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les jeunes de la LUCHA enfin libres!

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Jean Claude Katende
3 h
La libération des jeunes de la LUCHA est une victoire des forces démocratiques sur les forces du mal qui veulent prendre en otage le peuple et ses aspirationsprofondes à la démocratie. 
Nous condamnons la justice pour avoir gardé nos collègues pendant des longs mois pour rien. Pour se donner une conscience tranquille, ils les ont condamnés à une peine courte que le temps qu’ils ont passé en prison. Pour se débarrasser des prisonniers qui devenaient de plus en plus encombrant tant pour la justice que pour le régime.
Leur libération est une joie, mais leur condamnation restera toujours un acte d’injustice inacceptable.
Nous lançons l’appel à tous les jeunes filles et garçons de la République Démocratique de s’organiser en mouvements citoyens, dans tous les villages et toutes les villes, pour revendiquer les meilleures conditions de vie et la démocratie.
Les intimidations, menaces, arrestations et prisons ne doivent pas nous décourager, elles ont toujours été le lot de ceux qui se battent pour les grandes causes et pour les valeurs démocratiques.

LA VERITE SUR LES 5 CHANTIERS DE JOSEPH KABILA.INGETA

Carnet de voyage Guillaume Disiyi: le vrai travaille se fait dans le silence et sereinement! Pas de folklore

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Après mon séjour à Accra au Ghana, un constat positif sur image...
Le Ghana que j'ai connu en 2005 et celui que je venais de voir en 2015, qu'en dites-vous? Certains pays d'Afrique ont compris que le développement se fait en silence et par le travail bien fait...
Photo de Disiyi N'dosimaô Guillaume.

Quand les militaires congolaise se rendent justice à cause des abus de leur hiérarchie!

Comme lors du dialogue politique de Sun City, le MLC trahi de nouveau le peuple congolais

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Comme lors des négociations de Sun City, la classe politique congolaise donne encore la nette impression de simples prostituées à la recherche du bonheur pour le bonheur.
Pour mémoire, pendant que les négociations devaient conduire à la mise en place d'une nouvelle république, le MLC et Jean Pierre Bemba avaient entrepris dans le secret les négociations avec le PPRD et le régime de Joseph Kabila pour se partager le pouvoir.
N'eût été la clairvoyance de l'UDPS, les fameux accords de l'hôtel Cascades auraient tout bonnement permis à la dictature de se consolider davantage.

Comme on ne change jamais sa nature, voilà que de nouveau le MLC de Jean Pierre Bemba aligne des candidatures pour les postes de gouverneurs alors que les enjeux sont au niveaux des élections présidentielles pour permettre une alternance au sommet de l'Etat dans les délais constitutionnels pour sauver la démocratie en RDC.
Au peuple congolais d'ouvrir l’œil, et surtout le bon pour savoir qui est réellement pour son bonheur.

A LIRE POUR CONNAITRE:

C' est de plus en plus clair maintenant : Soif excessive du pouvoir pour le pouvoir et par tous les moyens...aussi bien en trahissant le peuple en acceptant l' inacceptable, en faisant partie des institutions et en cautionnant cette élection anti-constitutionnelle!
Le MLC, Mouvement pour la Libération du Congo a présenté des candidats à l'élection des gouverneurs de nouvelles provinces, prévue le 26 mars 2016. On…
CHEIKFITANEWS.NET|PAR CHEIK FITA

RDC: l’élection des gouverneurs taillée sur mesure

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par Christophe RIGAUD

La majorité présidentielle peut-elle réaliser le « grand chelem » lors de la prochaine élection des gouverneurs?C’est bienpossible. Avec l’invalidation de nombreux candidats, la majorité pourrait rafler la plupart des 21 nouvelles provinces.

