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Dialogue : Les 4 choses qui bloquent l’installation du comité préparatoire

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Dialogue : Les 4 choses qui bloquent l’installation du comité préparatoire 


Le ridicule de politique congolais: quand Steve Mbikayi accuse l'UDPS d'être alliée de la MP!

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Steve Mbikayi: « l’udps n est plus de l’opposition »

Est-il difficile de négocier avec Tshisekedi ? Découvrez la réponse de Katumbi

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Est-il difficile de négocier avec Tshisekedi ? Découvrez la réponse de Katumbi

Félix Tshisekedi : « Edem Kodjo a un problème d’indépendance »

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Félix Tshisekedi : « Edem Kodjo a un problème d’indépendance »

RDC- Élection : Les 5 phrases de Cécile Kyenge qui font mal !

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RDC- Élection : Les 5 phrases de Cécile Kyenge qui font mal !

Résolution 2277 : Sésame du départ de Joseph Kabila

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Tribune – Le député Sam Bokolombe (UNC) : « La résolution 2277 a mis le régime de Kabila dos au mur »

Affaire Diomi : La présumée victime du viol témoigne (vidéo)

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Affaire Diomi : La présumée victime du viol témoigne (vidéo)

Alexis Thambwe Mwamba : « Diomi n’a pas violé »

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Alexis Thambwe Mwamba : « Diomi n’a pas violé »


Spéciale Présidentielles Guinée 2016

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Spéciale Présidentielles Guinée 2016 :
Le 24 avril 2016 dernier, les citoyens guinéens équato ont été appelés à se choisir un nouveau président pour la prochaine législature. Avec toutes les réformes républicaines initiées par le gouvernement du président sortant Obiang Nguema Mbasogo qui se présente pour un autre septennat, la démocratie a été effectivement rétablie et la course aux charges politiques ouvertes à tous les niveaux  à tout citoyen guinéen ayant atteint la majorité constitutionnelle.  Les longues pages noires de la répression politique  et les tristes souvenirs des années de la dictature de fee Macias Guema ont été tout bonnement versés dans les oubliettes de l’histoire. Sous Obiang Nguema Mbasogo, la culture démocratique est devenue une réalité politique dans ce pays autrefois célèbre par les années de dure oppression politique et de la réduction sous silence de toute velléité démocratique et d’opposition.
Pour assurer une meilleure transparence lors des élections présidentielles d’avril 2016 dernier, plusieurs missions d’observation internationale ont été invitées en République de Guinée Equatoriale. Et du côté de la société civile africaine, la Ligue des Electeurs de la  RD CONGO a été parmi les ONG retenues pour accompagner ce processus électoral. Le sérieux de ses actions et le professionnalisme de ses activistes dans les missions d’observation internationale antérieure ont pesé lourdement  sur la balance de décideurs nationaux et des autorités compétentes chargées de l’organisation du processus électoral qui leur ont établi le précieux sésame pour l’observation des présidentielles guinéennes 2016.


Conduite par son président, Paul Nsapu,  la délégation de la Ligue des Electeurs a aligné des observateurs internationaux venus de plusieurs horizons, notamment de la France, de la Belgique, de la Grande Bretagne, du Cameroun, du Burkina Fasso, de la rd CONGO et du Sénégal.  Pour la compétence africaine, il faut retenir que cette intervention de la Ligue des électeurs est une expérience enrichissante car, davantage l’expertise africaine s’affirme au fil des ans en matière d’observation des élections. Interrogé, Paul Nsapu affirme sa détermination à aider les pays africains à renforcer au mieux les capacités en matière de bonne gouvernance, de la démocratie et de la tenue des élections libres, démocratiques et transparentes. Ce qui permettra à moyen terme à offrir aux électeurs un standard acceptable en matière électorale et ne plus continuer à dépendre complaisamment de missions d’observation traditionnelle du Nord voyant tout en noir sur le continent africain.

