elevage-PêchePaul BANDOMA (UDPS)
16.Postes &TélécommunicationKIRO KIMATHE (DCF)
17. EnvironnementTharcisse LOSEKE NEMBALEMBA (UDI)
18. Enseignement national & Recherche ScientifiqueJean - Claude BIEBIE (PALU)
19. CultureBULA PALUKU (DCF)
20. SantéPierre LUMBI (Société Civile)
21. Travail & Prévoyance sociale MBUMB MUSONG (UDPS)
22. Jeunesse & Sport Joseph POMBOLINGI (UDPS)

ACTU: Radio OKAPI

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Radiookapi.net : 18 articles

Link to Radio Okapi

Posted: 27 Mar 2016 12:45 PM PDT
Promotrice du "Festi-femmes", Bénédicte Shotsha. Radio Okapi/Ph. Jean-Marc Matwaki

Des femmes artistes de différents domaines ont été honorées à la première édition du Festi femmes, organisée depuis une semaine, à Kinshasa. A l’occasion, le public a découvert des femmes spécialisées notamment aux arts scéniques et plastiques.

A l’initiative de Bénédicte Shotsha Etshoko, ce festival entend notamment contribuer à la promotion et l’autonomisation de la femme artiste en RDC et créer un espace d’échange pour les femmes artistes.
 
Posted: 27 Mar 2016 11:52 AM PDT
La société Twangiza Mining de la compagnie minière Banro a assisté, samedi 26 mars, cent personnes vulnérables des chefferies de Luhwinja, Burhinyi et de Kaziba (Sud-Kivu).

Cette cérémonie dénommée «Hand of compassion » a été organisée en la résidence du Mwami de Luhwindja.

Des personnes assistées ont reçu chacun une vache et une enveloppe de 100 dollars américains.

La société Twangiza Mining a également remis la somme de 1000 dollars américains à l’orphelinat de Kaziba qui héberge environ soixante-six enfants.

Le directeur général de cette société, Philippe Muteba est persuadé que ces actes de compassion envers les couches vulnérables vont consolider la cohésion sociale entre les populations des chefferies sœurs  de Luhwindja, Burhinyi et de Kaziba.

 
Posted: 27 Mar 2016 11:27 AM PDT
La direction générale de l’Occ à Kinshasa-Gombe le 21/05/2013. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Trente-six anciens employés de l’Office congolais de contrôle (OCC) de l'agence de Kasumbalesa réclament leurs décomptes finals, après avoir presté pendant plus de dix ans.

Ils ont exprimé leurs désidératas, dimanche 27 mars, à Lubumbashi.

Ces ex-temporaires dénoncent également le fait qu’ils n’ont pas été engagés malgré toutes les promesses de l’entreprise. A la place, ils disent avoir vu d’autres personnes être promues.
 
Posted: 27 Mar 2016 10:26 AM PDT
Ville d’Albertville-Kalemie. Radio Okapi/François-Xavier MYBE

Au Tanganyika, les habitants appellent le nouveau gouverneur Richard Ngoie Kitangala à mettre en place un gouvernement de cohésion pour le développement de cette province.

Ils ont exprimé leurs attentes, dimanche 27 mars, soit un jour après l’élection du nouveau gouverneur du Tanganyika.

Ces populations sollicitent également que le nouveau gouverneur puisse se charger de l’amélioration de la vie sociale et créer des emplois.
 
Posted: 27 Mar 2016 10:06 AM PDT
Siège de l'Assemblée provinciale du Kasaï-Occidental à Kananga.

Le gouverneur de la nouvelle province du Kasaï-Central, Alex Kande Mupompa est appelé à travailler pour l’intérêt de la population.

Le député national élu de Kananga, Crispin Kankonde, a formulé cette demande, samedi 26 mars, juste après l’élection du gouverneur:
 
Posted: 27 Mar 2016 09:56 AM PDT
Le président du Volley Club "Espoir", Christian Matata au studio de Radio Okapi. Photo Blaise Ndongala

L’unique représentant congolais au Championnat d’Afrique des Clubs champions de Volleyball messieurs, le VC Espoir a validé son ticket pour les quarts de finale, après trois sorties réussies.

Cette compétition est disputée du 23 mars au 1er avril prochain au Caire (Egypte).
 
Posted: 27 Mar 2016 09:18 AM PDT
Le sélectionneur adjoint des Léopards, Florent Ibenge, lors d'une conférence de presse au siège de la Fédération congolaise de football association (Fecofa) le 18 août à Kinshasa. Photo Radio Okapi/John Bompengo

Le sélectionneur de la RDC, Florent Ibenge a indiqué qu’il va à Luanda (Angola) pour chercher la victoire.

Il l’a dit, samedi 26 mars à Kinshasa, lors de la conférence de presse d’après-match qui a vu les Léopards battre les Palancas Negras sur le score de deux buts à un, en match de la 3e journée des éliminatoires- Can Gabon 2017.
 
Posted: 27 Mar 2016 07:49 AM PDT
Un campement des FARDC au Nord-Kivu.

Après la décision des autorités du Nord-Kivu de faire escorter les véhicules transportant des passagers et des marchandises par des militaires, la société civile de Rutshuru réclame des mesures durables pour mettre fin à l’insécurité sur les routes de cette zone.

Jean-Claude Babanze, président de la société civile de Rutshuru, plaide notamment pour la traque des groupes armés et la multiplication des positions de l’armée le long des routes.  
 
Posted: 27 Mar 2016 07:12 AM PDT

 

Echauffement des Léopards de la RDC en Guinée Equatoriale. Radio Okapi/Ph. Nana Mbala

Les Léopards de la RDC sont arrivés samedi 26 mars à Luanda où ils seront reçus par les Palancas Negras d’Angola mardi 29 mars, en match de la 4e journée des éliminatoires de la Can- Gabon 2017.
 
Posted: 27 Mar 2016 06:45 AM PDT
Centre-ville de Kisangani, capitale provinciale de la Tshopo.

Le nouveau gouverneur de la Tshopo, Jean Ilongo Tokole, a déclaré après son élection qu’il voulait rendre cette province « vivable ». Il a invité les habitants de la Tshopo à l’aider à atteindre cet objectif.

« Je demande à la population de Kisangani de nous prêter main forte et de nous aider pour que nous puissions faire de la Tshopo une province vivable où toutes les affaires seront bien canalisées et où il y aura un bon climat des affaires », a-t-il indiqué.  
 
Posted: 27 Mar 2016 06:00 AM PDT
Les FARDC en patrouille dans l'Est de la RDC. Photo MONUC/Marie Frechon

Deux militaires ont été tués et un autre blessé samedi 26 mars lors d’une attaque des miliciens Nyatura et APCLS dans la localité de Mpati en territoire de Masisi. Les militaires ont capturé un milicien. Pour le moment, rapportent des sources militaires, l’armée contrôle la situation à Mpati.

Une source militaire rapporte que cette attaque est une riposte aux opérations menées par l’armée à Mpati.
 
Posted: 27 Mar 2016 05:00 AM PDT
Armes à main, les militaires de FARDC lors du défilé du 30 juin 2010. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Les Forces armées de la RDC (FARDC) attaquent depuis le début de cette semaine les positions des miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) dans la chefferie de Walendu-Bindi.

