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Channel Details:
  • Title: Une nouvelle Afrique voit jour
  • Channel Number: 6061327
  • Language: French
  • Registered On: December 6, 2012, 10:25 am
  • Number of Articles: 7879
  • Latest Snapshot: May 7, 2020, 12:24 pm
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Communication de la représentation de l'UDPS ce samedi 28 février 015

February 26, 2015, 6:32 am
≫ Next: Mende défend Kabila
≪ Previous: Rwanda-RDC Délimitation du territoire sous haute tension
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COMMUNIQUÉ

La représentation de l’UDPS au Canada invite la presse, les sympathisants
et les membres du parti à une communication que le Représentant fera sur
l’UPDS et ses récents entretiens avec M. Etienne Tshisekedi, le Président
de l’UDPS et Président élu de la R.D.C.

Lieu de la communication : Centre Richelieu, 300 avenue Pères blancs, Vanier
Date: le samedi 28 février 2015
Heure: de 17h00 à 18h00

Vous êtes tous les bienvenus.

Marc Kapend
Représentant
__._,_.___
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Mende défend Kabila

February 26, 2015, 6:34 am
≫ Next: RDC-Rwanda : la nouvelle frontière en gestation
≪ Previous: Communication de la représentation de l'UDPS ce samedi 28 février 015
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Dans un style pire Mobutiste, Lambert Mende Omalanga, toute la denture dehors dans son théâtre de défense enfant non admis pour Joseph Kabila. Allez-y voir !...]
Antwort an: Congo@yahoogroupes.fr
 


https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=CqtoTXdAnrw !

Albert
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RDC-Rwanda : la nouvelle frontière en gestation

February 26, 2015, 6:36 am
≫ Next: Feuilleton Vital Kamerhe & Wivine Moleka: quand la justice est instrumentalisée !
≪ Previous: Mende défend Kabila
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RDC-Rwanda : la nouvelle frontière en gestation

24 février 2015
http://7sur7.cd/images/phare.jpg2.jpg
 
Après cinq ape de travaux, les experts congolais et rwandais se Sont finalement mis d’accord sur la délimitation de la frontière commune séparant la RDC et le Rwanda. Et comme signal fort de leur « compromis », ils ont fait ériger le samedi 21 février 2015 au village Bushawaga, situé à 10 km de Goma, dans le territoire de Nyiragongo, une « borne géodésique ». Il est question de réinstaller, à partir de cette borne de références au moins 17 bornes sur les 22 détruites par on ne sait qui et pour des raisons inavouées, selon le constat fait en 2009.
 
On rappelle que le Rwanda n’a cessé de réclamer, depuis l’arrivée au pouvoir de Paul Kagame en 1994 et l’affaiblissement militaire de la RDC, la révision de la frontière commune. A Kigali, on parlait même de la nécessité d’organiser une Conférence de Berlin Il, afin de réexaminer les frontières de 1885. Dans le souci de mettre un terme aux incidents frontaliers récurrents entre les armées congolaise et rwandaise, les Nations Unies et l’Union Africaine avaient recommandé la mise sur pied d’une commission mixte, chargée de revisiter le tracé de cette frontière. A en croire lesdits experts, la frontière entre le Rwanda et la RDC, héritée de la colonisation belge depuis 1911, ne serait pas modifiée. Ils affirment que la pose de nouvelles bornes devrait obéir aux données recueillies sur le terrain, à celles des archives datant de 1911, des cartes géographiques ainsi qu’à celles de GPS.
 
Pourquoi maintenant?
 
Même si les officiels congolais soutiennent que l’opération ne comporterait aucun risque pour la partie congolaise, elle ne soulève pas moins des interrogations. La première concerne le moment choisi pour passer aux actes, à savoir les vacances parlementaires. Pourquoi n’avoir jamais porté un tel dossier au niveau des deux chambres du Parlement, afin que sénateurs et députés en débattent et fixent la nation sur l’opportunité ou non’ de poser de nouvelles bornes pour séparer la RDC du Rwanda. Depuis 2009, c’est le même scénario. C’est presque toujours pendant les vacances parlementaires que les experts des deux pays s’activent pour faire avancer les travaux relatifs au tracé de la frontière commune.Qu’est-ce qui fait qu’une question aussi sensible ne donne toujours pas lieu à un débat national, comme cela se passe dans des Etats où les gouvernants tiennent compte de l’opinion publique avant de décider des matières qui touchent à la souveraineté nationale?
 
La seconde question est de savoir pourquoi l’on s’est précipité à planter une nouvelle borne au Nord-Est de la ville de Goma, alors que la fièvre pré-électorale provoquée par la publication, par la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) du calendrier électoral global bat son plein aux quatre coins du pays et chez nos compatriotes de la diaspora. Fort préoccupée par les contraintes financières et pesanteurs politiques de nature à provoquer le glissement effectif du processus électoral, la communauté nationale risque de rie pas prêter suffisamment attention à ce qui se passe dans la partie Est du pays. Le modus operandi choisi par les experts rwandais et congolais ne serait-il pas de mettre les populations congolaises devant le fait accompli?
 
Et si l’on se trompait de tracé?
 
Dans le dossier de la délimitation de la frontière congolo-rwandaise, l’on ne comprend pas pourquoi tout se passe au niveau d’un petit carré d’initiés. S’il n’y a rien à cacher à la multitude, le devoir de transparence aurait dû inciter les décideurs congolais à recueillir les avis et considérations du plus grand nombre, ‘afin que l’option finale à lever ne s’apparente pas à la remise en cause de ce qui avait été décidé par les puissances occidentales à Berlin, en 1885.
 
A présent que l’opération de pose de nouvelles bornes est lancée, qu’arriverait-il s’il s’avérait, dans on avenir proche ou lointain, que les fameux « experts » se seraient trompés dans leurs études? L’on sait, de tradition, que chaque fois que se pose un problème de « borne » aux frontières avec ses voisins, la RDC n’est jamais gagnante. On l’avait vécu en 2007 à Kahemba, lorsque des militaires angolais avaient visiblement déplacé des bornes pour faire gagner à leur pays des espaces à l’intérieur du territoire congolais. De graves divergences étaient apparues entre l’Assemblée Nationale et le gouvernement, au point que l’exécutif avait finalement opté pour la position de Luanda, au détriment de l’intérêt des filles et fils de la RDC.

A l’époque de Mobutu, le Burundi avait gagné plusieurs kilomètres carrés de terres du côté d’Uvira, sous prétexte du redressement de la frontière commune. Depuis un temps plus ou moins long, l’armée ougandaise se permet plusieurs incursions en territoire congolais, en soutenant que les villageois congolais occuperaient anarchiquement leur territoire. On ne sait plus compter le nombre de fois que les douaniers congolais sont chassés de leurs postes par des militaires ougandais, dans la même optique de l’annexion d’une partie de la Province Orientale à l’Ouganda. Bref, en acceptant un nouveau bornage de la frontière commune, Kinshasa s’est engagé dans une voie à très haut risque, qui pourrait causer du tort aux générations futures, compte tenu des velléités d’extension de l’espace géographique rwandais. Kimp
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Feuilleton Vital Kamerhe & Wivine Moleka: quand la justice est instrumentalisée !

February 26, 2015, 6:38 am
≫ Next: RDC : tarifs aériens scandaleux
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Arrivée de l’Honorable Vital Kamerhe à la CSJ pour l’audience du procès qui l’oppose au duo « Procureur général de la République et Wivine Moleka »
 
https://vimeo.com/120376606
 
Décision de la CSJ et ambiance à la sortie de l’Honorable Vital Kamerhe
 
https://www.facebook.com/video.php?v=785673041512265

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RDC : tarifs aériens scandaleux

February 26, 2015, 6:39 am
≫ Next: RDC: la société civile du Katanga avance ses idées pour les élections
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25/02/15
http://7sur7.cd/images/Potentielimages.jpg
 
En RDC, ce sont des commerçants qui font l’aviation. Cette assertion provient d’un visiteur étranger qui a été scandalisé par le tarif passagers et fret aériens en vigueur en RDC depuis quelques temps. Voyager par avion à l’intérieur du pays est devenu un luxe pour les congolais moyens. Alors qu’il revient à la somme de 680 dollars Us entre Kinshasa-Jobourg, 980 §Us sur Bruxelles et Paris. Ce qui étonne et scandalise plus d’un Congolais, c’est que les tarifs entre les autres capitales africaines et certains pays de l’Europe Occidentale, particulièrement la France, la Belgique, l’Italie, l’Espagne, Lisbonne ne dépassent pas la somme de mille dollars Us pendant la période normale.
 
Tout récemment, le ministre de l’Economie a réuni les exploitants aériens pour parvenir à des tarifs acceptables et répondant aux normes établies par l’IATA et l’APAVE. Il semble que les violons sont encore loin de s’accorder du fait du refus opposé par les compagnies aériennes privées de droit congolais qui se cabrent derrière le prétexte de monopole pour maintenir ces tarifs scandaleux.
 
Qui fixe les prix en RDC ?
 
Qu’on le veuille ou pas, c’est le ministère de l’Economie qui, en accord avec les ministères des Transports, du Commerce et de l’Energie, qui est compétent pour fixer les prix des produits et services dans tous les domaines de la vie nationale et plus particulièrement dans le secteur des transports. Un secteur si stratégique qui requiert des études approfondies pour protéger l’économie congolaise et le pouvoir d’achat des usagers.
Pour le secteur aérien, c’est l’IATA qui publie chaque année des manuels des tarifs (Airline passenger tarif ou APT) sur lesquels se basent les exploitants aériens à travers le monde. Bien entendu, chaque compagnie aérienne, au nom du libéralisme économique, fixe ses propres tarifs en tenant compte de la concurrence. La priorité est accordée à la maîtrise des coûts d’exploitation doublée de la recherche des stratégies pour attirer le plus des clients possible et du fret sur les différentes lignes. Détenir le monopole ne donne pas le droit de fixer des tarifs scandaleux sans que les pouvoirs publics ne lèvent le petit doigt.
 
La structure des prix du carburant
 
Outre les taxes, redevances aéronautiques relatives à l’atterrissage, au stationnement, aux routes, à la météo, le carburant occupe une place prépondérante estimée entre 45 et 50 % dans les charges d’exploitation. Autrement dit, la fixation du coût du billet d’avion et du fret doit tenir compte de l’évolution des différents éléments de la structure des prix du carburant. Un travail qui est de la compétence des experts des différents ministères, notamment les Transports, l’Energie, le Commerce, l’Economie et les services de sécurité de l’Etat. D’autant plus que le secteur aérien est d’une importance stratégique pour un pays aux dimensions d’un continent.
 
