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RDC et Panama Papers


Rdc une révélation grave!

Magazine Fobes fait état des 15 milliards $ de Joseph Kabila

UDPS demande à Joseph Kabila de convoquer le dialogue avant le 24 avril 016

Panama Papers RDC

Mise au point d'Olivier Kamitatu sur la saisine de la Cour constitutionnelle per la MP

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Photo de CODE 243.
CODE 243
Réaction d’Olivier Kamitatu, Vice-Président du G7, sur la Saisine de la Cour Constitutionnelle par les députés kabilistes
Il n’a pas fallu attendre bien longtemps pour que le plus grand secret, jalousement gardé par la Majorité, soit mis à nu. Par leur saisine de la Cour Constitutionnelle, les députés de la MP viennent de lever le voile sur le mystère dont Lambert Mende entourait la question du successeur du Président actuel. Il est désormais clair pour tous les Congolais que pour la MP « Kabila doit succéder à Kabila » ! Et cela quel qu’en soit le prix ! L’instrumentalisation de la Cour, le déploiement des chars dans les villes, l’organisation de pseudo-dialogue, la confiscation des libertés et medias publics, le rétrécissement de l’espace politique, l’emprisonnement des activistes, et j’en passe ! Après son arrêt qui a abouti à l’installation des commissaires spéciaux de courte durée et de triste mémoire qui n’ont servi qu’à gagner du temps pour l’organisation d’un simulacre d’élections, la Cour Constitutionnelle a une nouvelle occasion de « briller » en offrant à la République un Super Commissaire Spécial pour la grande Province du Congo ! Quant aux « dialoguistes » d’Edem Kodjo, ils se voient brûler la politesse par leurs députés qui leur retirent l’occasion de monnayer auprès de Joseph Kabila la prolongation gratuite de son mandat. A l’instar des Commissaires spéciaux, ils n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer. Le décor est désormais plante. Tout comme les sénateurs, les députés de la Majorité veulent par cette manœuvre se couvrir derrière la décision de la Cour Constitutionnelle pour prolonger également leur mandat et éviter à leur tour et à leur avantage la sanction du Souverain Primaire. Finalement, cette saisine précipitée traduit une fuite en avant des députes zélés de la MP pour préparer l’après 19/12. De ce fait elle illustre la peur de la Majorité d’affronter les Elections. La MP a fait le choix de gouverner par défi le peuple congolais en muselant ses aspirations les plus profondes. Je doute que les Congolais se laisseront ainsi confisquer longtemps leur droit de choisir en temps et en heures leurs Représentants et les animateurs de leurs Institutions.
Olivier Kamitatu, Vice-Président du G7 et Président de l’ARC.

Rdc: dialogue ou pas dialogue?