Selon le commandant second du secteur opérationnel de l’armée en Ituri, ces attaques ont pour objectif de déloger les miliciens de cette zone où ils voulaient se réorganiser. 

Cet officier indique que les militaires pourchassent les miliciens dans six campements où ils se cachaient.
 
Posted: 27 Mar 2016 04:18 AM PDT
Un robinet de la Regideso à Kinshasa le 23/02/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Selon une enquête de l’Institut national de statistique du Haut-Katanga, 71 % des écoles publiques disposent d’au moins un point d’eau. L’étude révèle également que cette eau n’est pas toujours potable.

Le résultat de cette enquête a été présenté vendredi 25 mars au cours d’une conférence-débat sur la question de l’accès à l’eau potable dans les écoles publiques de la ville de Lubumbashi.
 
Posted: 27 Mar 2016 04:10 AM PDT
Marche des associations féminines avec des femmes parlementaires pour protester contre les violences faites aux femmes.

Le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme, l’ONG Gouvernance plus et le bourgmestre de la commune de Mont Ngafula ont organisé samedi 26 mars à Kinshasa une journée de sensibilisation sur les questions des droits des femmes, du Genre et de la lutte contre les violences sexuelles.

Une centaine de femmes, dont des élèves, y ont pris part.

Les participants ont notamment échangé sur les démarches à entreprendre en cas de violence sexuelle.

 
Posted: 27 Mar 2016 03:13 AM PDT
Actuellement commissaire spécial du Kasaï-Oriental, Alphonse Ngoyi Kasanji a été élu gouverneur de la même province. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Les trois commissaires spéciaux qui dirigent les provinces issues du démembrement du Kasaï-Oriental ont été élus gouverneurs samedi 26 mars. Ils se sont tous présentés comme des candidats de la Majorité présidentielle.

Selon les résultats provisoires publiés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), le commissaire spécial du Sankuru, Berthold Ulungu, a obtenu 15 voix sur les 16 suffrages exprimés.
 
Posted: 27 Mar 2016 01:17 AM PDT
Le commissaire spécial de l’Ituri, Jefferson Abdallah Penembaka, le 4 janvier 2016 à Bunia devant le monument de Martyrs. Photo Martial Kiza Byamungu

Le commissaire spécial de l’Ituri, Jefferson Abdallah Penembaka, a été élu samedi 26 mars gouverneur de cette nouvelle province issue du démembrement de la Province Orientale. Il a déclaré après son élection que les députés provinciaux ont exprimé la volonté des habitants de l’Ituri.
 
Posted: 27 Mar 2016 12:31 AM PDT
Corneille Nangaa, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) le 20/11/2015 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Corneille Nangaa, a annoncé samedi 26 mars que la publication des résultats définitifs de l’élection des gouverneurs de nouvelles provinces aura lieu le 18 avril prochain.
 
Posted: 26 Mar 2016 11:16 PM PDT
Séance d'entraînement des Léopards de la RDC au stade des Martyrs. Radio Okapi/Ph. Enoch Matondo.

Après sa victoire samedi 26 mars à Kinshasa devant l’Angola (2-1), la RDC a pris la tête du groupe B des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2017.

Déclaration-choc! Moise Katumbi: “La RDC aura un président intérimaire à la place de Joseph Kabila au-delà du 19 décembre

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581170_a61ddd886f3447ccad0700deafe7e437Pour Moïse Katumbi, Joseph Kabila c’est fini! Il vit ces derniers moments au pouvoir. Au delà du 19 décembre, il doit être remplacé par un président intérimaire si les élections présidentielles ne se tiennent pas entre-temps.
 Moïse Katumbi, ancien gouverneur du Katanga, a donc conjugué au passé Joseph Kabila dans la perspective d’un blocage du processus électoral. Il s’est exprimé le jeudi 24 mars sur les ondes de France 24. Katumbi a dit qu’au delà du 19 décembre Kabila ne serait plus président de la République car il aura accompli les deux mandats lui confiés par le peuple.
 Pour Katumbi, après cette date, qui consacre la fin du second mandat présidentiel, il faudrait qu’un président intérimaire assume les charges de chef de l’État. Le président du Tout-Puissant Mazembe justifie sa position par le fait que la résultante probable de la non-organisation des élections cette année, c’est une responsabilité qui incombe à Joseph Kabila seul.
 Ce dernier ayant multiplié selon Katumbi, les manœuvres dilatoires pour repousser aussi loin que possible les élections présidentielles. Pour Katumbi donc au delà du 19 décembre, le fauteuil présidentiel doit être occupé par un président intérimaire. Voilà une déclaration choc qui va laisser des traces et qui ébranle davantage le pouvoir de Kabila dont la légitimité et la légalité deviennent de plus en plus étroites. Ci-dessous l’extrait vidéo de la déclaration de Katumbi.
C-News

Nigéria: Abubakar Shekau, chef de Boko Haram parle de sa fin et implore la clémence

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Nigéria: Abubakar Shekau, chef de Boko Haram parle de sa fin et implore la clémence
Nigéria: Abubakar Shekau, chef de Boko Haram parle de sa fin et implore la clémence

Abubakar Shekau, le chef du groupe islamiste nigérian Boko Haram a indiqué jeudi dans une vidéo que sa fin était proche et qu’il entend se rendre aux autorités nigérianes.
Une nouvelle apparition qui met fin aux rumeurs sur sa mort. Abubakar Shekau implore par la même occasion, la clémence des autorités nigérianes pour tout le mal qu’il a commis.
Dans une vidéo de mauvaise qualité, postée sur le site Youtube et qui est toujours en cours d’authentification par l’armée nigériane, le chef de Boko Haram déclare: «Pour moi, la fin est venue». Avant de poursuivre: «Qu’Allah nous protège du mal (…) Je remercie mon créateur» dans un débit relativement lent, en haoussa et en arabe, sur un ton dénué du cynisme qui le caractérise d’habitude.
En mars 2015, Shekau avait annoncé avoir prêté allégeance au groupe Etat Islamique (EI). A l’époque, les vidéos du groupe islamiste comportaient des images de très bonne qualité, soigneusement montées, ressemblant à celles de l’EI.
Mais la vidéo qui est parue aujourd’hui est mal tournée et pixélisée. Et Shekau ne fait d’ailleurs aucune
allusion à l’EI. L’homme le plus recherché par l’armée nigériane est revenu sur le nom originel de Boko Haram, «Jama’atu Ahlis Sunna Lidda’awati wal-Jihad» le peuple engagé dans la propagation des enseignements du prophète et le djihad.
Une source militaire de Maiduguri, la capitale de l’Etat de Borno (nord-est) estime que la vidéo prouve la réelle fin du patron de Boko Haram. L’armée nigériane estime qu’il est battu à plate couture qualifiant sa vidéo d’une sortie d’adieu.  237online.com «Il dit à ses combattants qu’ils peuvent dire au revoir à leur Etat Islamique illusoire et déposer les armes (…) Il sait qu’au vu des avancées de l’armée nigériane, nos troupes le trouveront bientôt», commente une source de l’armée nigériane.
De plus Shekau, qui porte une épaisse barbe, se tient devant un fond vert pâle, et le drapeau jihadiste noir a été incrusté dans l’image, à côté de lui. Quand il évoque Gwoza, la ville de l’Etat de Borno (nord-est) prise par Boko Haram mi-2014, qui fut un moment le siège de son «califat», Shekau utilise le passé.
De plus en plus d’éléments de Boko Haram sont arrêtés par l’armée nigériane qui a mené l’année dernière une offensive de grande envergure avec l’appui du Cameroun, du Niger et du Tchad voisins.
L’offensive avait permis de reprendre Gwoza et la plupart des villes et villages de cette région qui étaient tombés aux mains de Boko Haram. Le groupe a du mal à s’approvisionner, même en carburant, et certains combattants affamés se sont rendus même si les attentats-suicidesse poursuivent.
L’armée estime que Shekau se cacherait dans la forêt de Sambisa, un des fiefs historiques de Boko Haram, toujours dans l’Etat de Borno, où l’armée a déjà détruit plusieurs bases arrière des islamistes.