Historique sur la Guinée Equatoriale
Pays d'Afrique de l'Ouest  situé dans le golfe de Guinée (océan Atlantique), la Guinée équatoriale, en espagnol Guinea Ecuatorial, est une ancienne colonie espagnole qui a été soumise, depuis son indépendance en 1968, à un régime dictatorial. Composée d'une partie continentale, le Mbini, et d'une partie insulaire, le Bioko, ses principaux voisins sont  le Cameroun et  le Gabon. Avec une superficie totale de 28 051 Km2 , la Guinée équatoriale  filtre les entrées sur son territoire national car elle dispose d’une faible démographie évaluée au tour de  865 895, soit moins d’un  millions d’habitants .Quelques années après la proclamation de son indépendance politique, une bonne frange de sa population a pris le chemin de l’exil pour se mettre à l’abri de la police politique. En effet, dès la tenue des premières élections présidentielles et législatives  en août 1968  et remportées par Francisco Macias Nguema, un Fang du Río Muni qui a instauré une dictature sanguinaire sans précédent, plusieurs citoyens guinéens ont perdu leur vie dans les geôles politiques si pas réduits au silence. Elu à la tête du pays aux termes des scrutins contestés,  il proclame l'indépendance quelques deux mois plus tard, soit  le 12 octobre 1968. Dès 1970, Macias Nguema instaure un régime politique de parti unique et se fait introniser en 1972 président à vie. La cruauté de son régime politique pousse plus de 100 000 équato à s’exiler vers le Gabon et le Cameroun. Ceux qui restent au pays sont contraints au silence. Des assassinats massifs de contestataires et opposants politiques du régime politique sont signalés et poussent la communauté internationale à envisager la cessation de l’aide au développement.
PRESIDENT OBIANG


 
                                         

En 1979, la cruauté du régime politique de Macias Nguema est présente dans tous les débats à travers le monde du reste consterné par la répétition des violations massives des droits de l’homme et des assassinats politiques.
C’est dans ces circonstances dramatiques que le colonel Teodoro Obiang Nguema Mbasogo vole au secours de son peuple et de sa nation. En effet, à la tête d’une révolution du palais, Il renverse le président Macias Nguema en pleine décence et rétabli l’autorité de l’Etat.
Agent de développement, Obiang Nguema Mbasogo change de cape et procède progressivement à de profondes restructurations de la vie politique, faisant face aux velléités de l’ancienne garde et nostalgiques du régime déchu. Dès que les conditions internes les permettent, il ouvre progressivement son pays au monde extérieur et instaure au fil des ans le pluralisme politique. L’ouverture vers le monde extérieur se traduit notamment par les rapprochements avec les pays francophones de la région, intégrant, en 1985, la zone franc et l'Union douanière et économique de l'Afrique centrale (UDEAC) qui sortent quelque peu ce pays de son isolement.
Le vrai virage de la démocratisation du pays est amorcé dès 1992 et  poursuit son bonhomme de chemin avec une opposition politique qui se cherche encore désespérément de repères. Dominée par l’A.P.D.G.E, au finish  la vie politique pour s’équilibrer nécessite encore la consolidation de la société civile locale et l’organisation de l’opposition politique qui ne se fait sentir qu’à l’approche des grands enjeux électoraux. Interrogé, le peuple soutient et désapprouve le fait que les opposants politiques passent beaucoup plus du temps à l’étranger qu’au pays et où ils sont sensés d’implanter leur base. Ce qui laissait présager déjà pendant la campagne la longueur d’avance du candidat Obiang sur ses challengers.
En effet, dès 1993, Obiang rétablit le pluralisme politique et organise les premières élections pluralistes malheureusement boycottées par les opposants politiques. Et comme à travers tous les autres pays d’Afrique tanguant sur les eaux de l’apprentissage de la démocratie et ployant sous le poids de la nébuleuse France-afrique et des ondes de choc de la guerre froide, la Guinée Equatoriale est passée par ce filet et pour parvenir enfin aux dernières présidentielles pluralistes d’avril 2016.
Tenue de la présidentielle d’avril 2016
Après une campagne présidentielle mouvementée en Guinée Equatoriale, le peuple guinée a pu enfin accomplir son devoir patriotique le dimanche 24 avril 2016 dernier. Huit candidats ont pu ainsi se présenter devant le peuple équato-guinéen pour solliciter son suffrage. Outre le président sortant Obiang qui se présente à sa propre succession pour son dernier mandat, des candidats indépendants  et ceux de l’opposition politique se sont présentés aux dernières présidentielles.
Face à une opposition défaitetiste et qui, curieusement criait déjà à la victoire aux présidentielles d’Obiang Nguema Mbasogo, avant même que les électeurs n’aient accomplis leur devoir civique et avant même que la Commission nationale électorale n’ait rendu  le verdict   des urnes,  c’est le contraire qui pouvait étonner ! Sur terrain, il a été surprenant de constater  notamment que dans beaucoup de bureaux de vote, il n’y avait même pas une présence des témoins de certains candidats opposés à Obiang ! Pire, même les observateurs de la société civile locale ont brillé par leur absence. Ce constant malheureux fait par certaines missions d’observation internationale des élections laissait déjà présager la large victoire du PDGE et de son chef charismatique, Obiang Nguema Mbasogo dont la présence et la mobilisation était manifeste à travers tous les bureaux de vote.