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Député national de RD Congo, président du groupe parlementaire « UDPS et alliés ».
CONTRIBUEZ À L'ACTUALITÉ
En avalisant le « dialogue » voulu par le président Kabila, le facilitateur de l’Union africaine affaiblit la Constitution et des institutions dans lesquelles la communauté internationale a beaucoup investi.
« Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre », disait Winston Churchill. À Kinshasa, c’est dix ans de consolidation de la démocratie que l’on veut faire oublier au peuple Congolais. Nos compatriotes attendent des élections dans les délais prévus par la Constitution. Or, alors que l’on fête le dixième anniversaire de ces institutions mises en place grâce à l’appui de la communauté internationale, certains tentent de les abattre.
Un coup d’État contre les institutions
Le respect de la Constitution est en effet indissociable de celui des institutions. Le dialogue voulu par le président Joseph Kabila les court-circuite au profit d’un « régime des partis ». Il est donc à l’opposé de la primauté du droit. Cette entreprise périlleuse est donc en réalité un coup d’État contre les institutions et la légalité constitutionnelle.
Edem Kodjo engage donc la marche-arrière plutôt que d’œuvrer au renforcement des institutions
En participant à ce jeu, le facilitateur de l’Union africaine (UA), Edem Kodjo, engage donc la marche-arrière plutôt que d’œuvrer au renforcement des institutions pour parvenir à l’alternance démocratique.
Dès lors, le respect de la Constitution n’est plus qu’un slogan. De plus, la méthode du facilitateur de l’UA, viole la résolution 2277 qui vient d’être votée par le Conseil de sécurité des Nations unies. Celle-ci stipule en effet qu’il « est crucial que le prochain cycle électoral se déroule de façon pacifique et crédible, comme prévu par la Constitution, pour que la démocratie constitutionnelle puisse être stabilisée et consolidée ». Il n’y a pas de Constitution à la carte : cette recommandation ne peut être respectée que si l’on place les institutions légales et légitimes du pays, au centre du processus de dialogue.
Le Conseil de sécurité demande en outre « la mise en place d’institutions étatiques opérationnelles, professionnelles et responsables » et « la création de conditions propices à la tenue d’élections pacifiques et crédibles dans les délais prévus ». Ce sont les conditions, estime-t-il avec sagesse, à « la protection des civils et la stabilisation de la situation » dans le pays.
Le Conseil de sécurité veut en outre « un espace politique ouvert » et assurer « la promotion et la protection des droits de l’homme ». L’article 21 de la Déclaration universelle des droits de l’homme dispose que « la volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes ». Or la majorité des Congolais est opposée à ce dialogue, synonyme de glissement du calendrier électoral. L’encre de la résolution 2277 n’est pas encore sèche que Kinshasa s’empresse d’ignorer ses points fondamentaux.
Impossibilité de tout consensus véritable
Enfin, comment ce dialogue conduit sans les institutions légitimes pourrait-il être validé par ces dernières ? L’absence de franges entière de l’opposition, comme la Dynamique de l’opposition, le G7, l’Union pour la nation congolaise (UNC) ou encore le Mouvement de libération du Congo (MLC), rend impossible tout consensus véritable.
En janvier 2015, le groupe parlementaire que je préside, « UDPS et alliés », avait été le premier à contester une loi électorale qui aurait abouti au glissement du calendrier électoral. Cette contestation avait été prolongée par des troubles qui ont eu raison de cette loi.
Aujourd’hui, pourtant, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) fait le choix de participer à ce dialogue et prend le risque de le légitimer. Cette option mériterait, a minima, un débat démocratique interne.
Pour qu’un dialogue politique fasse véritablement progresser le pays vers les élections et l’alternance démocratique, il doit être fondé sur le respect intégral de la Constitution et des institutions, de la résolution 2277 et sur un consensus reflétant la volonté populaire.

Une pétition des députés du PPRD qui annonce la fin d'un triste règne


Enfin l'opposant Chalupa autorisé à aller se faire soigner

Constitution RDC mise en vente

Valétin Mubake fait de révélations sur Vital Kamerhe

Clarification de l'Udps sur ses conditions de participation au dialogue politique