Alain Serge, OEIL D’AFRIQUE

Quand Mende dit ''la vérité''....

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Quand Mende dit ''la vérité''....

La guerre endémique imposée aux paisibles citoyens congolais n'avait pas pour objectif de produire ''la démocratie'' mais des crimes. Des crimes qui perdurent jusqu'à ce jour. L'un de ces crimes est le viol des femmes. L'autre est ''le génocide des Nandes'' que Mende ne remet pas en question dans son point de presse même s'il n'accepte pas que la responsabilité des FARDC y soit engagée.
Au cours d'une conférence d'un point de presse tournant autour du terrorisme, des attentats de Bruxelles, du traitement réservé aux effets du terrorisme en Afrique et du point de presse du Docteur Mukwege à Kinshasa, Lambert Mende rejoint plusieurs critiques de la falsification de l'histoire congolaise. Sans en tirer toutes les conséquences. Malheureusement.
A plusieurs compatriotes ayant cru naïvement que la guerre racialiste d'agression et de prédation menée contre le Congo-Kinshasa vers les années 1996-1997 était une guerre de libération pour chasser Mobutu, Lambert Mende vient donner une information ''de l'intérieur''. Il avoue (finalement) qu'il y a eu des coalitions de puissances étrangères et des groupes armés qui ont attaqué le pays de Lumumba depuis 1994. Il fait cet aveu en remettant en question l'appel lancé par le Dr Mukwege pour qu'il y ait alternance démocratique au Congo-Kinshasa. Pourquoi ? Pour le Docteur Mukwege, les viols des femmes à l'Est du pays sont liés au déni d'un Etat de droit, à la guerre et au manque de justice. Voici ce que Lambert Mende dit exactement : « On devrait, à l’en croire, conclure que les viols au Kivu et dans tout l’Est rd congolais sont directement liés au manque d’alternance démocratique à Kinshasa. Et pas à l’état de guerre endémique imposé aux paisibles citoyens congolais par des groupes armés criminels qui se sont déversés depuis 1994 dans notre pays et des coalitions de puissances étrangères qui gavent le médecin fistulier de titres honorifiques depuis quelques années.Comme pour passer sous silence la responsabilité de ses parrains occidentaux dans les maux qui assaillent ses patientes et leurs familles, le Dr. Denis Mukwege a déclaré qu’« On a trop parlé de viol, de guerre, de destruction, il est temps que nous puissions également parler du développement ».
Lisons calmement ce texte. La guerre endémique imposée aux paisibles citoyens congolais n'avait pas pour objectif de produire ''la démocratie'' mais des crimes. Des crimes qui perdurent jusqu'à ce jour. L'un de ces crimes est le viol des femmes. L'autre est ''le génocide des Nandes'' que Mende ne remet pas en question dans son point de presse même s'il n'accepte pas que la responsabilité des FARDC y soit engagée. Or, parlant des ''groupes armés criminels'', Mende fait comme si ceux-ci ont disparu du Congo-Kinshasa et que plusieurs (AFDL,MLC, RCD, CNDP, M23, etc.) n'ont pas été intégrés dans ''l'armée congolaise'' par les différents mécanismes de brassage-mixage.
Lisons calment le texte de Mende. Des coalitions de puissances étrangères et des groupes criminels sont déversés au Congo-Kinshasa depuis 1994 au cours d'une guerre endémiques imposée aux paisibles citoyens, dit-il. Quels sont ces groupes armés criminels ? Pour avoir appartenu à l'un de ces groupes armés criminels, le RCD, Mende n'est-il pas lui aussi un criminel ? Bien sûr que oui.
Son ''autorité morale'' a fait partie des ''coalitions de puissances étrangères et des groupes armés criminels''.
Lisons le texte de Mende calmement. En soulignant ''la responsabilité des parrains occidentaux'' de Denis Mukwege ''dans les maux qui assaillent ses patientes et leurs familles'', Mende reconnaît, en filigrane, la participation ''des groupes armés criminels''à la production de ces maux. Les uns et les autres sont coresponsables des ''crimes organisés'' au Congo-Kinshasa. Les uns et les autres ne peuvent pas parler au nom des paisibles citoyens qu'ils ont tués et tuent encore dans une guerre endémique jusqu'à ce jour. En disant ''la vérité'', Mende disqualifie ''le faux processus démocratique'' dans lequel les uns et les autres veulent engager ''les paisibles citoyens congolais''.
Dans un monde (idéal) respectueux du droit international, Mende devrait être traduit en justice pour qu'il dise ce qu'il sait de l'intérieur sur ''le génocide congolais''. (à suivre)

Mbelu Babanya Kabudi

RDC: liste de nouveaux gouverneurs de province élus | Radio Tele LAVDCONGO

Hillary Clinton: «La guerre contre la Libye visait à empêcher la souveraineté économique de l’Afrique!»

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border-width:0px;border-style:initial;max-width:100%;min-height:auto;margin-bottom:0px;width:autoREUTERS/Gary Cameron/Files (UNITED STATES - Tags: POLITICS CIVIL UNREST)
Les critiques ont longtemps mis en doute les raisons de l’intervention impérialiste meurtrière en Libye.
Les courriers électroniques récemment publiés d’Hillary Clinton confirment que c’était moins pour protéger les gens d’un dictateur que pour des raisons économiques et financières, pour le secteur bancaire, le pétrole et surtout pour empêcher la souveraineté économique africaine.
Un des e-mail d’Hillary Clinton, datant du 2 avril 2011, révèle que
« Le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or et une quantité semblable d’argent…. Cet or a été accumulé avant la rébellion actuelle et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le dinar or libyen. Ce plan a été conçu pour proposer aux pays d’Afrique francophone une alternative au Franc CFA. »
Des officiers du renseignement français ont découvert ce plan peu de temps après que la rébellion ait débuté et ceci a été l’un des facteurs qui a influencé la décision de Nicolas Sarkozy d’engager la France dans une attaque contre la Libye…
 
 
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Exposing the Libyan Agenda: a Closer Look at Hillary’s E...
The brief visit of then-Secretary of State Hillary Clinton to Libya in October 2011 was referred to by the media as a “victory lap.” “We came, we saw, he died!” she...
Vorschau nach Yahoo
 

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Le Président Denis SASSOU NGUESSO, le pouvoir et la vie.