Comment peut-on laisser une compagnie aérienne fixer des tarifs exorbitants sous prétexte de détenir le monopole dans un secteur aussi stratégique ? Etant donné que le tarif des prix est fixé par les experts des différents ministères et que ce faisant, l’Etat semble encourager ce qui est interdit par les principes élémentaires de la loi économique à travers le monde, à savoir le système de dumping pourtant prohibé dans des Etats développés de l’Occident pour protéger le pouvoir d’achat des usagers et faciliter les échanges commerciaux dès lors que les éléments de la structure des prix du carburant n’ont pas été revus à la hausse tout comme les différentes taxes, redevances dues à l’Etat ainsi que d’autres prestations.

Que dire des compagnies aériennes étrangères de la trempe de Kenya Airways, Ethiopian Airways, SAA, Turkish Arline, SN Brussels, Air France, etc… qui pratiquent des tarifs convenables pour des trajets pourtant plus longs ? Le tarif d’un vol Kinshasa-Jobourg par SAA revient à 680 dollars Us aller-retour pour un trajet de trois heures de vol alors que la compagnie aérienne CAA qui se vante de détenir le monopole en RDC réclame 1.280 dollars pour un vol de deux heures entre Kinshasa-Lubumbashi ou Bukavu. Ethiopian Airlines vend à 550 dollars Us le billet aller-retour Kinshasa-Bujumbura. Les passagers en partance pour Bukavu prennent ce vol qui dure quatre heures pour Addis Abeba où ils passent la nuit à la charge de ladite compagnie avant de reprendre le vol le lendemain vers Bujumbura où ils prendront un taxi jusqu’à Bukavu. Il en est de même pour ceux de Goma qui transiteront par Kigali.

Le prétexte du monopole est à prohiber si l’Etat veut protéger son économie et le pouvoir d’achat de ses habitants. Il est inacceptable qu’une compagnie aérienne se donne le luxe d’imposer des tarifs exorbitants dépassant ceux pratiqués par ses concurrentes qui exploitent des trajets plus longs. Les mêmes pratiques se vivent dans l’espace maritime. Le prix du transport maritime pour le fret entre le port d’Anvers et celui de Boma revient à 1.250 Euros pour une voiture alors qu’il coûte 600 Euros au port de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville. Et pourtant, la structure des prix du transport maritime repose sur les mêmes éléments de calcul. A qui profite la situation ? Suivez mon regard. F.M.
 
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RDC: la société civile du Katanga avance ses idées pour les élections

February 26, 2015, 6:40 am
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Publié le 25-02-2015
http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2014/09/rfi.jpg
 
En RDC, la société civile a réagi à la publication du calendrier électoral et à la promulgation de la loi électorale. Les deux actes constituent la base pour la tenue des élections démocratiques, libres et transparentes. Celles qui devront consolider la démocratie et l'alternance politique en RDC, estime le collectif des associations de la société civile de la province cuprifère. Mais pour contourner les différentes contraintes communiquées par la Commission électorale nationale indépendante (Céni), cette structure fait des propositions pour collecter au pays des fonds qui peuvent permettre le financement de ces élections.
 
Dans sa déclaration, le collectif des organisations de la société civile du Katanga relève que le gouvernement central a failli à ses obligations étatiques, celles de mettre à la disposition de la Céni des moyens indispensables pour l’organisation des élections selon les cycles constitutionnels. Alors des propositions tout à fait originales sont faites pour rassembler les fonds qui pourront aider à l’organisation des futures élections prévues cette année et en 2016. Les auteurs de la « déclaration de Lubumbashi » appellent le président de la République à initier des audits dans les institutions afin de retracer les destinations et affectations des sommes générées par la bancarisation et les différentes taxes, y compris la TVA. Ils souhaitent aussi la diminution des émoluments et autres avantages des députés nationaux et provinciaux, des sénateurs et des gouverneurs des provinces.
 
Quant au gouvernement, il lui est proposé de retenir à la source l’impôt sur les rémunérations et salaires des fonctionnaires à tous les niveaux et réduire le nombre des missions officielles. La population, elle, est invitée à s’approprier l’organisation des élections en procédant à des collectes de fonds au profit de la Céni à travers les différentes structures associatives du pays.
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L’après – Joseph Kabila : les candidats se bousculent

February 26, 2015, 6:41 am
≫ Next: FACE A L’IMBROGLIO QUI POINTE A L’HORIZON Le vrai dialogue avant les élections
≪ Previous: RDC: la société civile du Katanga avance ses idées pour les élections
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L’après – Joseph Kabila : les candidats se bousculent
25 février 2015
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Depuis que la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) a rendu public le calendrier électoral global (12 février 2015), la fièvre électorale ne fait que monter à travers le pays. En dépit des contraintes financières susceptibles d’entraîner le glissement du processus électoral, le souverain primaire congolais est prêt à tout accepter, sauf le report de la présidentielle annoncée pour le 27 novembre 2016.
 
Dans la perspective de l’après-Kabila, les candidats à sa succession se bousculent déjà à travers les médias. A cet effet, trois « paquets » de présidentiables se sont déjà constitués : Majorité Présidentielle, Opposition et Indépendants. A en croire les listes en circulation sous les manteaux, la famille politique du Chef de l’Etat pourrait imploser dans les mois à venir et laisser s’afficher comme candidats des personnalités telles qu’Aubin Minaku (PPRD), Augustin Matata (PPRD), Moïse Katumbi (PPRD ou Indépendant), Pierre Lumbi (MSR), Adolphe Muzito (Palu)… voire Olive Lembe Kabila (PPRD). Les ambitions politiques des uns et des autres pourraient se préciser peu après l’annonce officielle de la « retraite politique » de l’Autorité morale de la MP, que l’on pense devoir intervenir au milieu de l’année 2016, avant que la CENI n’ouvre la période de dépôt des candidatures, le 6 mai. La position finale de Joseph Kabila est très attendue par ses troupes pour leur positionnement politique futur.
 
Du côté de l’Opposition, l’on cite pêle-mêle Etienne Tshisekedi (UDPS), Léon Kengo wa Dondo (OR), Jean-Pierre Bemba (MLC), Vital Kamerhe (UNC), Jean-Lucien Busa, Antipas Mbusa Nyamwisi, etc. Même s’il ne s’est pas encore prononcé, Etienne Tshisekedi est pressenti candidat à la présidentielle compte tenu du hold up électoral dont il avait été la grande victime en novembre 2011, de son insistance sur le retour de l’Etat de droit en République Démocratique du Congo et de la forte assise socio-politique de son parti au pays comme à l’étranger. Ses sorties médiatiques lors des journées folles du 19 au 21 janvier 2015 et surtout le samedi 21 février à Bruxelles devant sa « base » d’Europe ont convaincu plus d’un observateur de son intention, non encore dévoilée, de briguer la magistrature suprême. Un humoriste a souligné dernièrement que même dans un fauteuil roulant ou sur des béquilles, l’Opposant historique est capable de rafler la mise s’il s’alignait pour la présidentielle de 2016.
 
Discret comme d’ordinaire mais fin politicien, Kengo wa Dondo ne dévoilera jamais son jeu tant qu’il n’aura pas la certitude qu’il est capable de fédérer l’Opposition pour la présidentielle. Toutefois, sa participation aux Concertations Nationales de septembre-octobre 2014 et au Gouvernement dit de « cohésion nationale » a laissé l’impression d’une politique de petits pas vers un objectif précis : la conquête du pouvoir au sommet de l’Etat. La mise en place d’une plateforme politique dénommée « Opposition Républicaine » (OR) a tout l’air d’une plateforme électorale.
 
Bien que Jean-Pierre Bemba en soit à sa huitième année de détention à La Haye sous l’inculpation de « crimes de guerre et crimes contre l’humanité », ses partisans continuent de se bercer de l’illusion de le voir libre avant la présidentielle de 2016 et revenir en force au pays pour bousculer tous les calculs des prétendants à la magistrature suprême. Victime, comme Tshisekedi, des tripatouillages des scrutins en 2006, « Igwe » n’en continue pas moins d’être le chouchou des millions de compatriotes.
 
C’est sûr que Vital Kamerhe va postuler pour la présidentielle de 2016. Son déguerpissement manu militari de la résidence qu’il occupait à Gombe comme président de l’Assemblée Nationale, l’obstruction à sa caravane de la paix à l’Est du pays en 2014, ses ennuis judiciaires dans le dossier « Wivine » et sa séquestration pendant presque 24 heures au siège de son parti, sur l’avenue de l’Enseignement (Kasa-Vubu) du 18 au 19 janvier 2015 paraissent, aux yeux des cadres et militants de l’UNC, de l’Opposition et de l’homme de la rue, comme des manœuvres politiciennes visant à le disqualifier. Il compte capitaliser au maximum sa rupture bruyante avec Kabila en 2009 ainsi que son activisme contre toute révision de la Constitution et de la Loi électorale et partant contre le troisième mandat du précité.
 
Matungulu quitte le FMI pour sa liberté de parole
 
Freddy Matungulu, ministre des Finances, du Budget et de l’Economie dans le premier gouvernement de Joseph Kabila, d’avril 2001 à février 2003, et haut fonctionnaire auprès du FMI (Fonds Monétaire International), vient de démissionner de cette institution après 20 ans de bons et loyaux services. Dans sa note explicative datée du lundi 23 février 2015, il parle d’une retraite anticipée qu’il a délibérément décidé de prendre afin de s’affranchir de l’obligation de réserve que lui imposait sa fonction et de retrouver pleinement sa liberté d’expression.
 
En tant que haut fonctionnaire international, a-t-il indiqué, il ne pouvait s’exprimer à fond sur des questions politiques et autres d’intérêt national, sans heurter certaines susceptibilités dans les rouages des institutions de Bretton Woods. On rappelle que Freddy Matungulu a assidûment participé, depuis un certain temps, aux débats relatifs à la modification de la Constitution et de la Loi électorale, au respect du nombre des mandats présidentiels, aux atteintes aux droits de l’homme, à la montée de la pauvreté au sein des masses congolaises, à la dénonciation des antivaleurs dont la corruption et la mauvaise gouvernance, etc. D’aucuns le soupçonnaient sérieusement d’avoir des visées sur le fauteuil présidentiel. Avec son départ volontaire du FMI, l’on pense qu’il va revenir bientôt au pays battre campagne pour la présidentielle, soit comme indépendant, soit comme leader d’un parti qui reste à créer. Technocrate fort apprécié des institutions de Bretton Woods et, semble-t-il, de Washington, il serait parrainé par le pays de l’Oncle Sam.

