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| RDC: Washington demande à Kabila de ne pas se représenter en 2016 | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
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COMMENT MAINTENIR KABILA AU POVOIR?
Si vous n'aviez pas lu cet article, prenez votre temps pour le lire et comprendre a quel genre de people le Congo est en difficulte. Qu'on ne nous ne nous parle pas de la haine contre tel ou tel people. Qu'on ne nous parle pas de la jalousie ou de l'envie comme si le Congo, avec toutes ses potentialites, avait a envier un pays en Afrique!
Que ceux qui chantent cette chanson y compris celle du livre choix ou celle de la langue serree entre les dents pour ne pas diaboliser qui que ce soit pendant que le pays est en feu, meditent sur cet article qui met a nue les intentions belliqueuses et genocidaires d'un people. Ce meme people qui passé son temps a accuser les autres de genocidaires.
Lisez et faites lire pour la meilleure diffusion. Notre pays est en danger de disparition avec tous ses fils qui se sont acquoquines a un tel peuple contre les interets superieurs de leur nation.
- Plan A: Révision Constitutionelle par le parlement ou par voie référandaire. Pour y parvenir il nous faut utilser les assises de conserattions nationales avec trois grandes missions:
- Elargir la Majorité Présidentielle en récritant dans les rangs de l’opposition institutionelles. Mission confiée à Léon Kengo Wadondo l’homme mieux routinier en matière. Chose accomplie.
- Sortir un Gouvernement de soint disant “cohésion nationale” avec mission de faire élure le Président et les parlementaires provinciaux en 2015 par suffrages indirects. Missions confiée à Aubin Minaku et Léon Kengo soutenus par Evariste Boshab et Appolinaire Malu Malu avec sa feuille de route (pour les éléctions) qui sera sûrement approvée par ces parlementaires bidons. (http://www.voiceofcongo.net/a-procoki-les-proches-du-president-kabila-levent-loption-finale-de-reviser-larticle-220)
- Resserer les rangs de la majorité et alligner toutes les troupes derrière l’autorité morale et Président “fondeur” du PPRD. Mission confiée à Evariste Boshab, Aubin Minaku et les gouverneurs des Provinces.
- Préparer la conscience des Congolaises, Congolais et la Communauté Internationale à l’inévitable. Mission confiée au PPRD à travers Claude Mashala avec toute la presses de la Kabilie.
- Plan B: Faire élure le Président par le parlement au chuffrage indirect après que la feuille de route de Malu Malu sera approvée si jamais le plan A n’aboutisser jamais. (Chose qui semble être très dificile à accomplir comme on peut le voir). Mission qui sera confiée au future gouvernement de la cohésion nationale soutenu par le PPRD et le Parlement. C’est ici le focus et la grande révélation de notre note qui va suivre en bas.
- Plan C: Faire élire Olive Lembe di-Sita KABILA en 2016 sachant que rongée par la maladie, elle ne fera pas lonf feu avec le poids du travail et alors, le Raïs pour revenir sans problème majeur. (Suiver le lien ici: http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_elections/7244-lol-premiere-dame-rdc-candidate-presidentielle-2016-kabila-grands-lacs.html et le vidéo ici: http://video-streaming.orange.fr/femmes/sans-rival-parle-des-preuves-olive-lembe-kabila-sera-candidate-a-l-election-presidentielle-de-2016_18536703.html)
Comme le plan A semble être très difficile à faire avaler aux Congolais et aux decideurs du monde qui pressent tous les Présidents Africains en voie de sortie de bien préparer leurs départs après leurs mandants constitutionels, alors le plan B est vite mis en marche et dont l’extrait du recit est ci-dessous:
Avant son rapport devant le committé des Affaires Etrangères du Sénat Américain le 26, Février, 2014 et durant sa visite officielle au mois du même mois à Kinshasa, le Sénateur Américain, devenu envoyé spécial du Président Américain à la Region des Grand-Lacs, M. Russs Feingold, car c'est lui dont il s’agit ici, va assiter dans une réunion très secrète par l’invitation de l’Ambassadeur de son pays en RDC.
Cette réunion doublée d’un diner Présidentiel à ses invités de classe à savoir: L’Ambasseur Américain, l’Ambassadeur Russe, l’Ambassadeur de la France, l’Ambassadeur de la Chine, l’Ambassadeur de la Grande Bretangne, l’Ambassadeur de la Belgique et M. Russ Feingold invité de son Ambassadeur pour raison protocolaire et de politesse ceci avec permission de leur hôte.
Cette rencontre sera tenue avec la discrétion la plus stricte possible loin de la presse et des curieux indiscrets. La raison est très simple. Le Raïs a une enveloppe secrète à presenter à ses invités. Dans l’eveloppe contenait le secret du siècle de la politique de la RDC, à svoir: Le nom de l’oiseau rare qui devra remplacer Matata Mponyo à la tête du Gouvernement et qui va être le chef de l’Éxécutif dit de cohésion nationale avec pour mission accomplir le plan B. (Voir point b du plan A ci-haut).
À la stupefaction de ses hôtes, cet oiseau rare n’est autre que M. Azarias RUBERWA. Et si le plan B aboutissait, cette fois-ci, le Raïs sera secondé par un Vice-Président qui n’est autre que M. Léon Kengo Wa Dondo. Presentant le danger qu’une telle composition représentait devant le Congo et le monde, à la fois perplexe et stupéfait, l’envoyé special du Président Américain aux Grands Lacs s’engage poliment à une discussion un peu chaude avant d’en finir avec lui sechèment sur un ton sévère et avertissant:
- Monsieur le Président: Comment comptez-vous aboutir à l’objectif de la cohésion nationale avec un tel governement ayant à sa tête tous les noms qui semblent agasser les Congolais?Réponse du Raïs: Avec un ton doux et un peu ironique, le Raïs dit à son hôte sans vergone: Monsieur le Sénateur, mais c’est vous qui nous demandez la démocratie qui doit être soutenue par notre propre peuple et non avec les injoctions étragères.
- C’est vrai M. le Président. Mais avec de tels noms vous croyez vraiment aboutir à cet objectif? Est-ce que vous savez que les Congolais nous taxent nous les occidentaux de vous avoir imposé au pouvoir alors qu’ils vous considèrent etre Rwandais? La diaspora Congolaise me l’a dit aux Etats-Unis et en France. J’ai eu des coups des téléphones parfois discourtois et méchants de leur part jusqu’à nous qualifier des sponsors du génocide Congolais. Le Président Cliton et sa femme sont les plus receveurs de leur couroux et pour ce, ils ont du changer plusieurs fois leurs sites internets et à des fois, leurs contacts officiels. Est-ce que vous êtes au courant de cela M. le Président?Réponse du Raïs: De toutes les façons, ce sont vos Congolais de l’Etranger qui m’appellent Rwandais, pas ceux du pays ici.
- Monsieur le Président, votre réponse ne répond pas du tout aux questions que je vous pose et pire encore, elle semble ingnorer la gravité de votre demarche. C’est très grave M. le Président si pas irresponsable de votre part d’ignorer une telle réalité avec toutes ses conséquences néfastes. Une telle attitude me semble être suicidaire à mon avis monsieur le Président.Réponse du Raïs:Je respecte beaucoup votre point de vue mais toutes fois, je voudrais vous dire M. le Sénateur que nous ne répondons pas aux occidentaux.
- Alors très poliment mais avec un ton sec, le Sénateur réplique en ces termes: Lessez-moi vous dire ceci M. le Président: Je ne suis pas employe du Département d’État Américain et ni son Envoyé Spécial mais bien au contraire, je suis l’Envoyé Spécial du Président Américain et la première voie authorisée de ce dernier dans les pays des Grand-lacs; ainsi, je ne réponds pas à mon collègue John Kerry mais directement au Président lui même sans intermédiaire bien que mon bureau officiel se trouve au Département d’Etat et pas à la Maison Blanche. ( Une manière diplomatique de dire au Raïs de faire attention avec lui car il était aussi grand que son collegue John Kerry et que sa parole à l’oreille du Président OBAMA avait un poids considerable).Et donc, si vous voulez réellement savoir ce que pense le locataire de la Maison Blanche quand il s’agit de tous les Présidents de Grands-Lacs vous même y compris: Lui et nous, avions déjà commencé à vous conjuguer dans le passé et si quelque chose arrivait ici à Kinshasa avant 2016, nous fermerons les yeux. Et avec ça, il s’est excusé auprès de ses collègues et de son hôte et a pris congé de la réunion avec son enveloppe en mains.
Suite de tout ce qui précède et suite à la saisie du cable du plan Kagame et Museveni de créer un génocide Tutsi au Burundi comme nous l’indique l’article ci-dessous, cable saisie par les services de Nations-Unies dont Monsieur Feingold fera connaissance lors de son passage au Conseil de Sécurité de Nations-Unies déposant son rapport de sa mission comme prévu dans ses tâches avant son temoignage au Sénat Américain le 26 Février, 2014, les Etats-Unis et tous les grands decideurs du monde viennent de prendre une décision très ferme et non négotiable d’en finir avec ces regimes meurtriers et tortionaires avant que le pire n’arrive.
Toutes les batteries sont en marche et la suite nous en sorrons dans un avenir pas trop trop lointain. Ce qui est très vrai, est que nous devons tous nous préparer pour un grand changement dans la Région de Grands-Lacs et les 24 mois qui suivent seront très riches en couleur et en événements dans cette region à jamais turbulante. Que le Bon Dieu nous fasse vraiment grâce cette fois-ci en nous épargnant le pire.
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Un génocide se prépare au Burundi
Un génocide se prépare au Burundi
(13.04.2014, http://burundi.news.free.fr/actualites) Le Burundi a connu des périodes sombres. Plusieurs Burundais croyaient que la période était révolue. Ce qu’ils ont oublié, c’est que le fond du problème burundais est d’avoir, la richesse. Il y a ceux qui sont pressés pour arriver sur la table où se trouve le gâteau et ceux qui veulent à tout prix y arriver. Le CNDD-FDD a combattu le pouvoir en place après l’assassinat du Président Ndadaye afin de permettre l’arrivée à table de trois personnes qui ont partagé entr’eux ce gâteau. Le Président Nkurunziza, à tout seigneur tout honneur, prend le gros morceau du gâteau. Ce gâteau est composé par le budget de l’Etat, la corruption, les aides etc…. Ensuite viennent les généraux Adolphe Nshimirimana et Alain Guillaume Bunyoni. Les autres, j’ai nommé quelques cadres du parti, reçoivent des miettes pour qu’ils puissent glorifier les mangeurs à table.
Le futur conflit burundais tient à ces trois hommes qui ne veulent en aucun cas perdre ce gâteau. Comme un chien à côté de son morceau de viande, tout autre chien qui s’approche est mordu. Dans le cas actuel, les volontaires à la mangeoire sont nombreux. Le peuple aussi a faim et souffre. Il veut un changement. Il aura affaire à la force de nuisance de ces trois hommes. Ils ont sorti leur armada.
La milice Interahamwe, pardon Imbonerakure, au service des trois mangeurs
Cette milice a été armée et entraînée depuis la fin des élections de 2010. La première mission était de combattre, voire massacrer les militants du FNL de Rwasa. Avec la complicité de la police et certains éléments de l’armée, des dizaines de milliers de sympathisants du FNL ont été massacrés dans la plaine de l’Imbo.
Cette milice a un commandement unique nationale basée à la Documentation. Le patron de la Documentation est le seul patron de toute la milice. La police et certains officiers de l’armée donnent un coup de main pour la formation et l’armement de cette milice. Chaque responsable communal de la milice imbonerakure reçoit chaque mois une somme de 150 000 frs prélevée sur le budget de la Documentation.
Cette milice épaule l’armée lorsqu’elle intervient au Congo. Elle fait la chasse aussi aux opposants.
Aujourd’hui, le niveau d’équipement et d’entrainement fait craindre le pire et la mission semble de plus en plus inquiétant. Allons-nous assister à la politique de la terre brûlée?
Les trois mangeurs disent en privé qu’ils ne maîtrisent pas l’armée pour imposer une guerre civile aux opposants non armés. C’est cette milice alors qui aura cette tâche. Les opposants qui ne se soumettront pas auront un autre châtiment.
Les élections gagnées d’avance
Les accords d’Arusha stipulent que nul ne peut diriger le Burundi plus de 10 ans. Cela n’empêchera pas le Président Nkurunziza de se représenter pour un troisième mandat. Après le camouflet parlementaire version Niyoyankana, le Président Nkurunziza a renoncé au référendum. Il déposera sa candidature à la CENI et cette dernière soumettra la question à la cour constitutionnelle. Cette cour devra d’abord passer par la chambre de la Documentation pour qu’elle apprenne le droit versus CNDD-FDD. Elle devra dire le droit Es Nkurunziza, Alléluia!