Butembo : Un journaliste arrêté par l’ANR pour avoir publié la photo de l’Abbé Malumalu, ancien président de la CENI, affaibli par la maladie

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Urgent
Pour diffusion immédiate
RD Congo – Alerte
  

Kinshasa, le 24 mars  2016
Butembo : Un journaliste arrêté par l’ANR pour avoir publié la photo de l’Abbé Malumalu, ancien président de la CENI, affaibli par la maladie
Journaliste en danger (JED) exprime sa totale désapprobation suite à la détention, depuis une semaine, d’un journaliste dans les installations de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) à Butembo, ville située à 300 km de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu.
Selon les informations parvenues à JED, Willibrond Kahamwiti, journaliste et directeur de « Ishango News », un journal paraissant à Butembo, est arrêté depuis le jeudi 17 mars 2016 à l’antenne de l’ANR/Butembo à la suite d’une décision du comité local de sécurité.
Willibrond Kahamwiti est détenu pour avoir publié une photo, tirée sur des réseaux sociaux, de l’abbé Apollinaire Malumalu, prêtre du diocèse de Beni-Butembo et ancien président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), le présentant en mauvaise posture sur une chaise roulante. Selon des sources locales, l’ancien président de la CENI, tombé malade depuis plusieurs mois, poursuit les soins médicaux aux Etas Unis.
Sans entrer dans le fond de cette affaire, Journaliste en danger (JED) dénonce cette arrestation arbitraire d’un journaliste dans les locaux de l’ANR, service qui abuse de ses prérogatives en s’immisçant dans le travail des médias.              
JED demande aux autorités provinciales du Nord-Kivu de s’impliquer activement dans ce dossier pour la libération sans délais de ce journaliste qui n’a commis aucun forfait.

RDC : la mission onusienne reconduite pour 1 an

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L'ONU reconduit sa mission en RDC et appelle à des élections crédibles 

30 mars 2016
Le contingent sud-africain de soldats de la paix au Congo érige une barrière de fils barbelés autour de l'aéroport de Goma en RDC, le 26 novembre 2012.
Le contingent sud-africain de soldats de la paix au Congo érige une barrière de fils barbelés autour de l'aéroport de Goma en RDC, le 26 novembre 2012.
L'ONU a reconduit mercredi pour un an sa mission en République démocratique du Congo (Monusco) et a appelé Kinshasa à tenir rapidement des élections libres et crédibles.
Une résolution proposée par la France et adoptée à l'unanimité "exhorte le gouvernement et toutes les parties prenantes à garantir un processus électoral libre, équitable, crédible" et la tenue d'élections "en temps voulu, en accord avec la constitution".
Des élections sont prévues en RDC en novembre mais cette perspective semble s'éloigner. L'opposition accuse le président Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001, de vouloir contourner l'interdiction constitutionnelle qui lui est faite de se représenter.
Cette résolution "recentre et renforce le mandat de la Monusco autour de deux priorités (...) : la protection des civils dans le cadre de la lutte contre les groupes armés et le soutien à la tenue d'élections crédibles, pacifiques et démocratiques", a déclaré à des journalistes l'ambassadeur français auprès de l'ONU François Delattre.
La résolution ne change pas l'effectif actuel ni le nombre maximum autorisé de Casques bleus, qui reste fixé à plus de 21.000 soldats et policiers, alors que Kinshasa insiste sur un retrait rapide de la Monusco.
Le Conseil se contente de "prendre note" de la recommandation du secrétaire général Ban Ki-moon de réduire de 1.700 l'effectif militaire de la mission.
Le Conseil réaffirme être prêt à réduire les effectifs "quand des progrès importants auront été réalisés" pour atteindre les objectifs prioritaires de la mission, notamment la protection des civils et la lutte contre les groupes armés qui opèrent dans l'est du pays.
Le ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, avait souhaité le 23 mars devant le Conseil que le nombre de Casques bleus soit réduit de moitié d'ici la fin de l'année.
"Le Conseil, a expliqué François Delattre, a décidé de préserver les effectifs de la force car les défis auxquels doit faire face le pays restent très importants et qu'il est de la responsabilité de la communauté internationale (...) de l'accompagner dans cette période".
Dans sa résolution, le Conseil réaffirme que "la sortie de la Monusco doit être graduelle et progressive, liée à la réalisation d'objectifs spécifiques".
En attendant, il exhorte Kinshasa à "reprendre immédiatement les opérations militaires conjointes" entre son armée et la Monusco contre les rebelles des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda).
L'ONU avait annoncé début mars la reprise prochaine de cette coopération militaire. Elle était suspendue depuis février 2015, l'ONU reprochant à Kinshasa d'avoir nommé pour mener les opérations deux généraux soupçonnés de graves violations des droits de l'homme.
Avec AFP

RDC: Sidéré, un compatriote rectifie les titres de presse jugés fantaisistes !

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15* Présidentielle 2016 : Moïse Katumbi, "l’appétit vient en mangeant".  L’épi gastralgie vient aussi en mangeant. 
14* Moïse Katumbi désigné candidat à la présidentielleQuels ont été les critères. Voyez –vous  Prof Fwelly et cher Dilondi que ces leaders politiques n’ont pas besoin de l’avis de leurs membres. Les primaires n’auront pas lieu en RD Congo.
13* Moïse Katumbi dénonce un « simulacre d’élection » dans les nouvelles
provinces
Rien de nouveau sous le soleil de la RD Congo. Tout est simulacre. Les gouvernants font semblant de gouverner, les enseignant font semblant d’enseigner, les hommes d’affaires font semblant de faire du business, les musiciens font semblant de faire de la musique, les églises font semblant de prêcher la bonne nouvelle, la SNEL fait semblant de nous fournir de l’électricité,  Les gouvernés font semblant d’être des citoyens, les fonctionnaires font semblant de travailler…. Bref est tronqué 
12* Elections de gouverneurs de nouvelles provinces, les réserves de Moïse
Katumbi
Réserves sur quoi ? En tout cas pas sur le processus car G7 était partant. Si un des adeptes avait gagné aurait il encore eu des réserves ? Tous les mêmes.
11* Moïse Katumbi désigné candidat à la présidence par les opposants du G7. C’est leur droit. Qu’en pensent les autres opposants.10* Duel au sommet entre Moïse Katumbi et Joseph Kabila pour la
présidentielle. 
L’élection présidentielle est à tour unique. Le duel ne sera donc pas entre deux personnes mais entre  tous  les candidats déclarés et ils sont légions (Tshisekedi – candidat naturel de l’UDPS, Khamere, Matungulu, JP Bemba – candidat naturel du MLC - ….. Je n’ai pas encore entendu que JKK s’était déclaré candidat ?

9* Katumbi, candidat de l'opposition. 
Ah bon ! c’est plus de G7 ? Disons plutôt Katumbi unième candidat de l’opposition.
8* Moïse Katumbi officiellement désigné « candidat commun » du G7. Les choses se précisent.

7* Une coalition d'opposition demande à l'ex-gouverneur Katumbi de se
présenter à la présidentielle. 
Une DES coalitions de l’opposition ?
6* Des clients affluent dans les agences de la BIAC pour retirer leur argent. 
Ca commence. C’était prévisible et la liste d’être longue. La Banque Centrale ne voyait elle pas venir ce malheur ?
5* L'ONU préoccupée par le procès du conflit Lubas-Pygmées. Et que fait elle et qui est à la base de ça

4* L'ONU reconduit sa mission et appelle à des élections crédibles. 
Le contraire allait nous étonner. On ne quitte pas facilement le Congo aves ses filles qu’on peut violer à volonté, ses ressources qu’on peut exploiter à volonté, son paysage qu’on peut visiter à moindre sous….3* Le "clan kabiliste" fait à Mukwege un procès en sorcellerie...