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COMMUNIQUE DE PRESSE DE L'UDPS DU14/04/2016
1. Comme vous le savez, le 06 avril dernier, par communiqué de presse, nous apprenions tous que Madame NKOSAZANA DLAMINI ZUMA, Présidente de la Commission de l’Union Africaine, avait désigné Monsieur Edem KODJO, en qualité de Facilitateur du dialogue politique en République Démocratique du Congo.
2. Pour rappel, aux termes du communiqué n°002/UDPS/PP/016 du 10 avril 2016, le Président Etienne TSHlSEKEDI wa MULUMBA prenait acte de cette désignation de Monsieur Edem KODJO comme Facilitateur, et décidait d’envoyer à celui-ci, une délégation de l’UDPS dument mandatée, dont la mission consistait à s’assurer de la concordance des vues entreles missions confiées au Facilitateur KODJO et la Feuille de Route de l’UDPS pour la sortie de crise, publiée le 14 février 2015, désormais en parfaite harmonie avec la Résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
3. En application de son communiqué n°002IUDPS/PP/016, du 10 avril 2016, le Président Etienne TSHlSEKEDI wa MULUMBA a dépêché, auprès du Facilitateur désigné, les délégués dont les noms ci-après: 1) Bruno MAVUNGU PUATI : Secrétaire Général; 2) Bruno TSHIBALA : Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole 3) Félix TSHILOMBO TSHISEKEDI: Secrétaire National aux Relations Extérieures.
4. Le lundi 11 avril 2016, le Facilitateur désigné a accordé une audience à la délégation de l’UDPS dont objet du présent communiqué de presse.
5. A l’occasion de cette audience, la délégation de l’UDPS a tenu à porter à la connaissance de Monsieur Edem KODJO que le dialogue politique qu’il est appelé à conduire et auquel l’UDPS pourrait prendre part est un dialogue politique qui répond aux exigences
ci-après:
1) Un dialogue politique, transparent et associant toutes les parties
prenantes congolaises ;
2) Un dialogue politique qui respecte la Constitution et les délais
qu’elle prescrit pour que les élections présidentielle et législatives
aient lieu en novembre 2016 ;
3) Un dialogue politique qui organise la passation pacifique du
pouvoir à l’issue des élections crédibles et apaisées de novembre 2016;
4) Un dialogue politique qui tire son fondement, outre notre
constitution, dans les instruments internationaux, aussi bien
l’Accord-cadre d’Addis-Abeba du 24 février 2013 que la Résolution 2277
du Conseil de Sécurité des Nations Unies du 30 mars 2016.
5. En outre, la délégation a tenu à souligner qu’elle était investie
officiellement et constituait le seul canal de transmission de tout
engagement liant le parti dans le cadre de préparation, d’organisation
ou de la tenue éventuelle dudit dialogue.
6. Il va de soi que tout autre échange ou contact avant la désignation
officielle du Facilitateur, c’est-à-dire lors de sa mission ‘de
consultation, soit avant le 06 avril 2016, ne constitue que des
échanges informels dont le parti ne se sent nullement obligé.
7. La délégation de l’UDPS, après avoir fait état du mandat reçu du
Président du Parti, mandat qui court jusqu’au 24 avril 2016, a prévenu
Monsieur Edem KODJO qu’à cette étape de sa mission:
– Elle attend de sa part, après avoir entendu les parties prenantes,
un vade mecum clair où il propose le cadre précis de travail qu’il
entend mener en toute neutralité et impartialité.
– Qu’aucune allusion au dépôt d’une quelconque liste de l’UDPS aux
fins de participer à un éventuel comité préparatoire du dialogue n’est
pas à l’ordre du jour.
Pour permettre à la délégation de l’UDPS de faire son rapport au
Président Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, il a été demandé au
Facilitateur désigné d’apporter formellement la réponse à chacune de
nos préoccupations, qui sont avant tout celles de notre peuple.
Fait à Kinshasa, le 14 avril 2016
Bruno Mavungu Puati
Secrétaire Général

Voilà la démarche d'un parti responsable et qui permet de couper court toute la campagne d'intoxication du pouvoir et ses affidés pour salir l'Udps et son chef historique , Étienne Tshisekedi . Jamais l'Udps ne trahira le peuple congolais