Observateurs internationaux des Elections

                                                           


D'où les recommandations lors de rapports préliminaires de la plupart de missions d’observation internationales présentes en Guinée en vue de la nécessité du renforcement de capacités de la société civile et des partis politiques pour consolider les acquis du processus de la démocratisation de la Guinée Equatoriale. La démocratie est certes bonne, mais elle a ses préalables et sans lesquels elle ne peut valablement être vécue.
Depuis le jeudi 28 avril dernier, le président de la Commission électorale nationale a publié les résultats provisoires des élections présidentielles d’avril 2016. Le président sortant Obiang Nguema Mbasogo l’emporte haut la main et avec 93,7 % de voix de votants. Et en bon croyant, le président nouvellement élu pour un nouveau septennat a rendu grâce à son créateur en assistant en compagnie de son épouse, Constancia Mangue à une messe d’action de grâce.

                                                      Bureau de vote





Spéciale Présidentielles Guinée 2016 :

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Spéciale Présidentielles Guinée 2016 :
Le 24 avril 2016 dernier, les citoyens guinéens équato ont été appelés à se choisir un nouveau président pour la prochaine législature. Avec toutes les réformes républicaines initiées par le gouvernement du président sortant Obiang Nguema Mbasogo qui se présente pour un autre septennat, la démocratie a été effectivement rétablie et la course aux charges politiques ouvertes à tous les niveaux  à tout citoyen guinéen ayant atteint la majorité constitutionnelle.  Les longues pages noires de la répression politique  et les tristes souvenirs des années de la dictature de fee Macias Guema ont été tout bonnement versés dans les oubliettes de l’histoire. Sous Obiang Nguema Mbasogo, la culture démocratique est devenue une réalité politique dans ce pays autrefois célèbre par les années de dure oppression politique et de la réduction sous silence de toute velléité démocratique et d’opposition.
Pour assurer une meilleure transparence lors des élections présidentielles d’avril 2016 dernier, plusieurs missions d’observation internationale ont été invitées en République de Guinée Equatoriale. Et du côté de la société civile africaine, la Ligue des Electeurs de la  RD CONGO a été parmi les ONG retenues pour accompagner ce processus électoral. Le sérieux de ses actions et le professionnalisme de ses activistes dans les missions d’observation internationale antérieure ont pesé lourdement  sur la balance de décideurs nationaux et des autorités compétentes chargées de l’organisation du processus électoral qui leur ont établi le précieux sésame pour l’observation des présidentielles guinéennes 2016.

  


Conduite par son président, Paul Nsapu,  la délégation de la Ligue des Electeurs a aligné des observateurs internationaux venus de plusieurs horizons, notamment de la France, de la Belgique, de la Grande Bretagne, du Cameroun, du Burkina Fasso, de la rd CONGO et du Sénégal.  Pour la compétence africaine, il faut retenir que cette intervention de la Ligue des électeurs est une expérience enrichissante car, davantage l’expertise africaine s’affirme au fil des ans en matière d’observation des élections. Interrogé, Paul Nsapu affirme sa détermination à aider les pays africains à renforcer au mieux les capacités en matière de bonne gouvernance, de la démocratie et de la tenue des élections libres, démocratiques et transparentes. Ce qui permettra à moyen terme à offrir aux électeurs un standard acceptable en matière électorale et ne plus continuer à dépendre complaisamment de missions d’observation traditionnelle du Nord voyant tout en noir sur le continent africain.
Historique sur la Guinée Equatoriale
Pays d'Afrique de l'Ouest  situé dans le golfe de Guinée (océan Atlantique), la Guinée équatoriale, en espagnol Guinea Ecuatorial, est une ancienne colonie espagnole qui a été soumise, depuis son indépendance en 1968, à un régime dictatorial. Composée d'une partie continentale, le Mbini, et d'une partie insulaire, le Bioko, ses principaux voisins sont  le Cameroun et  le Gabon. Avec une superficie totale de 28 051 Km2 , la Guinée équatoriale  filtre les entrées sur son territoire national car elle dispose d’une faible démographie évaluée au tour de  865 895, soit moins d’un  millions d’habitants .Quelques années après la proclamation de son indépendance politique, une bonne frange de sa population a pris le chemin de l’exil pour se mettre à l’abri de la police politique. En effet, dès la tenue des premières élections présidentielles et législatives  en août 1968  et remportées par Francisco Macias Nguema, un Fang du Río Muni qui a instauré une dictature sanguinaire sans précédent, plusieurs citoyens guinéens ont perdu leur vie dans les geôles politiques si pas réduits au silence. Elu à la tête du pays aux termes des scrutins contestés,  il proclame l'indépendance quelques deux mois plus tard, soit  le 12 octobre 1968. Dès 1970, Macias Nguema instaure un régime politique de parti unique et se fait introniser en 1972 président à vie. La cruauté de son régime politique pousse plus de 100 000 équato à s’exiler vers le Gabon et le Cameroun. Ceux qui restent au pays sont contraints au silence. Des assassinats massifs de contestataires et opposants politiques du régime politique sont signalés et poussent la communauté internationale à envisager la cessation de l’aide au développement.
Macias Nguema