2* Calvaire des expulsés de Brazzaville : Jean-Lucien Bussa accuse le
Gouvernement
Il est député. Plutôt que d’accuser, qu’il interpelle le gouvernement qui lui donnera l’information nécessaire. Si le gouvernement utilisait la méthode forte, on criera au non respect des droits de l’homme.
Augustin L. Aka, +243997831281;@augustinaka54  (www.akalund.com)
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 Les infos de la RDC du 31/03/16 à 10h00 GMT

 
Mes salutations !

Voici les infos de la RDC du 31/03/16 disponibles sur le site du
fouineur de la RDC, le journal des journaux. Bonne fouine !!!

(http://www.rd-congo.info/index.html)

15* Présidentielle 2016 : Moïse Katumbi, "l’appétit vient en mangeant"

14* Moïse Katumbi désigné candidat à la présidentielle

13* Moïse Katumbi dénonce un « simulacre d’élection » dans les nouvelles
provinces

12* Elections de gouverneurs de nouvelles provinces, les réserves de Moïse
Katumbi

11* Moïse Katumbi désigné candidat à la présidence par les opposants du G7

10* Duel au sommet entre Moïse Katumbi et Joseph Kabila pour la
présidentielle

9* Katumbi, candidat de l'opposition

8* Moïse Katumbi officiellement désigné « candidat commun » du G7

7* Une coalition d'opposition demande à l'ex-gouverneur Katumbi de se
présenter à la présidentielle

6* Des clients affluent dans les agences de la BIAC pour retirer leur argent

5* L'ONU préoccupée par le procès du conflit Lubas-Pygmées

4* L'ONU reconduit sa mission et appelle à des élections crédibles

3* Le "clan kabiliste" fait à Mukwege un procès en sorcellerie...

2* Calvaire des expulsés de Brazzaville : Jean-Lucien Bussa accuse le
Gouvernement

1* La Linafoot programme les matches DCMP-Sanga Balende et Vclub-Lupopo

http://www.rd-congo.info/index.html

@+
Le fouineur

Infos mis à jour

Une vidéo à recommander pour le salut de l'Afrique

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Génération Gbagbo a ajouté une nouvelle vidéo.
QUE TOUS CEUX QUI PEUVENT METTENT CETTE VIDEO SUR TWITTER.
Dans cette belle musique de la fameuse communauté internationale pour la construction du nouvel ordre mondial, des voies dissonantes se font entendre.
Hier c’était Georges Clémenceau en 1885 qui refusait la hiérarchisation de la race humaine que prônait Jules ferry.
Aujourd’hui c’est Jean Luc Mélenchon qui défend l’Afrique en s’opposant a la balkanisation du continent noir et condamne avec force ce qui a été fait au président légalement élu en Côte d’Ivoire le Président Laurent Gbagbo.
Depuis la nuit des temps la France et toute la communauté internationale avec en tête de file les organisations humanitaires complices qui gangrènent toute l’Afrique ont pour seul objectif, disent-ils, aider le continent noir à s’en sortir.
La bonne blague !!!!
Pour quel résultat ? Pour quel est constat ?
Tous les africains connaissent la réponse à ces deux questions.
La question qui prévaut aujourd’hui est celle-ci : Pourquoi les africains continuent de faire confiance à leurs bourreaux ?
Il est temps que les africains fassent appel à leur l’instinct de survie pour la pérennité de leur continent au risque de voir l’Afrique et les africains disparaitre parce que l’ennemi est toujours aux aguets.
Le danger qui guète la société africaine, le danger qui tend à faire disparaitre la société africaine dans ses fondements, c’est l’effondrement de ce qui va de soit, la banalité du mal, la banalité de l’inhumanité que l’occident nous inculque dans ses agressions quotidiennes.
Sommes devenus ce qu’ils veulent que nous soyons ?
C'est-à-dire des occidentaux à peau noire, des occidentaux de seconde zone par notre façon de penser, par notre mode de vie, par la conception que nous avons des choses de la vie. Nous sommes devenus des consommateurs occidentaux à peau noire simplement par la vie que menons.
Vous avez dit formatage ? Quel dommage !

Avant la CPI, Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" permet à la justice française d'ouvrir un procès sur le régime d'alias Joseph Kabila !

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Avant la CPI, Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" permet à la justice française d'ouvrir un procès sur le régime d'alias Joseph Kabila !

Paris, 9 mars 2016, Bob Bolabwe Bokoso, Patchely Mikobi, Martin Sali, président de RCK, Mama Blandine Kongo, SG de RCK...au palais de justice de Paris.

Paris, le 16 mars 2016, Bob Bolabwe Bokoso déterminé et décidé à suivre tout le procès RDC-Diaspora congolaise
Sacré Moyibicrate Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" ! Grâce à "Masimanimba désir" un plaignant introuvable, qui a cru qu'être ministre d'un régime d'imposture au Congo-Kinshasa lui donnait tous les droits au pays de Voltaire, le procès sur le régime d'alias Joseph Kabila va s'ouvrir au Palais de justice à Paris le 18 mai prochain. Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" qui passe son temps dans nos fora à injurier Freddy Mulongo vient de permettre l'ouverture de la boîte de pandore d'un régime tortionnaire qui sévit en République démocratique du Congo. La diaspora congolaise s'organise, se sensibilise et se mobilise. Le procès de Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" un apparatchik Mobutiste-Joséphiste contre le journaliste indépendant Freddy Mulongo est bien plus ! C'est un procès d'un régime dictatorial d'alias Joseph Kabila qui assassine des journalistes, zigouille les activistes des droits de l'homme, emprisonne les opposants politiques...

Un régime illégitime qui dirige par défi, un régime de 12 millions de morts congolais, qui pille les ressources de la RDC, dont les apparatchiks et barons du régime sont devenus des millionnaires du dimanche pendant que la majorité des congolais croupissent dans une misère noire. Alias Joseph Kabila en bon Kadogo qui est arrivé avec des bottes de jardinier et une kalachnikov en bandoulière est aujourd'hui milliardaire. Quant au politicard caméléon Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" sans convictions démocratiques et républicaines, assoiffé de pouvoir qui est prêt à vendre père, mère, femme et ses enfants pour se retrouver à la mangeoire. Celui qui chantait "Mobutu 100 ans tomo tombele" n'a pas changé de logiciel aujourd'hui il chante "Kabila to tondi yo nanu té" !

Ce criminel du RCD-Goma, qui a versé le sang du peuple congolais, qui n'a jamais répondu de ses crimes car jouissant de l'impunité. Se bombant le torse depuis Kinshasa, le Moyibicrate Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" croyait dicter sa loi à la justice française qui est libre, démocratique et impartiale. Celle-ci lui impose un débat contradictoire avec Freddy Mulongo qui a accusé de le diffamer pour son vol de l'argent de la fibre optique de la République démocratique du Congo. Le minable qui a le toupet de signer Professeur Kin Key Mulumba croit impressionner des ignares.