Dialogue : l’UDPS exige de Kodjo un agenda clair

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En dépit de son accord de principe à participer au Dialogue national inclusif, l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) refuse de donner un chèque blanc au facilitateur Edem Kodjo. Ce parti le fait savoir dans son communiqué d’hier jeudi 14 avril 2016, sous la signature de son Secrétaire général, Bruno Mavungu. On note, dans ce texte, que Tshisekedi et son état-major politique tiennent à la clarification préalable des règles du jeu.
Dans l’entendement de Limete, ce forum devrait se dérouler dans la transparence, le respect de la Constitution ainsi que des délais légaux pour l’organisation des élections présidentielle et législatives nationales. L’UDPS considère le Dialogue comme le tremplin idéal pour formaliser l’alternance au pouvoir, avec la passation pacifique de témoin entre le président sortant et son successeur.
Par conséquent, ce parti est prêt à claque la porte si les choses ne sont pas clarifiées par le Facilitateur à partir de la mise sur pied du Comité préparatoire.
Communiqué de presse de l’UDPS
1. Comme vous le savez, le 06 avril dernier, par communiqué de presse, nous apprenions tous que Madame NKOSAZANA DLAMINI ZUMA, Présidente de la Commission de l’Union Africaine, avait désigné Monsieur Edem KODJO, en qualité de Facilitateur du dialogue politique en République Démocratique du Congo.
2. Pour rappel, aux termes du communiqué n°002/UDPS/PP/016 du 10 avril 2016, le Président Etienne TSHlSEKEDI wa MULUMBA prenait acte de cette désignation de Monsieur Edem KODJO comme Facilitateur, et décidait d’envoyer à celui-ci, une délégation de l’UDPS dument mandatée, dont la mission consistait à s’assurer de la concordance des vues entreles missions confiées au Facilitateur KODJO et la Feuille de Route de l’UDPS pour la sortie de crise, publiée le 14 février 2015, désormais en parfaite harmonie avec la Résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
3. En application de son communiqué n°002IUDPS/PP/016, du 10 avril 2016, le Président Etienne TSHlSEKEDI wa MULUMBA a dépêché, auprès du Facilitateur désigné, les délégués dont les noms ci-après: 1) Bruno MAVUNGU PUATI : Secrétaire Général; 2) Bruno TSHIBALA : Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole 3) Félix TSHILOMBO TSHISEKEDI: Secrétaire National aux Relations Extérieures.
4. Le lundi 11 avril 2016, le Facilitateur désigné a accordé une audience à la délégation de l’UDPS dont objet du présent communiqué de presse.
5. A l’occasion de cette audience, la délégation de l’UDPS a tenu à porter à la connaissance de Monsieur Edem KODJO que le dialogue politique qu’il est appelé à conduire et auquel l’UDPS pourrait prendre part est un dialogue politique qui répond aux exigences
ci-après:
1) Un dialogue politique, transparent et associant toutes les parties
prenantes congolaises ;
2) Un dialogue politique qui respecte la Constitution et les délais
qu’elle prescrit pour que les élections présidentielle et législatives
aient lieu en novembre 2016 ;
3) Un dialogue politique qui organise la passation pacifique du
pouvoir à l’issue des élections crédibles et apaisées de novembre 2016
;
4) Un dialogue politique qui tire son fondement, outre notre
constitution, dans les instruments internationaux, aussi bien
l’Accord-cadre d’Addis-Abeba du 24 février 2013 que la Résolution 2277
du Conseil de Sécurité des Nations Unies du 30 mars 2016.
5. En outre, la délégation a tenu à souligner qu’elle était investie
officiellement et constituait le seul canal de transmission de tout
engagement liant le parti dans le cadre de préparation, d’organisation
ou de la tenue éventuelle dudit dialogue.
6. Il va de soi que tout autre échange ou contact avant la désignation
officielle du Facilitateur, c’est-à-dire lors de sa mission ‘de
consultation, soit avant le 06 avril 2016, ne constitue que des
échanges informels dont le parti ne se sent nullement obligé.
7. La délégation de l’UDPS, après avoir fait état du mandat reçu du
Président du Parti, mandat qui court jusqu’au 24 avril 2016, a prévenu
Monsieur Edem KODJO qu’à cette étape de sa mission:
– Elle attend de sa part, après avoir entendu les parties prenantes,
un vade mecum clair où il propose le cadre précis de travail qu’il
entend mener en toute neutralité et impartialité.
– Qu’aucune allusion au dépôt d’une quelconque liste de l’UDPS aux
fins de participer à un éventuel comité préparatoire du dialogue n’est
pas à l’ordre du jour.
Pour permettre à la délégation de l’UDPS de faire son rapport au
Président Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, il a été demandé au
Facilitateur désigné d’apporter formellement la réponse à chacune de
nos préoccupations, qui sont avant tout celles de notre peuple.
Fait à Kinshasa, le 14 avril 2016
Bruno Mavungu Puati
Secrétaire Général

Suivre l'exemple de Yayi Boni pour sauver l'Afrique

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Un dirigeant africain qui sait quitter le pouvoir dignement et sans faire couler une seule goutte de sang,ça mérite tous les honneurs.
Voilà comment l'ancien président béninois Yayi Boni nous démontre qu'il y a une vie après la présidence et qu'on peut meme encore occuper des fonctions aussi importantes dans la société.
L'ancien président béninois Thomas Boni Yayi désigné chef de la mission d'observation pour la présidentielle en Guinée Équatoriale par l'union africaine.
WWW.BBC.COM