Dans la corbeille des « indépendants », on retrouve également Noël Tshiany, un économiste de renom qui officie comme Directeur à la Banque Mondiale. A l’image de Matungulu, il serait lui aussi soutenu par un lobby américain. Dans les milieux de la Banque Centrale du Congo, on l’a toujours cité parmi les architectes de la réforme monétaire de 1998. L’auteur de « La force du changement », un ouvrage de récente parution, se croit en droit de diriger le pays comme Chef de l’Etat. L’autre « indépendant » bien coté du côté de Bruxelles n’est autre que leDocteur Denis Mukwege, Directeur de l’Hôpital de Panzi. Ses exploits dans la prise en charge des femmes victimes des violences sexuelles à l’Est du pays ont franchi les limites des frontières nationales. Candidat « Prix Nobel de la Paix », l’homme en blouse blanche s’illustre par des critiques acerbes contre le pouvoir en place, ce qui l’a propulsé dans l’arène des prétendants à la course à la présidentielle.
 
Qui est qui ?
 
Ce qu’il faut retenir est qu’en 2016, la RDC va connaître un foisonnement sans précédent de candidatures à la présidentielle. Dans une démocratie qui se respecte, cela ne devrait pas déranger. Mais, s’il y a un exercice auquel devraient se soumettre les compétiteurs, c’est de renseigner correctement l’électorat sur leur passé. Avant d’aller aux urnes, les Congolais devraient savoir qui a fait quoi avant de prétendre occuper le fauteuil présidentiel. Il serait souhaitable, à ce sujet, que chaque candidat ait l’honnêteté de présenter son bilan de gestionnaire des affaires publiques, de parlementaire, de leader politique, d’opérateur économique, de haut fonctionnaire national ou international, d’activiste des droits de l’homme, de formateur de la jeunesse, etc. C’est au regard du cursus professionnel ou politique d’un chacun et de ses « œuvres » que l’électorat pourrait se déterminer. Kimp
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FACE A L’IMBROGLIO QUI POINTE A L’HORIZON Le vrai dialogue avant les élections

February 26, 2015, 6:43 am
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FORUM DES AS
Mercredi 25 février 2015
 
La concertation entre les acteurs concernés permettrait, de l’avis de nombre d’observateurs, de baliser la voie. Le dialogue des sourds semble aujourd’hui l’emporter, comme il fallait s’y attendre, sur le consensus souhaité pour la tenue des élections apaisées en RDC. Chacun prêchant pour sa propre chapelle, la cacophonie politique s’invite déjà au débat, à quelques mois du début des joutes électorales. A cette allure, la contestation ne manquera pas au rendez-vous à l’issue de l’organisation des élections à tous les niveaux, programmées tant en 2015 qu’en 2016. C’est ce qui pousse les observateurs à prôner une concertation entre tous les acteurs concernés par les enjeux qui pointent à l’horizon, à savoir la Majorité présidentielle, l’Opposition politique et la Société civile. Car, en lieu et place du dialogue des sourds, mieux vaut, conseille-t-on, tenir un vrai dialogue pour réduire le fossé.
 
Actuellement, au sein de la composante Opposition politique, le dialogue des sourds l’emporte déjà. Lors de sa dernière sortie publique, le leader de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, a ouvertement prôné le dialogue que soutenait, jusque-là, le secrétaire général de son parti Bruno Mavungu.  L’offre du " lider maximo " du parti de la 10ème rue Limete reposerait sur la préoccupation d’accorder les violons autour de l’alternance. Le dialogue demeure, à ce titre, le cheval de bataille de l’Union pour la démocratie et le progrès social en perspectives des élections. Mais, au sein même de l’Opposition, certains partis politiques ne partagent pas cette option. C’est le cas de l’Union pour la nation congolaise de Vital Kamerhe, le premier à plaider pour le dialogue, mais qui ne s’en préoccupe plus.
 
DIALOGUE DES SOURDS ENTRE LES ACTEURS

Dans le camp de l’Opposition politique, en dehors des deux partis précités, d’autres encore ne semblent plus battre pavillon " dialogue ". Actuellement pour l’UNC, l’heure n’est plus du tout au combat pour la tenue du dialogue, mais pour un calendrier global consensuel. Or, pour sa part, la Majorité présidentielle reste suspendue à la position de l’Autorité morale. Pendant ce temps, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) ne jure que par son calendrier électoral global, jugé consensuel et réaliste. Les uns parlent donc d’une voie et les autres de l’autre, au rythme d’une cacophonie politique qui risque de planter déjà le décor de la contestation. Voilà qui pousse les observateurs à soutenir le dialogue.

Car, si la température actuelle se poursuit, les élections n’étant pas une fin en soi, contribueront, bien au contraire, à réunir les conditions pour un climat très peu recommandable en RDC. On l’a vu avec la dernière initiative de révision de la loi électorale, surtout en l’alinéa 3 de l’article 8. Le climat de suspicion a finalement été à la base des incidents regrettables, tant à Kinshasa qu’au Nord-Kivu avec pertes en vies humaines et des dégâts matériels importants. L’année 2015 devant constituer la préfiguration de 2016, les acteurs ont donc tout à gagner en parlant d’une seule voix pour prévenir des incidents pouvant découler de la cacophonie entre les acteurs. De la même manière que personne n’avait prévu les émeutes de janvier dernier, il faut désormais prévenir que guérir.
 
COMMENT ETABLIR LES PRIORITES POUR LES ELECTIONS ?

Le dialogue, pour quoi faire exactement ? Voilà la question qui ne cesse de tarauder l’esprit de bon nombre d’observateurs. S’agira-t-il d’une nouvelle transition politique ? Non, tranchent les observateurs. Le dialogue, expliquent-ils, c’est pour s’accorder sur l’essentiel, à savoir tenir toutes les élections ou accorder la priorité aux législatives tant provinciales que nationales, aux sénatoriales et enfin à l’élection présidentielle. Car, argument-ils, il n’est pas facile pour un pays qui n’a que 9 milliards USD de budget national, avec seulement 5 milliards USD en ressources propres et où tout est priorité, de réunir plus d’un milliard USD pour organiser toutes les élections prévues entre 2015 et 2016. Surtout que les élections, rappelle-t-on encore, ne sont pas du tout une fin en soi. La RDC pourra-t-elle réunir le budget prévue pour les scrutins ou faudra-t-il, une fois de plus, recourir aux partenaires internationaux qui exigeaient la publication d’un calendrier complet ou global - c’est selon - pour les élections avec une insistance particulière sur le scrutin présidentiel en 2016 ? Sinon, le dialogue des sourds auquel on assiste actuellement risquera sans aucun doute en tout cas de contrarier l’exécution du chronogramme des élections. C’est donc autant de questions qui devront faire l’objet d’examen lors du dialogue tant attendu. Question, comme dit auparavant, de baliser la voie. Bien entendu, il ne sera pas question d’un dialogue à la congolaise, là où tous les regards se tournent souvent vers le partage du pouvoir au nom d’une énième transition politique en RD Congo. Il faudra, au contraire, s’en tenir à l’essentiel en vue d’avoir des élections apaisées, libres et crédibles.
 
ENVISAGER L’ALTERNANCE DANS LA SERENITE

Tant dans le camp de l’Opposition que dans celui de la communauté internationale, il est surtout question, en décembre 2016, de l’alternance au pouvoir. On se base, pour ce faire donc, sur la fin du second mandat du chef de l’Etat actuel, Joseph Kabila Kabange. Mais, même dans ce cas, les violons doivent s’accorder en vue d’éviter une alternance agitée. Tout comme les partisans du glissement, il importe de ne pas s’imposer par la force de choses, mais d’imposer le bon sens, celui accompagné du consensus.

Dans tous les cas de figure, les règles de jeu doivent être définies et comprises de la même manière par tous déjà à l’avance en vue de prévenir tout climat susceptible d’envenimer la situation. Cela est possible si tous parle le même langage. Le vrai dialogue, pourquoi pas alors ? Mais, à condition que les violons s’accordent. Lors du dialogue, soutiennent les observateurs, ceux qui reprochent au calendrier global publié par la Ceni d’enregistrer quelques faiblesses, ils auront ainsi l’occasion d’étaler leurs arguments pour qu’en fin de compte, un vrai consensus se dégage entre les différents acteurs. Bref, le dialogue n’est pas en soi une mauvaise chose, mais c’est ce qu’on en fait qui pose généralement problème en RDC.

Il est donc temps pour les acteurs politiques congolais de mettre en exergue l’intérêt supérieur de la nation. Pas dans le discours juste pour essayer de tirer chacun son épingle du jeu, mais dans les faits afin d’aider le pays qui a déjà connu beaucoup d’avancées de les préserver pour ensuite les consolider en fonction de l’émergence fixée en 2030.M. M.
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Des opposants portent plainte contre les sociétés de téléphonie cellulaire

February 26, 2015, 6:44 am
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http://7sur7.cd/images/referecePlus.jpg
 
Des leaders de l’Opposition politique, dont les téléphones sont bouchés à la suite des manifestations populaires de contestations du projet de loi électorale organisées du 19 au 21janvier 2015 par les forces politiques et sociales à Kinshasa et dans plusieurs villes de la RDC, ont décidé de porter plainte ce matin vers 11 heures, contre les sociétés de téléphonie cellulaire à savoir Airtel, Vodacom, Africel, Orange et Tigo.

Dans cette plainte qu’ils déposeront au Tribunal de Commerce, les leaders de l’opposition dont Franck Diongo, Jean-Claude Vuemba, Delly Sesanga, Fidèle Babala et tant d’autres, avec le soutien moral de leurs collègues absents du pays tels José Makila Sumanda, Martin Fayulu, Samy Badibanga Ntita, les plaignants vont réclamer chacun, une bagatelle somme de 500.000 USD de dommages et intérêts pour chaque numéro bouché en guise des préjudices moraux subis depuis que leurs numéros sont bouchés.
 
Selon l’un des plaignants qui a contacté la rédaction de notre journal hier mardi 24 févier 2015 tard dans la soirée en la personne de Jean-Claude Vuemba, la décision de réclamer 500.000 USD de D.I. se justifie du fait que les opposants victimes de cette mesure sont coupés de leurs bases respectives, où émanent plusieurs doléances allant des cas de maladie, en passant par le fonctionnement des états-majors de leurs formations politiques, pour déboucher à plusieurs autres préoccupations relatives au vécu quotidien de leurs électeurs. “ Nos différentes bases croient que nous avons fermés nos téléphones pour esquiver leurs doléances et préoccupations. Ce qui constitue pour nous, un grave préjudice “, a fait savoir l’honorable Vuemba, qui est également président du Mouvement du peuple congolais pour la République (MPCR) et vice-président du groupe parlementaire UDPS et Alliés.
 