Un professeur excelle dans la transmission des connaissances pour élever l'élite dans un pays. A part taper dans la caisse de l'Etat quelle a été la contribution de Kin Key Mulumba "Debré Mpoko"à la nation congolaise ? Rien ! Arriviste arrogant et pédant, Al Capone de la République signe toujours "Professeur" ! Un pseudo professeur qui a toujours ignoré que son rôle social est d'élever les connaissances des étudiants pour former une élite. A l'ère de la numérisation des Etats pour contribuer à leur développement, priver la RDC de la fibre optique n'offusque même pas la conscience du Moyibicrate Kin Key Mulumba "Debré Mpoko". Le ventriote Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" a sacralisé son ventre et ses tubes digestives au détriment du peuple congolais.
Aucune Constitution de tous les pays de l'ONU ne stipule qu'un ministre fut-il d'un régime dictatorial ne doit pas rendre des comptes de sa gestion de la chose publique.
La roue finit toujours par tourner ! L'effet boomerang se prépare à Paris. Le criminel accusateur risque de se faire rattraper de son passé. Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" habitué à donner des ordres à la justice congolaise, il s'est trompé d'adresse en pensant instrumentaliser la justice française puisqu'il est Ministre aux relations avec le parlement en République démocratique du Congo. La justice française n'est pas aux ordres des politicailleurs comme celle du Congo. La justice en France est au service de la République, elle sert tous les justiciables qui sont des citoyens. Masimanimba désir avait cru impressionner la justice française avec son titre de ministre d'alias Joseph Kabila, il rend compte que la France est un pays démocratique contrairement à la RDC qui n'est démocratique que de nom. Kin Key Mulumba "Debré Mpoko" doit bien préparer le débat contradictoire. Pour ces crimes du RCD-Goma, la CPI n'est pas loin...!

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Commentaires

Le vendredi 18 mars 2016 à 23:16, par Jojo Mulumba
LE MINISTRE MULUMBA KIN KIEY ETAIT MINISTRE DE L'INFORMATION AVANT THOMAS LUWAKA. PRIERE DE VOUS RENSEIGNER QU'EST CE QUE LE MINISTRE A TROUVE DANSD SON BUFREAU. PUISQUE LE RIDICULE NE TUE PAS EN RDC. LE MINISTRE KIN KIEY EST PARTI ET SON EQUIPE EST PARTIE AVEC TELE MEME LES POIGNETS DES PORTES DU CABINET DU MINISTRE. BREF UN PILLAGE SYSTEMATIQUE DU CBINET DU MINISTRE. NOUS POUVONS DIRE QUE LUI MEME A ORDONNE CE PILLAGE. PITOYABLE. ET LE MINISTRE THOMAS A TOUT REFAIT. CETTE INFORMATION EST CONNUE DE TOUS LES FONCTIONNAIRES OEUVRANT AU CABINET ET AU SECRETARIAT DU MINISTERE DE L'INFORMATION ET NTIC

RDC: On a assassiné le père Assomptionniste Vincent Machozi pour tuer les informations du site Beni-Lubero!

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RDC: On a assassiné le père Assomptionniste Vincent Machozi pour tuer les informations du site Beni-Lubero!


Si la diaspora congolaise est vent debout contre l'assassinat du père Assomptionniste Vincent Machozi, fondateur du site Beni-Lubero qui a été assassiné le dimanche 20 mars 2016, au vu de tout le monde. Avez-vous remarqué qu'aucun journal "Coupagiste" de Kinshasa n'a osé parler de cet odieux assassinat ? Les thuriféraires et autres ramasseurs des miettes du régime ont étouffé cette information qui dérange:l'assassinat du père Vincent Machozi, militant et activiste pour la cause du Congo. Pour les accompagnateurs du régime et mangeurs à tous les râteliers, Beni-Lubero c'est lointain ! D'ailleurs la majorité d'entre eux qui écument la presse coupagiste de Kinshasa n'y ont jamais mis les pieds ! Le régime d'alias Joseph Kabila qui règne par défi au Congo-démocratique est cynique ! La soldatesque, à la solde du régime de celui trône abusivement sur le trône de la République démocratique du Congo allié du Rwanda de Paul Kagamé l'Hitler africain, a assassiné le père Vincent Machozi l'initiateur et fondateur du site Beni-Lubero pour priver les congolais des informations du Nord-Kivu.


Cela fait des lustres que les territoires de Beni-Lubero sont les théâtres des atrocités monstrueuses. Les populations abandonnées à elles-mêmes sont la proie facile des hommes armées. Or le père Vincent Machozi aura été l'artisan de la prise de conscience des Nandé, tribu majoritaire dans le Nord Kivu de ne pas céder à la volonté farouche mais surtout de barrer la route à d'alias Joseph Kabila et son oncle Paul Kagamé l'Hitler africain, deux fossoyeurs manœuvriers de la balkanisation de la République démocratique du Congo. Alias Joseph Kabila a sur son compteur 16 journalistes assassinés, il commence en outre à assassiner les créateurs de site congolais. Le père Vincent Machozi, fondateur du site Beni-Lubero est-le premier à ouvrir une autre série d'assassinats ?


Information Beni-LuberoC’est à 23 heures, heure de Butembo, de ce dimanche 20 mars 2016, que quelque dix soldats en uniformes des Forces Armées de la République Démocratique du Congo lourdement armés, s’amenant à bord d’une jeep, ont fait irruption dans l’enceinte du Centre social « Mon Beau Village », situé à Vitungwe-Isale, où s’étaient retrouvés tous les chefs coutumiers Nande venus prendre part à une réflexion sur la paix convoquée par Mwami Abdul KALEMIRE III.
Sans passer par de détours inutiles à leur mission, ces malfaiteurs ont immédiatement exprimé leur préoccupation de vouloir atteindre le chef KALEMIRE et le Révérend Père Vincent. Les témoins rencontrés sur place ont tenté vainement de camoufler la présence de ces deux personnes ciblées. Car, tout à coup, ces criminels apercevront d’eux-mêmes et sans effort, le Père Vincent qui naviguait dans son ordinateur en pleine air, dans la fraîcheur nocturne de la cour du Centre social.
Aussitôt se déchaîna une rafale de crépitement des balles au milieu desquelles on entendit un seul mot du Père Vincent : « Pourquoi me tuez-vous », après quoi il s’allongea par terre et expira. Quant au chef KALEMIRE III, il échappa au pire uniquement du fait qu’il venait de quitter la compagnie du Père Vincent pour aller se reposer. Pere Vincent Machozi President de la communaute Yira (Nandes).
La mort tragique et inopinée du Père Vincent, qui apparaîtrait comme une surprise devant le monde, ne l’est nullement pour la communauté Nande et pour tous ses proches qui sont témoins du record impressionnant des attentats et des menaces de mort dont l’innocente victime avait survécu jusqu’à ces jours, à cause de son zèle pour la paix et l’unification. En effet, en proie aux ennemis de la paix, son passé héroïque l’a entre autre conduit à traverser les épreuves ci-après :
– En 2003, il fut forcé à s’exiler aux Etats-Unis d’Amérique. Là, il fut le président de Kyaghanda. Il devint aussi Editeur en chef du site web www.benilubero.com à partir de 2008.
– Depuis son retour au pays (R.D. Congo) en 2012, il a échappé à sept attentats meurtriers.
– Bien plus, les causes directes de l’assassinat du Révérend Père Vincent MACHOZI plongent leur racine dans les publications des articles à caractère extrêmement sensible qu’il a livré à la masse ces derniers jours pour défendre la paix au sein de sa communauté , dont l’article sur l’appréhension à Isale-Bulambo de deux soldats rwandais portant des passeports Tanzaniens.
Et, malheureuse coïncidence, c’est dans cette contrée, où la victime n’a cessé d’alerter les opinions sur l’infiltration des hors-la-loi étrangers soutenus par le gouvernement congolais, qu’il sera abattu par les bourreaux prédits. En outre, on se souviendra de la marche organisée par la communauté Nande à Kinshasa en date du 18 mars 2016, par laquelle un mémorandum a été déposé au Parlement. Il sied d’indiquer que les yeux des omnipotent du pouvoir en place n’ont pas digéré positivement cet acte de la communauté Yira. Ainsi, autant de préalables pouvaient-ils logiquement stimuler les préoccupations portant à décapiter une telle communauté dont le Père Vincent est la « tête ».
En somme, il y a lieu de compter le regretté Père parmi les héros de la Paix, la réconciliation et l’unification non seulement au sein de la communauté Yira, mais encore au regard de tous ceux qui sont épris par le souci de la paix de par le monde. Que son âme repose en paix !
La biographie du héros Père Vincent MACHOZI, le plan de son assassinat ainsi que les œuvres qui nous le rendent cher et immortel apparaîtront dans les prochaines publications de www.benilubero.com.
Benilubero Online
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RDC : TSHISEKEDI AURAIT DONNÉ SON ACCORD ÉCRIT POUR LE DIALOGUE