Enfin tout le monde emboîté les pas a l'Udps

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LU POUR VOUS !
DIALOGUE :LA DYNAMIQUE DE L'OPPOSITION(D.O.) LE G7,L'UDPS ET L'AMP, VERS UNE CONVERGENCE?
LA D.O. ET LE G7 ONT ACCEPTE LE PRINCIPE DU DIALOGUE ,MAIS NE VEULENT PAS DU DIALOGUE "MADE IN KABILA".
CES DEUX PLATEFORMES ONT RENONCE ,SANS LE DIRE, A LA FAMEUSE TRIPARTITE (AMP,CENI ET OPPOSITION) ET AUX "NEGOCIATIONS POLITIQUES DIRECTES" COMME SI LES NEGOCIATIONS ETAIENT DIFFERENTES AU DIALOGUE .LA D.O. ET LE G7 RECUSENT LA FACILITATION EN SOLO D'EDEM KODJO ET EXIGENT,PLUTOT, UN PANEL DES QUATRE FACILITATEURS ISSUS DE L'ONU ,L'OIF, L'UE ET L'UA .
EN TERMES CLAIRS, LEUR POSITION A EVOLUE;EN POLITIQUE ON NE DIT JAMAIS "JAMAIS".SELON NOS SOURCES, MR. TOM PERRIELLO ,ENVOYE SPECIAL DES USA DANS LES GRANDS LACS Y EST POUR BEAUCOUP,SON PASSAGE A BRUXELLES ET SA PRESENCE A KINSHASA EN CE MOMENT PRECIS N'EST PAS UNE SIMPLE COINCIDENCE.
L'ON SE SOUVIENDRA ,LE SOIR MEME DE LA VILLE MORTE ,LE 16/02/2016, L'ONU,L'OIF.L'UE ET L'UA AVAIENT PUBLIE UN COMMUNIQUE CONJOINT PRONANT UN DIALOGUE INCLUSIF EN VUE DE LA TENUE DES ELECTIONS A LA "BONNE DATE " DANS CE COMMUNIQUE MEME ,CES QUATRE ORGANISATIONS INTERNATIONALES AVAIENT ENDOSSE CLAIREMENT MR. EDEM KODJO COMME FACILTATEUR DU DIALOGUE.
LA PERSONNE DE MR. EDEM KODJO N'INSPIRE PAS CONFIANCE ET NE DEVRAIT PAS EN INSPIRER, VU SON ATTACHEMENT A LA DYNASTIE EYADEMA AU POUVOIR AU TOGO DEPUIS PLUS DES QUATRE DECENIES ET DE SON AMITIE A LA FAMILLE ZUMA ,LAQUELLE FAMILLE NE JURE QUE POUR LE MAINTIENT AU POUVOIR DE LEUR POULE AUX OEUFS D'OR ,A SAVOIR,LE RAIS JOSEPH KABILA .
IL FAUT NOTER QUE LA MAJORITE FACTICE DE MR. KABILA A ETE SERIEUSEMENT ENDOMMAGEE AVEC LA RESOLUTION 2277 DU CONSEIL DE SECURITE DE L'ONU ET D'APRES CERTAINES INDISCRETIONS QUI NOUS SONT PARVENUES, MR. KODJO EST AUSSI GENE PAR CETTE RESOLUTION DU CONSEIL DE SECURITE ETANT DONNE QUE LA RESOLUTION 2277 STIPULE CLAIREMENT QUE LES ELECTIONS DOIVENT SE TENIR DANS LE DELAI CONSTITUTIONNEL ET L'UDPS ,AU REGARD DE SA FEUILE DE ROUTE,SEMBLE AVOIR PERCU AVANT TOUT LE MONDE L'ABOUTISSEMENT FINAL DES TOUS CES MEANDRES POLITICO- DIPLOMATIQUES . LE TEMPS NOUS LE DIRA MIEUX.
BIENTOT L'ON DIRA ,QUI CROYAIT PRENDRE EST PRIS.
ANGLO CONGO

La polémique sur les vaches de Joseph Kabila

2ème Congrès UDPS

Jean Pierre Bemba libère enfin sa conscience

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écoute ça.
-23:00
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SUIVEZ VITE CETTE EMISSION DU FILS A PAPA C'EST GRAVE JEAN PIERRE BEMBA ASSUME SES ERREURS EN PRISON LA GUERRE DU POUVOIR ENTRE TSHISEKEDI ET MOISE KATUMBI, ELLE CHERCHE UNE RELATION AMOUREUSE AU FILS DE TSHISEKIDI AZUI RÂTEAU

Une clarification d'un compatriote congolais sur la controverse sur le dialogue politique: Mova Sakany fustigé