Au CNDD-FDD, les élections de 2015 sont déjà gagnées une année avant les élections. Il reste à déterminer un pourcentage acceptable par l’opinion internationale. La CENI reconduite est celle qui a fait des miracles en transformant le score du FNL en score du CNDD-FDD.
Pour proclamer ces résultats avant la fin des dépouillements, il faudra prendre des précautions. Est-ce que la proclamation des résultats ressemblent à un avion abattu chez un voisin. Nous y reviendrons.
Un génocide au Burundi en 2015
Une milice imbonerakure est armée, formée. Cent miliciens viennent de rentrer d’une formation paramilitaire dans la RD Congo. Le conseil de sécurité des Nations Unies parle des distributions d’armes organisé par le G2 de l’armée.
Psychologiquement, cette milice est préparée. Elle a déjà goûté au sang. La radio Rema FM commence à jouer le rôle de la radio milles collines du Rwanda en 1994. Certains officiers de la police et de l’armée encadrent cette milice comme au Rwanda en 1994. Des avions ont débarqué des caisses de munitions et d’armes via le Soudan il y a plusieurs mois. Comme au Rwanda, des avions débarquaient les armes et machettes en présence de la Minuar.
Au Rwanda, le déclic a été l’avion du Président abattu. C’était le coup de signal. La préparation du génocide avait duré plus de deux ans. Au Burundi, elle durera plus de deux ans. Le signal est la proclamation des résultats. Si les élections sont très surveillées, les armes entreront en jeu. Au CNDD-FDD, ils mesurent la haine du peuple envers les dirigeants actuels. Au lieu de perdre, cette milice entrera en jeu pour des massacres des opposants, aussi des tutsi et des hutus de l’opposition . Dans le chaos, les élections seront soit annulées, soit la victoire changera de camp.
Les communicants du pouvoir ont beau démentir les rumeurs de l’armement des imbonerakure, mais les faits sont là. On ne peut pas armer une milice dans un pays qu’on dirige et qui a une armée et une police sans une mission de massacre généralisé.
Que fait le ministre de la défense, le lieutenant général Gaciyubwenge?
Le ministre de la Défense est complètement absent. Il fait la sourde oreille et refuse d’analyser les informations qui remontent de l’intérieur. Ses militaires se font tabasser par les imbonerakure, du jamais vu dans l’histoire de l’armée burundaise. La police reçoit des fois des ordres de la milice. L’armée baisse les yeux pour ne pas se heurter aux intérêts des imbonerakure.
Le ministre de la défense est en droit de demander aux militaires de désarmer toute personne armée sans autorisation. Or, ces miliciens armés se promènent le soir avec leurs armes et croisent des militaires.
Le ministre de la défense refuse de réagir car il veut garder son poste. Le jour où le génocide en préparation se déclenchera, il devra répondre aussi car certains de ses officiers participent à la distribution des armes. Les officiers anciens FAB observent dans l’inquiétude ce qui se passe. Pour détourner l’attention, les informations qui remontent font état d’un probable coup d’Etat. Ceci pour distraire au moment où les imbonerakure s’arment.
Le ministre de la défense vient de démentir la distribution des armes par certains officiers lors d’une conférence de presse. La question qui se pose est de savoir s’il est au courant de tout ce qui se passe dans son armée. Peut-il nous dire combien de camions militaires, jeeps et des militaires qui ont participé aux massacres des militants du FNL dans Bujumbura rural en 2010 et 2011? Peut-il nous dire combien de fois certains militaires sont entrés au Congo dans des unités mixtes Armée-Imbonerakure? Peut-il nous dire combien de militaires morts au Congo dans des combats contre des éléments armés? Peut-il nous dire ce qu’il fait des rapports qu’il reçoit sur cette milice Imbonerakure justement? Peut-il nous dire la main sur le cœur, parole d’officier, qu’il n’est pas conscient de ses mensonges lors de cette conférence de presse? Peu-il nous expliquer pourquoi il n’a pas réagi quand ses militaires se font tabasser par des imbonerakure?
La milice imbonerakure avec ses ramifications internationales
Cette milice ne constitue pas seulement un danger pour le Burundi mais aussi pour le Rwanda. En effet, par le biais des armes et de l’or, les deux généraux du pouvoir entretiennent des liens avec les FDLR. On ne saura pas finalement qui s’entraine au Burundi. Demain, imbonerakure et FDLR se battront ensemble. Pourquoi pas au Rwanda?
Certaines informations font état des manœuvres en vue de rapatrier des FDLR au Burundi. En effet, la force d’intervention des Nations Unies au Congo a déjà défait le M23. L’ADF venant de l’Ouganda est mise hors d’état de nuire. Il reste les FDLR. Les rebelles du FDLR ont choisi la stratégie d’évitement. Ils refusent le combat avec les forces des Nations Unies. Ils doivent migrer vers un autre pays dans la grande discrétion mais proche du Rwanda. Le gouvernement burundais chercherait des moyens pour faire rentrer des soi- disant burundais du Congo. Ces burundais pourraient être des rwandais. Les FDLR prendraient alors l’étiquette des imbonerakure. C’est l’équivalent du blanchiment de l’argent sale.
La situation serait alors explosive. Même l’armée burundaise serait incapable de combattre cette milice qui serait épaulée par une partie de la police et des services de renseignement.
Tous les ingrédients seraient réunis pour un génocide.
Les dégâts collatéraux en Somalie et en République centrafricaine
Plusieurs bataillons se trouvent en Somalie pour ramener la paix. Ces militaires burundais sont parmi les plus expérimentés sur le terrain. Ils ont apporté la sécurité à Mogadiscio. Si demain il y a des troubles ou un génocide, les militaires hutu et tutsi présents peuvent se battre entr’eux. Cette situation fragiliserait l’Amisom et les miliciens d’El Shabab pourraient en profiter pour reprendre le terrain perdu. La communauté internationale perdrait des centaines de millions de dollars dépensés en Somalie pour revenir à la situation du départ. En plus, aucune force ne pourra s’interposer entre les militaires burundais et en même temps défendre Mogadiscio.
Ce scénario vaut aussi pour la République Centrafricaine. Plus d’un bataillon burundais se trouve à Bangui. Des militaires bien disciplinés et appréciés. Un génocide au Burundi ne pourrait pas épargner cette unité.
La communauté internationale n’a pas réagi au Rwanda pour empêcher le génocide. 20 ans après, les mêmes signaux apparaissent au Burundi. Le conseil de sécurité a déjà mis en garde l’Etat burundais. Si Nkurunziza a mis en place cette milice, c’est qu’il sait qu’elle aura une mission précise pour qu’il se maintienne au pouvoir. A quel prix?
L’ancien Président Bagbo, un ami au Président Nkurunziza, avait choisi la voie des milices, aujourd’hui, il a perdu le pouvoir et dort en prison de la CPI en attendant la fin de son procès.
Par Gratien Rukindikiza
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CONGO EN MARCHE (LU POUR VOUS)
mercredi 2 avril 2014
Les mystérieuses offshores du «dir’ fin’» de Kabila
Les mystérieuses offshores du «dir’ fin’» de Kabila
Pendant que les soi-disants chantres de la Kabilie jouent aux nationalistes avec le regime de Kabila, ce dernier saigne a blanc le pays avec ses acolytes congolais les plus dangereux qui sont maintenant rompus dans l'art de trahison de leur pays en cette époque digitale. Cet etat risqué de durer longtemps si les Congolais ne reflechissent pas a l'avenir de leur pays. Appeles depuis longtemps a se serrer les coudes, les Congolais campent sur leurs positions de LIGABLOMANIE. Kabila parti - et il est en partance -, cela risqué d'etre tres difficile. Lisez attentivement cette livraison.
Kalombo Kabengu
Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo,
devait être à Bruxelles ces 2 et 3 avril pour le sommet UE-Afrique. Il
s’est fait remplacer. M... Belgique révèle que son très fidèle
directeur financier, Emmanuel Adrupiako, est administrateur de deux
obscures sociétés panaméennes: Nova et Morayo. Qu’un Belge
insaisissable apparaît dans une de ces offshores. Et qu’un Kinois
surnommé «Mignon Panda» efface les traces d’Adrupiako sur Internet..
C’est un personnage de l’ombre. Un fidèle d’entre les fidèles de
Joseph Kabila. Un membre du «premier cercle» du président de la
République démocratique du Congo (RDC). Contre vents et marées, depuis
2001, Emmanuel Adrupiako est le discret directeur financier du cabinet
de Joseph Kabila. Il a survécu à tous les remaniements. C’est dire
s’il jouit de la confiance indéfectible du président…
Une fidélité de 15 ans
Alors que Joseph Kabila devait être en visite officielle à Bruxelles
ces 2 et 3 avril pour le 4e Sommet UE-Afrique organisé par le Conseil
européen (il s'est finalement fait représenter par un de ses
ministres), M… Belgique dévoile l’existence de deux offshores
panaméennes, toujours actives aujourd’hui, dont Emmanuel Adrupiako est
l’un des administrateurs. Quelles activités ces deux sociétés-écrans
camouflent-elles? Seraient-elles utiles au président Kabila? Ou
s’agirait-il d’affaires légitimes réalisées par Adrupiako? Mais dans
ce cas, pourquoi tant d’opacité?
Peu connu des Congolais, Adrupiako, 53 ans, est un des membres
fondateurs du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie
(PPRD) créé par Joseph Kabila en 2002. Ce licencié en sciences
économiques fut d’abord conseiller à l’Union nationale des
travailleurs du Zaïre (UNTZa), alors premier syndicat
interprofessionnel du pays, avant de devenir fonctionnaire au
ministère du Plan. Il sera ensuite nommé directeur financier du
Programme de vaccination. Puis, fin des années 1990, sous Kabila père,
il s’approche véritablement des hautes sphères du pouvoir congolais en
devenant assistant administratif au Secrétariat privé du chef de
l’Etat.
En janvier 2001, quand Laurent-Désiré Kabila est abattu, son fils
Joseph lui succède sans que des élections ne soient convoquées. Dans
la foulée, Adrupiako est nommé directeur des finances du nouveau
président de la République.
En novembre 2002, Emmanuel Adrupiako crée une première panaméenne:
Nova International Investments SA. Ses partenaires au conseil
d’administration? Un certain Engo Nkanda, né en 1952 à Léopoldville
(Kinshasa), et un Français né en 1946 à Rennes, Edouard Martin.
Moisir avec les moustiques
Dans les documents officiels de Nova International (voir ci-dessous),
Adrupiako est le président de l’offshore, Martin le secrétaire et
Nkanda le trésorier. Ce dernier a obtenu la nationalité belge le 8
décembre 2000. Adrupiako n’a pas souhaité répondre à nos questions (il
nous a envoyé un droit de réponse ce 2 avril que nous publions
intégralement ci-dessous, NDLR). Il nous a renvoyés vers Engo Nkanda,
que nous avons joint à Kinshasa. Ce dernier, auquel nous avons
transmis les statuts de Nova International, obtenus auprès du Registre
des sociétés panaméen, nie tout lien avec cette société offshore. «Je
ne comprends pas pourquoi mon nom apparaît dans ces documents. On l’a
utilisé à mon insu. Je suis ici en train de moisir avec les moustiques
et je serais trésorier d’une société au Panama?».
Il dit qu’il ne connaît pas Adrupiako et qu’il va porter l’affaire
devant la justice belge pour tenter d’élucider ce mystère. Mais
l’homme au bout du fil était-il bien celui qu’il prétendait être?
Quand nous lui avons demandé en quelle année il avait obtenu la
nationalité belge, il s’est montré incapable de nous répondre…
Mais revenons à Adrupiako. Le 14 juillet 2003, il crée une seconde
offshore au Panama: Morayo Investments SA (voir les statuts
ci-dessous). A ses côtés, un prête-nom local et une certaine Françoise
Merenge Kibandja (par ailleurs administratrice d’une obscure fondation
canadienne baptisée Urda et présidée par Adrupiako).
Deux autres offshores à Londres
Outre les panaméennes, le directeur financier de Joseph Kabila a
également un faible pour les anglaises. En novembre 2003, il crée
Multidigital Finance Limited, une coquille vide domiciliée dans une
modeste habitation de Leyton, dans la banlieue londonienne.
Officiellement, la société fournit des… soins dentaires. De cinq ans
sa cadette, Victoria Adrupiako (son épouse? sa sœur?) est bombardée
secrétaire de la société en 2004. Deux ans plus tard, Multidigital
Finance est dissoute.
Est-ce le désir de brouiller les pistes? En mai 2008, Adrupiako crée
une autre coquille au nom très proche: Multifunctional Finance
Limited, domiciliée à la même adresse que feu Multidigital Finance. La
société déclare alors être active dans l’«extraction de minerais de
fer», la «production d’électricité» et les activités bancaires. Rien
que ça. Elle sera dissoute en janvier 2013.