Après le Tribunal de Commerce, les leaders de l’opposition déposeront une autre plainte contre le fonctionnaire de l’ANR (Agence nationale des renseignements), qu’ils soupçonnent avoir donné l’autorisation de faire boucher leurs numéros. Ils se rendront ensuite auprès des présidents de deux chambres du parlement ainsi qu’à la primature, où ils comptent impliquer le Premier ministre Matata Ponyo dans ce dossier. La dernière autorité politique à visiter sera le Vice-premier ministre et ministre de l’intérieur et sécurité, prof Evariste Boshab, auprès de qui ils promettent de dénoncer les tortures morales qu’ils sont en train d’endurer depuis le bouchage de leurs numéros téléphoniques. Jean-Claude Vuemba a ajouté que leurs collègues José Makila, Samy Badibanga et Martin Fayulu qui sont absents du pays, viendront soutenir cette action au moment opportun.
 
Les éclairages du gouvernement
 
Dans un passé récent, le ministre des Médias Lambert Mende Omalanga avait démenti la désactivation des numéros téléphoniques des opposants. Au cours d’un point de presse dans son cabinet de travail, le ministre Mende avait plutôt indiqué que le gouvernement congolais a demandé à tous les détenteurs de téléphones mobiles, de se faire enregistrer auprès de leurs opérateurs, pour éviter d’être bouchés.
 
Quelques jours auparavant, il avait justifié au cours d’un autre point de presse, la décision d’interrompre l’internet par le fait qu’il y a plus grave dans l’utilisation des moyens de télécommunications. Pour lui, les auteurs des troubles du 19, 20 et 21 janvier 2015, ont utilisé le mensonge au-delà de tout entendement, pour embraser le pays. Pour cela, a-t-il dit, ils ont posté sur la toile, des fausses images de prétendues atrocités commises par les forces de sécurité rd congolaises ou par des manifestants à Kinshasa pendant ces périodes alors qu’en réalité, il s’agissait de photos prises à Haïti, aux Seychelles, au Congo Brazzaville ou au Burkina Faso et affichées sur internet depuis longtemps. “ C’est la raison pour laquelle nous avons pris, des mesures conservatoires d’interruption momentanée de ces services, ce qui a perturbé les espaces numériques “, avait précisé Lambert Mende, soulignant que le Gouvernement était désolé pour les inconvénients causés aux utilisateurs de ces nouvelles technologies, mais que l’intérêt national exige de lutter sans répit pour l’éradication de ces pratiques criminelles. Par José Wakadila
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Scandale : Serge Kubla accusé d’avoir soudoyé... Mme Muzito

February 26, 2015, 6:45 am
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Baudouin Amba Wetshi
Congoindépendant .com
24 février 2015
Le couple Muzito. Photo tirée de GLM
 
Le bourgmestre de Waterloo, le libéral francophone Serge Kubla (MR), a été inculpé et placé sous mandat d’arrêt mardi 24 févier et interné à la prison de Saint Gilles. "Corruption concernant une personne qui exerce une fonction publique dans un Etat étranger". C’est la qualification des faits donnée par le juge d’instruction de Bruxelles Michel Claise. Président du MR, Olivier Chastel exige la démission de Kubla.
 
De quoi s’agit-il ?

Selon des sources à Kinshasa, le groupe industriel Duferco, spécialisé dans la sidérurgie, a contacté Adolphe Muzito, alors Premier ministre. But : racheter les parts détenues par l’Etat congolais dans la "Société nationale de loterie" (Sonal). Serge Kubla jouait le rôle d’intermédiaire entre les autorités congolaises et cette entreprise belge. Au cours de l’année 2011, le "Premier" Muzito a reçu une délégation conduite par le Bourgmestre de Waterloo. Le chef du gouvernement congolais aurait exigé à ses interlocuteurs des "haricots pour les enfants", autrement dit une commission, avant qu’il n’appose sa signature sur l’accord de cession des parts. Montant : 500.000 €. Il semble que la somme lui aurait été versée. L’information n’est pas confirmée par le juge belge.

Fin 2011 ou début 2012, l’épouse Muzito séjourne à Bruxelles. "Madame" a "quelques soucis" pour faire ses emplettes. En mari attentionné, Muzito contacte "l’ami Serge" lui demandant de bien vouloir "dépanner" son épouse avec la modique somme de 20.000 €. "La somme a été remise à Madame Muzito à l’hôtel Président", déclarait mardi le conseil de Kubla. Selon celui-ci, cet argent devait servir au paiement d’une "facture". Laquelle? Silence radio.

C’est ici qu’un grain de sable s’est glissé dans l’opération. Société paraétatique, la "Sonal" est placée sous la tutelle du ministère du Portefeuille. Au moment des négociations, ce ministère était dirigé par Jeanine Mabunda Lieko, une protégée du tout-puissant Augustin Katumba Mwanke (paix à son âme). "L’accord passé avec le Premier ministre Muzito n’engage que lui", aurait dit Mabunda à Kubla et sa délégation. Un message subliminal que l’on pourrait décrypter comme suit : "la société Duferco devait cracher à nouveau". N’ayant perçu aucun geste, Mabunda annonce aux Belges sa volonté de lancer un appel d’offres international. C’est l’échec. L’adjudication n’a jamais eu lieu.  En novembre 2011, Adolphe Muzito est élu député national sous les couleurs du Parti lumumbiste unifié. En avril 2012, il quitte la primature. Il est remplacé par Augustin Matata Ponyo. Mabunda n’est plus au gouvernement. Elle a été remplacée par le PPRD Louise Munga Mesozi.
 
Pour le juge Michel Claise, il y a suffisamment d’indices graves et concordants pour suspecter le groupe industriel Duferco "d’avoir, au travers de la corruption d’agents publics congolais, favorisé l’évolution d’investissements importants dans le secteur du jeu et des loteries". "Ces fonds auraient été transmis au moins pour partie par l’intermédiaire Serge Kubla, ancien ministre wallon de l’Economie", indique par ailleurs le communiqué du Parquet bruxellois.  On apprenait que les 20.000 euros remis à l’épouse Muzito devait servir "d’acompte"à la somme de 500.000 euros. 

Inspecteur des finances de profession, Adolphe Muzito a été ministre du Budget dans le gouvernement d’Antoine Gizenga (2007-2008) avant de succéder à celui-ci. Il a dirigé l’exécutif national jusqu’en avril 2012. L’homme aime se définir comme un "nationaliste de gauche". Jusqu’à preuve du contraire, Serge Kubla jouit de la présomption d’innocence.  A Bruxelles, le président du MR, Olivier Chastel, a déjà demandé la démission de Kubla. Histoire de "couper le feu" tant il est vrai que cette affaire pourrait avoir des conséquences imprévisibles pour l’image de ce parti francophone. Et pourquoi pas des dégâts collatéraux au niveau du Palu? Qui est le plaignant ? Le plaignant serait un Européen basé à Kin...
Baudouin Amba Wetshi 
© Congoindépendant 2003-2015
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Kubla ne serait qu’un "petit poisson"

February 26, 2015, 6:46 am
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Baudouin Amba Wetshi 
Congoindépendant
25 février 2016
http://fr.africatime.com/sites/default/files/styles/toute_afrique_grand/public/photo-articles/2015/f%C3%A9v/serge_kubla.jpg?itok=gulnyFw4
Serge Kubla
 
Coup de tonnerre, mardi, dans le ciel politique belge. Serge Kubla, qui fut député fédéral et wallon mais aussi vice-ministre-Président du gouvernement wallon avant, en 2014, de se consacrer exclusivement au maïorat de Waterloo, a été inculpé et placé sous mandat d’arrêt pour des faits présumés de corruption au Congo.
 
A 67 ans, cet amateur de golf semblait promis à une existence beaucoup plus tranquille que celle qu’il avait menée plusieurs décennies durant. La justice en a décidé autrement. Que reproche-t-on à ce libéral bon teint ? De s’être livré à des faits de corruption "sur une personne exerçant une fonction publique dans un Etat étranger". Et cela comme auteur ou coauteur. C’est le juge d’instruction de Bruxelles Michel Claise qui est en charge du dossier, a indiqué le parquet fédéral dans un communiqué.

La disparition d’un comptable

Tout commence avec la disparition mystérieuse d’un comptable belge du groupe industriel suisse Duferco. Il existe de sérieux indices laissant croire qu’il a été assassiné. La justice enquête donc et découvre assez vite l’existence de mouvements de fonds suspects. Pourquoi ces transferts d’argent ? Dans l’état actuel de l’enquête, il semble que Duferco ait cherché à pénétrer le marché de la sidérurgie congolaise. Il n’y a pas réussi mais lorsqu’il lorgnait ce marché, le groupe aurait, pour avancer ses pions ou parce qu’on l’y avait aimablement invité, décidé de refinancer la société nationale congolaise de Loterie.

Et ce refinancement aurait donné lieu à divers versements de fonds dont plusieurs intermédiaires se seraient chargés. C’est dans ce cadre que Serge Kubla, qui serait en aveux, serait intervenu.
D’autres inculpations sont attendues

Les enquêteurs le soupçonnent lui et les autres acteurs du dossier (car il faut s’attendre dans les jours qui viennent à d’autres inculpations) d’avoir tenté de favoriser l’évolution des investissements de Duferco (dont les dirigeants n’ont pas voulu réagir mardi soir) en ayant recours à des manœuvres de corruption d’agents publics congolais. C’est en tout cas ce qu’indique le parquet fédéral.

Ces fonds auraient donc été transmis, au moins pour partie, par l’intermédiaire de l’ancien ministre wallon. M. Kubla est soupçonné d’avoir remis 20 000 euros à l’épouse de l’ancien Premier ministre congolais Adolphe Muzito, en exercice entre 2008 et 2012. Cette remise de fonds aurait eu lieu lors d’une rencontre, à Bruxelles, dans les salons de l’hôtel "Président". Ces 20 000 euros n’auraient été qu’un acompte sur une somme évaluée à 500 000 euros. A qui cet argent devait-il être remis ? Devait-il servir à "arroser" une ou plusieurs personnes ? On l’ignore pour le moment. Selon le site de "De Tijd", M. Kubla aurait lui-même reçu "plusieurs centaines de milliers d’euros" de l’entreprise sidérurgique via une société écran off-shore.