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RDC : TSHISEKEDI AURAIT DONNÉ SON ACCORD ÉCRIT POUR LE DIALOGUE

Tshisekedi-Il n’y a plus de doute possible : l’élection présidentielle en RDC ne se tiendra pas à l’échéance prévue. Après l’échec de la révision de la loi électorale en janvier 2015, la majorité présidentielle qui n’avait pas prévu de plan B ne compte plus que sur un hypothétique dialogue qui accorderait à Joseph Kabila une rallonge de son mandat. Ce week-end, à Monaco, trois représentants du pouvoir, dont Antoine Ghonda, ont rencontré Papy Tshimpangila, Bona Kalonga et Christian Tshisekedi membres de l’Udps. Ceux-ci auraient mis sur la table un accord écrit du chef du parti Etienne Tshisekedi pour la participation de l’Udps au dialogue. Il aurait été question du prix que la majorité mettrait pour que cet accord soit rendu public et effectif. Le feu vert de Joseph Kabila est attendu mais des doutes sur l’authenticité du document pourraient contrarier les desseins des trois membres de l’Udps.
Les précédentes rumeurs sur les tractations entre les deux parties avaient évoqué l’implication du député national Félix Tshisekedi qui, ce week-end, s’en remettait au Bon Dieu depuis Jérusalem. Ce député, qui n’a jamais siégé au parlement, serait totalement opposé à ce dialogue et rejoindrait ainsi la ligne dure du G7 composée de Moïse Katumbi et des autres dissidents de la majorité présidentielle. Or, même si l’Udps est affectée et affaiblie par la persistance des divergences et des rumeurs de corruption sur cette question, un accord avec ce parti aurait une forte portée symbolique pour la majorité notamment aux yeux de la communauté internationale. En quête désespérée d’un interlocuteur de poids pour organiser « son » dialogue et en recueillir le fruit appelé « glissement » sur les bords du fleuve Congo, l’écurie présidentielle peine à trouver un interlocuteur et une caution crédibles à son dialogue.
Il reste que les émissaires de Joseph Kabila sont repartis de Monaco avec des sentiments mitigés, car si leur patron est prêt à débourser les dollars qu’il faudrait, leurs trois interlocuteurs n’ont pas pu leur garantir la participation effective (physique) d’Étienne Tshisekedi dont le retour au pays maintes fois annoncé est indéfiniment repoussé.

Un plan stratégique pour prévenir les conflits électoraux

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Congolais de part en part !...
Au Congo ou ailleurs, en ces moments, tout discours tendant à expliquer comment les élections se devront de se dérouler en 2016, qui annonce la fin du mandat de J. Kabila à la tête du Congo en regard de la Constitution (Article 220), est certes le bienvenu.
Mais, seulement, voilà qu’il se tient parfois des discours avec une dose des malignités inavouées, fondées sur le vocable tel : « qu’il y aurait un manque de fonds nécessaires », devant permettre à la CENI l’organisation des élections, tant attendues, dans les délais constitutionnelles (c’est-à-dire au plus tard en Novembre 2016).
Dès lors, ci-dessous, l’exposé de M. Onesime Kukatula, expert en questions électorales est-il pour tenir les élections dans les délais constitutionnels ou pour solliciter insidieusement le glissement et faire bénéficier au gouvernement en place, sinon à J. Kabila, un mandant à vie (donc sans limites), à la tête du Congo?
Je suis personnellement tenté de croire au deuxième aspect de la question les exemples cancéreux et tentaculaires d’autres pays voisins en faisant foi !
« Gouverner, c’est prévoir ! »
Le Congo a instauré un régime de mandat présidentiel de cinq ans renouvelable une fois. Cinq ans dans la vie d’un pays beaucoup de choses se réalisent. Et dix ans après c’est encore plus et davantage.    
Est-ce que c’est ce que l’on observe dans le fameux exposé ci-dessous de M. Onesime Kukatula en ce jour du 29/3/2016 lorsqu’il parle «d’Un plan stratégique pour prévenir les conflits électoraux au Congo ?»
Par contre, passons en revue, l’essentiel de l’exposé de M. Kukatula :
« […] Parmi les huit phases, il y a par exemple l’étape de la planification [sic]
où il se pose présentement un sérieux problème de financement [sic] des
élections et aussi de l’élaboration du calendrier global réaménagé issu du consensus 
[sic] de toutes les parties prenantes [sic].
Hormis cela, le
cycle électoral doit tenir compte du cadre légal et réglementaire. A
ce stade, plusieurs lois doivent être réajustées 
[sic] pour permettre à la
centrale électorale d’atteindre ses objectifs 
[sic]»
Je crains que M. Onesime Kukatula soit dans la lignée d’actions de beaucoup d’autres membres de la kabilie qui ont parlé dans ce champ électoral bien avant lui !
La volonté manifeste n’est pas d’organiser les élections à la date constitutionnelle prévue (donc Novembre 2016). Tous les membres de la kabilie prennent donc les Congolais, ces enfants de bon Dieu, pour des canards sauvages, qui ne comprennent rien par eux-mêmes !
Et pour preuves ?
Pourquoi M. Kukatula évoque-t-il le problème de financement qui se poserait pour ne pas organiser les élections 2016 dans les délais et en même temps Kukatula évoque le problème des lois de réajustements pour permettre à la centrale électorale pour atteindre ses objectifs ?
Au sujet du financement le Congo dispose des moyens financiers. Sinon durant cinq ans combien de fois les journaux et autres tv et radio gouvernementaux ont publié des registres des réalisations accomplies avec des financements locaux (immeubles, achat des avions, routes, charroi automobile etc.), à n’est pas finir ?
La bonne volonté de la communauté internationale mise à rude épreuve !
Au delà de ces moyens locaux, combien de fois, les gouvernements étrangers (l’Union européenne, la Grande Bretagne, la France, la Belgique, les États-Unis d’Amérique…) : ont-ils demandé le volume de dépenses éventuelles, pour l'organisation des élections, à telle enseigne qu’ils aident ou contribuent, à cette opération ? Et quelle a été l’attitude du gouvernement congolais sous J. Kabila M. Kukatula pris à témoin ?
M. Russ Feingold déclare ceci:
« […] Organiser en premier lieu des élections très coûteuses qui ne sont pas exigées par la Constitution (sic), et dire ensuite qu’il n’y a pas assez de fonds (sic) pour organiser les élections qui, elles, sont exigées par la Constitution (sic), ce n’est pas une approche très crédible (sic)», a-t-il poursuivi. L’envoyé spécial des États-Unis est même allé jusqu’à conditionner l’aide financière américaine pour organiser ces élections à la tenue d’une présidentielle en 2016.
«Si la Ceni et le gouvernement s’engagent à tenir les élections dans le délai (sic)prévu par la Constitution, je suis sûr que les ressources combinées de la RDC(sic) et de la communauté internationale (sic) seront suffisantes pour organiser ces élections (sic). Et vous savez que lorsque je suis venu avec mon secrétaire d’État, il y a un mois, il avait déjà annoncé que des fonds (sic) supplémentaires des États-Unis seraient débloqués (sic) pour les élections (sic). Mais pour nous, pour pouvoir donner cet argent et aider la RDC, la condition est qu’un calendrier global soit rendu public (sic) et que la Constitution soit respectée(sic)», a  martelé Russ Feingold. CF. RD Congo: les États-Unis veulent une élection présidentielle en 2016 : Le lien suivant éclaire :http://www.agenceecofin.com/politique/0606-20603-rd-congo-les-etats-unis-veulent-une-election-presidentielle-en-2016 !