A côté de cet étrange business offshore, le directeur financier du
président congolais soigne son «e-réputation». Adrupiako a en effet
fait appel à un spécialiste de la réputation sur Internet,
c’est-à-dire de l’image reflétée par les premiers résultats d’une
recherche réalisée sur le nom d’une personne dans un moteur de
recherche comme Google, par exemple. Objectif: faire «redescendre» les
résultats compromettants le plus bas possible en créant un maximum de
pages web «de distraction» bien référencées, c’est-à-dire qui
apparaissent dans les premiers résultats.
Profil Facebook bidon
Il semble que ce qu’Adrupiako chercherait à cacher, justement, ce soit
une discrète page web révélant ses liens avec les deux panaméennes –
une page générée automatiquement à partir d’une base de données pirate
qui provient du Registre des sociétés panaméen. Plusieurs blogs bidon
ont été créés au nom d’Emmanuel Adrupiako sur les plateformes
Canalblog, Overblog, Wordpress et Blogspot, ainsi que des profils
Facebook, Twitter, LinkedIn, Google+, Viadeo, About.me, etc. Même des
sites populaires de prénoms pour bébés ont été utilisés pour brouiller
les pistes!
L’architecte de cette stratégie d’enfumage est un Congolais de
Kinshasa, qui se présente sur la toile sous le nom de «Mignon Panda»
ou «Mistikeur». Grâce à ses efforts, les offshores panaméennes
d’Adrupiako n’apparaissent plus qu’en 47e position sur Google, soit à
la fin de la 5e page de résultats lors d’une recherche réalisée sur
«Emmanuel Adrupiako». Tout l’art de l’e-camouflage…
David Leloup (avec Q.N. et B.K.)
Le droit de réponse d'Emmanuel Adrupiako reçu ce 2 avril:
Publié par David Leloup à 14:16
M... Belgique2 avril 2014 18:30
Droit de réponse… et menaces de mort
M… Belgique maintient l’intégralité des informations contenues dans
l’article contesté.
Pour créer et devenir administrateur d’une société offshore au Panama
ou en Grande-Bretagne, il faut fournir à un intermédiaire agréé
(avocat, fiduciaire…) une pièce d’identité et une signature. Il est
donc légalement impossible de désigner un administrateur dans une
offshore, à Panama ou à Londres, sans son consentement. C’est logique,
sinon n’importe qui mettrait son ennemi politique dans une offshore et
le dénoncerait aussitôt pour le discréditer en suggérant qu’il cherche
à frauder le fisc.
M… Belgique a tout mis en œuvre pour recueillir la version de M.
Adrupiako à propos des quatre offshores (deux panaméennes et deux
britanniques) dans lesquelles son nom apparaît dans des documents
gouvernementaux officiels. Nous l’avons contacté par l’intermédiaire
de notre confrère Ben Kabamba, journaliste et rédacteur en chef de
Radio Okapi, organe d’information indépendant soutenu par les Nations
Unies. M. Adrupiako a répondu à notre collègue qu’il ne souhaitait pas
nous accorder d’interview et nous a renvoyé vers M. Engo Nkanda, dont
le nom apparaît également parmi les administrateurs d’une des deux
panaméennes évoquées.
Ce dernier a menacé de mort notre journaliste David Leloup: «Moi je
vous intente un procès à mort. Ce n'est pas de la rigolade. (…)
Essayez seulement de publier, vous perdrez. Je ne vous parle pas du
côté justice, mais du côté règlement de comptes. Je suis Congolais, je
n'ai pas d'argent. Si on me condamne à 10 ans de prison parce que je
vous ai éclaté, vous croyez que ça me ferait quelque chose? Je peux
faire 20 ans en prison, je m'en fous.»
Suite à ces menaces scandaleuses, notre journaliste a porté plainte
contre M. Nkanda.
M. Adrupiako a eu pleinement la possibilité de communiquer à notre
journaliste sa version des faits, à savoir que Morayo aurait servi de
véhicule d’investissement. Nous notons que M. Adrupiako l’affirme a
posteriori sans fournir la moindre pièce matérielle attestant de cette
version des faits. Nous réfutons avoir affirmé «avec force» que
l’offshore panaméenne Morayo Investments a été «utilisée pour des
activités obscures».
Nous notons également que M. Adrupiako affirme avoir saisi Interpol et
nous avoir informés de ce fait par l’entremise de notre confrère Ben
Kabamba. Or la lettre de M. Adrupiako adressée au bureau central
national d’Interpol à Kinshasa, qu’il nous a transmise, est datée du
26 mars, alors que sa rencontre avec M. Kabamba date du 24 mars. Cette
affirmation ne tient donc pas.
La rédaction
Répondre
Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo,
devait être à Bruxelles ces 2 et 3 avril pour le sommet UE-Afrique. Il
s’est fait remplacer. M... Belgique révèle que son très fidèle
directeur financier, Emmanuel Adrupiako, est administrateur de deux
obscures sociétés panaméennes: Nova et Morayo. Qu’un Belge
insaisissable apparaît dans une de ces offshores. Et qu’un Kinois
surnommé «Mignon Panda» efface les traces d’Adrupiako sur Internet..
C’est un personnage de l’ombre. Un fidèle d’entre les fidèles de
Joseph Kabila. Un membre du «premier cercle» du président de la
République démocratique du Congo (RDC). Contre vents et marées, depuis
2001, Emmanuel Adrupiako est le discret directeur financier du cabinet
de Joseph Kabila. Il a survécu à tous les remaniements. C’est dire
s’il jouit de la confiance indéfectible du président…
Une fidélité de 15 ans
Alors que Joseph Kabila devait être en visite officielle à Bruxelles
ces 2 et 3 avril pour le 4e Sommet UE-Afrique organisé par le Conseil
européen (il s'est finalement fait représenter par un de ses
ministres), M… Belgique dévoile l’existence de deux offshores
panaméennes, toujours actives aujourd’hui, dont Emmanuel Adrupiako est
l’un des administrateurs. Quelles activités ces deux sociétés-écrans
camouflent-elles? Seraient-elles utiles au président Kabila? Ou
s’agirait-il d’affaires légitimes réalisées par Adrupiako? Mais dans
ce cas, pourquoi tant d’opacité?
Peu connu des Congolais, Adrupiako, 53 ans, est un des membres
fondateurs du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie
(PPRD) créé par Joseph Kabila en 2002. Ce licencié en sciences
économiques fut d’abord conseiller à l’Union nationale des
travailleurs du Zaïre (UNTZa), alors premier syndicat
interprofessionnel du pays, avant de devenir fonctionnaire au
ministère du Plan. Il sera ensuite nommé directeur financier du
Programme de vaccination. Puis, fin des années 1990, sous Kabila père,
il s’approche véritablement des hautes sphères du pouvoir congolais en
devenant assistant administratif au Secrétariat privé du chef de
l’Etat.
En janvier 2001, quand Laurent-Désiré Kabila est abattu, son fils
Joseph lui succède sans que des élections ne soient convoquées. Dans
la foulée, Adrupiako est nommé directeur des finances du nouveau
président de la République.
En novembre 2002, Emmanuel Adrupiako crée une première panaméenne:
Nova International Investments SA. Ses partenaires au conseil
d’administration? Un certain Engo Nkanda, né en 1952 à Léopoldville
(Kinshasa), et un Français né en 1946 à Rennes, Edouard Martin.
Moisir avec les moustiques
Dans les documents officiels de Nova International (voir ci-dessous),
Adrupiako est le président de l’offshore, Martin le secrétaire et
Nkanda le trésorier. Ce dernier a obtenu la nationalité belge le 8
décembre 2000. Adrupiako n’a pas souhaité répondre à nos questions (il
nous a envoyé un droit de réponse ce 2 avril que nous publions
intégralement ci-dessous, NDLR). Il nous a renvoyés vers Engo Nkanda,
que nous avons joint à Kinshasa. Ce dernier, auquel nous avons
transmis les statuts de Nova International, obtenus auprès du Registre
des sociétés panaméen, nie tout lien avec cette société offshore. «Je
ne comprends pas pourquoi mon nom apparaît dans ces documents. On l’a
utilisé à mon insu. Je suis ici en train de moisir avec les moustiques
et je serais trésorier d’une société au Panama?».
Il dit qu’il ne connaît pas Adrupiako et qu’il va porter l’affaire
devant la justice belge pour tenter d’élucider ce mystère. Mais
l’homme au bout du fil était-il bien celui qu’il prétendait être?
Quand nous lui avons demandé en quelle année il avait obtenu la
nationalité belge, il s’est montré incapable de nous répondre…
Mais revenons à Adrupiako. Le 14 juillet 2003, il crée une seconde
offshore au Panama: Morayo Investments SA (voir les statuts
ci-dessous). A ses côtés, un prête-nom local et une certaine Françoise
Merenge Kibandja (par ailleurs administratrice d’une obscure fondation
canadienne baptisée Urda et présidée par Adrupiako).
Deux autres offshores à Londres
Outre les panaméennes, le directeur financier de Joseph Kabila a
également un faible pour les anglaises. En novembre 2003, il crée
Multidigital Finance Limited, une coquille vide domiciliée dans une
modeste habitation de Leyton, dans la banlieue londonienne.
Officiellement, la société fournit des… soins dentaires. De cinq ans
sa cadette, Victoria Adrupiako (son épouse? sa sœur?) est bombardée
secrétaire de la société en 2004. Deux ans plus tard, Multidigital
Finance est dissoute.
Est-ce le désir de brouiller les pistes? En mai 2008, Adrupiako crée
une autre coquille au nom très proche: Multifunctional Finance
Limited, domiciliée à la même adresse que feu Multidigital Finance. La
société déclare alors être active dans l’«extraction de minerais de
fer», la «production d’électricité» et les activités bancaires. Rien
que ça. Elle sera dissoute en janvier 2013.
A côté de cet étrange business offshore, le directeur financier du
président congolais soigne son «e-réputation». Adrupiako a en effet
fait appel à un spécialiste de la réputation sur Internet,
c’est-à-dire de l’image reflétée par les premiers résultats d’une
recherche réalisée sur le nom d’une personne dans un moteur de
recherche comme Google, par exemple. Objectif: faire «redescendre» les
résultats compromettants le plus bas possible en créant un maximum de
pages web «de distraction» bien référencées, c’est-à-dire qui
apparaissent dans les premiers résultats.
Profil Facebook bidon
Il semble que ce qu’Adrupiako chercherait à cacher, justement, ce soit
une discrète page web révélant ses liens avec les deux panaméennes –
une page générée automatiquement à partir d’une base de données pirate
qui provient du Registre des sociétés panaméen. Plusieurs blogs bidon
ont été créés au nom d’Emmanuel Adrupiako sur les plateformes
Canalblog, Overblog, Wordpress et Blogspot, ainsi que des profils
Facebook, Twitter, LinkedIn, Google+, Viadeo, About.me, etc. Même des
sites populaires de prénoms pour bébés ont été utilisés pour brouiller
les pistes!
L’architecte de cette stratégie d’enfumage est un Congolais de
Kinshasa, qui se présente sur la toile sous le nom de «Mignon Panda»
ou «Mistikeur». Grâce à ses efforts, les offshores panaméennes
d’Adrupiako n’apparaissent plus qu’en 47e position sur Google, soit à
la fin de la 5e page de résultats lors d’une recherche réalisée sur
«Emmanuel Adrupiako». Tout l’art de l’e-camouflage…
David Leloup (avec Q.N. et B.K.)
Le droit de réponse d'Emmanuel Adrupiako reçu ce 2 avril:
Publié par David Leloup à 14:16
M... Belgique2 avril 2014 18:30
Droit de réponse… et menaces de mort
M… Belgique maintient l’intégralité des informations contenues dans
l’article contesté.
Pour créer et devenir administrateur d’une société offshore au Panama
ou en Grande-Bretagne, il faut fournir à un intermédiaire agréé
(avocat, fiduciaire…) une pièce d’identité et une signature. Il est
donc légalement impossible de désigner un administrateur dans une
offshore, à Panama ou à Londres, sans son consentement. C’est logique,
sinon n’importe qui mettrait son ennemi politique dans une offshore et
le dénoncerait aussitôt pour le discréditer en suggérant qu’il cherche
à frauder le fisc.
M… Belgique a tout mis en œuvre pour recueillir la version de M.
Adrupiako à propos des quatre offshores (deux panaméennes et deux
britanniques) dans lesquelles son nom apparaît dans des documents
gouvernementaux officiels. Nous l’avons contacté par l’intermédiaire
de notre confrère Ben Kabamba, journaliste et rédacteur en chef de
Radio Okapi, organe d’information indépendant soutenu par les Nations
Unies. M. Adrupiako a répondu à notre collègue qu’il ne souhaitait pas
nous accorder d’interview et nous a renvoyé vers M. Engo Nkanda, dont
le nom apparaît également parmi les administrateurs d’une des deux
panaméennes évoquées.