Pourquoi avoir procédé à l’arrestation de M. Kubla ? Ne pouvait-on se contenter de son inculpation ? D’après les autorités judiciaires, le mandat d’arrêt se justifierait par la crainte de risques de collusion entre M. Kubla et d’autres personnes concernées par ce dossier. Le bourgmestre de Waterloo, dont on rappellera, qu’à ce stade de la procédure il doit être considéré comme innocent, a donc été incarcéré à la prison de Saint-Gilles. Il devra passer dans les cinq jours devant la chambre du conseil de Bruxelles qui aura à prolonger ou non son mandat d’arrêt.

Perquisitions et auditions

L’inculpation et l’arrestation de M. Kubla ont été précédées de plusieurs perquisitions menées, mardi matin, en divers endroits du pays, par la police fédérale, à la demande du magistrat instructeur. En vérité, le parquet fédéral a saisi le juge Claise le 17 novembre 2014. Depuis lors, de nombreux devoirs ont été exécutés et les choses se sont accélérées mardi avec les perquisitions dont il est question plus avant et l’arrestation de l’homme politique brabançon.

On l’a dit, d’autres auditions d’autres suspects sont programmées dans les prochaines heures. Avec sans doute d’autres inculpations à la clé. Car, de source proche de l’enquête, il apparaît que M. Kubla n’aurait été "qu’un petit poisson" et que les transferts de fonds concernent des sommes qui se compteraient en millions d’euros. Me Roland Forestini, le conseil de M. Kubla, a confirmé à lalibre.be que son client n’avait pas joué un rôle central dans cette affaire. Selon lui, M. Kubla était chargé de trouver de nouveaux clients pour Duferco et il prospectait le marché à cette fin.

Me Forestini, qui a vu M. Kubla, mardi soir, "dans un endroit où je n’ai habituellement pas l’habitude de le rencontrer", a estimé que l’interrogatoire de M. Kubla s’est déroulé "de manière courtoise, entre personnes courtoises". L’avocat a aussi déploré l’attention médiatique que l’on porte à son client. "Je vais tenter de consoler mon client et ferai tout pour qu’il soit libéré le plus rapidement possible", a-t-il conclu.

"Duferco voulait avoir Maluku"

"Duferco était intéressé par la Sosider", explique un ancien ministre congolais qui avoue ne pas "vraiment" comprendre l’intérêt pour cette aciérie située à Maluku, dans la large périphérie de Kinshasa. "La demande d’acier, dans un pays comme le nôtre, est énorme", reconnaît un autre ancien ministre du Plan. "La Sosider pourrait être une réponse. Le problème, c’est que les matières premières et les intrants sont tous situés très très loin. Le projet a en effet été conçu à l’origine pour traiter le fer du gisement de Banalia, en Province orientale, à plus de 1 500 km." Ce qui explique aussi que cette usine n’ait jamais réellement fonctionné. " Vous vous imaginez qu’elle a été inaugurée en 1974 et que la ligne à froid a été interrompue deux ans plus tard. Le projet consistait en une joint-venture entre l’Etat zaïrois, Finsider Demag (Allemagne) et le consortium Italipianti (Italie). A l’époque, l’aciérie était dotée d’un laminoir à chaud d’une capacité de 100 000 tonnes/an, qui a cessé ses activités en 1988 après n’avoir produit que 68 000 t en quinze ans. Depuis, cet éléphant blanc voulu par le Maréchal Mobutu au sommet de sa volonté de développer à tout prix, et même au-delà du raisonnable, le made in Congo, tourne plus qu’au ralenti",poursuit notre ex-ministre qui se souvient d’avoir vu passer "au moins cinq projets" pour ce mastodonte… Mais rien n’a jamais abouti. "Des Belges étaient déjà présents en 2002 ou 2003 aux côtés d’investisseurs Kazakhs. " Parmi les projets, il épingle celui du groupe industriel sud-africain Batman qui avait proposé de reprendre la gestion de ce complexe en ruines, mais en laissant la tâche au gouvernement congolais d’injecter les fonds nécessaires à son fonctionnement. On est en 2002 et les caisses de l’Etat sont alors encore bien plus vides qu’elles le sont aujourd’hui.
Damned, encore raté !

"L’Etat congolais pensait avoir déniché l’oiseau rare en 2003 avec le groupe Alferon. Un vrai jackpot", se souvient notre politicien. "Investissement proposé : 25 millions de dollars sur 5 ans et des rentrées fixes garanties de 1,5 million minimum par an pour l’Etat. Un conte de fées. Pourtant l’affaire va capoter. En cause ? Le boss de Alferon Management, Johannes Sittard qui, un an plus tôt, a fait la Une des journaux britanniques dans le cadre d’une énorme affaire de corruption qui a atteint le parti travailliste de Tony Blair. Sittard travaillait régulièrement avec des Kazakhs. L’un d’eux, naturalisé belge, devait habiter Waterloo…", poursuit l’ex-ministre qui enchaîne : "Dans un Etat normal, avec des infrastructures normales, le projet pourrait peut-être être viable. Mais l’investissement de base est énorme et plus le temps passe, plus il le sera. Ce sont surtout les intermédiaires qui gagnent leur vie sur ce type de projet."  Jacques Laruelle et Jean-Claude Matgen, In www. lalibre.be 25.02.2015
 
Distribué par:
Mwalimu Kadari M. Mwene-Kabyana, Ph.D.
Montréal (Québec), Canada
 Tél. (001) 438-994-6072
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DIOMI NDONGALA NOMME JEAN-PIERRE BOKA KAPELLA PORTE PAROLE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE

February 26, 2015, 6:51 am
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Diomi Ndongala fait le ménage au sein de sa formation politique
Dans le but de redynamiser son parti politique, le Président National de la Démocratie chrétienne (DC) a procédé à une nomination importante au sommet de cette formation politique. Dans un acte de nomination signé du 24 janvier 2015, Eugène Diomi Ndongala a nommé Jean-Pierre Boka Kapella au poste de porte-parole de ce parti politique. Cette nomination apporte un autre souffle à la DC et à sa stratégie de communication déjà très efficace.
Cette nomination a été signée conformément aux textes qui régissent la Démocratie Chrétienne et est considérée par les cadres de cette formation politique comme un coup d’accélération pour la préparation des enjeux politiques à venir. En effet, malgré la privation arbitraire de liberté de son président, la DC poursuit inlassablement son combat politique.
Aussitôt nommé, le nouveau porte-parole de la Démocratie Chrétienne s’est mis au travail et ne manque pas de donner le point de vue du parti par rapport aux questions politiques du pays quand l’actualité l’exige.
C’est ainsi que la Démocratie Chrétienne, par l’entremise de Jean-Pierre Boka demande qu’un consensus national soit immédiatement recherché après la publication du calendrier global des élections générales par la Commission nationale électorale indépendante.
Incarcéré injustement depuis avril 2013 au CPRK, le prisonnier politique  Eugene Diomi Ndongala a été condamné sur la base d un procès nul et non advenu dont le caractère éminemment politique n ‘est plus à démontrer.
Au mois de janvier de la même année, cet opposant qui a été élu député national en 2011 a vu son immunité parlementaire levée alors qu’il était illégalement détenu en tant qu’député  et en violation de 3 ordonnances de la CSJ le plaçant en résidence surveillée et jamais appliquées. Un peu avant le lancement de la  plate forme « Majorité Présidentielle Populaire », proche de Tshisekedi qu’il considère comme le président élu de la RDC, Eugène Diomi Ndongala, Porte-Parole de la MPP a été enlevé et détenu au secret pendant 3 mois.
Pour l’opinion nationale et internationales, toutes les épreuves imposée à  Diomi NDONGALA n’ont qu’un seul auteur : le pouvoir actuel issu de la fraude électorale que Diomi n’a cessé de dénoncer.
« Nonobstant la persécution politique,  Eugene Diomi poursuit son combat et son engagement politique en faveur des opprimés tout comme son parti politique » nous confirme Jean -Pierre Boka Kapella, Porte -Parole de la DC.
Il sied de rappeler qu’en septembre 2014, le Président Diomi Ndongala a porté plainte contre la RDC près du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies de Genève, pour la violation de la part de la RD Congo de plusieurs dispositions du Pacte International Relatif aux Droits Civils et Politiques.
En vertu de la signature, par la RDC,  du Protocole Facultatif du traité plus haut cité, le Congo-Kinshasa a reconnu la compétence du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies, à statuer sur les plaintes des citoyens contre des Etats qui violent les dispositions du Pacte International Relatif aux Droits civils et politiques.
Agissant comme instance de justice internationale, les  décisions  du Comité sont contraignantes pour les Etats signataires du Pacte International ainsi que du protocole facultatif.
Voilà pourquoi, comme nous confirme Jean-Pierre Boka Kapella, la DC est très confiante quant à l’issue  positive  de la procédure entamée par son Président National,  car ainsi la vraie justice sera dite et Diomi Ndongala libéré. Dommage que la RDC subira la honte d’une condamnation grave en matière des droits de l’homme qui entachera définitivement la crédibilité du régime en place face à la communauté internationale.
CN/DC
http://democratiechretienne.org/2015/02/25/diomi-ndongala-nomme-jean-pierre-boka-kapella-porte-parole-de-la-democratie-chretienne/
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FLYER DE L’ACAJ SUR LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA / A DIFFUSER SANS MODERATION

February 26, 2015, 6:55 am
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page1 flyer diomi
page1 flyer diomi
page2 flyer diomi
page3 flyer diomi
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PAGE4 FLYER DIOMI
LE FLYER A IMPRIMER RECTO /VERSO ET DIFFUSER:
FLYER ACAJ SUR DIOMI 1 001
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FALYER ACAJ SUR DIOMI 2 001
http://democratiechretienne.org/2015/02/24/flyers-de-lacaj-sur-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-a-diffuser-sans-moderation/
 
 
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RD CONGO: PAYS RICHE, MAUVAIS DIRIGEANTS!!!

February 26, 2015, 6:56 am
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Voici que la députée européenne Dre Cécile Kyenge d’origine Congolaise demande, à son tour, à Kabila de quitter le pouvoir, de libérer Vano Kiboko et Jean-Claude Muyambo et d’arrêter de harceler l’opposition congolaise.

