Le dialogue inter congolais, quid?

IL N’Y A QU’UNE SEULE REPUBLIQUE : LA REPUBLIQUE

DEMOCRATIQUE DU CONGO

John Valentin Kings, toujours na cadre ya ko sepelisa yo :

SEKA MOKE BALULA YO :

La cohésion nationale doit passer d'abord par le respect total de la volonté

du peuple,pas autres choses.Le reste c'est de la distraction et idioties

Tshisekedistes contre les peuples Congolais.

Alias Tshisekedi et alliés se trouvent aujourd'hui en difficulté totale vis

à vis de leurs débacles électorales et font face à la résistance des peuples

Congolais qui disent NON à

alias Tshisekedi.Ceci prouve une fois de plus leurs defaites aux élections

du 28 Novembre 2011

Alias

Tshisekedi est l'un des complices des errements de notre pays, présent sur

la scène politique depuis 1960 jusqu'à présent, il se bat contre des

fantômes afin de déstabiliser la RDC et porter atteinte à la vie du peuple

Congolais.

Tout le monde a vécu ce qui suit:Alias Tshisekedi et alliés ont

intimidé,craché et laisser mourir la population.

Alias Tshisekedi est connu dans ses mobilisations qui conduisent toujours

mort d'homme avec la complicité de son ancien allié pour réduire au silence

les attentes du

peuple Congolais.

Il faut être aveugle,fou,sans tête,criminel et allié du fraudeur et criminel

alias Tshisekedi pour accepter de se rallier derrière lui.La place de alias

Tshisekedi se trouve dans une maison de retraite où il pourra se reposer et

être pris en charge par une équipe medicale.

Le pouvoir appartient au peuple.

La Démocratie = Respect de la volonté du peuple,pas autres choses.C'est par

là où viendra la vraie cohésion nationale au Congo.

Aimons réellement la RDC

         NSEKA EKILA Clarisse

         Kinshasa - RDC

________________________________

De : John Kings <joh_4peace@yahoo.com>

À : "congocitizen@yahoogroups.ca" <congocitizen@yahoogroups.ca>; damas

bameni <lecridesopprimes@yahoogroupes.fr>; allemagne diaspora

<diasporacongolaise-allemagne@googlegroups.com>; La Diaspora Congolaise de

la Belgique <diasporacongolaisedelabelgique@groups.facebook.com>; BSC

<congovirtuel@yahoogroupes.fr>; yvon ramazani <yramazani@yahoo.fr>;

"samybosongo@yahoo.fr" <samybosongo@yahoo.fr>; "colette.braeckman@lesoir.be"

<colette.braeckman@lesoir.be>; BSC <congovirtuel@yahoogroupes.fr>; julien

afata <julienafata@yahoo.fr>; "debout_congolais1@yahoo.fr"

<debout_congolais1@yahoo.fr>

Envoyé le : Mardi 19 février 2013 18h16

Objet : [congocitizen] Re:  Le dialogue inter congolais, quid?

La cohésion nationale doit passer d'abord par le respect total de la volonté

du peuple,pas autres choses.Le reste c'est de la distraction et crimes

Kabilistes contre les peuples Congolais.

Alias Kabila et alliés se trouvent aujourd'hui en difficulté totale vis à

vis de leurs fraudes électorales et font face à la resistance des peuples

Congolais qui disent NON à alias Kabila.Ceci prouve une fois de plus leurs

defaites aux élections du 28 Novembre 2011

Alias Kabila est l'un des créateurs des conflits armés au Kivu en

particulier et au Congo en général depuis 1996 jusqu'à présent pour des

raisons criminelles contre la RDC et contre la vie du peuple Congolais.

Tout le monde a vecu ce qui suit:Alias Kabila et alliés ont intimidé,craché

et tué la population avant,pendant et après les élections du 28 Novembre

2011,usé la voie des corruptions,fraudes et forces(milices armés et chars de

combat partout au pays) avec la complicité de la CENI et CSJ pour volé la

victoire du peuple Congolais.

Il faut être aveugle,fou,sans tête,criminel et allié de fraudeur et criminel

alias Kabila pour accepter de se rallier derrière lui.La place de alias

Kabila se trouve en prison en vie où il sera pendu publiquement devant les

peuple Congolais.Le pouvoir appartient au peuple.

La Démocratie = Respect de la volonté du peuple,pas autres choses.C'est par

là où viendra la vraie cohésion nationale au Congo.

DEBOUT CONGOLAIS.LA LUTTA CONTINUA.LE PEUPLE D'ABORD.

John Banga Kings

The Voice of Congolese People.

SAUTI YA WA CONGOMANI.

________________________________

From: yvon ramazani <yramazani@yahoo.fr>

To: damas bameni <lecridesopprimes@yahoogroupes.fr>; allemagne diaspora

<diasporacongolaise-allemagne@googlegroups.com>; La Diaspora Congolaise de

la Belgique <diasporacongolaisedelabelgique@groups.facebook.com>; BSC

<congovirtuel@yahoogroupes.fr>; congocitizen <congocitizen@yahoogroups.ca>

Sent: Tuesday, February 19, 2013 8:04:55 AM

Subject: [congocitizen] Le dialogue inter congolais, quid?