 

   
En 1979, la cruauté du régime politique de Macias Nguema est présente dans tous les débats à travers le monde du reste consterné par la répétition des violations massives des droits de l’homme et des assassinats politiques.
C’est dans ces circonstances dramatiques que le colonel Teodoro Obiang Nguema Mbasogo vole au secours de son peuple et de sa nation. En effet, à la tête d’une révolution du palais, Il renverse le président Macias Nguema en pleine décence et rétabli l’autorité de l’Etat.
Agent de développement, Obiang Nguema Mbasogo change de cape et procède progressivement à de profondes restructurations de la vie politique, faisant face aux velléités de l’ancienne garde et nostalgiques du régime déchu. Dès que les conditions internes les permettent, il ouvre progressivement son pays au monde extérieur et instaure au fil des ans le pluralisme politique. L’ouverture vers le monde extérieur se traduit notamment par les rapprochements avec les pays francophones de la région, intégrant, en 1985, la zone franc et l'Union douanière et économique de l'Afrique centrale (UDEAC) qui sortent quelque peu ce pays de son isolement.
Le vrai virage de la démocratisation du pays est amorcé dès 1992 et  poursuit son bonhomme de chemin avec une opposition politique qui se cherche encore désespérément de repères. Dominée par l’A.P.D.G.E, au finish  la vie politique pour s’équilibrer nécessite encore la consolidation de la société civile locale et l’organisation de l’opposition politique qui ne se fait sentir qu’à l’approche des grands enjeux électoraux. Interrogé, le peuple soutient et désapprouve le fait que les opposants politiques passent beaucoup plus du temps à l’étranger qu’au pays et où ils sont sensés d’implanter leur base. Ce qui laissait présager déjà pendant la campagne la longueur d’avance du candidat Obiang sur ses challengers.
En effet, dès 1993, Obiang rétablit le pluralisme politique et organise les premières élections pluralistes malheureusement boycottées par les opposants politiques. Et comme à travers tous les autres pays d’Afrique tanguant sur les eaux de l’apprentissage de la démocratie et ployant sous le poids de la nébuleuse France-afrique et des ondes de choc de la guerre froide, la Guinée Equatoriale est passée par ce filet et pour parvenir enfin aux dernières présidentielles pluralistes d’avril 2016.
Tenue de la présidentielle d’avril 2016
Après une campagne présidentielle mouvementée en Guinée Equatoriale, le peuple guinée a pu enfin accomplir son devoir patriotique le dimanche 24 avril 2016 dernier. Huit candidats ont pu ainsi se présenter devant le peuple équato-guinéen pour solliciter son suffrage. Outre le président sortant Obiang qui se présente à sa propre succession pour son dernier mandat, des candidats indépendants  et ceux de l’opposition politique se sont présentés aux dernières présidentielles.
Face à une opposition défaitetiste et qui, curieusement criait déjà à la victoire aux présidentielles d’Obiang Nguema Mbasogo, avant même que les électeurs n’aient accomplis leur devoir civique et avant même que la Commission nationale électorale n’ait rendu  le verdict   des urnes,  c’est le contraire qui pouvait étonner ! Sur terrain, il a été surprenant de constater  notamment que dans beaucoup de bureaux de vote, il n’y avait même pas une présence des témoins de certains candidats opposés à Obiang ! Pire, même les observateurs de la société civile locale ont brillé par leur absence. Ce constant malheureux fait par certaines missions d’observation internationale des élections laissait déjà présager la large victoire du PDGE et de son chef charismatique, Obiang Nguema Mbasogo dont la présence et la mobilisation était manifeste à travers tous les bureaux de vote.