Gare de Lubumbashi
Lubumbashi, capitale de l’ex-Katanga, une province-clé de l’élection des gouverneurs du 26 mars 2016 © Ch. Rigaud – Afrikarabia
Après deux reports, les nouvelles provinces de la République démocratique du Congo (RDC) éliront leurs gouverneurs le 26 mars après plusieurs mois d’administration intérimaire par des commissaires spéciaux nommés par le gouvernement. Une bonne nouvelle si ce n’était les conditions contestables dans lesquelles la Commission électorale (CENI) et le justice congolaise ont  validé et invalidé les différentes candidatures. Sur les 135 candidats gouverneurs, 31 ont été invalidées par la CENI et les Cours d’appel de justice et 66 ont été retirées. Au final, il n’y aura que 66 candidats pour pourvoir les postes de gouverneur dans les 21 nouvelles provinces – voir la liste complète des candidats ici. Certains observateurs y voient « une élection jouée d’avance ». C’est le cas de Michael Tshibangu, analyste politique et président de l’Association pour le développement et la démocratie au Congo ( ADDC) basée au Royaume-uni. « Avant la publication de la liste des candidats pour l’élection des gouverneurs, Aubin Minaku, le président de l’Assemblée nationale, avait communiqué à la CENI une liste de candidats à invalider, explique à Afrikarabia Michael Tshibangu. Donc il savait clairement à l’avance qui était candidat et qui ne l’était pas. Ce qui remet en cause l’indépendance de la CENI ». Mais ce qui inquiète cet observateur de la vie politique congolaise, c’est que « la CENI a suivi scrupuleusement les injonctions d’ Aubin Minaku. Tous les candidats qui n’ étaient pas du goût de la majorité ont été invalidés ». Ce scrutin serait-il taillé sur mesure pour la majorité présidentielle ? « Dans des provinces comme le Kasaï central, Lomami ou Sankuru, les candidats gouverneurs et vice-gouverneurs de la majorité présidentielle sont de facto élus… faute d’adversaires politiques, puisqu’il n’y a qu’un seul candidat ! »
Ex-Katanga : une province-clé
Michael Tshibangu
Michael Tshibangu est Juriste et président de l’Association pour le développement et la démocratie au Congo ( ADDC)
L’opposition dénonce une « manipulation des institutions » par la majorité présidentielle (MP) pour exclure certains candidats et notamment d’anciens membres de la majorité passés dans l’opposition. Dans le viseur de la majorité : les candidats du G7, ces anciens frondeurs de la majorité aujourd’hui rangés derrière Gabriel Kyungu et surtout Moïse Katumbi, probable candidat à la prochaine présidentielle. Sur les 41 recours déposés devant la justice congolaise, 10 ont été jugés « recevables et fondés »,  les autres n’ont pas obtenu gain de cause. Avec si peu de candidats, la majorité part avec une longueur d’avance dans ce scrutin. D’autant que sur les 21 commissaires spéciaux nommés par Kinshasa pour administrer les nouvelles provinces, 18 commissaires seront candidats au poste de gouverneur qu’ils occupent de facto depuis fin octobre 2015. L’ex-province du Katanga, démembrée aujourd’hui en 4 provinces, sera particulièrement scrutée. La riche province minière constitue en effet le « coffre-fort » de la république et un important réservoir de voix pour le président Joseph Kabila. « La majorité des candidats considérés comme pro-Katumbi et pro-G7 ont été invalidés soit par la CENI ou la cour d’appel. Tout a été fait pour assurer la victoire des candidats de la majorité. On assiste ici à une sorte de mascarade » nous explique Michael Tshibangu. « Les candidats du G7 encore en course sont continuellement harcelés par les services de sécurité. La Garde présidentielle a brutalisé  les partisans de Christian Mwando, candidat pro-G7 dans la province du Tanganyika ». Des opérations d’intimidations qui démontrent une certaine fébrilité du camp présidentiel.
Une élection-test pour la majorité
Sur les 21 provinces, combien la majorité du président Joseph Kabila peut-elle en remporter ? Pour André Atundu, le porte-parole de la MP, « maintenant que nous venons de gagner la bataille préliminaire en terminant en pole position, nous nous préparons à confirmer ce leadership en raflant la mise de 21 provinces, si possible »  a-t-il affirmé sur Radio Okapi. Concernant les nombreuses invalidations qui privent la majorité d’adversaires dans ces élections, le porte-parole tranche : « en quoi cela nous gêne puisque nous n’avons pas triché, nous n’avons pas fraudé ». Mais du côté du G7, la plateforme la plus impactée par les invalidations de candidatures, ont dénonce le retour du « parti-Etat », comme sous Mobutu. Alors que la République démocratique du Congo s’enfonce dans une période d’incertitude électoral avec le possible report de l’élection présidentielle de 2016 et le maintien au pouvoir du président Joseph Kabila, l’élection des gouverneurs constitue un test important pour la majorité présidentielle. « C’est une stratégie pour garder le pouvoir à tous les niveaux y compris la présidence, analyse Michael Tshibangu. La majorité veut occuper tout le terrain et ne laisser aucune place à l’opposition en cas d’élection ou de référendum. Le pouvoir utilise des méthodes peu orthodoxes pour atteindre son objectif, en recourant à la manière forte : faire taire l’opposition, criminaliser tout engagement pour la société civile, interdire la liberté d’expression et d’opinion, ainsi que les recours abusifs au système judiciaire pour museler l’opposition et les médias. Cela démontre que la majorité est déterminée à garder le pouvoir à tout prix » conclut-il. Les gouverneurs seront élus le 26 mars prochain au scrutin indirect par les députés provinciaux.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia

COTE d’IVOIRE: L’attaque de Grand Bassam en Côte d’Ivoire

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On nous tirait dessus, les balles fusaient", a raconté dimanche sur le site de Paris Match le prince Charles-Philippe d’Orléans, qui se trouvait sur la plage de Grand Bassam en Côte d'Ivoire lors de l’attaque qui a fait seize morts.
Cet ancien officier de l'armée de terre, descendant de la famille royale d'Orléans, était venu à Abidjan pour assister vendredi soir, avec de nombreuses personnalités comme Catherine Deneuve, Carla Bruni Sarkozy ou Jamel Debbouze, au gala de la Fondation "Children of Africa" présidé par la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara.
Charles-Philippe d'Orléans
Charles-Philippe d'Orléans
Dimanche, il s'est rendu à la plage de Grand Bassam avec sa femme et des amis. "Une journée de plage se transforme en horreur", a-t-il écrit sur sa page Facebook juste après l'attaque, revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
"Il était 12H30 (...), nous venions d’arriver d’Abidjan avec trois amis (...). Il faisait un temps de rêve, la mer était magnifique. (....) Le temps de me mettre en maillot de bain et de parcourir vingt mètres pour aller jusqu’à la mer avec un ami, on a entendu un premier tir", a-t-il ensuite raconté dimanche soir à Paris Match.
"Ce devait être cinq minutes après notre arrivée. Sans doute un calibre 22 LR. On aurait dit un pétard. Il y avait un monde fou sur cette plage à laquelle les Ivoiriens accèdent en payant. Tout le monde s’est figé un instant. Puis il y a eu un second coup de feu, du 9 mm sans doute, et là, tout le monde s’est mis à courir dans tous les sens", a-t-il poursuivi.
"Nous avons rejoint mon épouse et nos autres amis, et sommes restés ainsi à l’abri quelques minutes. Puis, comme il ne semblait plus rien se passer, je suis reparti sur le sable vers la mer pour me baigner. Et là, ça a commencé à tirer dans tous les sens. Retour aux abris (...). Les gens couraient dans tous les sens".
"Et puis, on a vu des blessés, des morts peut être, sur le sable. Et là on s’est dit qu’il fallait partir, vraiment, le plus vite possible. A ce moment-là, on entendait un tir toutes les dix ou quinze secondes. On nous tirait dessus, les balles fusaient. Le personnel de l’hôtel s’était mis à l’abri dans un bungalow tout en verre en bordure de plage", a encore raconté Charles-Philippe d'Orléans.
"Je n’ai pas entendu quiconque crier +'Allah u Akbar+, ni de rafales à répétition caractéristiques des armes automatiques. Je pense qu’ils avaient des armes de poing, type 9 mm ou Magnum. Ca tirait à droite, les terroristes remontaient par la plage, à pied, et aussi par la route, vers un hôtel plus important. On se sentait cernés", se souvient-il.
Il a ensuite attendu une accalmie avant de "foncer à la voiture, démarrer en trombe et filer vers Abidjan".
AFP

TURQUIE: La riposte à un nouvel attentat à Ankara en pillonant le PKK

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L'aviation turque a bombardé lundi des bases du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans le nord de l'Irak en riposte à un nouvel attentat suicide commis dimanche à Ankara qui a tué 36 personnes ainsi qu'un de ses auteurs, a annoncé l'armée.
Attentat d'Ankara, dimanche 13 Mars 2016
Attentat d'Ankara, dimanche 13 Mars 2016
Ces frappes menées par au total 11 avions de combat ont visé notamment la zone de Kandil, dans les montagnes de l'extrême nord de l'Irak, où sont retranchés les chefs rebelles du PKK, a précisé l'état-major dans un communiqué.