Elle ajoute :
« il est toujours douloureux de voir un pays aussi riche plongé dans la pauvreté. Ils ont presque tout. Ils ont simplement besoin des bons dirigeants. »

Nzogu bin Kyantede PR
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Afrique : allégations de néocolonialisme contre le FMI

February 26, 2015, 6:58 am
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Afrique : allégations de néocolonialisme contre le FMI
Ceux qui soutiennent que le néocolonialisme a historiquement remplacé ou complémenté le colonialisme, mettent en avant le fait que l'Afrique aujourd'hui paie chaque année (en paiement des intérêts sur prêts) au FMI et à la BM cinq fois plus qu'elle n'en reçoit sous forme d'aide au développement sous forme de prêts, privant souvent, de ce fait, les habitants de ces pays des nécessités de base. Ils maintiennent que cette dépendance permet au FMI et à la BM d’imposer des plans d'ajustements structurels à ces nations, consistant en grande partie de programmes de privatisation qui résultent en une détérioration de la santé, de l’éducation, en une incapacité de développer l'infrastructure, et, en général, en un niveau de vie plus bas.
Ils mentionnent également des rapports récents faits par le conseiller spécial en matières économiques du Secrétaire général des Nations unies, le Dr. Jeffrey Sachs, qui demandait vivement que la dette africaine tout entière (~200 milliards de dollars US) soit effacée et recommandaient que les nations africaines cessent simplement de payer si les le FMI et la Banque mondiale ne donnent pas leur accord :
« Le temps est venu de mettre fin à cette situation burlesque. Les dettes sont exorbitantes. S’ils refusent d’effacer les dettes je suggérerais l'obstruction ; vous le faites vous-mêmes. L’Afrique devrait dire : 'merci beaucoup mais nous avons besoin de cet argent pour répondre aux besoins des enfants qui meurent en ce moment, alors nous allons utiliser le service du paiement de la dette à des investissements sociaux urgents dans la santé, l’éducation, l'eau potable, le contrôle du SIDA et autres besoins. »
(Professeur Jeffrey Sachs, directeur du Earth Institute à l'université Columbia et conseiller économique spécial auprès du Secrétaire Général de l'Organisation des Nations unies (ONU)).
Les critiques du FMI ont mené des études sur les effets de sa politique qui exige des dévaluations des devises. Ils posent l'argument que le FMI exige celles-ci comme condition à des prêts de refinancement, tout en insistant simultanément pour que le prêt soit remboursé en dollars ou autres devises de pays riches par rapport auxquelles la devise du pays sous-développé a été dévaluée ; ceci, disent-ils, augmente la dette correspondante du même pourcentage duquel la devise a été dévaluée, ceci équivalent à un plan pour maintenir les nations du tiers monde dans un endettement, un appauvrissement et une dépendance néocoloniale perpétuels...
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Le peuple : l'arme qui a sauvé V. Kamerhe

February 26, 2015, 6:59 am
≫ Next: Front Civil RP: Moïse Katumbi Chapwe en danger de mort!! Alerte!
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es sommités de la Belgique officielle sont t dans nos murs. Le pouvoir n'a pas intérêt à voir se reproduire sous les yeux de ces hôtes la réplique  des 19,20 et 21 janvier. Regardez cette foule amassée devant la Cour suprême de justice", visiblement décidée à en découdre avec le régime".

C'est vraisemblablement sous ces mots que   Aubain Minaku, Kengowa Dondo  et Matata Ponyo se sont concertés peu avant la surprise délibération du juge de la Cour suprême de Justice, ce lundi. C'est le résultat du feuilleton Wilvine Moleka -Vital Kamerhe. Pour la Cour, celui qu'il considérait jusque là  comme coupable, qu'elle devait envoyer sous la taule, leur client laisse t-on entendre  était,jusqu'ici, introuvable à son adresse administrative entendez par là chez Me Joseph Mukendi, son avocat. 

Juridiquement, selon leur latin, Vital Kamerhe est introuvable. Les regards se croisent dans la salle. Mais diantre, chuchotent-ils, celui qui est là, en face d'eux, cravate rouge n'est-ce pas lui, Vital Kamerhe ? L'assistance n'en revenait pas. Tant pis, le droit et ses entendus et autres périphrases,  murmurent t-on c'est le mystère. La séance est levée , tonne le Juge au bout de quelques minutes. Véritable film de Hollywood ! 

La salle se vide progressivement. L'on ne s'explique pas autant ceux qui étaient à  l'intérieur que les militants des principaux partis de l'opposition ayant répondu au mot d'ordre des députés Mvuemba, Maman Eva Bazaïba et autres leaders, venus ainsi se joindre à leurs camardes de l'UNC. Chez les uns et les autres c'est la surprise générale. C'est comme qui sortant de sa douche, ses habits ont disparu,  expliquera avec humour, l'élu de Kasangula et agglomération de Kinshasa. Un raz aurait-il rongé le dossier ? Peu importe. Sous la planète Joseph Kabila on en aura tout vu.

Les kinois, nés musiciens, apprenant la nouvelle,  vont multiplier des chansons à la gloire de leur idole, Vital Kamerhe. Ce dernier n'est pas non plus moins surpris. Il mettra hésitant pied dans sa jeep ranger noir colorie.  Entre-temps, le directeur de la prison de Makala n'arrête pas de scruter les alentours de son institution, impatient de voir arrivé son nouveau pensionnaire à qui il remettra drap et autres objets carcéraux. La cellule était, quelques jours avant, aménagée, le registre et l'immatriculation de l'imminent prisonnier préalablement apprêtés. 

Moralement, le troisième homme fort  se préparait à L'éventualité de son incarcération. C'est l'heure. IL quitte la maison, le chauffeur est dans le véhicule suit de regard son patron, observe: Maman Bodji  a de la peine à retenir ses larmes quand il embrasse son mari, victime de l'instrumentation de la justice par Joseph Kabila. Papa caresse les joues des ses enfants et serre fort son dernier né. Il a tout de même un sourire de guerrier, se dirige vers sa jeep, lève une dernière fois la main. Il semble leur dire: j'ai confiance en mon Dieu, la cause que nous défendons avec les amis de l'opposition est juste quel que soit le prix à payer. Le battant de la clôture s'ouvre c'est le départ, direction: la Cour suprême de justice. Sur place, le décors d'une explosion est planté. Les gens avaient pris d'assaut le périmètre de la Cour. La colère est palpable. On connait la suite: la bombe a été désamorcée. On ne provoque pas des troubles pendant la visite de ses hôtes, la Belgique en plus !

Qu'une délégation de quatre personnalités belges arrive à Kinshasa cela peut passer, c'est le cours normal de la politique entre deux Etats. Mais qu'une telle visite se situe,  la veille du jugement et la condamnation programmée de Vital Kamerhe, une telle coïncidence ne pourrait être imputée au simple fait du hasard.

Déjà à l'occasion de l'inauguration du nouveau bâtiment de justice, l'ambassadeur belge, dans son mot de circonstance s'était attardé sur des procès bidons, la condamnation des opposants. Le ministre de la coopération y est revenu aussitôt sorti de son avion qu'il le ramenait à Kinshasa. Comme si cela ne suffisait, le Vice Premier Ministre reçoit en audience Vital Kamerhe. Prise de photo, sourire de retrouvaille.

En surnommant  mon fils, Kamerhe, disait sa chère maman, princesse dans la lignée filiale   cela a une signification: la direction des hommes. A Bukavu , Goma et dans son Walungu natal, le piquet vient d'être levé. Une grandiose manif avec l'irréparable  été évitée de justesse

Une fois de plus, le peuple sort vainqueur.



Awazi Kasele El Hadj
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Front Civil RP: Moïse Katumbi Chapwe en danger de mort!! Alerte!

February 27, 2015, 3:45 am
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Front Civil RP: Moïse Katumbi Chapwe en danger de mort!! Alerte! Le criminel John Numbi et ses sbires sont chargés de l’exécution! Le commanditaire de cet acte criminel est le psychopathe Joseph dit  »Kabila « ! La Monusco doit assurer désormais la protection du gouverneur du Katanga!

This entry was posted on février 27, 2015, in Réflexion politique. Bookmark the permalink.Laisser un commentaire
Le Front Civil de Résistance Populaire alerte les populations du Katanga, de Kinshasa et des autres provinces d’être  prêts  pour le soulèvement populaire! L’assassinat programmé de Moïse Katumbi même une menace devra être l’élément déclencheur du soulèvement populaire partout en RDC! Nous appelons donc les militaires et les policiers congolais patriotes de rejoindre la résistance! Nous appelons les jeunes à brandir le drapeau de la RDC et occuper toutes les institutions prises en otages! Partout sur le territoire national, peuple congolais, levez-vous! Botelema! Mulamuke!  
Centre Opérationnel du Front Civil de Résistance Populaire 