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Aux uns et aux autres !...
Je récuse tout ce qu’il dit ci-dessous et qu’il déclare pour justifier le comportement anti-démocratique de J. Kabila dans les moments politiques au Congo ! Il, c’est qui  au juste ?
Il, c’est M. Henri Mova Sakanyi, secrétaire général du parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), parti politique cher à J. Kabila,- où Mova fait une lecture et interprétation biaisées de l’histoire politique du Congo postcolonial qu’il évoque pour plaire autrement et sans nul doute à J. Kabila dans les moments Congo.
Pour tout banaliser et désorienter à dessein les Congolais dans ces moments politiques loufoques au Congo. M. Mova déclare ceci qui ne tient pas debout devant les journalistes de JA Pierre Boisselet et Trésorier Kibangula sans froid aux yeux. Je le cite :
« […] Souvenez-vous des premiers scrutins [sic] de notre histoire [sic] : ils nous ont conduits à la sécession du Katanga [sic] et du Kasaï [sic], au coup d’État de septembre 1960, à l’assassinat de Lumumba… Les élections de 1965 n’ont même pas eu lieu parce qu’un coup d’État de septembre 1960, à l’assassinat de Lumumba… » Ce n’est pas juste !
Cette rhétorique ne tient pas du tout la route et elle est tenue par M. Mova son auteur que juste pour demander aux Congolais insidieusement d’accompagner J. Kabila dans son combat vouer à se maintenir coute que coute à la tête du Congo au delà de l’année 2016 à travers le théâtre dit « Dialogue ! » en chantier au Congo avec Edem Kodjo, ce diplomate Togolais,- comme pilote-facilitateur !
Non ! C’est dont il est question dans les moments politiques au Congo
C’est la réalité telle que : « Le mandat du président de la République est de 5 ans renouvelable une seule fois.» Le débat constitutionnel au sujet de la forme de l’État Congolais n’est pas en chantier ni a l’ordre du jour.
Sinon qui est-il ce leader politique Congolais qui pilote ce combat aujourd’hui ? J. Kabila est fin mandat qu’il organise des élections dans les délais constitutionnels et qu’il s’en aille ! C’est ça la réalité dans la bouche et pensées de Congolais et non autre chose !
Parlons-en !
Les élections de 1960 qui ont vues P. Lumumba être élu Premier Ministre n’ont pas été aucunement contestées par les deux leaders qui ont été construire par la suite l’État du Katanga (Moïse Tshombe) et puis celui de l’État Autonome du Sud-Kasaï (Albert Kalonji) ! Loin de là !
M. Mova fait de l’amalgame ! Il fait de la démagogie de pire espèce ! Des surenchères très loin de la réalité de terrain dans les moments politiques au Congo.
Deux visions différentes de la forme de l’État !
Sinon à ce que l’on sache entre P. Lumumba et les deux autres leaders congolais leur différend politique a été fondé sur la forme de l’État : Lumumba fut unitariste, et par contre les deux autres leaders (Tshombe et Kalonji)  précités : furent des fédéralistes ! Ce serait cet élément qui aurait pesé dans la balance et qui serait à la base des difficultés que le Congo connu peu après son accession à l’indépendance (le 30/6/1960).
Á ce propos, souffrez que je vous rappelle que déjà, à la Table ronde à Bruxelles (1959-1960), JB Kibwe : un des ténors leaders du Katanga, en face avait déjà dis-je promis la mort physique à P. Lumumba : « Le jour où vous mettrez pieds à Élisabethville (Lubumbashi) vous ne rentrerez pas vivant ! » La prophétie ou menace fut mise à exécution (le/17/1/1961).
Bof P. Lumumba cependant par exemple n’avait pas fraudé ni triché aux élections en 1960 et que c’est dès lors que Tshombe et Kalonji se soient opposés à Lumumba ! Ça n’a pas été pas la question ! Or, aujourd’hui,- c’est ça la réalité de J. Kabila depuis 2006 et 2011 ! Il est illégitime à la tête du Congo !
Parlant de Tshombe et de lui-même à ce sujet très précis devant une question qui lui a été posée de son vivant : Albert Kalonji précise la chose et contredit fortement M. Mova :
« Avec Moïse Tshombé, étiez-vous des sécessionnistes ? Ou avez-vous une autre vision du Congo, qui n’a pas été comprise à l’époque? Ou étiez-vous manipulés par les Belges ? Non nous n’étions pas manipulés par les Belges. Nous étions de nationalistes opposés à la concentration du pouvoir à Léopoldville, bref des fédéralistes pour le bien du Congo. » Et Albert Kalonji d’enfoncer le clou :