Au moins 36 personnes ont été tuées et 125 autres blessées dans un attentat à la voiture piégée dimanche soir en plein centre d'Ankara, un peu plus de trois semaines après une précédente attaque-suicide qui avait déjà fait 29 morts dans la capitale turque.
Selon le gouvernement turc, le véhicule piégé a explosé à 18h45 heure locale (16h45 GMT) à un arrêt de bus de la très fréquentée place Kizilay, en plein cœur d'Ankara, qui abrite de nombreux commerces et où passent plusieurs lignes de bus et de métro.
Plusieurs bus et de nombreux véhicules ont été totalement détruits par la puissante déflagration. "Trente personnes ont été tuées sur le coup et quatre autres à l'hôpital", a déclaré devant la presse le ministre de la Santé Mehmet Müezzinoglu à l'issue d'une réunion de sécurité convoquée autour du Premier ministre Ahmet Davutoglu.
Au mois 125 autres ont été blessées, dont 19 se trouvaient dimanche soir dans un état jugé sérieux, a ajouté le ministre de la Santé.
Selon M. Müezzinoglu et son collègue de l'Intérieur Efkan Ala, l'attentat a été commis par une véhicule à bord duquel se trouvaient "une ou deux" personnes et qui a délibérément visé l'arrêt de bus de la place Kizilay.
L'attentat n'a pas été immédiatement revendiqué mais son mode opératoire se rapproche d'un autre attentat suicide à la voiture piégée, qui a visé le 17 février à Ankara, non loin de la place Kizilay, des cars transportant du personnel militaire et fait 29 morts.
Un groupe dissident du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, séparatistes kurdes), les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), en avait assumé la responsabilité trois jours plus tard et annoncé de nouvelles attaques, notamment contre les sites touristiques turcs.
 'Informations concrètes' 
Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan et son Premier ministre Ahmet Davutoglu avaient pour leur part attribué l'attentat aux kurdes syriens des Unités de protection du peuple (YPG), avec le soutien du PKK. Ces deux mouvements avaient catégoriquement rejeté ces accusations.
"Nous avons des informations concrètes sur le groupe terroriste à l'origine de l'attaque", a déclaré le chef du gouvernement dans un communiqué, "nous aurons très rapidement les résultats complets de l'enquête et nous les rendrons publics".
De son côté, M. Erdogan a dénoncé des "attaques contre l'unité de notre pays et notre peuple" et annoncé une riposte. "Notre Etat ne renoncera jamais à faire usage de son droit à la légitime défense contre toute menace terroriste", a-t-il déclaré.
Les Etats-Unis ont "fermement condamné" dimanche cette attaque, et "réaffirmé leur partenariat solide avec la Turquie", leur "allié à l'Otan, dans le combat contre la menace commune du terrorisme", dans un communiqué du porte-parole du département d'Etat, John Kirby.
Le président français François Hollande a exprimé sa "profonde solidarité" au peuple turc et assuré à son homologue de son soutien dans "la lutte contre le terrorisme".
L'ambassade américaine en Turquie avait alerté vendredi ses ressortissants sur une "possible attaque terroriste"à Ankara visant "des bâtiments du gouvernement turc et des immeubles" dans le quartier où a été perpétré l'attentat du 17 février.
Interdiction sur internet 
Dimanche soir, un juge d'Ankara a ordonné l'interdiction de la diffusion de toute information sur l'attaque sur internet, notamment sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter où circulaient de nombreuses photos et vidéos.
La Turquie vit depuis l'été dernier en état d'alerte maximale après une série d'attentats meurtriers, dont quatre ont été attribués par les autorités au groupe Etat islamique (EI).
Le plus meurtrier d'entre eux, le 10 octobre dernier, avait été perpétré par deux kamikazes qui s'étaient fait exploser au milieu de manifestants de la cause kurde devant la gare centrale d'Ankara, faisant 103 morts.
Le 12 janvier, 12 touristes allemands ont péri dans un autre attentat-suicide dans le quartier touristique de Sultanahmet à Istanbul.
Longtemps accusé de complaisance envers les groupes rebelles les plus radicaux, en guerre contre le régime de Damas, Ankara a rejoint l'été dernier la coalition antijihadiste et multiplié les arrestations pour lutter contre les cellules de l'EI sur son sol.
La Turquie est en outre secouée depuis juillet dernier par la reprise du conflit kurde. D'intenses combats opposent ses forces de sécurité au PKK dans de nombreuses villes du sud-est du pays, peuplé en majorité de Kurdes.
Ces combats ont fait voler en éclats les pourparlers de paix engagés par le gouvernement turc avec le PKK à l'automne 2012 pour tenter de mettre un terme à une rébellion qui s'est soldée par la mort de plus de 40.000 personnes depuis 1984.
Par Guylain Gustave Moke
Analyste Politique/Ecrivain