Président Obiang Nguema MBASOGO

 

 D’où les recommandations lors de rapports préliminaires de la plupart de missions d’observation internationales présentes en Guinée en vue de la nécessité du renforcement de capacités de la société civile et des partis politiques pour consolider les acquis du processus de la démocratisation de la Guinée Equatoriale. La démocratie est certes bonne, mais elle a ses préalables et sans lesquels elle ne peut valablement être vécue.
Depuis le jeudi 28 avril dernier, le président de la Commission électorale nationale a publié les résultats provisoires des élections présidentielles d’avril 2016. Le président sortant Obiang Nguema Mbasogo l’emporte haut la main et avec 93,7 % de voix de votants. Et en bon croyant, le président nouvellement élu pour un nouveau septennat a rendu grâce à son créateur en assistant en compagnie de son épouse, Constancia Mangue à une messe d’action de grâce.
  
                                                                                             
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Didier Reynders explique pourquoi il a du menacer Kalev, Kanyama et Kabila durant son séjour à Kin YOUTUBE.COM

Hommage à Papa Wemba : remise en cause

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OPINION
SHUNGU WEMBADIO PENE KIKUMBA Jules, dit Papa Wemba
élevé au rang d'Héros National, j'ai honte !
J'ai honte, non pas parce que papa Wemba n'a pas été à la hauteur en tant qu'icone de la musique congolaise et africaine, mais parce que je n'ai pu trouvé LE MÉRITE qui lui conférerait ce titre.
Pape de la SAPE, il l'était
Roi de la Rumba congolaise, il l'était (même si c'est discutable car les goûts et les couleurs ne font l'unanimité)
Père des fioti-fioti et des gnon-gnons, il l'était
Créateur des Shégués, il l'a brillament été
Michael Jackson, le ROI de la musique universelle, jamais égalé à n'importe quelle génération de n'importe quelle nation au monde, qui a dépensé plus que n'importe quel musicien congolais pour ses vêtements coûteux, n'a jamais été décoré aux Etats-Unis à un quelconque ordre.
Bob Marley, tout comme Michael Jackson, n'a jamais non plus connu cet honneur. Est-ce parce qu'ils n'étaient pas grands, eux ? Du tout ! du tout !!! Ils ont été beaucoup plus grands que ce que nous avons eu jusque là !
N'y a-t-il pas un autre ordre qui conviendrait à des gens qui auront marqué leur époque comme l'a si bien fait le vieux Bokul ? Par exemple, l'ordre national des léopards ?
Pourquoi avons-nous avili ce rang d'Héros national ? pourquoi l'avons-nous ramené si bas ? Ou, n'en n'avons peut-être pas bien compris le sens ?
Napoléon Bonaparte chez les Français, Abraham Lincoln chez les américains, Papa Wemba chez les congolais !
Pauvres de nous !
Pauvre de moi !

ACTU Radio OKAPI

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Crise congolaise et Dialogue : Kodjo se radicalise sur instructions de Mme Zuma !

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POLITIQUE 5 MAI 2016

Crise congolaise et Dialogue : Kodjo se radicalise sur instructions de Mme Zuma !