« Quel fut le principal point de dissension entre vous et Lumumba au sein de votre parti, le MNC? La forme de l’état, lui unitariste et moi fédéraliste. » Voir le lien suivant se convaincre :http://www.mbokamosika.com/article-albert-kalonji-ditunga-se-confie-a-mbokamosika-53176269.html !
Et on ne le dira jamais assez !
Les élections 2006 furent apaisées et ce malgré la tricherie de J. Kabila : l’abbé Malu Malu dans le décor ! Les élections 2011 furent tout autant apaisées malgré la tricherie toujours de J. Kabila le pasteur protestant Ngoy Mulunda cette fois-ci agent de théâtre ! Tous les segments ecclésiastiques historiques au Congo ayant participés au péché !
Bref et comment pour les élections 2016 la kabilie évoque-t-elle subitement le concept d’apaisement qui ne sera pas au rendez vous ? D’où proviendra-t-il l’absence de paix ? Et qui a des armes pour provoquer le climat de troubles et ainsi chassé la paix si ce n’est pas J. Kabila-lui-même ?
La réalité est ailleurs et qu’il faudra que M. Mova ait le courage d’en pointer du doigt : « Le mandat du président de la République est de 5 ans renouvelable une seule fois.» C’est ça la réalité du terrain politique au Congo dans les moments loin des rafales des préciosités dans le langage que la kabilie entretien malicieusement dans l’opinion tant nationale qu’internationale (Conseil de sécurité de l’ONU) !
Le parallélisme entre la crise qui avait élue domicile au Congo après l’indépendance (1960) n’est pas tout à fait correct à comparer avec la situation au Congo aujourd’hui ! Aujourd’hui le Congo a un chef d’État : J. Kabila,- champion dans la tricherie et fraude électorale,- et qui voudrait avoir malicieusement un mandat d’un monarque du droit divin à la tête du Congo ! La question ?
Est-ce ainsi le contenu de la Constitution congolaise?
Pas du tout et spécialement en son Article 220 ! 
Dès lors évitons de chercher midi à quatorze heures pour rien avec préciosité dans le langage inutile et stérile à longueur des journées à ce sujet !
Pourquoi J. Kabila et son entourage pétris pourtant des juristes et autres constitutionnalistes sortis des grandes universités et autres écoles des lois sont-ils incapables de lire et puis de dire la loi au Congo comme il faudra ?
Dialogue ? D’accord ! Mais pourquoi faire ?
N’est-ce pas que J. Kabila avait déjà détourné sciemment cette recommandation de l’UA (l’Union Africaine) en organisant en lieu et place, des « concertations dites nationales », une fuite en avant : en sept-octobre 2013, et des millions de dollars US, engloutis, dans le théâtre : MM. Kengo et Minaku, deux maîtres des scénarios, se frottant les mains, dans la pénombre ?  
Ça doit de se savoir !
Non ! J. Kabila et son entourage des requins voudraient tirer les choses à longueur à leurs propres volontés. Ils laissent pourrir la situation politique parce que c’est dans leurs intérêts égoïstes.
Et qu’on se le dise tout net !
Suivez mon regard !
Un jour de dictature à la tête d’un pays vaut mille ans de travail normal ailleurs ! C’est ce que fait J. Kabila au Congo et puis tout son entourage proche et éloigné !
Que J. Kabila lise parfaitement l’Article 220 de la constitution sinon que ses conseillers politiques et juridiques honnêtes l’aident dans la lecture et qu’il s’évacue de ses stratégies suicidaires, mais hélas qu’il imagine à tort, être de la survie !
M. Raymond Tshibanda à l’ONU !
Le Conseil de sécurité de l’ONU a envoyé un message on ne peut plus clair à J. Kabila (le 30/3/2016). M. Raymond Tshibanda, l’envoyé personnel de J. Kabila, à New York, en fut témoin oculaire bien certes après s’être rabroué devant des demandes illogiques, fantaisistes,- qu’il avait osé formuler, et en provenance de J. Kabila !
La résolution prise par l’ONU face aux préoccupations politiques de J. Kabila et Congo est simple : « Il s’agit de la résolution 2277.» Que stipule-t-elle ?
Très clairement ceci : 
« Il est crucial que le prochain cycle électoral se déroule de façon pacifique et crédible, comme prévu par la Constitution, pour que la démocratie constitutionnelle puisse être stabilisée et consolidée.»
Il est donc dit à J. Kabila, à son entourage, à la CENI,- que les jongleries et les cafouillages (genre 2006 avec Malu Malu et 2011 avec Ngoy Mulunda) ne sont pas permis ni tolérés !
Qui dira qu’il n’a pas été informé ?
Albert