EU-TURQUIE: Intenses tractations avant le nouveau sommet

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Le président du Conseil européen se rendra mardi à Chypre, l'un des pays de l'UE les plus réticents face aux tractations controversées qui battent leur plein avec la Turquie, pour stopper l'afflux de migrants vers l'Europe.
Les dirigeants des 28 Etats membres de l'Union ont chargé Donald Tusk de boucler les derniers "détails" avec Ankara, avant un nouveau sommet européen convoqué les 17-18 mars à Bruxelles. 800647d18781727573edda67499ebe18589b93e2
L'accord de principe dévoilé lors du sommet du 7 mars, qui envisage le renvoi vers la Turquie de tous les nouveaux migrants traversant la mer Egée, est censé "changer la donne" selon l'expression de plusieurs reponsables européens.
Mais il reste plus que des "détails"à régler avant le sommet, tant ce projet d'accord suscite des doutes, non seulement auprès des organisations de défense des droits de l'Homme, mais aussi parmi des pays européens méfiants face à un gouvernement turc soupçonné par certains de dérive autoritaire.
A Chypre, mardi, M. Tusk doit s'entretenir avec le président Nicos Anastasiades, qui a exprimé de fortes réserves sur les contreparties que l'UE pourrait offrir à Ankara.
Les conclusions du sommet du 7 mars mentionnaient notamment la perspective "d'ouvrir de nouveaux chapitres aussi vite que possible" dans les négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE.
"Aucune concession"
Mais "l'ouverture de tout chapitre nécessite de la Turquie qu'elle remplisse ses obligations", a mis en garde mardi un porte-parole du gouvernement chypriote, non reconnu par Ankara, et qui bloque depuis 2009 plusieurs chapitres clés des négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE.
Chypre n'est pas le seul pays européen à avoir émis des réserves face aux contreparties dans le projet d'accord négocié en premier lieu entre le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu et la chancelière allemande Angela Merkel.
"Il ne doit y avoir aucune concession en matière de droits de l'Homme ou de critères de libéralisation des visas", a notamment prévenu samedi le président français François Hollande.
Outre la question controversée de possibles expulsions collectives des migrants, dont l'Onu a rappelé jeudi qu'elles seraient "illégales", la France insiste sur cette question précise des visas, chère au gouvernement islamo-conservateur turc.
Le projet d'accord UE-Turquie prévoit une accélération des négociations afin de supprimer les visas pour les Turcs dans l'espace Schengen. Mais pour Paris, cela ne doit pas se traduire par un assouplissement des dizaines de critères que doivent respecter les pays demandant une telle mesure.
M. Davutoglu, qui espère que les exemptions commenceront dès juin, a abordé le sujet dimanche lors d'un entretien téléphonique avec Angela Merkel, selon l'agence de presse turque progouvernementale Anatolie.
"Conditions invivables"
La question des "modalités" du plan de réadmission en Turquie des migrants clandestins qui se rendent en Grèce, a également été discuté lors de cet entretien.
A ce sujet, le gouvernement grec a indiqué dimanche qu'il envisageait d'accepter la présence d'observateurs turcs sur les îles grecques de la mer Egée dans le cadre de l'application de ces réadmissions.
"Il faut mettre de l'ordre dans le chaos (migratoire) et ce serait stupide de refuser (cette aide)", a dit le ministre grec de la politique d'immigration, Yannis Mouzalas, à la télévision grecque Skaï.
La gestion des dizaines de milliers de réfugiés bloqués en Grèce après la fermeture des frontières par certains pays membres de l'UE et des Balkans, est devenue un casse-tête pour le gouvernement grec.
Plus de 44.000 migrants et réfugiés sont enregistrés dans le pays. Plus de 12.000 campent dans des conditions misérables près du village frontalier grec d'Idomeni, espérant que la Macédoine va rouvrir sa frontière, au début d'une route des Balkans aujourd'hui verrouilée.
Un groupe de 200 réfugiés, surtout des familles syriennes et irakiennes, ont à nouveau manifesté dimanche matin à cet endroit, en scandant "Ouvrez les frontières". Ces manifestations sont quasi-quotidiennes, les réfugiés vivant dans des conditions d'hygiène dramatiques.
"La misère humaine a atteint son point culminant en Europe, les conditions à Idomeni sont invivables", a déploré Babar Baloch, porte-parole du Haut commissariat des Réfugiés (HCR).
Par Guylain Gustave Moke