Est-il nécessaire de multiplier des exemples de la bonne volontéexprimée par des pays étrangers ici et dans le domaine ? Il y en a à gogo mais je me limite là (faute du temps et de la place).

M. Kukatula se fait volontairement naïf !

Pendant que M. Kukatula parle des finances qui manquent et autres lois des réajustements électoraux qui manqueraient.

Pourquoi oublie-t-il dramatiquement M. Kukatula de faire allusion à la volonté manifeste des tous les membres de la kabilie de traîner les pieds pour ne pas aller aux élections 2016 ? Qu'est-ce qui a empêché au Parlement et Sénat de voter des lois dans les délais ? La mauvaise foi politique et la volonté à se maintenir àjamais au pouvoir sont à évoquer ici !

La première manifestation :

C’est la déclaration de M. Évariste Boshab Mabudj-ma-Bilenge alors secrétaire général du PPRD parti politique à J. Kabila. Boshab parlait déjà en février 2012 au Katanga de sa volonté de tout mettre en œuvre pour voir Kabila demeuré à jamais à la tête du Congo ! Et comme si tout cela ne suffisait pas Boshab récidivera avec un ouvrage au titre qui ne cachait pas la volonté de Kabila de demeurer roi de droit divin à la tête du Congo (2013) : « Entre la révision constitutionnelle et l’inanition de la nation » - Voir :http://www.diascongo.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1305:l-entre-la-revision-constitutionnelle-et-linanition-de-la-nation-r-evariste-boshab-contredit-par-un-autre-juriste-et-pr-de-droit&catid=53:actualite&Itemid=216#sthash.iuOS0cD5.dpuf !

Qu’est-ce à dire ?

Sinon, M. Boshab, promet aux Congolais ceci : « ou vous voulez changer la constitution et maintenir à jamais J. Kabila au pouvoir, ou vous voulez tous mourir ! » Le prof Mbata est revenu sur cet ouvrage de propagande de la pire politique et espèce sans convaincre Boshab, J. Kabila,- etc.
M. Boshab n’est pas seul dans le registre !
Il y a eu le porte-parole Lambert Mende Omalanga. Ce zélé de la kabilie déclare ceci :
« Les élections peuvent se tenir en 2016, 2017 etc. le ciel ne nous tombera pas sur la tête ! » Voir :http://www.rfi.fr/emission/20150116-lambert-mende-rdc-presidentielle-peut-tenir-2016-comme-2017-elections-joseph-kabila-constitution !
Un autre, c’est un certain Kin Kiey Mulunda, il déclare que : «Kabila totondi yo nano teee ! Ou Kabila Désir ! » (Kabila nous n’avons pas encore assez mangé ! Demeurez à jamais à la tête du Congo !)
Le registre est long
Un certain Claude Mashala lui fut à la récollette de 100 milles signatures pour fin de chambarder la Constitution ainsi maintenir Kabila éternellement à la tête du Congo ! Voir le lien suivant :http://www.radiookapi.net/actualite/2014/03/18/claude-mashala-la-prochaine-election-nest-pas-en-2016 !
En guise de conclusion :
M. Kukatula n’a pas été très honnête dans son exposé du 29/3/2016. Il se devrait de déclarer très clairement que la CENI comme toutes les autres institutions au Congo qu’elles sont là pour le maintien de l’ordre politique inique au Congo dans les moments. Et que la dictature postmobutiste de la kabilie se continue de plus belle.
Prétexter qu’il manque de fonds et des lois devant permettre l’organisation des élections 2016 est un pire mensonge. Il n’y a pas de volonté politique d’organiser les élections au Congo. Tous qui parlent et membres de la kabilie vont dans le sens de laisser endormir les Congolais !
Qui dira qu’il n’a pas été informé ?
Albert

Sondage d’opinion : Kagame parmi les 100 les plus influents du monde

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par IGIHE




Le Présidentdu Rwanda, Paul Kagame est listé 127ème des personnalités publiques les plus écoutés/influents du monde sur le palmarès dressé par l’hedbomadaire américain Time Magazine pour l’an 2015.
Le critère éssentiel de sélection est l’appréciation de la chose faite par la personne en question qui l’aura rendu célèbre.
Time Magazine rapporte qu’on connaît à Kagame le vent du développement de son pays. Ensuite, ce journal a cité le fait qu’il a beaucoup de followers sur le twitter en Afrique.
Kagame et le médecin congolais qui répare les femmes, Dr Denis Mukwege, sont ex aequo à cette 127ème place.
Le choix des 100 top premières personnes est entrain de se faire. le palmarès est dressé par des personnalités qui ont figuré sur la liste dans les années antérieures et par les journalistes de Time Magazine. Ce palmarès devra être confirmé par les rédacteurs en chef dudit journal.
L’étape primaire de la confection de cette liste est celle des lecteurs qui font un vote en ligne sur le candidat de son choix.
Cet exercice se terminera le 10 avril prochain à 11.59. Le sondage des lecteur sera publié le 14 du même mois. Enfin, les top 100 premières personnalités les plus influentes du monde sera publiée le 21 avril.
Pour rappel, Vladmir Putin le russe a été placé 1er sur ce palmarès en 2014 suivi par Barack Obama, Jinping Xi Président chinois, le Pape François 1er, l’allemande Angela Merkel et bien d’autres.
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