RD Congo : faut-il vraiment dialoguer ? Henri Mova Sakanyi accepte

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C'est la grande question qui agite le Tout-Kinshasa depuis que le président Kabila a annoncé l'ouverture d'un nouveau cycle de discussions, en novembre dernier. Manière de retarder le processus électoral ou garantie que les scrutins seront pour une fois apaisés ? J.A. ouvre le débat.
Henri Mova Sakanyi Secrétaire général du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) : OUI
Était-il vraiment nécessaire de convoquer un nouveau dialogue national, comme l’a fait le président Kabila ?
Le dialogue, c’est la seule solution pour ouvrir la voie à des élections apaisées et crédibles. Les acteurs politiques de ce pays doivent s’engager devant la nation afin que les élections ne soient pas, en RD Congo, toujours porteuses de malheurs. Souvenez-vous des premiers scrutins de notre histoire : ils nous ont conduits à la sécession du Katanga et du Kasaï, au coup d’État de septembre 1960, à l’assassinat de Lumumba… Les élections de 1965 n’ont même pas eu lieu parce qu’un coup d’État militaire a balayé les institutions après le référendum de 1964 ; la présidentielle de 2006 s’est accompagnée de violences à Kinshasa, et il y a eu encore des morts en 2011… Doit-on continuer ce cycle infernal ?
Nous voudrions que tous les Congolais qui comptent se retrouvent autour de la table, et Étienne Tshisekedi en fait partie. Toutefois, il n’est pas notre unique interlocuteur, et, même si le dialogue ne fait pas l’unanimité, nous comptons sur la présence de beaucoup de participants.
Nous voulons que tout le monde participe au dialogue, mais certains se trouvent dans une logique insurrectionnelle
Mais deux autres figures de l’opposition, Vital Kamerhe et Moïse Katumbi, ont annoncé qu’ils n’y prendraient pas part… Peut-on encore parler de pourparlers inclusifs ?
Vital Kamerhe et Moïse Katumbi sont fraîchement passés à l’opposition. Il y a des questions de posture et de communication, mais fondamentalement nos différences ne sont pas si grandes. Je vous l’ai dit : nous voulons que tout le monde participe au dialogue, mais certains se trouvent dans une logique insurrectionnelle. Ils rêvent d’un scénario à la burkinabè et pensent qu’ils peuvent conquérir le pouvoir après trois jours d’insurrection. Tant qu’ils croiront qu’ils ont le monopole de la rue, ils ne s’assagiront pas et ne feront pas preuve de responsabilité. Peut-être faudra-t-il une démonstration de force pour qu’ils reviennent à la raison.
De toutes les façons, les Congolais finiront par dialoguer. Mais faut-il discuter avant ou après qu’il y a eu des clashs ou des morts ? Nous ne souhaitons pas en arriver là. Si les Burundais avaient discuté plus tôt, le pays ne serait pas dans la situation où il est aujourd’hui.
Finalement, tous ces désaccords ne favorisent-ils pas un « glissement » du calendrier électoral ?
Pourquoi ce mot terrorise-t-il tant les gens ? Ce qui serait dangereux, c’est une glissade. Parler de « glissement » n’est pas péjoratif ; il faut voir cela comme un compromis qui peut permettre de bien organiser les élections. Le temps n’est pas le facteur le plus important si nous voulons avoir des scrutins crédibles.
Je précise que le dialogue n’a pas vocation à changer la Constitution
Est-il encore possible d’organiser la présidentielle dans les délais ?
Voilà la question à laquelle, en premier lieu, le dialogue inclusif doit apporter une réponse. Je précise que le dialogue n’a pas vocation à changer la Constitution. Il n’est ni une constituante ni une instance référendaire.
En 2006, Joseph Kabila a été le premier président élu démocratiquement en RD Congo. Ne pourrait-il pas être aussi le premier chef de l’État congolais à passer pacifiquement la main ?
Et pourquoi pas ! C’est dans l’ordre des choses. Et ceux qui veulent que cela arrive feraient donc mieux de participer au dialogue, pour que les choses s’organisent dès maintenant. Cela parachèvera le processus démocratique que Joseph Kabila a lui-même lancé.
Pierre BoisseletTrésor Kibangula
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