Ce dernier a menacé de mort notre journaliste David Leloup: «Moi je
vous intente un procès à mort. Ce n'est pas de la rigolade. (…)
Essayez seulement de publier, vous perdrez. Je ne vous parle pas du
côté justice, mais du côté règlement de comptes. Je suis Congolais, je
n'ai pas d'argent. Si on me condamne à 10 ans de prison parce que je
vous ai éclaté, vous croyez que ça me ferait quelque chose? Je peux
faire 20 ans en prison, je m'en fous.»
Suite à ces menaces scandaleuses, notre journaliste a porté plainte
contre M. Nkanda.
M. Adrupiako a eu pleinement la possibilité de communiquer à notre
journaliste sa version des faits, à savoir que Morayo aurait servi de
véhicule d’investissement. Nous notons que M. Adrupiako l’affirme a
posteriori sans fournir la moindre pièce matérielle attestant de cette
version des faits. Nous réfutons avoir affirmé «avec force» que
l’offshore panaméenne Morayo Investments a été «utilisée pour des
activités obscures».
Nous notons également que M. Adrupiako affirme avoir saisi Interpol et
nous avoir informés de ce fait par l’entremise de notre confrère Ben
Kabamba. Or la lettre de M. Adrupiako adressée au bureau central
national d’Interpol à Kinshasa, qu’il nous a transmise, est datée du
26 mars, alors que sa rencontre avec M. Kabamba date du 24 mars. Cette
affirmation ne tient donc pas.
La rédaction
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| Le Premier ministre chinois commence à Addis Abeba une tournée en Afrique | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
| Le Premier ministre chinois commence à Addis Abeba une tournée en Afrique | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
cours de cette visite d'une semaine. Il prononcera lundi un discours au
siège de l'Union africaine à Addis Abeba, construit par la Chine.
Ce
voyage intervient un an après une tournée très médiatisée du président
chinois Xi Jinping sur le continent africain --peu de temps après son
investiture à la tête de l'Etat--, et illustre l'importance croissante
des ressources africaines --dont le pétrole-- pour la deuxième économie
mondiale.
"L'Ethiopie est la première étape parce qu'il y a une
profonde amitié entre nos deux pays et l'Ethiopie est un Etat clé de
l'Afrique, et le siège de l'Union africaine", a déclaré M. Li lors
d'une conférence de presse à son arrivée et au cours de discussions avec
son homologue éthiopien Hailemariam Dessalegn.
"La relation
entre la Chine et l'Ethiopie n'est pas une relation d'un an ou deux. La
Chine et l'Afrique ont des destins étroitement liés", a-t-il ajouté.
Selon
des responsables, les deux hommes ont signé un nombre d'accord sur des
exemptions de visas diplomatiques, la coopération culturelle,
l'économie, le commerce et la coopération technique.
Selon les
chiffres officiels chinois, la Chine est depuis 2009 le principal
partenaire commercial des pays africains, et une importance source
d'investissements sur le continent.
Le Premier ministre chinois Li Keqiang est
arrivé dimanche en Ethiopie, première étape d'une tournée dans quatre
pays d'Afrique, où il effectue sa première visite depuis sa prise de
fonction il y a un peu plus d'un an.
M. Li se rendra ensuite au Nigeria, en Angola et au Kenya au arrivé dimanche en Ethiopie, première étape d'une tournée dans quatre
pays d'Afrique, où il effectue sa première visite depuis sa prise de
fonction il y a un peu plus d'un an.
cours de cette visite d'une semaine. Il prononcera lundi un discours au
siège de l'Union africaine à Addis Abeba, construit par la Chine.
Ce
voyage intervient un an après une tournée très médiatisée du président
chinois Xi Jinping sur le continent africain --peu de temps après son
investiture à la tête de l'Etat--, et illustre l'importance croissante
des ressources africaines --dont le pétrole-- pour la deuxième économie
mondiale.
"L'Ethiopie est la première étape parce qu'il y a une
profonde amitié entre nos deux pays et l'Ethiopie est un Etat clé de
l'Afrique, et le siège de l'Union africaine", a déclaré M. Li lors
d'une conférence de presse à son arrivée et au cours de discussions avec
son homologue éthiopien Hailemariam Dessalegn.
"La relation
entre la Chine et l'Ethiopie n'est pas une relation d'un an ou deux. La
Chine et l'Afrique ont des destins étroitement liés", a-t-il ajouté.
Selon
des responsables, les deux hommes ont signé un nombre d'accord sur des
exemptions de visas diplomatiques, la coopération culturelle,
l'économie, le commerce et la coopération technique.
Selon les
chiffres officiels chinois, la Chine est depuis 2009 le principal
partenaire commercial des pays africains, et une importance source
d'investissements sur le continent.
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Crise centrafricaine | Cinq personnes tuées par des hommes armés dans la nuit de samedi à Bangui | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Crise centrafricaine | Cinq personnes tuées par des hommes armés dans la nuit de samedi à Bangui | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
domicile du quartier Sarah de la capitale centrafricaine, quatre "ont
été retrouvés morts, ligotés au quartier Sayé-Voir dans la nuit de
samedi. Les corps portent des traces de balle et de torture", selon la
même source.
Les violences demeurent quotidiennes à Bangui, en particulier dans
les 3e et 5e arrondissements de la ville, où doit se déployer
rapidement la force européenne Eufor-RCA. La formation de cette force,
annoncée en décembre, a été plus longue que prévu en raison de la
réticence de nombreux Etats européens à y participer.
Eufor-RCA est actuellement composée d'environ 150 hommes,
essentiellement des militaires français issus de Sangaris et de soldats
estoniens. La force montera progressivement en puissance jusqu'à
compter en juin 800 hommes, dépêchés notamment par la Géorgie et
plusieurs pays de l'UE comme l'Espagne, la Finlande ou l'Italie.
Cinq personnes ont été tuées dans la nuit
de samedi à dimanche dans les 3e et 5e arrondissements de Bangui par
des individus armés non identifiés, a appris l'AFP de source policière
dimanche.
Une première personne a été victime de jets de grenades à son de samedi à dimanche dans les 3e et 5e arrondissements de Bangui par
des individus armés non identifiés, a appris l'AFP de source policière
dimanche.
domicile du quartier Sarah de la capitale centrafricaine, quatre "ont
été retrouvés morts, ligotés au quartier Sayé-Voir dans la nuit de
samedi. Les corps portent des traces de balle et de torture", selon la
même source.
Les violences demeurent quotidiennes à Bangui, en particulier dans
les 3e et 5e arrondissements de la ville, où doit se déployer
rapidement la force européenne Eufor-RCA. La formation de cette force,
annoncée en décembre, a été plus longue que prévu en raison de la
réticence de nombreux Etats européens à y participer.
Eufor-RCA est actuellement composée d'environ 150 hommes,
essentiellement des militaires français issus de Sangaris et de soldats
estoniens. La force montera progressivement en puissance jusqu'à
compter en juin 800 hommes, dépêchés notamment par la Géorgie et
plusieurs pays de l'UE comme l'Espagne, la Finlande ou l'Italie.
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RD Congo : La justice ne peut plus attendre d'après Human Rights Watch
Il faut promulguer deux lois qui faciliteraient la tenue de procès pour crimes internationaux graves.![]()
(Kinshasa, le 1er avril 2014) – La République démocratique du Congo devrait adopter un avant-projet de loi relatif à la création de Chambres spécialisées mixtes chargées de juger les responsables d’atteintes graves aux droits humains, ont déclaré 146 organisations congolaises et internationales de défense des droits humains dans une déclaration conjointe publiée aujourd’hui. Au cours de la session parlementaire en cours, le parlement congolais devrait également voter une proposition de loi visant à incorporer le Statut de la Cour pénale internationale (CPI) en droit congolais. La session parlementaire a débuté le 15 mars dernier.
Le Président Joseph Kabila et son gouvernement se sont récemment engagés à renforcer la capacité du pays à s’attaquer à l’impunité pour les atrocités perpétrées à l’encontre des civils. Les Chambres spécialisées mixtes qui sont proposées au sein du système judiciaire national se concentreraient sur les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et le crime de génocide, et elles bénéficieraient au départ de la présence de personnel non congolais jouissant d’une expertise dans ce domaine. La loi de mise en œuvre du Statut de la CPI introduirait dans le droit congolais les définitions de ces crimes en accord avec le Statut de la cour, et réglementerait la coopération avec celle-ci.
« La mise en place de Chambres spécialisées mixtes et l’adoption de la loi de mise en œuvre du Statut de la CPI renforceraient la capacité des tribunaux nationaux à finalement traduire en justice les responsables des indicibles atrocités commises en République démocratique du Congo », a souligné Justine Masika Bihamba, présidente de Synergie des Femmes, un réseau d’organisations congolaises de défense des droits de la femme opérant dans l’est du pays. « Les autorités congolaises devraient transposer leurs discours en actes immédiatement et adopter des mesures concrètes favorisant la justice. »
La grande majorité des responsables de massacres, de viols, d’actes de torture, de recrutement forcé d’enfants soldats et d’incendie de maisons perpétrés en RD Congo au cours des deux dernières décennies, en particulier dans l’est du pays, demeurent impunis. Cela fait plusieurs années que les deux projets de loi sont à l’examen, mais des avancées concrètes ont été enregistrées au cours des derniers mois, faisant de leur adoption au cours de la présente session parlementaire un objectif réalisable. Ces avancées sont notamment la révision par le gouvernement de l’avant-projet sur les Chambres spécialisées mixtes, ainsi que l’adoption en décembre 2013, par une commission de l’Assemblée nationale, de la loi de mise en œuvre du Statut de la CPI.
« Les cycles répétés de violence et l’impunité qui accablent la RD Congo ont infligé d’effroyables souffrances au peuple congolais », a noté Ida Sawyer, chercheuse senior sur la RD Congo à Human Rights Watch. « Il faut de toute urgence créer un nouveau mécanisme au sein du système judiciaire national pour garantir que les responsables des pires crimes soient enfin traduits en justice – et pour envoyer un avertissement aux autres chefs de guerre et commandants de l’armée, leur faisant comprendre que les crimes graves ne resteront pas impunis. »

(Kinshasa, le 1er avril 2014) – La République démocratique du Congo devrait adopter un avant-projet de loi relatif à la création de Chambres spécialisées mixtes chargées de juger les responsables d’atteintes graves aux droits humains, ont déclaré 146 organisations congolaises et internationales de défense des droits humains dans une déclaration conjointe publiée aujourd’hui. Au cours de la session parlementaire en cours, le parlement congolais devrait également voter une proposition de loi visant à incorporer le Statut de la Cour pénale internationale (CPI) en droit congolais. La session parlementaire a débuté le 15 mars dernier.
Le Président Joseph Kabila et son gouvernement se sont récemment engagés à renforcer la capacité du pays à s’attaquer à l’impunité pour les atrocités perpétrées à l’encontre des civils. Les Chambres spécialisées mixtes qui sont proposées au sein du système judiciaire national se concentreraient sur les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et le crime de génocide, et elles bénéficieraient au départ de la présence de personnel non congolais jouissant d’une expertise dans ce domaine. La loi de mise en œuvre du Statut de la CPI introduirait dans le droit congolais les définitions de ces crimes en accord avec le Statut de la cour, et réglementerait la coopération avec celle-ci.
« La mise en place de Chambres spécialisées mixtes et l’adoption de la loi de mise en œuvre du Statut de la CPI renforceraient la capacité des tribunaux nationaux à finalement traduire en justice les responsables des indicibles atrocités commises en République démocratique du Congo », a souligné Justine Masika Bihamba, présidente de Synergie des Femmes, un réseau d’organisations congolaises de défense des droits de la femme opérant dans l’est du pays. « Les autorités congolaises devraient transposer leurs discours en actes immédiatement et adopter des mesures concrètes favorisant la justice. »
La grande majorité des responsables de massacres, de viols, d’actes de torture, de recrutement forcé d’enfants soldats et d’incendie de maisons perpétrés en RD Congo au cours des deux dernières décennies, en particulier dans l’est du pays, demeurent impunis. Cela fait plusieurs années que les deux projets de loi sont à l’examen, mais des avancées concrètes ont été enregistrées au cours des derniers mois, faisant de leur adoption au cours de la présente session parlementaire un objectif réalisable. Ces avancées sont notamment la révision par le gouvernement de l’avant-projet sur les Chambres spécialisées mixtes, ainsi que l’adoption en décembre 2013, par une commission de l’Assemblée nationale, de la loi de mise en œuvre du Statut de la CPI.