On ne le répétera jamais assez : la Communauté internationale met tout en œuvre pour que le spectre du Burundi ne contamine pas la Rdc.
Nous l’avons écrit dans plusieurs éditions. Pour l’instant, cette Communauté internationale préfère suivre en spectateur moins engagé la crise politique au Congo-Kinshasa. Mais incidemment, nous révélons qu’en cas d’alerte rouge, l’Onu, l’UE, l’UA et les USA n’hésiteraient pas à passer à la méthode forte. A la mise au pas de la classe politique congolaise comme ce fut le cas à Sun City. 
Consigne
Eh bien, il faut dire que Kodjo vient de lancer la première alerte. Elle n’est pas encore rouge. Elle est simplement verte. En effet, devant l’impasse frappant le processus du Dialogue, le Facilitateur a fait savoir que l’on court vers un grand risque.
Informée de l’alerte, Madame Zuma l’a aussi relayée à un niveau plus élevé. Des sources parlent du Secrétariat général des Nations Unies. 
Il ne faut pas oublier que pour la gestion de la crise congolaise, ces dernières se sont complètement déchargées sur l’Union africaine. Avec la consigne ferme de l’obligation des résultats. 
Piégée
Prenant ainsi toute la mesure de la situation, la brain trust de l’Union africaine a décidé de faire passer le processus du Dialogue à la vitesse supérieure. Des recoupements en notre possession indiquent que Kodjo a pour mission, de retour d’Addis-Abeba, d’imposer pratiquement le Comité préparatoire du Dialogue. 
La stratégie choisie semble celle de valider les listes de la Majorité, où il ne se pose aucun problème, ainsi que celle de l’Udps. Ainsi, le Comité préparatoire peut théoriquement être réputé fonctionnel. 
Ainsi, toutes les difficultés et réclamations seront versées à la compétence de ce Comité comme les revendications de l’Udps sur sa feuille de route en rapport avec le Dialogue. 
L’Union africaine voudrait proposer à Etienne Tshisekedi de tenter le premier test de consensus au niveau du Comité préparatoire sur la question. Viendra ensuite l’examen des plaintes des autres courants de l’Opposition. 
On reste convaincu, au niveau de l’UA, qu’il faut que quelque chose démarre à tout prix entre la Majorité et l’Udps. Quelle que soit l’ampleur de la flamme qui va ainsi prendre, cette dernière aura un effet d’entraînement. 
Ici, l’on voudrait imposer l’expérience de responsabiliser totalement la classe politique congolaise dans la recherche de la solution à la crise congolaise. De ce point de vue le facilitateur de l’UA estime s’être laissé piéger par Tshisekedi et ses troupes. Il n’est pas question de demander à ce dernier de trancher sur des questions devant relever du Comité préparatoire. Si elle réussit cette manœuvre permettra d’imputer le succès où l’échec du Dialogue aux représentants de la classe politique qui feront partie du Comité préparatoire.
Par LP

L’ambassade des usa à Kinshasa préoccupée par les fausses allégations contre Moise katumbi et l’Américain Darryl Lewis

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AMBASSADE DES ETATS-UNIS
KINSHASA.CONGO
Date: Le 5 mai 2016
De: La Section des Affaires Publiques
Email: KinshasaPress@state.gov
Site Internet: http://kinshasa.usembassy.gov
Sujet: L’ambassade des Etats-Unis à Kinshasa préoccupée par les fausses allégation
L’ambassade des Etats-Unis est profondément préoccupée par les fausses allégations qui auraient été faites pendant la conférence de presse du Ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba, le 4 mai. Nous sommes au courant de la détention le 24 Avril d’un citoyen américain qui travaillait au Katanga comme conseiller en sécurité. M. Darryl Lewis n’était pas armé et les allégations selon lesquelles il était impliqué dans des activités mercenaires sont fausses. Nous comprenons qu’il travaille dans une société privée américaine qui fournit des services de consultation à des clients à travers le monde entier. Encore une fois, ces allégations qui auraient été faites sont fausses

RDC: "quatre étrangers", dont un Américain, arrêtés dimanche à Lubumbashi

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 © reuters.
Quatre étrangers, dont un Américain, proches de l'opposant Moïse Katumbi, ont été arrêtés dimanche lors d'une manifestation contre le pouvoir à Lubumbashi, puis transférés à Kinshasa, ont annoncé lundi les autorités congolaises. 

Dimanche, l'opposition avait programmé sur toute l'étendue de la République démocratique du Congo (RDC) des manifestations populaires en marge du 26ème anniversaire du processus de démocratisation dans le pays, lancé le 24 avril 1990 par le dictateur Mobutu Sese Seko, au pouvoir pendant 32 ans.

Une vingtaine de proches de Katumbi arrêtés
A Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga (sud-est), plusieurs centaines de manifestants qui accompagnaient l'ex-gouverneur Katumbi passé depuis septembre à l'opposition ont été dispersés par la police. 

Le chef provincial de la police avait alors indiqué qu'une vingtaine des "lieutenants" de Katumbi avaient été arrêtés. 

Lundi, le ministre des Médias, Lambert Mende Omalanga, a affrimé que "tous les Congolais ont été libérés".

En revanche, a-t-il dit à l'AFP sans vouloir citer nommément M. Katumbi, "la situation de quatre étrangers prétendument gardes du corps d'un acteur politique devant être tirée au clair, ils ont été transférés à Kinshasa". Un ressortissant américain figure parmi eux, a-t-il ajouté.