Lu pour vous!

Yvon Ramazani

L’intelligence du dialogue inter congolais.

Depuis

que le Chef de l’Etat, dans son adresse à la nation à l’occasion  des

festivités de fin d’année, a exprimé sa

volonté d’organiser un dialogue national ou inter congolais pour promouvoir

la cohésion

nationale ou la consolider, il s’observe dans la classe politique

congolaise,

toutes tendances confondues, des réactions diverses.

Les

politiques de l’école de la majorité abondent dans le sens du Chef de

l’Etat,

qui est peut-être la conséquence de notre nationalité congolaise commune et

qui

veut que, face aux agressions à répétition dont notre pays est victime de

la

part du Rwanda et de l’Ouganda, tous les Congolais aient la vraie

perspective

de cette guerre de sorte que chacun d’eux se

sente concerné ou interpellé par la nécessité d’offrir sa contribution à la

jugulation de cet état des choses pour le bien de la RDC afin que le

programme

national d‘émergence ait l’opportunité de prendre corps. Par contre, de

l’opposition

congolaise, émanent des voix variées et assez discordantes les unes par

rapport

aux autres. L’Udps est catégorique et ne reconnaît pas au chef de l’Etat la

légitimité d’organiser de telles assises (ndlr :

http://radiookapi.net/actualite/2013/02/18/dialogue-national-la-troisieme-voie-demande-au-prealable-une-rencontre-entre-kabila-tshisekedi/),

l’UNC de Vital Kamerhe et le MLC ne rejettent pas cette idée mais proposent

des

schémas compliqués et des formules lourdes quant à leur effectivité.

Cette

situation a induit chez les analystes plusieurs interrogations délicates.

Les

uns s’interrogent sur le contenu même ou la connotation qu’il faut donner à

ce

dialogue ou ces assises. Et ils ont raison de le faire parce que par

exemple

pour l’UDPS qui croit que son leader a gagné la présidentielle du 28

novembre,

assister à un tel dialogue ou permettre qu’il ait lieu serait donner la

légitimité à Kabila car selon l’UDPS seul un Président légitime peut se

permettre une telle initiative. Ce qui pose tous les problèmes connexes à

la

dernière présidentielle et dont le débat, même s’il a été clos et n’a pas

donné

raison à Etienne Tshisekedi, est toujours exalté par son parti.

Certains

des analystes s’en tiennent aux schémas protocolaires de ces assises qui

divergent selon les partis de l’opposition voire des leaders d’opinion. Le

MLC,

par exemple, a proposé un schéma à plusieurs points où il est question de

faire

intervenir même des étrangers.

Les signes avant-coureurs

Les

contestations nées de l’issue des élections couplées du 28 novembre 2011.

Beaucoup d’analystes avaient déjà démontré que, suite à l’incapacité de

l’opposition

à s’entendre pour sortir par consensus un candidat unique à opposer à

Kabila

pour que le tour unique de la présidentielle  produise les effets du

deuxième tour de la présidentielle

à deux tours où seuls les deux premiers candidats proclamés ayant eu les

meilleurs suffrages au premier tour s’affrontent, la voie était dégagée pour

l’échec

de l’opposition dont certains candidats préparaient, non plus la

présidentielle,

mais les contestations. Etienne Tshisekedi même s’était autoproclamé

Président

élu de la RDC avant même la tenue de la présidentielle se basant sur ses

raisons

à lui seul. Finalement l’échec de l’opposition étant consommé, ses ténors

comme

Tshisekedi, Mbusa Nyamwisi et Vital Kamerhe se sont lancés dans la

contestation.

De tous les débats réalisés à ce sujet, beaucoup ont estimé utile

l’organisation

d’un dialogue entre ces politiques pour mettre fin à la « crise »

postélectorale.

Puis, avec la faveur du début de la guerre du M23, l’idée de ce dialogue a

clairement vu le jour et a pris une autre ampleur avec l’adresse à la nation

du

Chef de l’Etat à l’occasion des festivités marquant la fin de l’année 2012.

Comme si les opposants n’attendaient que ça ou n’agissaient que pour pousser

le

Chef de l’Etat à ça, nombreux ont tôt fait de proposer leur analyse ou leur

optique de ce dialogue.

Que devons-nous

attendre de ce dialogue ?