« Les cycles répétés de violence et l’impunité qui accablent la RD Congo ont infligé d’effroyables souffrances au peuple congolais », a noté Ida Sawyer, chercheuse senior sur la RD Congo à Human Rights Watch. « Il faut de toute urgence créer un nouveau mécanisme au sein du système judiciaire national pour garantir que les responsables des pires crimes soient enfin traduits en justice – et pour envoyer un avertissement aux autres chefs de guerre et commandants de l’armée, leur faisant comprendre que les crimes graves ne resteront pas impunis. »

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ACTU Radio OKAPI Dimanche 04 05 014
Radiookapi.net : 12 articles | ![]() |
- Division I/Paly-off: le match Mazembe-Sanga Balende ne s’est pas joué
- RDC : La Ceni assure l’organisation des élections « crédibles et transparentes »
- La semaine du 28/04/2014
- Katanga: les journalistes interdits de décerner des prix aux acteurs sociopolitiques
- Equateur: début des travaux de réhabilitation de la route Gbadolite-Bobandi
- Katanga: un nouveau déraillement du train de la SNCC fait provisoirement 5 morts à Kabongo
- Les Etats-Unis annoncent l’octroi de 30 millions USD pour « des élections crédibles » en RDC
- Maniema: carence de juges dans les cours et tribunaux de Kindu
- Goma: plusieurs boutiques fermées suite à la poussière
- Katanga: 6 692 cas de paludisme enregistrés dans le district de Tanganyika
- RDC: inauguration de la «Salle Ghislaine Dupont» à Kisangani
- Expulsions de Brazzaville: les Fac/Opposition pour un tête-à-tête Kabila-Sassou
Posted: 04 May 2014 01:12 PM PDT La rencontre de la quatrième journée qui devait opposer dimanche 4 mai le TP Mazembe de Lubumbashi, dans son stade, contre Sanga Balende de Mbuji-Mayi n’a pas eu lieu. Selon le reporter de Radio Okapi sur place, les joueurs de Mazembe sont montés sur le terrain avec les officiels. Mais les athlètes de Sanga Balende [...] |
Posted: 04 May 2014 10:58 AM PDT |
Posted: 04 May 2014 10:10 AM PDT |
Posted: 04 May 2014 07:43 AM PDT L’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) lance une mise en garde contre les journalistes qui s’évertuent à décerner des prix aux acteurs socio-politiques, à Lubumbashi (Katanga). Le président de la commission provinciale de discipline et d’éthique de l’UNPC au Katanga, Joseph Lugunda Lubamba s’est plaint qu’il y a des journalistes qui ternissent l’image de [...] |
Posted: 04 May 2014 06:56 AM PDT L’Office des routes (OR) a lancé, jeudi 1er mai, les travaux de réhabilitation de la route Bombanza-Gbadolite, longue de 50 km, sur financement de l’Union européenne. La réfection de cette route d’importance capitale permettra aux paysans d’évacuer normalement et régulièrement leurs produits agricoles vers la ville de Gbadolite, à près 650 km de Mbandaka, chef-lieu de [...] |
Posted: 04 May 2014 06:18 AM PDT Cinq personnes ont trouvé la mort et cinq autres ont été grièvement blessées, dans la nuit du 4 mai, lors du déraillement d’un train de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC), à la hauteur de la localité de Kabongo (Katanga). Ce train aurait à son bord plus de deux cents personnes et [...] |
Posted: 04 May 2014 05:20 AM PDT John Kerry a plaidé pour que des élections à venir se tiennent en conformité avec la constitution. |
Posted: 04 May 2014 03:42 AM PDT L’ONG Hahi za Binadamu déplore la paralysie et le dysfonctionnement du Tribunal de grande instance (TGI) de Kindu (Maniema) ainsi que des tribunaux de paix, suite à la carence de juges. Selon cette structure, un seul juge travaille, depuis huit mois, à la TGI de Kindu depuis que son collègue est parti en congé. Le [...] |
Posted: 04 May 2014 02:32 AM PDT Plusieurs boutiques ne savent pas, depuis plusieurs jours, faute de la poussière, sur l’axe routier Katindo-ULPGL. Les travaux de réhabilitation de ce tronçon, amorcés puis suspendus par le gouvernement depuis plus de deux ans, ont pour conséquence la dispersion de la poussière dans tous les environs. «Il n’y a plus de locataires parce que la [...] |
Posted: 04 May 2014 02:17 AM PDT L’Inspection sanitaire Tanganyika a enregistré, en une semaine, environ 6 692 cas de paludismes dans les onze zones de santé de ce district de la province du Katanga. Le médecin inspecteur du Tanganyika, Adalbert Ngandwe, a livré ces chiffres à la presse, samedi 3 mai, à l’issue de l’atelier de formation des techniciens de laboratoires et [...] |
Posted: 04 May 2014 12:53 AM PDT L’ONG «Médias pour la paix et le développement» immortalise la journaliste française Ghislaine Dupont, assassinée en novembre dernier à Kidal, au Mali. Cette structure a inauguré, samedi 3 mai à Kisangani (Province Orientale), une salle des conférences dénommée «Ghyslaine Dupont», dans le cadre de la journée internationale de la liberté de presse. La salle servira, entre [...] |
Posted: 03 May 2014 11:40 PM PDT Lisanga Bonganga estime qu'il faut «trouver des mécanismes diplomatiques de sortie de crise pour une paix durable entre les deux pays». |
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PROCESSUS ELECTORAL: EMERY OKUNDJI DEFIE MALUMALU - PAS DE PROCESSUS ELECTORAL
Pas Processus électoral
Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections. Il aurait dû y avoir une protestation générale des démocrates de tous les partis, car un démocrate ne saurait accepter que son candidat gagne par la fraude, la corruption et le mensonge. Au lieu de quoi on n’a assisté qu’à des élucubrations pour défendre la victoire « officielle » de JKK, et à d’autres élucubrations pour défendre celle, tout aussi hypothétique, de Tshisekedi.
Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir !
Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections. Il aurait dû y avoir une protestation générale des démocrates de tous les partis, car un démocrate ne saurait accepter que son candidat gagne par la fraude, la corruption et le mensonge. Au lieu de quoi on n’a assisté qu’à des élucubrations pour défendre la victoire « officielle » de JKK, et à d’autres élucubrations pour défendre celle, tout aussi hypothétique, de Tshisekedi.
Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir !
Sous le titre : «Controverse autour du fichier électoral, Malumalu-Okundji : face-à-face à huis clos », Le Phare rapporte que la plénière de l’Assemblée nationale ayant finalement avalisé le texte du député Emery Okundji portant interpellation du président de la CENI Malumalu au sujet de l’audit du fichier électoral, c’est en principe ce lundi 31 mars 2014 que les deux protagonistes devraient « s’affronter » au Palais du peuple.
Mais, pour cette séance hautement sensible et cruciale pour la transparence des résultats, le Bureau de la chambre basse du Parlement a décrété le huis clos. Selon Le Phare cela est interprété par beaucoup comme une stratégie visant à cacher des choses à ceux qui veulent tout savoir sur le corps électoral. (Il est un fait que décréter le « huis clos » lorsque l’on aborde un sujet sensible qui intéresse tout le monde n’est vraiment pas la technique a mieux choisie pour donner une impression de transparence ! NdlR). Le Phare commente :
« Pourquoi a-t-on choisi le débat en circuit fermé pour une « affaire publique » qui concerne l’ensemble de la communauté nationale ? La matière électorale comporterait-elle des détails top secrets à ne pas porter à l’attention de l’électorat ? Le fichier électoral ferait-il partie des secrets d’Etat ou des secrets-défense ? Après tout ce qui était dit en mal sur la CENI au sujet de l’enrôlement des « doublons », des « morts », des « enfants mineurs », des « militaires », des « policiers », des « étrangers » en 2006 et de 2011, c’était l’occasion de rassurer publiquement les futurs candidats et leurs futurs électeurs sur la transparence du fichier électoral.
A ce sujet, le huis clos est interprété par beaucoup comme une stratégie visant à cacher des choses à ceux qui veulent tout savoir sur le corps électoral, facteur déterminant dans la sanction positive ou négative des prétendants aux mandats électifs. Pourtant, lors de ses échanges passés avec les représentants des partis politiques, des confessions religieuses, de la société civile, des médias, des personnes avec handicap et autres, l’abbé Malumalu a laissé l’impression de vouloir présenter, cette fois, un processus électoral où les résultats devraient refléter la vérité des urnes. Pourquoi a-t-on décidé de l’enfermer dans un huis clos qui, au lieu d’apaiser les suspicions, risque de les amplifier ? On rappelle que c’est depuis le 24 mars que le représentant du peuple Okundji a saisi le Bureau de la Chambre basse du Parlement de son souci d’avoir un éclairage sur l’état actuel du fichier électoral.
Il voudrait notamment s’assurer que le corps électoral appelé à départager les candidats aux élections locales, municipales, urbaines, législatives provinciales, sénatoriales, législatives nationales et présidentielle correspond à la taille réelle des citoyens congolais remplissant les conditions de participation au vote. Cet élu du peuple voudrait notamment obtenir des réponses au sujet de la qualité des personnes physiques et morales appelées à auditer le fichier électoral, de l’identité du Serveur Central, du lieu où serait gardé le Serveur de Sauvegarde, du logiciel en charge de la gestion des doublons et de la cartographie électorale, etc.
Ce député national pose en fait des questions de confiance de nature à évacuer toutes les zones d’ombre qui font craindre de nouveaux tripatouillages électorau
Mais, pour cette séance hautement sensible et cruciale pour la transparence des résultats, le Bureau de la chambre basse du Parlement a décrété le huis clos. Selon Le Phare cela est interprété par beaucoup comme une stratégie visant à cacher des choses à ceux qui veulent tout savoir sur le corps électoral. (Il est un fait que décréter le « huis clos » lorsque l’on aborde un sujet sensible qui intéresse tout le monde n’est vraiment pas la technique a mieux choisie pour donner une impression de transparence ! NdlR). Le Phare commente :
« Pourquoi a-t-on choisi le débat en circuit fermé pour une « affaire publique » qui concerne l’ensemble de la communauté nationale ? La matière électorale comporterait-elle des détails top secrets à ne pas porter à l’attention de l’électorat ? Le fichier électoral ferait-il partie des secrets d’Etat ou des secrets-défense ? Après tout ce qui était dit en mal sur la CENI au sujet de l’enrôlement des « doublons », des « morts », des « enfants mineurs », des « militaires », des « policiers », des « étrangers » en 2006 et de 2011, c’était l’occasion de rassurer publiquement les futurs candidats et leurs futurs électeurs sur la transparence du fichier électoral.
A ce sujet, le huis clos est interprété par beaucoup comme une stratégie visant à cacher des choses à ceux qui veulent tout savoir sur le corps électoral, facteur déterminant dans la sanction positive ou négative des prétendants aux mandats électifs. Pourtant, lors de ses échanges passés avec les représentants des partis politiques, des confessions religieuses, de la société civile, des médias, des personnes avec handicap et autres, l’abbé Malumalu a laissé l’impression de vouloir présenter, cette fois, un processus électoral où les résultats devraient refléter la vérité des urnes. Pourquoi a-t-on décidé de l’enfermer dans un huis clos qui, au lieu d’apaiser les suspicions, risque de les amplifier ? On rappelle que c’est depuis le 24 mars que le représentant du peuple Okundji a saisi le Bureau de la Chambre basse du Parlement de son souci d’avoir un éclairage sur l’état actuel du fichier électoral.
Il voudrait notamment s’assurer que le corps électoral appelé à départager les candidats aux élections locales, municipales, urbaines, législatives provinciales, sénatoriales, législatives nationales et présidentielle correspond à la taille réelle des citoyens congolais remplissant les conditions de participation au vote. Cet élu du peuple voudrait notamment obtenir des réponses au sujet de la qualité des personnes physiques et morales appelées à auditer le fichier électoral, de l’identité du Serveur Central, du lieu où serait gardé le Serveur de Sauvegarde, du logiciel en charge de la gestion des doublons et de la cartographie électorale, etc.
Ce député national pose en fait des questions de confiance de nature à évacuer toutes les zones d’ombre qui font craindre de nouveaux tripatouillages électorau
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RDC: L'opposition" Sans DIrection Fixe
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L’opposition politique congolaise n’a pas parlé le même langage lundi 31 mars à l’ouverture des travaux de sa convention qui se tient à Kinshasa. Pour le Parti travailliste de Steve Mbikayi, ces assises virent à des attaques individuelles oubliant l’essentiel : le combat politique. Le Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD/KML) a claqué la porte de ce forum évoquant une « désorganisation ». Pourtant, l’objectif de cette convention est de consolider l’unité de l’opposition face aux questions de l’heure : révision de la constitution et feuille de route de la Ceni.
1 avr
« Nous sommes venus répondre à tout ce qui s’était passé à Kingakati [la ferme présidentielle où se tiennent les réunions de la majorité]. Et c’est aujourd’hui l’occasion qu’a l’opposition de donner sa position par rapport à ce processus de révision de la constitution, à la prolongation du mandat du chef de l’Etat. Nous sommes unis et solidaires au niveau de l’opposition », croit Martin Mukonkole, membre de la Coalition pour le vrai dialogue (CVD).