Katumbi, candidat?
M. Katumbi, 51 ans et grande figure du Katanga, est un probable candidat à la prochaine présidentielle. 

Populaire et charismatique, le richissime homme d'affaires est le président du prestigieux club de football Tout-Puissant Mazembe de Lubumbashi, triple vainqueur de la Ligue des champions d'Afrique.

Le climat politique est tendu depuis des mois dans le pays en raison de l'incertitude liée au très probable report de la présidentielle censée avoir lieu fin novembre.

L'opposition accuse M. Kabila, au pouvoir depuis 2001 et à qui la Constitution interdit de se représenter, de manoeuvrer pour se maintenir au pouvoir au-delà du terme de son mandat le 19 décembre.


    Lire aussi

    RDC: les forces de l'ordre tirent sur la foule à Kolwezi, au moins deux morts La présidentielle en RDC impossible à organiser dans les délais
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    Lors d’un point de presse hier à New York: John Kerry annonce une transition en Rdc

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    Le Département d’Etat a déclaré lundi que le Secrétaire d’Etat américain John Kerry a souligné qu’une transition pacifique en RDC permettrait au Président Joseph Kabila de cimenter son héritage. Lors de leur rencontre, Kerry a également souligné que les citoyens devraient être autorisés à parler librement, sans intimidation
    *Il a aussi insisté sur la nécessité des élections crédibles dans le délai en République démocratique du Congo. A l’en croire, les États-Unis sont prêt à être un partenaire à tous ceux qui se sont engagés pour des élections crédibles, dans le délai, comme le demande la Constitution de la RDC
    Des spéculations ont circulé à foison, au lendemain de la rencontre entre le Président Joseph Kabila Kabange et le Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, sans pour autant savoir de quoi il a été réellement question. C’était en marge de la signature d’un pacte climatique mondial à l’ONU, vendredi 22 avril courant. Et ce, pendant que celui-ci a parlé de manière claire et limpide, soutenant une transition en République démocratique du Congo.
    A en croire des sources dignes de foi, le Département d’Etat a déclaré lundi que le Secrétaire d’Etat américain John Kerry a souligné la nécessité des élections crédibles dans le délai en République démocratique du Congo, au cours d’une récente réunion avec le Président Joseph Kabila. « Le Secrétaire [d’Etat] a souligné que les États-Unis sont prêts à être un partenaire à tous ceux qui se sont engagés pour des élections crédibles, dans le délai, comme le demande la Constitution de la RDC », a déclaré le porte-parole du Département d’Etat John Kirby dans un point de presse.
    Ici, le Département d’Etat n’est pas sans ignorer que des difficultés réelles empêchent la Rd Congo de tenir les élections dans le respect de la Constitution. C’est le sens du dialogue politique national et inclusif convoqué par le Président de la République et qui débouchera sur une solution concertée sur le processus électoral au pays.
    « Le Secrétaire [d’Etat] a souligné qu’une transition pacifique en RDC permettrait au Président Kabila de cimenter son héritage », a ajouté Kirby. Lors de leur rencontre, Kerry a également souligné que les citoyens devraient être autorisés à parler librement, sans intimidation.
    Pour que le tout puisse se dérouler sans heurts, le Facilitateur international désigné par l’Union africaine, M. Edem Kodjo a besoin de la participation de tous les Congolais, de la Majorité au pouvoir, de l’Opposition politique, tout comme de la Société civile. Sinon, cette déclaration ne resterait qu’un vœu pieux.
    Soulignons qu’à la question d’un journaliste de savoir si John Kerry avait le sentiment que le Président Joseph Kabila allait modifier la Constitution pour se représenter, le porte-parole a répondu que « le Secrétaire a dit que nos attentes sont en termes d’un pays allant de l’avant, conformément à sa propre Constitution, qui appelle à des élections crédibles qui, encore une fois, permettront à tous les Congolais de voter, en jouissant de tous ces droits d’expression et de liberté ».
    Selon certains observateurs, la transition démocratique (qui correspond à une période de passation de pouvoir entre l’actuel président et son successeur) serait de 18 mois.
    Il vous souviendra que c’est des Etats-Unis d’Amérique que le président de la CENI, M. Corneille Nangaa avait choisi de lancer l’idée de solliciter une [petite] rallonge à la Cour constitutionnelle, pour l’organisation des élections. Et c’est du même pays que nous parviennent les échos d’une transition apaisée. Tout ceci est le signe que le cri de la Rd Congo a été entendu par la communauté internationale et que les yeux restent rivés sur le dialogue, lequel aura pour vocation de décider ce que sera la suite du processus électoral.
    (JMNK)
    ______________________

    Le contenu de cet article du journal (l’Avenir Quotidien) ci-dessous proche de J. Kabila a été démenti avec force par les États-Unis d’Amérique immédiatement ! L’Avenir véhicule des mensonges en faveur du pouvoir aux abois et ne sachant pas où donnéla tête !