ALLEMAGNE: Merkel sous pression au lendemain de la débâcle électorale

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La chancelière allemande était sous pression lundi au lendemain de la débâcle de son parti conservateur lors de régionales et de la percée des populistes, portés par une opposition croissante à la politique d'accueil des réfugiés d'Angela Merkel.
Angela Merkel
Angela Merkel
Celle qui dirige l'Allemagne depuis plus de dix ans doit s'exprimer à la mi-journée après que son parti, l'Union chrétienne-démocrate (CDU), est arrivé deuxième lors des scrutins dans le Bade-Wurtemberg (sud-ouest) et en Rhénanie-Palatinat (ouest). En Saxe-Anhalt (est), si les conservateurs remportent le vote, ils sont talonnés par les populistes de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD).
Impulsée par Mme Merkel l'été dernier, la généreuse politique d'accueil des demandeurs d'asile --1,1 million en 2015-- a été au coeur des débats électoraux, et les scores exceptionnellement élevés de l'AfD dans les trois régions (entre 12 et 24%) montrent l'étendue de la fronde contre elle.
 'Ligne claire' 
Mais de hauts responsables politiques ont exclu dès dimanche soir que la chancelière change sa ligne, elle qui refuse de plafonner arbitrairement le nombre de réfugiés accueillis en Allemagne.
"Nous avons une ligne claire sur la politique concernant les réfugiés et nous la gardons", a prévenu Sigmar Gabriel, le vice-chancelier et patron des Sociaux-démocrates (SPD) partenaires de la coalition gouvernementale de Mme Merkel.
Le secrétaire général de la CDU, Peter Tauber a reconnu "des temps difficiles" mais a dit "ne pas attendre" de changement dans la ligne de la chancelière.
Mais pour la CSU, l'allié bavarois de la CDU qui s'oppose à la politique migratoire de Mme Merkel, ces résultats prouvent qu'un changement de cap est essentiel. "L'origine des mauvais scores de la CDU (...) est la politique permettant l'afflux illimité et incontrôlé des réfugiés", a estimé un responsable parlementaire, Hans Michelbach. "La seule conséquence logique de ces résultats serait de corriger le cours de la politique sur les réfugiés", a-t-il jugé.
Dans la presse en ligne, les commentaires étaient sans appel: la CDU est le grand perdant, l'AfD le vainqueur incontestable et Mme Merkel se retrouve dans une position inconfortable après des années de domination de la vie politique.
"C'est un dimanche noir pour la chancelière Angela Merkel. Elle a longtemps espéré que malgré les résistances à sa politique sur les réfugiés elle pourrait gagner" deux régions, relève le site de l'hebdomadaire Der Spiegel.
"Mais finalement, ce n'est pas le cas. Merkel devra vivre avec le reproche d'avoir laissé l'AfD s'installer durablement", poursuit-il.
L'envolée de l'AfD, qui a multiplié les dérapages verbaux anti-migrants, constitue un scénario inédit depuis 1945 dans un pays toujours en quête d'exemplarité morale après l'horreur nazie.
Le résultat est d'autant moins réjouissant pour le gouvernement en place que le SPD prend l'eau aussi. S'il gagne en Rhénanie-Palatinat, il est à moins de 15% dans les deux autres régions et se fait doubler par les populistes.
 Merkel fragilisée dans l'UE 
Ainsi, le site du quotidien populaire Bild note que les deux partis qui dominent la vie politique allemande depuis 1945 "doivent lécher leurs plaies" après cet "important test sur la politique en matière de réfugiés".
La débâcle électorale ne devrait par ailleurs pas faciliter la position de Mme Merkel à l'échelle européenne où son refus de verrouiller l'Union européenne face à l'afflux des réfugiés, notamment de Syriens fuyant la guerre, est décrié par nombre d'Etats-membres.
La chancelière pousse elle pour des solutions d'accueil à l'échelle européenne et un accord controversé entre la Turquie et l'UE en cours de négociations avant un sommet les 17-18 mars.
Elle a ainsi critiqué les pays de la route des Balkans menant les migrants vers l'Europe du Nord pour avoir fermé leurs frontières, laissant des dizaines de milliers de personnes coincées en Grèce dans des conditions jugées abominables.
Pourtant, de hauts responsables allemands, dont le ministre de l'Intérieur Thomas de Maizière, se sont réjouits de cette fermeture qui s'est traduite pas une baisse de 33% des arrivées en Allemagne entre janvier et février.
Dès lors pour certains et à la lumière des défaites électorales, la chancelière doit reconnaître cette réalité.
"Elle profite plus que tout autre de la fermeture des frontières qu'elle critique (...) Merkel doit s'expliquer, et après ces élections plus que jamais", note le quotidien bavarois Nürnberger Nachrichten.
Par Guylain Gustave Moke