En mars dernier, la Majorité présidentielle s’est réunie autour du président Kabila pour débattre des questions politiques du pays, notamment la révision constitutionnelle. Selon le discours officiel tenu à l’issue de cette réunion, Joseph Kabila dont le dernier mandat s’achève en 2016 « respectera la constitution et sera remplacé le jour où il y aura un président élu conformément à la constitution ».
Un discours qui ne rassure pas les opposants qui peinent cependant à adopter une stratégie claire face à la majorité.
Steve Mbikayi, du Parti Travailliste et porte-parole de la Coalition pour le vrai dialogue (CVD) pense que la Coalition « Sauvons la RDC » vise plutôt des individus. Ce qui n’est pas idéal pour son parti, affirme-t-il.
« Presque tous les partis qui composent la CVD ne seront pas là. Parce que nous nous sommes dits qu’on devait d’abord voir clair dans toutes ces démarches, éviter de confondre l’agitation avec l’efficacité politique, éviter de rendre le combat politique en combat individuel, c’est-à-dire des attaques contre les individus », déclare-t-il.
Le RCD/KML de Paul Muhindo a mis fin à sa participation à ces assises dès le premier jour, dénonçant la mauvaise organisation.
« Les conditions ne sont pas réunies pour que le RCD/KML participe à cette convention. Mais nous restons toujours dans l’idéal de pouvoir travailler pour l’unité de l’opposition. Et nous pensons que nous devons respecter le partenariat que nous avons entre nous », indique-t-il.
« Sauvons la RDC » est un regroupement des plates-formes politiques Forces acquises au changement, la Société civile de la RDC et la Coalition pour le vrai dialogue.
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La Question des BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA au Sein de la RDC et leurs Responsabilités.
La Question des BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA au Sein de la RDC et leurs Responsabilités.
Quelques questions et suggestions
En 2012/2013, Les BALUBA du KASAI ont voulu brader notre « Ile de sagesse » : l’Ile de Mateba.
En 2014, les Baluba du Kasaï ont proféré des menaces de mort à l’endroit de Ne Muanda Nsemi.
En 2014, le gouvernement de la RDC dominé par les BALUBA du KATANGA (BALUBAKAT) vient de condamner a 10 ans d’emprisonnement DIOMI NDONGALA pour un crime fabriqué de toute pièce par les BALUBAKAT et leur chef le du Plus Grand Tribaliste Africain du 21e siècle, Mr Jean MBUYU.
10 ans d’emprisonnement pour un innocent alors les Rd-Congolais et Rd-Congolaises responsables des crimes de guerre et crimes contre l’humanité jouissent de leur liberté et continuent mêmes à gouverner la RDC.
Les BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA sont-ils un Grand Danger pour les BaKongo de la RDC et même pour le devenir de la RDC?
Les BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA sont-ils un Grand Danger pour la Cohésion Nationale et la Paix Sociale en RDC ?
Les BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA sont-ils un Grand Danger pour les Relations de Bon Voisinage entre les différentes Ethnies de la RDC ?
Les BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA sont-ils un Grand Danger pour la Convivialité RDC et même pour le devenir de la RDC?
L’Irresponsabilité et l’Inconscience des BALUBA du KASAI et des BALUBA du KATANGA Peuvent-elles Etre la Source:
(1) des Conflits interethniques ?
(2) des Conflits interrégionaux ?
(3) de l’Eclatement de la RDC ?
(4) des Vengeances dans le Futur étant donné que l’Homme Africain de l’Afrique Centrale Croit que le Pouvoir est Eternel et Chaque Acte qu’il Pose n’a pas des Conséquences ?
N’est-il pas Temps pour les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest à Reconsidérer Sérieusement s’ils Doivent Continuer à Composer avec les BALUBA en General ?
Le Moment n’est-il pas arrivé pour les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest de se Débarrasser des BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA et de Pousser ces Derniers à Créer leur Propre Pays : La République Luba qui aurait pour Président et Vice-Président Joseph KABILA et Etienne TSHISEKEDI?
Chers Rd-Congolais et Chères Rd-Congolaises de l’Ouest, chaque chose a son temps. Les BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA n’ont pas Crée l’Etat Indépendant du Congo ? Ces deux BALUBA avaient été Annexé dans l’EIC 8 ans et même plus Apres la Fin de la Conférence de Berlin le 26 Février 1885. Ces DEUX BALUBA ne Doivent pas Prendre en Otage toutes les Ethnies qui Composent l’Ouest de la RDC ? Non, Non et Non.
Les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest ne Doivent pas Oublier que :
(1) les BALUBA du KASAI Sont à la Source des Guerres Interethniques qui avaient ensanglantés le Congo Belge en 1959 et le Congo-Léopoldville Indépendant en 1960.
(2) Le MulubaKat Laurent Désiré KABILA et ses Adeptes ont Emmenés en avec les Rwandais et les Ougandais qui aujourd’hui endeuillent la RDC avec il Parait 6-8 millions des Morts.
(2) Paul KAGAME et la CIA n’ont JAMAIS FILTRE Joseph KABILA en RDC ; Joseph Kabila était arrivé en RDC en tant que Fils Biologique du MulubaKat LD KABILA ; et de fait la Présence de Joseph Kabila en RDC est la Responsabilité Première du MulubaKat LD KABILA. Tout le reste avec Joseph Kabila ne sont que des Conséquences de son Arrivée en RDC avec LD Kabila.
(3) C’est le MulubaKat LD KABILA est celui qui avait décidé d’envoyer Joseph KABILA en Chine pour Suivre une Formation Militaire ; Paul Kagame et la CIA n’y étaient pour rien. Où en Sommes-nous avec Joseph KABILA, les Rwandais et les Ougandais depuis 1997 ?
Chers Rd-Congolais et Chères Rd-Congolaises de l’Ouest,
Voilà les deux Grandes Responsabilités des BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA dès l’Aube de l’Indépendance du Congo Belge. Je le répète chaque Chose à son Temps. Les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest Doivent comme on dit en anglais : "To Think Outside the Box". Les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest Doivent commencé à Débattre de l’Utilité des BALUBA du KASAI et BALUBA du KATANGA au sein de la RDC. Malgré ces deux Responsabilités GRAVES, les BALUBA du KASAI Continuent a Travailler Pour un Autre MULUBA du KASAI comme Président de la RDC, et ceci depuis plus de 50 ans. Qui sont alors les Imbéciles et les Naïfs dans tout ça ? Les BALUBA ou les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest ?
Il est Grand Temps que les Rd-Congolais et Rd-Congolaises de l’Ouest commencent à Penser l’Impensable.
Nzita Na Nzita
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La colère d’Olive Lembe contre les opposants
- Publié le lundi 31 mars 2014 10:21


(KINSHASA)- L’épouse du président Kabila, Marie Olive Lembe a fustigé le comportement des acteurs politiques qui vilipendent son mari à longueur des journées, le mettant même en cause dans l’assassinat du brave général Mamadou Ndala.
La première dame a tenu à le dire de vive voix après une courte visite à la famille de l’illustre disparu à Goma, la capitale du Nord-Kivu. ‘‘ Nous devons mettre fin à la polémique. La population n’a pas besoin de distraction ou de discours qui divise. Il y a des gens qui ont fait le déplacement ici pour venir mentir.
Oh moi je vais faire ceci, oh moi je vais faire cela. Arrêtez de détruire la paix parce que c’est la denrée la plus importante qu’un pays a besoin. Ils se sont parmis de dire que c’est le président qui a fait ceci, oh c’est le président qui a fait cela. Entre le colonel et son chef, qui peut vraiment vouloir le mal de l’autre’’, a-t-elle déclaré. En première ligne contre ceux qui attaquent son époux, Olive Lembe a appelé la population à dire non aux propagateurs des discours démagogiques. Elle faisait clairement allusion à l’opposant Vital Kamerhe. Le président de l’Union pour la nation congolaise avait exigé lors de son passage à Goma et Bukavu toute la lumière sur l’assassinat de Mamadou Ndala accusant en des termes durs le pouvoir de léthargie dans l’aboutissement de l’enquête.
‘‘A chaque fois que quelqu’un vient ici avec un discours démagogique, posez lui la question où se trouve sa femme ou étudient ses enfants. Joseph Kabila vous a donné la démocratie et vous qui critiquez, qu’avez-vous fait quand vous étiez en fonction. Cessez de mentir la population’’, a tonné Olive Lembe visiblement très remontée. La première dame a loué la bravoure du colonel assassiné. Elle a rappelé que les assassins de Mamadou Ndala se sont trompés en le tuant parce que, dit-elle, les autres mamadou sont là. Selon un acteur de la société civile locale, l’épouse du chef de l’état a tenu à calmer la tempête dans une ville où la mort de Mamadou symbolise la trahison du régime Kabila.
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Mort du chef maï-maï Morgan: que s’est-il passé à Molokaï ?
Retour sur l’affaire Morgan, du nom de ce chef maï-maï qui s’était rendu à l’armée et a trouvé la mort au cours de son transfert sur Bunia. Le 14 avril, Morgan a été blessé aux jambes à Molokaï, mais il arrive mourant à plus de 200 kilomètres de là, à la base de la Monusco à Komanda. A lire ici: http://rfi.my/SrFol6
Lundi 14 avril. Trois jeeps de l’armée prennent la route de Bunia. À leur bord, Morgan et une dizaine de Maï-Maï. L’objectif est dans un premier...
RFI
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Mort du chef maï-maï Morgan: que s’est-il passé à Molokaï? Plus de détails
DC
Capture d'écran de la vidéo montrant Morgan (à droite) au millieu des FARDC.RFI
Mort du chef maï-maï Morgan: que s’est-il passé à Molokaï?

Retour sur l’affaire Morgan du nom de ce chef maï-maï qui s’était rendu à l’armée et a trouvé la mort au cours de son transfert sur Bunia. Le 14 avril dernier, Morgan a été blessé aux jambes à Molokaï, mais il arrive mourant à plus de 200 kilomètres de là, à la base de la Monusco à Komanda.
Lundi 14 avril. Trois jeeps de l’armée prennent la route de Bunia. À leur bord, Morgan et une dizaine de Maï-Maï. L’objectif est dans un premier temps de retrouver à Molokaï le général Fall Sikabwe. Mais lorsque le convoi arrive sur place, le chef des opérations en Ituri n’est pas là. Il demande à être rejoint dans la ville voisine d’Epulu. Morgan refuse, argumentant qu’il a causé du tort aux populations de cette région. Le général finit par arriver avec plusieurs dizaines de militaires de sa garde rapprochée. Les deux hommes s’enferment alors dans l’une des jeeps pour discuter. La conversation dure 10 à 20 minutes à peine. Selon plusieurs témoignages, Morgan ressort visiblement perturbé.
Un premier coup de feu éclate, puis un deuxième. Le chef des Maï-Maï Simba – qui ne porte aucune arme sur lui – est blessé aux jambes. La garde rapprochée du général Fall Sibakwe a-t-elle pu penser que Morgan était sur le point de fuir ? Cet incident entraine en tout cas des échanges de tirs entre les escortes FARDC et les miliciens de Morgan.
Que s’est passé-t-il lors de ce tête-à-tête à Molokaï juste avant les coups de feu ? Selon le haut commandement militaire à Bunia, le chef de guerre avait posé de nouvelles conditions à sa reddition, et notamment de retourner en brousse pour regrouper ses hommes ou d’obtenir le grade de général au sein de l’armée congolaise. Il avait déjà parlé de tout cela lors des tractations entourant sa reddition, assurent d’autres sources. Morgan aurait même évoqué publiquement le fait qu’il allait être réintégré au sein de l’armée congolaise.
Parmi les questions auxquelles la justice militaire va devoir répondre, il s’agira de savoir ce qui avait été effectivement promis à Morgan, lui qui était censé être poursuivi pour crimes de l’humanité, comme c’est aujourd’hui le cas pour 35 de ses miliciens.
Un major interpellé
Le major Enoch Kinzambi est l’un des personnages clefs dans cette affaire. L’homme est actuellement dans les geôles de l’auditorat militaire de Bunia. Il est officiellement le premier officier FARDC interpellé dans le cadre de l’enquête de la justice militaire congolaise sur les circonstances de la mort de Morgan.
→ (RE)LIRE : RDC: information judiciaire ouverte sur la mort du chef maï-maï Morgan
Commandant du bataillon de Mambasa, le major Enoch a été chargé par le général Fall Sikabwe d’aller à la rencontre de Morgan et de superviser les premières étapes de sa reddition. Selon l’état-major militaire à Bunia, le général l’a interpellé après la mort de Morgan, l’accusant de ne pas avoir obéi à ses ordres, d’avoir menti en affirmant que le chef maï-maï et ses hommes étaient désarmés, voire d’être complice de Morgan.