    Bref pour 2016 : les USA n'ont jamais soutenu l'idée d'une Transition au Congo.

    Voici le démenti Américain qui n’a pas tardé :

    « […] Les Etats unis, à travers leur ambassade à Kinshasa, ont clarifié leur position sur un « prétendu » soutien à une transition politique en RDC.

    « Suite aux appels que nous avons reçu relativement au prétendu soutien des Etats-Unis à une transition politique en RDC, la section presse de l’ambassade a jugé utile de traduire ce que John Kirby, Porte-parole du Département d’Etat, a déclaré à l’égard de la rencontre récente entre le Secrétaire d’Etat John Kerry et le Président Kabila.  M. Kirby a fait cette déclaration dans le cadre du briefing de presse quotidien qu’il anime à Washington », souligne la mise au point de l’ambassade.

    « Un média congolais a apparemment mal traduit la phrase peaceful transition in the DRC, qui signifie, en l’occurrence, transfert pacifique [de pouvoir] en RDC» et non pas transition [politique] pacifique en RDC.  En outre, nulle mention n’est faite d’une possible transition de 18 mois. »

    Voici la traduction officielle de ce briefing de John Kirby à Washington envoyée par l’ambassade des USA.

    QUESTION: Je me demandais si le Secrétaire d’Etat a discuté avec le Président Kabila le cas de figure selon lequel il resterait au pouvoir pendant un autre mandat et si cela a été évoqué en fait et qu’est-ce que Kabila lui a dit.

    1. KIRBY: Eh bien, ce que je peux vous dire est qu’ils—reconnaissant que la RDC se dirige vers un changement historique, le Secrétaire d’Etat a souligné que les Etats-Unis sont disposés à agir en partenaire à l’égard de tous ceux qui témoignent de leur attachement à l’organisation d’élections crédibles dans les délais comme l’exige la constitution de la RDC. Il a aussi souligné que l’avenir de la RDC doit être façonné par le peuple congolais, qui a le droit de se rassembler et de s’exprimer en étant libre de toute intimidation. La discussion a porté sur le processus électoral en RDC et, franchement, sur le rôle joué par le Président Kabila et sa famille politique en ce qui concerne l’établissement de la RDC en tant que démocratie constitutionnelle forte. Et encore une fois, le Secrétaire d’Etat a souligné qu’un transfert pacifique de pouvoir en RDC permettra au Président Kabila de consolider son héritage [politique].

    QUESTION : Le Secrétaire d’Etat a-t-il eu l’impression que le président s’oriente vers un maintien au pouvoir dans le cadre d’un autre mandat ?

    1. KIRBY: Encore une fois, je ne  voudrais pas parler en particulier de ce que le Président Kabila a pu dire pendant la discussion. Je ne peux rapporter que ce que le Secrétaire d’Etat a dit, qui est—il a été clair sur nos attentes, relativement à ce que ce pays aille de l’avant dans le respect de sa propre constitution, qui exige des élections crédibles qui fassent en sorte que les voix et les votes de tous les Congolais soient pris en compte. Et je pense que j’en resterai là. »

    RDC: le ministre de la Justice ordonne une enquête sur le «recrutement de mercenaires» étrangers «au service» de l’opposant Moïse Katumbi

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    tambwe mwamba« J’ai donné injonction au PGR (Procureur général de la République, ndlr) d’ouvrir un dossier judiciaire dans l’ex-province du Katanga (…) Nous avons la preuve documentée que plusieurs anciens militaires américains qui se trouvent actuellement au Katanga sont au service de M. Katumbi », a déclaré à la presse à Kinshasa, le ministre congolais de la Justice Alexis Thambwe Mwamba.

    le dernier message de Papa Wemba

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    Voici le dernier message de Papa Wemba, lors de sa dernière prestation, portant toujours très haut sa mère-patrie, son Congo natal qu'il avait toujours bercé dans son cœur. Il est tombé portant l'étendard de son pays comme ambassadeur de la culture congolaise.


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