

Le président des Fonus vient d’exprimer ses inquiétudes contre la désignation de Léon Kengo, en qualité d’autorité morale de l’opposition par une frange des acteurs politiques à Fatima regroupés au sein d’une plateforme dénommée, « Opposition républicaine »
A l’annonce imminente de la mise en place du gouvernement de cohésion nationale, a laissé entendre Olenghankoyi, Kengo passe pour le faiseur des rois dans cette nouvelle plateforme pour quiconque voudrait devenir ministre ou mandataire public.
Face à ce retour en force de l’homme de la rigueur qui rappelle les années Mobutu, Olenghankoyi est finalement sorti du bois pour lui dénier la qualité d’autorité morale de l’opposition.
L’enfant terrible de l’Union Sacrée de l’Opposition radicale (Usoral) de l’époque de la Conférence nationale souveraine affirme dans un entretien avec Le Phare que suite à son passé politique, le co-président des Concertations nationales ne peut prétendre être le chef de file de l’opposition.
Olenghankoyi a indiqué que Léon Kengo qui a battu le record de présence au fauteuil de Premier ministre sous l’ère Mobutu, s’est distingué par une gestion qu’il qualifie de calamiteuse.
Dans un coup de gueule qui lui est propre, le président des Fonus soutient que le peuple congolais garde de mauvais souvenirs de ce cacique mobutiste qui, selon lui, est à la base de la fuite des cerveaux dans le pays, durant son règne et n’a rien laissé de concret à son actif. Pas autant que Lunda Bululu qui nous a légué un pont sur l’avenue Kasa-vubu, entre Bandalungwa et Kintambo, clame-t-il.
A ce sujet, il a rappelé le cas de son retour mouvementé à Kinshasa, après un long exil en Occident. Son cortège, a fait observer Olenghankoyi, a été caillassé sur le boulevard Lumumba tout au long de son passage dans le district de Tshangu.
L’interlocuteur du Phare s’est dit convaincu que le président du Sénat vend de l’illusion en promettant des postes ministériels et de mandataires publics à certains acteurs de sa nouvelle plate-forme.
A ces opportunistes qui continuent à faire confiance à Kengo, il leur promet des sueurs froides à la publication du gouvernement de cohésion nationale. La déception sera totale.
Concernant le poste d’autorité morale de l’opposition, le président des Fonus persiste et signe que pour lui, seul Tshisekedi qui a consacré sa vie à la lutte pour la démocratie et le bonheur du peuple congolais, répond au profil et demeure jusqu’à preuve du contraire, le leader idéal.
Olenghankoy dit attendre que la majorité agrée Kengo comme autorité morale de l’opposition pour pouvoir déclencher les hostilités.
Le président des Fonus qui juge le mariage Kabila -Kengo de contre nature, conseille aux Kabilistes de se méfier de cet animal politique qui ne manque pas d’agendas cachés dans ses alliances politiques, comme à l’époque de la plateforme URD pendant la longue transition mobutienne, en vue de récupérer le fauteuil de Premier ministre au détriment de l’élu de la Conférence Nationale Souveraine, Etienne Tshisekedi.
ERIC WEMBA
Face à ce retour en force de l’homme de la rigueur qui rappelle les années Mobutu, Olenghankoyi est finalement sorti du bois pour lui dénier la qualité d’autorité morale de l’opposition.
L’enfant terrible de l’Union Sacrée de l’Opposition radicale (Usoral) de l’époque de la Conférence nationale souveraine affirme dans un entretien avec Le Phare que suite à son passé politique, le co-président des Concertations nationales ne peut prétendre être le chef de file de l’opposition.
Olenghankoyi a indiqué que Léon Kengo qui a battu le record de présence au fauteuil de Premier ministre sous l’ère Mobutu, s’est distingué par une gestion qu’il qualifie de calamiteuse.
Dans un coup de gueule qui lui est propre, le président des Fonus soutient que le peuple congolais garde de mauvais souvenirs de ce cacique mobutiste qui, selon lui, est à la base de la fuite des cerveaux dans le pays, durant son règne et n’a rien laissé de concret à son actif. Pas autant que Lunda Bululu qui nous a légué un pont sur l’avenue Kasa-vubu, entre Bandalungwa et Kintambo, clame-t-il.
A ce sujet, il a rappelé le cas de son retour mouvementé à Kinshasa, après un long exil en Occident. Son cortège, a fait observer Olenghankoyi, a été caillassé sur le boulevard Lumumba tout au long de son passage dans le district de Tshangu.
L’interlocuteur du Phare s’est dit convaincu que le président du Sénat vend de l’illusion en promettant des postes ministériels et de mandataires publics à certains acteurs de sa nouvelle plate-forme.
A ces opportunistes qui continuent à faire confiance à Kengo, il leur promet des sueurs froides à la publication du gouvernement de cohésion nationale. La déception sera totale.
Concernant le poste d’autorité morale de l’opposition, le président des Fonus persiste et signe que pour lui, seul Tshisekedi qui a consacré sa vie à la lutte pour la démocratie et le bonheur du peuple congolais, répond au profil et demeure jusqu’à preuve du contraire, le leader idéal.
Olenghankoy dit attendre que la majorité agrée Kengo comme autorité morale de l’opposition pour pouvoir déclencher les hostilités.
Le président des Fonus qui juge le mariage Kabila -Kengo de contre nature, conseille aux Kabilistes de se méfier de cet animal politique qui ne manque pas d’agendas cachés dans ses alliances politiques, comme à l’époque de la plateforme URD pendant la longue transition mobutienne, en vue de récupérer le fauteuil de Premier ministre au détriment de l’élu de la Conférence Nationale Souveraine, Etienne Tshisekedi.
ERIC WEMBA