Or, le 14 avril, au départ du convoi à Badengaïdo, selon les images reçues par RFI et France 24, tous les militaires congolais présents ne pouvaient ignorer que le chef maï-maï était désarmé et que certains de ses miliciens, eux, l’étaient bel et bien. Y compris un officier plus gradé que le major Enoch, le colonel Muziamu que l’on voit d’ailleurs s’entretenir dans la vidéo avec Morgan.
Pourquoi le major Enoch Kinzambi a-t-il alors été arrêté cette fois par le procureur militaire de Bunia ? Quel rôle a-t-il véritablement joué dans la mort de Morgan ? De sources concordantes, le major Enoch a déjà plusieurs fois démenti avoir joué un quelconque rôle dans les événements qui ont entraîné la mort du chef maï-maï. Il se serait en revanche ouvertement plaint des décisions prises par ses supérieurs hiérarchiques le jour J. Toujours selon ces mêmes sources, le major Enoch Kinzambi aurait notamment critiqué un usage excessif de la force à l’égard de Morgan et, une fois ce dernier blessé, de l’absence de soins qui aurait entrainé sa mort. Ces déclarations lui auraient valu de sérieuses inimitiés au sein de l’armée à Bunia.
Un premier coup de feu éclate, puis un deuxième. Le chef des Maï-Maï Simba – qui ne porte aucune arme sur lui – est blessé aux jambes. La garde rapprochée du général Fall Sibakwe a-t-elle pu penser que Morgan était sur le point de fuir ? Cet incident entraine en tout cas des échanges de tirs entre les escortes FARDC et les miliciens de Morgan.
Que s’est passé-t-il lors de ce tête-à-tête à Molokaï juste avant les coups de feu ? Selon le haut commandement militaire à Bunia, le chef de guerre avait posé de nouvelles conditions à sa reddition, et notamment de retourner en brousse pour regrouper ses hommes ou d’obtenir le grade de général au sein de l’armée congolaise. Il avait déjà parlé de tout cela lors des tractations entourant sa reddition, assurent d’autres sources. Morgan aurait même évoqué publiquement le fait qu’il allait être réintégré au sein de l’armée congolaise.
Parmi les questions auxquelles la justice militaire va devoir répondre, il s’agira de savoir ce qui avait été effectivement promis à Morgan, lui qui était censé être poursuivi pour crimes de l’humanité, comme c’est aujourd’hui le cas pour 35 de ses miliciens.
Un major interpellé
Le major Enoch Kinzambi est l’un des personnages clefs dans cette affaire. L’homme est actuellement dans les geôles de l’auditorat militaire de Bunia. Il est officiellement le premier officier FARDC interpellé dans le cadre de l’enquête de la justice militaire congolaise sur les circonstances de la mort de Morgan.
→ (RE)LIRE : RDC: information judiciaire ouverte sur la mort du chef maï-maï Morgan
Commandant du bataillon de Mambasa, le major Enoch a été chargé par le général Fall Sikabwe d’aller à la rencontre de Morgan et de superviser les premières étapes de sa reddition. Selon l’état-major militaire à Bunia, le général l’a interpellé après la mort de Morgan, l’accusant de ne pas avoir obéi à ses ordres, d’avoir menti en affirmant que le chef maï-maï et ses hommes étaient désarmés, voire d’être complice de Morgan.
Or, le 14 avril, au départ du convoi à Badengaïdo, selon les images reçues par RFI et France 24, tous les militaires congolais présents ne pouvaient ignorer que le chef maï-maï était désarmé et que certains de ses miliciens, eux, l’étaient bel et bien. Y compris un officier plus gradé que le major Enoch, le colonel Muziamu que l’on voit d’ailleurs s’entretenir dans la vidéo avec Morgan.
Pourquoi le major Enoch Kinzambi a-t-il alors été arrêté cette fois par le procureur militaire de Bunia ? Quel rôle a-t-il véritablement joué dans la mort de Morgan ? De sources concordantes, le major Enoch a déjà plusieurs fois démenti avoir joué un quelconque rôle dans les événements qui ont entraîné la mort du chef maï-maï. Il se serait en revanche ouvertement plaint des décisions prises par ses supérieurs hiérarchiques le jour J. Toujours selon ces mêmes sources, le major Enoch Kinzambi aurait notamment critiqué un usage excessif de la force à l’égard de Morgan et, une fois ce dernier blessé, de l’absence de soins qui aurait entrainé sa mort. Ces déclarations lui auraient valu de sérieuses inimitiés au sein de l’armée à Bunia.
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ACTU Yahoo 06 05 014
José Mourinho, en exclusivité sur Yahoo
Etes-vous suffisamment "spécial" pour l'impressionner ?
Avec Yahoo, José Mourinho se lance à la recherche de dix joueurs aux dons exceptionnels, pour en faire ses "Special Ones".
Mariah Carey bientôt divorcée ?
Mariah Carey va-t-elle repasser par la case divorce ? A en croire OK ! magazine, rien ne va plus entre la diva et son mari Nick Cannon. La chanteuse veut rompre mais elle a peur que son (futur ex ?) mari exige une partie de sa fortune.Closeril y a 26 mnLe "séducteur de l'Essonne" avait tenté d'amadouer une enquêtrice
Avant que les soupçons d'assassinat ne se portent sur lui, Jamel Leulmi offrait des fleurs et invitait à déjeuner une gendarme chargée de l'enquête.Francetv infoBachelor : « Le soufflé est un petit peu retombé »
Paul, le Bachelor, et Alix, sa prétendante, pensaient avoir trouvé l’amour, le vrai. Hélas, cela n’a pas duré : dorénavant séparés, ils expliquent ce qui n’a pas fonctionné dans leur relation.Voici.fril y a 58 mn: Mais rhabillez-vous, madame !
Pour le traditionnel Met Ball, Madonna avait envie de s’habiller avec… presque rien. Une « tenue » - si on peut l’appeler comme ça - très osée qu’elle a posté sur Instagram.Voici.frRonflements : les solutions qui fonctionnent
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Invité hier soir, lundi 5 mai, de The Voice Belgique, Florent Pagny a raté une marche lors de son entrée en scène, manquant de chuter. Un moment de solitude qu'il a malgré tout rattrapé avec le sourire, continuant à chanter.GentsideSexe : de quoi les femmes ont-elles vraiment envie ?
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Plus de 300.000 femmes sont porteuses de prothèses mammaires en silicone en France et elles doivent être clairement informées que les implants devront être changés après 7 à 10 ans en moyenne, selon un rapport de l'agence du médicament ANSM.AFPil y a 27 mnMali: un commando jihadiste tue des informateurs de l'armée française
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Martin Cobb, un enfant de huit ans, a été tué en protégeant sa soeur de son agresseur. Son sacrifice est célébré par les habitants de sa ville natale.LePoint.frOM : Bielsa en fait vraiment baver aux joueurs
Les Marseillais peuvent trembler. Avec l'arrivée de Marcelo Bielsa aux manettes, les entraînements devraient être bien plus durs qMaxifootil y a 18 mnAides à la presse : qui touche le plus ?
Pour la deuxième année consécutive, l'Etat a rendu publique la répartition des 400 millions d'euros d'aides versés à la presse écrite.LeMonde.fril y a 28 mnLes approximations économiques de François Hollande
Le chef de l'Etat a répondu à Jean-Jacques Bourdin et à ses auditeurs. Mais il a commis pendant l'heure d'antenne plusieurs erreurs ou approximations économiques.LeMonde.frIl s'offre la maison la plus chère des USA
Le dirigeant d’un Hedge Fund vient d’acheter une propriété de plus 7 hectares sur l’île de Long Isla ...LaVieImmo
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Ronflements : les solutions qui fonctionnent

Quoi de plus pénible que de dormir, ou du moins d'essayer, dans la même chambre qu'un ronfleur ? Et plus on avance en âge, plus le problème augmente: après 50 ans, 60 % des hommes ronflent et quelques femmes s’y mettent. Les bonnes solutions pour retrouver des nuits calmes.
Pourquoi faut-il consulter ?Mais d'où provient ce bruit si pénible ? Le ronflement est la conséquence de l'obstruction intermittente complète ou partielle des voies aériennes supérieures. Lorsque celles-ci sont obstruées, le voile du palais et la luette se mettent à vibrer... et à produire du bruit. Si le ronflement constitue d'abord une gêne sociale - « c'est une situation inédite pour le médecin qui va traiter une personne pour satisfaire le bien-être d'une autre », note Frédéric Chabolle, chef du service ORL à l'hôpital Foch de Suresnes.
Il peut aussi être le signe d'une pathologie plus grave, l'apnée du sommeil. Pour cette raison, il est conseillé à tous les ronfleurs de consulter un ORL. Seul ce professionnel pourra s'assurer, après un entretien avec le patient, un examen anatomique et un enregistrement du sommeil s'il s'agit d'un ronflement simple, c'est-à-dire non associé à de l'apnée du sommeil, ou compliqué. Néanmoins, si vous êtes souvent fatigué, sujet à de la somnolence ou à des migraines, ces signes doivent vous alerter et vous inciter à consulter. Après s'être assuré qu'il ne s'agit que d'un ronflement simple, l'ORL pourra vous proposer différentes solutions.
Les mesures hygiéno-diététiques - La surcharge pondérale constitue la principale cause de ronflement. Si vous êtes en excès de poids, c'est le moment de perdre quelques kilos. Pour vous y aider, n'hésitez pas à rencontrer un médecin nutritionniste. Il n’est pas facile de changer ses habitudes !
- En diminuant le tonus des muscles du palais, l'alcool, les somnifères, les anxiolytiques et les antihistaminiques favorisent le ronflement. Diminuez votre consommation d'alcool le soir et voyez avec votre médecin si vos prescriptions médicales ne peuvent pas être adaptées.
- Arrêtez de fumer : en entraînant une inflammation chronique des voies aériennes supérieures, le tabac favorise également le ronflement.
- (...) Lire la suite sur Topsanté
Le chant : un anti-ronflement efficace
3 conseils pour arrêter de ronfler
Ronflement : les femmes font de plus en plus de bruits !
Votre enfant ronfle ? Et si c'était les amygdales ?
Ronflements: la radiofréquence, ça marche ?
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Vidéo : Vital Kamerhe invité du journal d'Africa 24
Chers tous,
--
Prière de suivre le Président de l'Union pour la Nation Congolaise au journal d'Africa 24 de ce mardi 6 mai 2014.
Il parle des sujets d'actualités en République Démocratique du Congo :
- Expulsion de congolais à Brazzaville et en Angola ;
- La position de l'Union pour la Nation Congolaise sur la fin du mandat de Joseph Kabila ;
- La suite du cycle électoral en RDC.
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Union pour la Nation Congolaise
Cellule de Communication
+243 81 7 007 487& +243 81 8 136 136
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ACTU Radio OKAPI
Radiookapi.net : 30 articles | ![]() |
- Echos d’économie du mardi 6 mai 2014
- Kinshasa: début de l’élaboration du plan d’actions de l’accord d’Addis-Abeba
- Katanga: 1500 kg de chanvre incinérés à Kamina depuis janvier
- Mambasa: retour des habitants qui avaient fui après la mort de Morgan
- UNICEF: Administrateur chargé de l’éducation
- Bandundu: des enseignants de 50 écoles désertent les classes pour percevoir leurs salaires
- Lubumbashi : un avocat accuse la police d’avoir torturé son client
- RDC: 5 ans de prison requis en appel contre la Belge condamnée pour déplacement illicite d’enfant
- Procès de Minova : la Monusco «prend note» du verdict prononcé à Goma
- Katanga: 7 morts dans un accident de circulation à Kamina
- Kinshasa : pénurie d’eau à Kinsuka-pêcheur depuis deux semaines
- Bas-Congo : la réhabilitation de la route Nsanga-Nord appréciée par les commerçants
- Accord cadre d’Addis-Abeba : le Mécanisme de suivi élabore un plan d’action national
- Le Karmapa parle de “M. le député”, sa chanson polémique
- Equateur: vaccination des enfants de moins de 23 mois contre la polio
- Nord-Kivu : des conseillers militaires et de la police des Nations unies en visite à Goma
- Ndolamb Ngokwey : « Les Nations unies m’ont aidé à comprendre les réalités de certains pays »
- Le goitre : quelles sont les causes et comment le prévenir ?