A

bien voir les choses, la nécessité du dialogue se justifie par l’amplitude

du

complot contre la RDC et du fait que, nonobstant l’établissement du soutien

ougando-rwandais

au M23, le Conseil de sécurité des Nations unies ne votait aucune sanction

contre l’Ouganda et le Rwanda. Notre système de sécurité était infiltré si

bien

que la victoire militaire semblait compromise. Puisque les efforts

diplomatiques

se heurtaient au complot de ceux qui sont juges et parties dans la guerre de

l’est

de la RDC et que la voie politique risquait de se solder en une situation où

on

conclurait encore des accords comme du celui du 23 mars qui ne favorisait

en

rien la RDC, il s’est avéré plus que nécessaire de recourir à une victoire

militaire. Pour ce, il a été entrepris d’enrôler des jeunes de 18 à 25 ans

dans

l’armée, ce à quoi  se sont opposés les

opposants qui pensent que leur salut est dans le malheur de Kabila via le

fiasco à cette guerre dont les animateurs sont aussi des opposants comme

Roger

Lumbala, Mbusa Nyamwisi et d’autres qui opèrent dans l’ombre. Les causes

même

de la guerre ne sont pas circonscrites de la même façon par tous les

Congolais,

les opposants faisant circuler des bruits comme quoi la guerre de l’est est

un

artifice de Kabila et de ses paires ougando-rwandais pour s’imposer en

sauveur

au Congo. Un bobard que même la composition du M23 ainsi que ses

revendications

réfutent.

Dans

cette atmosphère de cohue savamment entretenue par l’opposition et qui a

pour

effet de démotiver les forces vives de la nation, dans cette diversion

subtilement réalisée par l’opposition alors qu’elle est aussi composée de

Congolais, il était plus qu’important qu’après des concertations et

échanges,

sortent des communiqués conjoints de l’opposition et du pouvoir expliquant à

l’opinion

nationale ce qu’il en est de la guerre de l’est pour que le peuple

s’approprie

cette guerre afin que la victoire militaire qui doit définitivement

dissuader

nos ennemis de nous attaquer à répétition ait enfin lieu. Seul donc est

efficace face à ce complot international contre la RDC, un front national

uni

contre tous les artisans de l’effritement de la RDC et du vol génocidaire

de

ses ressources.

Mais

ne l’entendant pas de cette oreille, l’opposition congolaise pose des

conditions qui ne vont pas dans le sens du salut national tant qu’eux ne

seront

pas associés comme ils le veulent au pouvoir et exigent des choses qui

sortent

du cadre constitutionnel et qui préconisent le partage consensuel du

pouvoir

comme si les élections n’avaient jamais été organisées et que les

institutions

actuelles et leurs animateurs étaient illégitimes. Oui, le cycle électoral

doit

se poursuivre pour que nous ayons de nouveaux sénateurs, de nouveaux

députés

provinciaux et de nouveaux gouverneurs des provinces, mais est-ce ces

opérations seront possibles avec la guerre, l’occupation d’une partie du

territoire national, les efforts de guerre qui engloutissent de gros

moyens ?

La classe politique congolaise refuse donc d’entendre le dialogue inter

congolais dans le sens d’explication unique des causes de la guerre au

peuple,

de l’échec qui couronnera toute démarche diplomatique, les effets délétères

d’une

solution politique  qui fragiliserait à

jamais la RDC en l’exposant aux risques de balkanisation pour privilégier

les

intérêts singuliers. Un chantage contre le pouvoir en utilisant

l’épouvantail

de la réalité du M23 pour faire fléchir Kinshasa face aux visées d’une

opposition en mal du pouvoir !

Le danger qui

guette le pays

Ce

danger est tel que, si les politiques congolais ne conduisent pas à une

perception unique des causes de la guerre et de la nécessité de faire front

commun pour dissuader définitivement nos ennemis de nous attaquer, nos

ennemis

vont continuer à faire main basse sur nos richesses dans les zones conquises

du

pays et à y semer un sinistre humanitaire sans précédent au monde avec

probabilité d’amputation de quelques territoires à la RDC ! Ce qui ne va

pas aider à l’émergence ni même à l’amélioration tant réclamée du social

des

Congolais.

La guerre

contre tous les Congolais et pas seulement contre Kabila

Historiquement

même, la guerre pour la balkanisation du Congo ou pour piller

génocidairement

ses richesses n’a pas commencé avec Kabila. Dire et faire croire que c’est

la

guerre à Kabila, c’est mal percevoir ou faire comprendre la situation de la

RDC. Va-t-il falloir que la RDC subisse le sort du Soudan ? Va-t-il

falloir que le peuple congolais ne jouisse pas éternellement des richesses

de

son sol et de son sous-sol à son gré? Quiconque dirigera la RDC aura à

faire face aux mêmes problèmes, même s’il y aura quelques variations, car

c’est

contre l’intégrité territoriale de la RDC et la jouissance de ses richesses

par

ses enfants que les ennemis du Congo se lèvent. Le Congo a échappé aux

tentatives de balkanisation de son territoire par le passé parce que les

Congolais avaient fait front commun contre les agresseurs. Si aujourd’hui,

malgré nos diplômes et les expériences accumulées, nous ne savons pas

conjuguer

nos efforts pour faire échec aux ennemis et pour les dissuader de nous

attaquer

à l’avenir, nous n’aurons plus que nos yeux pour pleurer. Un appel aux bons

sentiments est encore lancé aux vrais Congolais pour qu’ils comprennent ceci

et

cessent la diversion et les chipoteries politiques afin que la RDC soit de

façon factuelle « eloko ya makasi » !

Samy

BOSONGO, le poète-essayiste