"Plus beau mon code du travail", le feuilleton d'une réforme compliquée

VATICAN: Le procès « Vatileaks » entre dans le vif du sujet

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Le procès "Vatileaks", qui juge cinq accusés dont deux journalistes pour la fuite de documents confidentiels du Vatican, va entrer lundi après-midi dans le vif du sujet, avec l'audition en séance publique des témoins et sans doute des révélations à la clé. 7c73e7e412f1163daaa569e0b675874121d2cfde
Détails scabreux entre deux des prévenus, le prélat espagnol Lucio Angel Vallejo Balda, proche de l'Opus Dei, et la consultante italienne en communication, Francesca Chaouqui, piratage informatique et chantage présumé sont au cœur de ce procès, qui se tient à l'intérieur des murs fortifiés du petit Etat, comme pour mieux y contenir ses secrets.
Samedi matin, une audience à huis-clos d'environ une heure s'est tenue, durant laquelle tous les prévenus étaient présents avec leurs avocats, a rapporté par la suite le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican.
Cette audience "technique" a permis de présenter les résultats des expertises réclamées par les deux "corbeaux" présumés, Mgr Vallejo Balda et Mme Chaouqui, anciens membres ou collaborateurs de la commission chargée par le pape de le conseiller pour la réforme du système financier et économique du Vatican.
Ces expertises concernent des e-mails et messages échangés via l'application Whatsapp, sur des ordinateurs et téléphones saisis par la justice vaticane, afin d'établir qui sera retenu dans l'acte d'accusation.
Le prélat espagnol, jusqu'alors aux arrêts domiciliaires, a été extrait d'une cellule de la gendarmerie vaticane pour assister à l'audience.
Il y avait été placé "il y a quelques jours" après avoir "enfreint aux conditions de son statut judiciaire lui interdisant de communiquer avec l'extérieur", a précisé le père Lombardi.
L'audience de lundi, qui doit se poursuivre mardi, sera consacrée à l'audition des témoins. La liste de ces derniers comprend le nom du numéro deux du Saint-Siège, le cardinal secrétaire d'Etat Pietro Parolin, mais on ignore s'il témoignera cette semaine.
Deux autres proches de Jorge Bergoglio sont également sur cette liste: Mgr Konrad Krajewski, chargé des œuvres de charité du pape, et le cardinal Santos Abril y Castello, archiprêtre de la basilique Sainte-Marie Majeure.
Embarrassant pour François
Mgr Vallejo Balda, Mme Chaouqui et un autre prévenu italien, Nicola Maio, collaborateur du prélat espagnol, ont eu accès à de nombreux documents lorsqu'ils étaient membres en 2013-2014 de cette commission chargée de faire des propositions de réformes.
Ils comparaissent depuis fin novembre, de même que deux journalistes italiens, Gianluigi Nuzzi et Emiliano Fittipaldi, qui ont utilisé ces documents dans deux livres, "Chemin de croix" et "Avarizia" (avarice), sur la persistance, malgré la volonté de réforme affichée par le pontife argentin, de dysfonctionnements et malversations financières.
Moins de 20% des dons faits par les croyants est utilisé à des fins de bienfaisance, apprend-on par exemple, en partie à cause des lourdeurs de la bureaucratie vaticane, mais aussi en partie en raison du détournement de ces sommes pour financer le train de vie luxueux de certains cardinaux.
Selon le prélat espagnol, Mme Chaouqui serait une dangereuse manipulatrice qui l'aurait séduite et contraint à divulguer des documents confidentiels, tandis que la consultante assure de son côté n'avoir entretenu que des rapports de travail avec lui.
Tous les prévenus risquent entre quatre et huit ans de prison.
Le procès avait été interrompu fin novembre pour permettre aux juges de collecter et d'étudier différents fichiers informatiques.
Ce nouveau scandale est le second après celui survenu en 2012 dans l'entourage de Benoît XVI, surnommé déjà "Vatileaks". Il touche indirectement le pape François, engagé dans une réforme difficile de la Curie et qui a souligné sa volonté de continuer la lutte contre la corruption.
Selon les médias, le pape souhaiterait, comme le permet le droit du Vatican, clore avant Pâques ce procès.
Il est embarrassant pour lui car les accusés prétendent défendre sa politique d'ouverture et de modernisation, mais aussi parce que deux journalistes y sont jugés, au mépris de la liberté de la presse garantie en Italie.
Par Guylain Gustave Moke