Joseph Kabila charge John Numbi pour « assassiner » Moïse Katumbi

Coralie Kienge / Il y a 4 jours
john numbi
Suspect numéro un dans le double assassinat du défenseur des droits de l’homme Floribert Chebeya Bahizire et de son chauffeur Fidèle Bazana Edadi, l’ex-patron de la police nationale congolaise, John Numbi Banza Tambo, aurait repris « du service ». Il aurait été chargé par « Joseph Kabila » de « refroidir » l’actuel gouverneur de la province du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe. Intox? Nullement!
La « guerre silencieuse » qui fait rage depuis le 23 décembre dernier entre « Joseph Kabila » et Moïse Katumbi Chapwe va-t-il se muer en un sanglant règlement des comptes ?
Selon une source proche des services de renseignements militaires à Kinshasa, le « général » John Numbi Banza Tambo a effectué, il y a une semaine, un bref séjour dans la capitale congolaise. L’ex-patron de la police nationale aurait eu plusieurs « séances de travail » avec quelques « bad guys » chargés d’exécuter les « basses oeuvres » du « raïs » (Joseph Kabila).
A relire: URGENT: Les trois péchés mortels sur le silence de Moïse Katumbi
Selon cette source, « John Numbi » aurait offert ses « services » à « Joseph Kabila ».
Mission : « éliminer physiquement » l’actuel gouverneur du Katanga Moïse Katumbi Chapwe.
Au cours d’une de ces rencontres avec des officiers militaires, Numbi aurait dit ces mots : « Katumbi menace la pérennité de notre pouvoir. Il est le seul rival capable de faire ombrage au raïs ».
Questions :
« Joseph Kabila » caresse-t-il le rêve secret de briguer un troisième mandat?
Pourquoi tuer Katumbi?
Réponse :
« Katumbi continue à constituer un obstacle majeur pour la concrétisation de la volonté du clan kabiliste de conserver le pouvoir dans son giron ».
A relire: Bukiri Bukiri Moïse Katumbi! Kabila est en voie de tirer un troisième « faux penalty »
Le « troisième penalty »
Le conflit entre « Kabila » et Katumbi a eu pour détonateur la fameuse parabole dite du « troisième pénalty injuste » racontée par le gouverneur du Katanga devant une foule en délire lors de son retour au pays. C’était le 23 décembre dernier.
A relire: Moise Katumbi, vient-il officiellement de quitter Kabila?
Ouvrons la parenthèse ici. Dans sa toute première interview accordée au journaliste Hubert Leclercq de « La Libre Belgique » datée du samedi 21 au dimanche 22.02.2015, Moïse Katumbi n’entend en aucun cas présenter des excuses en clamant que ses paroles avaient dépassé ses pensées : « A ceux qui m’écoutent d’interpréter ce que j’ai dit. Je ne renie rien « . A la question de savoir s’il sera candidat à l’élection présidentielle, « Moïse » n’a ni confirmé ni infirmé l’ambition qui lui est prêtée. « J’ai un mandat à terminer avant de penser à autre chose », a-t-il dit. Nous y reviendrons. Fermons la parenthèse.
Selon une source militaire, John Numbi avait participé à la rencontre du 5 janvier 2015 entre « Joseph Kabila » et des « notables katangais » dans la ferme de Kashamata. Certains participants qui le croyaient en disgrâce ne dissimulaient pas un certain étonnement de le voir à cette réunion.
A relire: John Numbi parmi les notables katangais au meeting de Kabila
Il semble qu’avant cette rencontre, le « raïs » avait reçu au même endroit Numbi et le « pasteur » Daniel Mulunda Ngoy Nyanga.
L’affaire Katumbi aurait été au centre des conversations. « C’est à cette occasion que John Numbi avait offert ses services pour abattre Moïse Katumbi, confie la source. Dans un premier temps, le raïs n’était pas chaud. Il semble qu’il vient de donner son feu vert ».
A relire: Est-ce que Moise Katumbi a été trahi par ses proches dans l’opération du 3è penalty au Katanga?
Suspect numéro un dans l’assassinat du défenseur des droits humains Floribert Chebeya Bahizire et son collaborateur Fidèle Bazana Edadi, John Numbi Banza est protégé par « Joseph Kabila ».Celui-ci lui assure l’impunité. L’homme compte sur le « parapluie présidentiel » pour qu’une « disparition accidentelle » de Katumbi ne fasse guère des vagues.
La « solution finale »
Au cours de son point presse hebdomadaire, vendredi 9 janvier, Lambert Mende Omalanga, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement a « signifié » une « mise en garde » de révocation au gouverneur Katumbi Chapwe. « Il est le représentant du chef de l’État, donc s’il veut toujours être gouverneur, il a intérêt à ne pas dépasser certaines limites », déclarait-il. Sans d’autres précisions.
A relire: Urgent: Boshab, Ponyo et Kalev de retour à Lubumbashi pour en finir avec Moise Katumbi?
Mende ignorait sans doute qu’aux termes de l’article 3 de la Constitution promulguée le 18 février 2006, les provinces et les entités décentralisées sont dotées de la personnalité juridique. Le gouverneur de province et son adjoint sont élus au suffrage universel indirect par des députés provinciaux. Ils sont par la suite investis et non nommés par le Président de la République. On le sait, le pouvoir de révoquer appartient à celui qui nomme.
Mieux encore, l’article 198 de la Constitution tel que révisé en janvier 2011 prévoit un seul cas où le chef de l’Etat peut jouir du pouvoir de révocation. Il faut d’abord qu’il y ait une « crise politique grave et persistante ».
Une crise de nature à menacer d’interrompre le fonctionnement régulier des institutions provinciales. Le Président de la République n’agit nullement selon ses caprices. La décision doit être délibérée en Conseil des ministres et après concertation avec les bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat.
Il faut dire que « Joseph Kabila » aura tout essayé y compris un découpage précipité du Katanga actuel en quatre entités. Objectif : neutraliser Katumbi. Il est vrai que cette réforme est prévue dans la Constitution. Mais…
A relire: La vérité interdite sur l’arrestation de kamerhe par Kabila et la vraie raison du découpage du Katanga enfin révélée
Est-ce pour toutes ces raisons que le successeur de Mzee a opté pour une « solution finale »? L’avenir le dira. En attendant, on a appris que John Numbi a fait placer ses proches en qualité de « responsable des Opérations » à l’ANR, à la police ainsi que dans l’armée au Katanga. Devrait-on parler de « commencement d’exécution »?
A relire: Le pouvoir de Kabila menace un représentant d’une ONG des droits de l’homme au Katanga
B.A.W @C.I  Titre original: Banditisme d’Etat : John Numbi chargé d’ »éliminer » Moïse Katumbi
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LA RDC A PERDU 17 MILLIARDS USD DEPUIS 2013:

February 27, 2015, 3:49 am
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LA RDC A PERDU 17 MILLIARDS USD DEPUIS 2013: VOILA OU DISPARAIT LA FAMEUSE CROISSANCE MACRO-ECONOMIQUE DONT LE CONGOLAIS N’ONT JAMAIS PROFITE

par FreeDiomi le 26 février 2015
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Le Pr Stefaan MARYSSE: « Depuis 2013, la RDC a perdu 17 milliards »

Stefaan MARYSSE, professeur belge émérite à l’Institut de politique de développement et de gestion de l’université d’Anvers et directeur de l’Expertise en Afrique centrale maîtrise les sujets liés à l’économie politique dans la région des Grands Lacs. Ses constats interpellent, surtout à propos de l’évasion des profits en secteur minier.


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26 février 2015
Stefaan MARYSSE, professeur émérite à l'université d'Anvers, en Belgique.Stefaan MARYSSE, professeur émérite à l’université d’Anvers, en Belgique.
Extraits:
Est-ce que l’actuel code minier profite plus aux investisseurs étrangers qu’à l’État congolais ? Si c’est le cas, ce code est-il bon ?
Ce code minier est bon. Il faut savoir que le Congo sortait d’une période extrêmement difficile et que personne ne voulait plus investir dans ce pays. Il fallait un code minier extrêmement libéral, même si cela dépend d’un contrat à un autre. En fait, tous les contrats prévoient que l’on doit amortir le capital que l’on a investi. Pendant ce temps-là, il y a trop peu de retombées pour les taxes. On fait donc des taux de profits conséquents, mais qui ne rapportent pas assez à l’État. C’est un problème. L’autre problème c’est la concentration des rentes qui est décidée par un petit cercle dans le pays. Cela amène toujours des cercles influents de personnes qui ont accès à ces ressources. En fait, c’est aussi la base politique d’un pays parce que ce sont des négociations sur des grands contrats qui sont conclus par peu de personnes et où la transparence n’est pas la priorité. Et là vous renforcez un tout petit peu ce qu’on appelle la mauvaise gouvernance. La rente minière va ainsi dans toutes les directions, sauf au Trésor public.
Au sein de ces « décideurs » occultes il y a sans doute des Congolais associés à des étrangers ?
Bien sûr. Quand on regarde les quelques transactions qui sont bien documentées, dans différents cercles, on peut affirmer qu’il n’y a pas de corruption sans corrupteur. Et donc, dans ce jeu-là, il y a toujours des centres de décision opaques, secrètes. Peut-être que cela plaît encore au Congo. En fait, un secret au Congo n’est jamais un secret pour très longtemps. Cela fait que l’on a quand même connu une certaine publicité autour des circuits de ces ventes d’actifs.
Vous avez parlé de sociétés qui basées dans des paradis fiscaux comme les îles Vierges…
Oui, ce sont de sociétés qui sont intermédiaires. On connaît, par exemple, de sources qui sont assez fiables, comment s’est passée la vente d’actifs, par la Gécamines, de la Société minière de Kabolela et de Kipese (SMKK). Il s’agissait d’une vente de 50% à une compagnie kazakhe qui s’appelle Eurasian Natural Resources Corporation (ENRC). Au prix du marché, ils ont payé 75 millions de dollars pour cet actif minier. Mais l’autre moitié des actions que la Gécamines avait a été vendue à deux compagnies dans les îles Vierges à 15 millions de dollars. Donc, d’un côté la Gécamines a reçu 15 millions de la part de la compagnie minière, mais les deux compagnies sont installées aux îles Vierges et on ne connaît pas le vrai propriétaire. Une fois qu’ils ont acquis cela à 15 millions de dollars, il y a eu une nouvelle vente ENRC, la compagnie kazakhe, à 75 millions de dollars. Ces deux compagnies aux îles Vierges ont empoché à peu près 60 millions de dollars comme profit. Est-ce que ce profit va revenir au Congo ? Est-ce qu’il restera à l’extérieur ? On n’en sait rien.
CES TROUS NOIRS QUI PENALISENT L’ETAT CONGOLAIS
Il y a une expression que vous utilisez volontiers. C’est « trou noir ». Qu’entendez-vous par là ?
Oui. Le trou noir c’est lorsque quelque chose disparaît sans laisser de trace et reste introuvable. Il y a une grande opacité, il n’y a pas de transparence. Cela veut dire qu’il y a un manque à gagner pour l’État congolais à cause de certaines pratiques.
Lesquelles ?
Il y a d’abord la vente d’actifs miniers. Ensuite, l’absence des dividendes que devait toucher la Gécamines et qui n’entrent pas non plus dans les caisses de l’État pour des raisons surtout liées au passé de la Gécamines qui doit se reconstituer et, donc, veut retenir cet argent pour se reconstituer.Cela doit déboucher sur quelque chose. On se demande alors si la Gécamines peut avoir deux rôles à la fois, c’est-à-dire être courtier du sol congolais pour le compte du gouvernement et en même temps devenir de nouveau un producteur. Elle ne l’a pas été dans le passé. On mise donc sur une chose dont on ne sait pas si elle va aboutir.
Le troisième volet, ce sont toutes les pratiques des grandes entreprises internationales pour dissimiler les profits. On peut le faire par différents moyens parce que ces gens-là ont toute la connaissance et l’information. Ils peuvent sous-évaluer le chiffre d’affaires, ce qui diminue les taxes. Ils peuvent surestimer, surfacturer les coûts, cela diminue le profit. Évidemment, il y a d’autres possibilités, comme le fait de faire ressortir les profits dans les pays où l’on taxe moins. Ce qui veut dire, on a calculé ensemble avec Claudine TSHIMANGA, que la rente minière qui reviendrait à l’Etat devait au moins être deux fois plus élevée que ce qu’elle est aujourd’hui. Nous croyons facilement que l’on peut arriver à trois fois la rente minière que le gouvernement touche aujourd’hui.

Vous dites qu’à cause des profits rapatriés, le pays perd depuis 2013 entre 14 et 17 milliards de dollars…

Ce qu’on voit maintenant, selon les estimations du Fonds monétaire international (FMI), c’est qu’à partir de 2013, les rapatriements des profits sont plus grands que les nouveaux investissements qui entrent au pays et cette tendance s’amplifiera jusqu’en 2019. Et le pays perd. Si l’on prend la valeur actuelle de ces flux d’argent, il y a une perte nette de 17 milliards de dollars. Quand on le compare même avec les estimations les plus grandes d’argent que l’on a perdu dans la vente d’actifs, cette hémorragie légale des profits rapatriés pour le pays est beaucoup plus importante.