- Les préalables à réunir avant de créer une ONG
- Sud-Kivu : formation de 90 victimes de violence sexuelle à Bukavu
- Bas-Congo : recyclage des motards de la ville de Matadi
- Mag UN : le paludisme, un défi à relever en RDC
- Monusco: Programme Assistant
- Un nouveau déraillement fait 5 morts au Katanga
- Naufrage sur le lac Kivu : la Monusco a repêché 14 survivants
- Les opposantes dénoncent les expulsions des Congolais de RDC de Brazzaville
- Elections en RDC : l’opposition et la majorité interprètent différemment le message de John Kerry
- Mark Bristow : Kibali Gold compte produire jusqu’à 18 tonnes d’or cette année
- L’Avenir : « Procès de Minova: 25 militaires des FARDC condamnés de 10 à 20 ans de prison »
- Mark Bristow : « Kibali Gold Mine paye ses royalties conformément aux lois »
Posted: 06 May 2014 12:07 PM PDT L’émission “Echos d’économie” de ce mardi s’est intéressée aux travailleurs de la Société minière de Kilo moto (Sokimo) qui réclament 24 mois d’arriéré de salaire. Le ministre des Mines, Martin Kabwelulu Labilo avait dernièrement exprimé la volonté du gouvernement de décanter cette situation. Ce magazine économique revient sur la Foire agro pastorale qui se tient depuis [...] |
Posted: 06 May 2014 11:42 AM PDT Le Mécanisme national de suivi a entamé, mardi 6 mai à Kinshasa, l’élaboration d’un plan d’actions pour concrétiser les engagements de la RDC dans l’accord-cadre d’Addis-Abeba, signé en février 2013. Ce document sera élaboré à l’issue de l’atelier de quatre jour que le Mécanisme national de suivi de l’accord d’Addis-Abeba (MNS) organise en collaboration avec le [...] |
Posted: 06 May 2014 11:31 AM PDT Plus de 1500 kg de chanvre ont été incinérés depuis le début de l’année dans le territoire de Kamina au (Katanga. L’auditeur militaire de garnison du Haut Lomami, major Richard Mavula, a livré ce chiffre, lundi 5 mai, au cours de l’opération d’incinération de plus de 200 kg de chanvre, saisis à la gare de [...] |
Posted: 06 May 2014 11:09 AM PDT Les habitants du territoire de Mambasa (Province Orientale) qui avaient fui leurs villages après la mort du chef milicien Paul Sadala alias « Morgan » en avril dernier commencent à rentrer. Ils avaient trouvé refuge dans le territoire voisin de Bafwasende, craignant des représailles des hommes de Morgan après la mort de leur leader qui s’était rendu [...] |
Posted: 06 May 2014 10:55 AM PDT Grade : NO-B Position n° et lieu d’affectation : 52726 (Goma) Type de contrat : Fixed-Term avec une durée initiale de 2 ans renouvelable Avis de Vacance n° : VN/2014/NO/16 Date de clôture de la publication : 12 Mai 2014 1. Objet du poste, Principales Tâches et Responsabilités Sous la supervision [...] |
Posted: 06 May 2014 10:32 AM PDT |
Posted: 06 May 2014 10:15 AM PDT |
Posted: 06 May 2014 09:39 AM PDT Le ministère public a requis en appel 5 ans de servitude pénale contre la Belge Senechal Laurence, condamnée en première instance à 6 mois de prison et au paiement de 300 000 francs congolais (environ 325 dollars américains) pour déplacement illicite d’enfant. Le juge d’appel au Tribunal de grande instance de la Gombe a pris [...] |
Posted: 06 May 2014 09:37 AM PDT La Monusco «prend note» de l’arrêt de la Cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu, prononcé lundi 5 mai contre une quarantaine de militaires, poursuivis pour viols, meurtre, pillages et dissipation de munitions. Ces soldats de l’armée congolaise étaient poursuivis pour des exactions commises en novembre 2012 à Minova et ses alentours dans la province du Sud-Kivu, [...] |
Posted: 06 May 2014 08:43 AM PDT |
Posted: 06 May 2014 08:31 AM PDT L’eau ne coule plus des robinets dans le quartier Kinsuka-pêcheur, dans la commune de Lingwala, à Kinshasa, depuis plus de deux semaines. Les habitants de ce quartier s’étonnent de continuer à recevoir les factures de la Regie de distribution d’eau (Regideso) comme si la situation était normale. A longueur de journées, des femmes et des enfants [...] |
Posted: 06 May 2014 08:29 AM PDT Le porte-parole des opérateurs économiques du district du Bas-Fleuve, Joseph Mabanga, a félicité lundi 5 mai le gouvernement du Bas-Congo pour la réhabilitation de la route Nsanga Nord, dans le territoire de Tshela, à plus de 200 Km à l’Ouest de Matadi. Dans un point de presse animé à Matadi, M. Mabanga a indiqué que la [...] |
Posted: 06 May 2014 08:28 AM PDT Le Mécanisme national de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba (MNS) ouvre mardi 6 mai un atelier d’élaboration de son plan d’action. Une étape préalable à la définition des actions à réaliser par rapport à l’application des engagements nationaux que la RDC a pris dans l’accord cadre d’Addis-Abeba, explique François Muamba, son coordonnateur. «Par exemple, l’engagement [...] |
Posted: 06 May 2014 08:12 AM PDT La chanson « Monsieur le député » est la plus prisée de l’album « Le millionnaire » du musicien congolais Le Karmapa. Dans l’opinion publique congolaise, certains mélomanes pensent que Le Karmapa a lancé des piques aux députés congolais dont les émoluments élevés comparés au salaires moyens font parfois l’objet de polémiques. Le chanteur s’en [...] |
Posted: 06 May 2014 08:09 AM PDT La 4e édition de la semaine africaine de vaccination a été lancée lundi 5 mai à Mbandaka, chef-lieu de l’Equateur. Pendant sept jours, des enfants de moins de 23 mois seront vaccinés contre la poliomyélite et recevront de la vitamine A. Cette campagne consistera également à administrer aux enfants les médicaments contre des vers intestinaux. [...] |
Posted: 06 May 2014 08:00 AM PDT Une délégation de la communauté des conseillers militaires et de la police des Nations-Unies (MPAC) basée à New-York est arrivée lundi 5 mai à Goma (Nord-Kivu). Selon le général de brigade de cette mission, Franz Bern-Dorfer, le but de la visite est de soutenir les troupes déployées au sein de la Mission des Nations unies [...] |
Posted: 06 May 2014 07:35 AM PDT L’invité de Grand Témoin de cette semaine s’appelle Ndolamb Ngokwey. Il est professeur d’Université et ancien représentant adjoint du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire. Dans son entretien avec Kelly Nkute, le professeur Ndolamb Ngokwey, congolais d’origine, parle de son expérience et de son parcours au sein du système des Nations Unies où il [...] |
Posted: 06 May 2014 07:30 AM PDT Le goitre est une augmentation diffuse de volume du corps thyroïde. D’après les spécialistes, il se manifeste par un gonflement de la région antérieure du cou. Cette affection est très fréquente dans certaines régions de la RDC. -Quelles sont les causes de contamination à cette affection ? Jody Nkashama s’entretient sur ce sujet avec le [...] |
Posted: 06 May 2014 07:30 AM PDT Une ONG est une structure que 6 ou 7 personnes peuvent créer en vue de trouver des solutions aux problèmes qui se posent dans une communauté. Il peut s’agir de la santé, éducation, alphabétisation, etc. -Quels sont les préalables à réunir avant de créer une ONG ? Jody Nkashama discute de ce sujet avec Brigitte [...] |
Posted: 06 May 2014 07:29 AM PDT Quatre vingt dix femmes survivantes de violences sexuelles ont bénéficié d’une formation sur le leadership féminin et la thérapie du désordre de stress post-traumatique pendant six mois à Bukavu (Sud-Kivu). C’est la 5e édition de formation organisée dans la cité de la joie qui encadre près 400 femmes victimes de violences sexuelles à l’est de [...] |
Posted: 06 May 2014 07:28 AM PDT Cent vingt cinq motards qui assurent le transport en commun dans la ville de Matadi et ses environs (Bas-Congo) ont suivi une formation sur les techniques de conduite responsable d’une moto ainsi que sur le code de la route. Les séances de recyclage ont été organisées du 30 avril au 3 mai 2014.Selon le gouvernement [...] |
Posted: 06 May 2014 06:54 AM PDT La RDC partage avec le Nigeria en effet 40% des 207 millions des cas estimatifs, selon des statistiques de l’OMS pour 2013. Dr. Bakary Sambou de l’Organisation mondiale de la santé en RDC l’a souligné mercredi dernier. Il était l’invité spécial de la conférence de presse des Nations unies à Kinshasa. Un atelier a réuni lundi [...] |
Posted: 06 May 2014 06:26 AM PDT Programme Assistant, GL-5 ________________________________________ DATE LIMITE DE DEPOT DES CANDIDATURES: 20 Mai 2014 DATE DE PUBLICATION: 6 Mai 2014 LIEU D’AFFECTATION: Multiple location/multiple postes NUMERO DE LA VACANCE: MONUSCO/47/PGM/2014 Cette vacance est ouverte exclusivement aux ressortissants de la République Démocratique du Congo Valeurs cardinales des Nations Unies: Intégrité, Professionnalisme, Respect de la Diversité Responsabilités: Ce [...] |
Posted: 06 May 2014 04:39 AM PDT Un nouveau déraillement de train est survenu la nuit du dimanche 4 mai dernier sur l’axe Kitamba-Muadi Kayembe dans la localité de Kabongo au Katanga, à la frontière avec le Kasaï Oriental.Le bilan provisoire fait état de cinq morts. Des sources policières indiquent qu’il s’agit du train marchandise de secours, envoyé de Kanyama à Katongola [...] |
Posted: 06 May 2014 04:32 AM PDT Les forces de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) ont repêché quatorze survivants après le naufrage survenu lundi sur le lac Kivu dans la province du Nord-Kivu. Dans un communiqué publié mardi 6 mai, le chef de la mission onusienne, Martin Kobler, a indiqué que ce secours a été possible [...] |
Posted: 06 May 2014 04:30 AM PDT La Tribune des femmes politiques de l’opposition (TFPO) dénoncent les expulsions des Congolais de la RDC vivant à Brazzaville, capitale de la République du Congo. Une quarantaine d’entre elles ont organisé un sit-in devant l’ambassade du Congo-Brazzaville lundi 5 mai. Elles demandent au gouvernement de rappeler son ambassadeur et de fermer les frontières. L’opération d’expulsion [...] |
Posted: 06 May 2014 03:01 AM PDT |
Posted: 06 May 2014 02:31 AM PDT Kibali Gold a inauguré vendredi dernier son usine d’or à Doko en Province Orientale. Ce projet est le fruit du partenariat entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et une société privée regroupant Randgold de la Côte d’Ivoire et Anglogold de l’Afrique du Sud. Invité de Radio Okapi mardi 6 mai, le [...] |
Posted: 06 May 2014 01:53 AM PDT Revue de presse du 6 mai 2014 Sur les trente-neuf soldats et officiers congolais qui comparaissaient dans le procès de « Minova », seuls trois ont été condamnés pour viol : un lieutenant-colonel a été condamné à perpétuité, tout comme un sous-officier reconnu coupable de viol et meurtre et un caporal a écopé de dix [...] |
Posted: 05 May 2014 12:54 PM PDT A l’occasion de l’inauguration d’une usine d’or à Doko en Province Orientale, le président du comité de gérance de Kibali Gold Mine, Mark Bristow, a déclaré que son entreprise payait ses royalties conformément aux lois congolaises. Cette question des royalties divise depuis plusieurs mois la Sokimo et Kibali Gold Mines. La Sokimo accuse Kibali de [...] |
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Jean-Pascal Labille invite le président Joseph Kabila à "respecter la Constitution
Jean-Pascal Labille invite le président Joseph Kabila à "respecter la Constitution"
Belga, 06/05/14

Le Ministre belge de la Coopération au développement, Jean-Pascal Labille
Le ministre belge de la Coopération au développement, Jean-Pascal Labille, a implicitement appelé mardi 06 Mai le président congolais Joseph Kabila à ne pas briguer de troisième mandat à la tête de la République démocratique du Congo (RDC), joignant ainsi sa voix à celle du chef de la diplomatie américaine, John Kerry.
"Lorsqu'il y a une Constitution qui prévoit un certain nombre de mandats, cette Constitution doit être respectée", a-t-il affirmé devant les 7èmes assises de la Coopération belge au développement qui se tenaient au palais d'Egmont à Bruxelles. "Sinon, à quoi sert-il d'écrire une Constitution", a ajouté M. Labille, parlant de "règles de base que nous devons respecter".
La Constitution congolaise, adoptée par référendum en décembre 2005, interdit au président d'exercer plus de deux mandats d'affilée. Mais nombre d'opposants soupçonnent le clan présidentiel de vouloir modifier la loi fondamentale pour permettre à M. Kabila de se maintenir au pouvoir au delà de l'expiration de son second mandat, en décembre 2016. En visite à Kinshasa, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, avait exhorté dimanche le chef de l'Etat congolais à quitter le pouvoir à l'issue de son second quinquennat.
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Joseph Kabila interview sur son éventuel départ après l'expiration son mandat en 2016
Distribué par:
Mwalimu Kadari M. Mwene-Kabyana, Ph.D.
Montréal: Tél. (001) 438-994-6072
Montréal: Tél. (001) 438-994-6072
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