Est-ce que l’État congolais a les moyens d’inverser la tendance ?
Je crois que le problème n’est pas seulement que les grandes entreprises peuvent s’en aller. Comme le pays n’a pas un tissu d’entreprises en aval et en amont, elles ont très peu de possibilités de réinvestir l’argent au Congo. Donc, ils partent. Autre chose serait que le gouvernement, peut-être appuyé par les institutions financières internationales, peut discuter de la manière dont cette manne financière pourrait être utilisée pour le développement du pays.
 
http://democratiechretienne.org/2015/02/26/la-rdc-a-perdu-17-milliards-usd-depuis-2013-voila-ou-disparait-la-fameuse-croissance-macro-economique-dont-le-congolais-nont-jamais-profite/
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ACTU Radio OKAPI

February 28, 2015, 4:35 am
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  • Echos d’économie du 27 février 2015
  • Caf-C2: MK qualifié pour les 16e de finale
  • RDC : la RVF dit attendre le financement de l’UE pour baliser le fleuve Congo
  • Médias : le CSAC suspend l’émission « Congo Histoire » et son présentateur Lushima Ndjate
  • Division I : DCMP enregistre son premier point après son nul (1-1) face à Don Bosco
  • Nord-Kivu : dernier hommage à l’abbé Kakule assassiné à Mwesso
  • Kinshasa : la clôture des inscriptions à l’Ena renvoyée à dimanche 1er mars
  • Un Congolais représente la RDC au Festival d’Ouagadougou
  • La CPI confirme l’acquittement de l’ancien milicien congolais Ngudjolo Chui
  • Ituri: près de 60% de la production de l’or échappe au contrôle de l’Etat
  • Bas-Congo : Moanda privé d’électricité depuis 3 semaines
  • Que pensez-vous de l’usage des langues maternelles dans l’enseignement?
  • Saignements anormaux chez la femme : causes et remèdes
  • Importance d’implantation des stations d’épuration des eaux usées en RDC
  • Atelier sur le cadre juridique des gestions des forêts à Kisangani
  • Kinshasa : prise en charge des diabétiques à Mpasa
  • Kasaï Oriental : installation de l’ABA à Mbuji-Mayi
  • Des astuces pour avoir une bonne hygiène buccale
  • Le loup et la brebis
  • Lubumbashi: les habitants se plaignent des matières fécales déversées au quartier Megastore
  • RDC: l’armée lance une offensive contre les FDLR à Uvira
  • Katanga: une dizaine de bateaux bloqués au port de Kongolo
  • Sud-Kivu: les jeunes de Kalehe invités à se désolidariser des groupes armés
  • La Prospérité: «Tshisekedi, l’agenda du dialogue dévoilé»
  • Onésime Kukatula: «Le calendrier électoral est réaliste, aéré, légal et constitutionnel»
  • RDC: la RVF attend 60 millions USD de l’Union européenne pour baliser le fleuve
Echos d’économie du 27 février 2015
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Caf-C2: MK qualifié pour les 16e de finale
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Que pensez-vous de l’usage des langues maternelles dans l’enseignement?
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Saignements anormaux chez la femme : causes et remèdes
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Importance d’implantation des stations d’épuration des eaux usées en RDC
Posted: 27 Feb 2015 04:16 AM PST
Presque toutes les eaux usées issues des différentes activités des habitants des grandes villes comme Kinshasa, Lubumbashi (Katanga) et Kisangani (Province Orientale) sont généralement déversées dans les rivières, fleuve Congo et autres cours d’eau. Cela pollue considérablement l’environnement. Pour lutter contre la pollution des eaux, les spécialistes encouragent l’implantation des stations d’épuration d’eau dans toutes [...]
  
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Atelier sur le cadre juridique des gestions des forêts à Kisangani
Posted: 27 Feb 2015 04:15 AM PST
Le Conseil pour la défense environnementale par la légalité et la traçabilité (CODELT) développe un projet de renforcement des capacités des acteurs politiques et de la société civile sur des notions liées au cadre juridique et la gestion des forêts depuis le 13 février dernier. Ce sont les acteurs politiques et de la société civile [...]
  
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Kinshasa : prise en charge des diabétiques à Mpasa
Posted: 27 Feb 2015 04:15 AM PST
La Maison de solidarité des diabétiques au Congo (MSDC) assiste plusieurs personnes souffrants de diabète par des conseils adaptés à leurs modes de vie à Mpasa, un des quartiers périphériques situés dans la commune de la N’sele (Kinshasa) depuis novembre 2014. Ces malades reçoivent aussi gratuitement quelques produits pharmaceutiques dans cette maison de solidarité. Le [...]
  
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Kasaï Oriental : installation de l’ABA à Mbuji-Mayi
Posted: 27 Feb 2015 04:14 AM PST
L’Association des barreaux américains (ABA) a installé officiellement son bureau à Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental) depuis le 25 février dernier. Cette ONG de droit américain développe des projets axés sur la défense des droits de l’homme. Le point sur l’importance de l’installation de cette antenne locale dans cet entretien que Marcel Ngombo a eu avec Charles [...]
  
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Des astuces pour avoir une bonne hygiène buccale
Posted: 27 Feb 2015 04:14 AM PST
Pour avoir une bonne haleine, pour éviter les caries, pour mettre toutes les chances de son côté afin d’éviter les fausses dents en vieillissant, avoir une bonne hygiène buccale est capital. C’est une habitude à avoir au quotidien. -Comment fait-on pour prendre soin de sa bouche ? Découvrez quelques astuces qui peuvent vous aider à [...]
  
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Le loup et la brebis
Posted: 27 Feb 2015 03:41 AM PST
Les élèves de l’école Lisanga à Kinshasa expliquent le sens des qualificatifs “loup et brebis” dans la société congolaise.Certains comparent une brebis à un homme faible, impuissant et pauvre tandis qu’un loup à celui qui est fort, riche et respecté dans la société. Pour ces élèves, on peut également reconnaitre des hommes considérés comme des loups ou des brebis par [...]
  
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Lubumbashi: les habitants se plaignent des matières fécales déversées au quartier Megastore
Posted: 27 Feb 2015 03:32 AM PST
Les habitants du quartier Megastore dans la commune annexe à Lubumbashi se plaignent du désagrément causé par le déversement des matières fécales dans leur quartier. Ils indiquent que des camions de la mairie chargés de vider des fosses sceptiques et de décharger les matières fécales dans la périphérie de la ville n’y vont plus et [...]
  
RDC: l’armée lance une offensive contre les FDLR à Uvira
Posted: 27 Feb 2015 02:12 AM PST
Deux thèmes sont au menu de la Tribune de la presse de ce vendredi 27 février 2015: -Début des opérations de la traque des FDLR  par les FARDC, -Rapport mondial Amnesty International : Dans son rapport mondial  2014 publié mercredi dernier, l’ONG Amnesty International relève pour la RDC, une augmentation des faits négatifs comme les [...]
  
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Katanga: une dizaine de bateaux bloqués au port de Kongolo
Posted: 27 Feb 2015 01:32 AM PST
L’insuffisance de produits à transporter bloque une dizaine de bateaux au port de Kongolo depuis plus d’un mois. Au départ de ce port, les bateaux transportent d’habitude de produits agricoles notamment l’huile de palme et l’arachide. Des produits qui ne correspondent pas à la saison culturale actuelle. «Nous sommes dans une période très difficile. Il n’y [...]
  
Sud-Kivu: les jeunes de Kalehe invités à se désolidariser des groupes armés
Posted: 27 Feb 2015 01:28 AM PST
Le questeur adjoint de l’Assemblée nationale, Jean Bosco Kaboy Bwivu, invite les jeunes du territoire de Kalehe au Sud-Kivu à se désolidariser des groupes armés. Il a affirmé des hommes armés commettent des violences dans ce territoire en complicité avec des jeunes de ce territoire. Le député a fait état au cours d’une conférence-débat à [...]
  
La Prospérité: «Tshisekedi, l’agenda du dialogue dévoilé»
Posted: 26 Feb 2015 11:39 PM PST
Revue de presse kinoise du vendredi 27 février 2015. Le contenu du dialogue longtemps réclamé par l’UDPS est enfin dévoilé. La Prospérité titre ce matin: «Depuis Bruxelles, Tshisekedi, l’agenda du dialogue dévoilé». Le quotidien rapporte que l’opposant Etienne Tshisekedi, candidat malheureux à la présidentielle de 2011 préconise la tenue d’un dialogue politique de 10 jours et la mise [...]
  
Onésime Kukatula: «Le calendrier électoral est réaliste, aéré, légal et constitutionnel»
Posted: 26 Feb 2015 11:29 PM PST
Deux semaines après sa publication, le calendrier électoral global de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) continue de diviser la Majorité présidentielle et l’opposition en RDC. Invité de Radio Okapi ce vendredi matin, le rapporteur-adjoint de la Ceni, Onésime Kukatula a indiqué que le calendrier électoral est consensuel, global et constitutionnel. «Tous les paramètres objectifs [...]
  
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RDC: la RVF attend 60 millions USD de l’Union européenne pour baliser le fleuve
Posted: 26 Feb 2015 10:57 PM PST
"On a pris des mesures qui permettront maintenant d'accélérer les travaux", assure Bruno Hanses de l'UE.
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Pensée du Jour

February 28, 2015, 4:44 am
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samedi 28 février 2015
« Vous avez chaque jour toutes sortes d’occasions d’être troublé, malmené, bousculé ; ça, personne ne le niera ; mais vous pouvez malgré tout sauvegarder ou rétablir en vous des états de conscience supérieurs en prenant l’habitude de vivre dans l’attention, la vigilance. Dès le matin, déjà, à l’instant du réveil, tâchez de vous surveiller ; appliquez-vous à faire tous les gestes de la vie quotidienne en gardant votre pensée tournée vers le monde divin d’où nous vient la lumière. C’est là qu’est le salut.
Décidez-vous au moins à essayer… Bientôt vous constaterez que rien n’arrivera à vous ébranler très longtemps. Une mauvaise nouvelle, une maladie, un accident commenceront, bien sûr, par vous plonger dans le trouble, et c’est normal. Mais si vous avez pris l’habitude de maintenir votre pensée fixée sur le monde divin, vous surmonterez beaucoup plus vite ces épreuves. Car c’est à l’esprit que Dieu a donné la toute-puissance. »
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