ETATS-UNIS: Donald Trump et la Campagne de violence

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A force de jouer les gladiateurs, Donald Trump transforme l'arène politique américaine en jeux du cirque : ses adversaires l'accusent d'avoir libéré des pulsions délétères et les coups bas vont redoubler selon les experts. "Je m'attends à une forte augmentation des tensions et de la violence lors des prochains rassemblements politiques", confie Steffen Schmidt, professeur de sciences politiques à l'université de l'Iowa.
Dans la longue joute présidentielle qui consterne déjà bien des observateurs, le week-end du 11 au 13 mars restera en effet comme celui d'une nouvelle détérioration très nette de la qualité du débat.
Le Candidat á la présidentielle Américaine Donald Trump
Le Candidat á la présidentielle Américaine Donald Trump
Cela a débuté par des échauffourées et l'annulation d'un meeting de Trump vendredi soir à Chicago; puis, samedi matin, un homme tentait de sauter sur la scène d'une réunion de campagne du candidat républicain dans l'Ohio, forçant l'intervention des agents du Secret service; quelques heures plus tard, les policiers aspergeaient de gaz lacrymogène des manifestants anti-Trump à Kansas city.
La campagne semble donc virer à la foire d'empoigne, avec des débordements parfois racistes se cristallisant autour des déplacements du milliardaire. Donald Trump a de son côté menacé dimanche d'envoyer ses militants perturber les réunions politiques de son rival démocrate Bernie Sanders.
Est-ce à dire que les heurts, les injures, les gardes du corps et les matraques policières seront désormais les éléments de décor incontournables de la présidentielle 2016 ? Certains le craignent ouvertement.
"Trump a allumé un incendie. Peut-il être maîtrisé ?", se demande ainsi le Washington Post dans un commentaire.
''Nez en sang et fractures'' 
"Les partisans de Trump vont désormais aller aux événements de Sanders pour les perturber. Puis les partisans de Sanders riposteront et il y aura pas mal de nez en sang et de fractures osseuses", prédit le professeur Schmidt.
Avec ses diatribes contre Washington, ses injures visant ses rivaux -- le "petit" Marco Rubio et le "menteur" Ted Cruz --, ses stigmatisations des musulmans et des hispaniques, Donald Trump se voit reprocher d'attiser les haines et d'enhardir ses partisans.
"Sa rhétorique incite les débordements brutaux à ses rassemblements", a dénoncé dimanche dans un éditorial le Washington Post.
La semaine dernière, un homme de 78 ans, John McGraw, a brusquement frappé un manifestant noir lors d'un meeting de Trump en Caroline du Nord. "J'ai aimé ça, lui clore sa grande bouche", a ensuite déclaré l'agresseur. "La prochaine fois, il nous faudra peut-être le tuer".
M. Trump a refusé d'endosser toute responsabilité dans cette affaire et a continué d'assurer que ses meetings étaient non violents, même si lui-même flirte en permanence avec les lignes rouges.
"J'aimerais lui balancer mon poing dans la figure", a-t-il ainsi asséné au sujet d'un homme qui l'avait interrompu dans son discours.
M. Trump a par ailleurs justifié les excès de certains de ses partisans au nom de la "colère" qu'ils auraient le droit de ressentir.
Pas étonnant dans ces conditions que les lieux de déplacement du milliardaire deviennent le rendez-vous de militants antiracistes et libertaires, ou de défenseurs des sans papiers.
Le génie s'est échappé 
"Trump attire les protestataires typiques --qui ne sont pas des militants de Bernie Sanders--, les gens en marge et les militants purs et durs qui veulent en découdre", explique le politologue Mac McCorkle. "C'est un peu comme le génie de la lampe: je pense que ces manifestants vont continuer à se rendre à ses meetings, mais on ignore comment les remettre dans la lampe", poursuit-il.
Il était jusqu'alors fréquent que les réunions de campagne du magnat de l'immobilier soient interrompues par un ou plusieurs contestataires, invariablement expulsés de la salle.
Mais à Chicago vendredi ils étaient des milliers. M. Trump a dénoncé des "agitateurs professionnels" auteurs d'une "attaque planifiée".
A la suite de quoi le président Barack Obama a appelé les candidats à rejeter les "insultes et les sarcasmes de cour d'école".
En tête de la course dans le camp démocrate, Hillary Clinton a pour sa part reproché à M. Trump d'avoir un comportement de "pyromane".
Le candidat républicain et gouverneur de l'Ohio John Kasich a, lui, accusé M. Trump de "créer un climat toxique".
Pour le professeur McCorkle, cette stratégie de l'outrance pourrait valoir à Trump des "gains à court terme". Un nombre important de délégués sont offerts au vote dans cinq Etats cette semaine, pour le deuxième "super mardi" des primaires. Mais pas à long terme, c'est-à-dire après les conventions d'investiture de cet été.
Si Hillary Clinton se retrouvait alors face à Trump dans la confrontation finale, le professeur Schmidt prédit "la campagne présidentielle la plus vacharde depuis celle de Thomas Jefferson" au début du XIXe siècle.
Par Guylain Gustave Moke
WordPress/AFP

USA/RDC: La marche des CLINTON vers la Maison Blanche et la diplomatie de la RDC.

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La marche des CLINTON vers la Maison Blanche et la diplomatie de la RDC.

Les élections américaines de 2016 qui vont avoir lieu dans les mois qui viennent, plus précisément  le 08 novembre prochain, et dont la campagne bat présentement son plein, permettent, dans une certaine mesure, de présumer la (certes sans évidence) la possible victoire de Mme Hillary R. CLINTON et l'éventuel retour de la famille Clinton à la Maison Blanche. Cela, évidemment, non sans laisser ouverte l'éventualité d'une surprise de l'arrivée en tête du milliardaire américain, Donald TRUMP, étant donné qu'une certaine frange de la population états-unienne raffole ses envolées oratoires frôlant parfois une dérive hystérique. Dès lors, il faut tenter d'anticiper certaines choses. 
Ce qui demeure un enjeu important pour la RDC (et tout son peuple) est la question de son positionnement, du point de vue diplomatique, face à cette famille Clinton dont le souvenir jusqu'ici reste amer dans les cours et les esprits des Congolais à la suite des conséquences tragiques que ce pays et son peuple ont connues et continuent à vivre; conséquences provoquées par la tragédie rwandaise dont Paul Kagamé et son FPR sont responsables sinon fortement impliqués.

Face à cette éventualité (retour de la famille Clinton à la Maison Blanche), le réalisme commande que la RD Congo et les Congolais aient de la retenue, mettent de l'eau dans leur vin, gèrent leur colère et déception vis-vis de cette famille dont le pouvoir a rendu possible et soutenu, sous l'administration deBILL, les drames rwandais et congolais. Non seulement le Congo et son peuple devraient avoir de la retenue et de la patience, mais les détenteurs de pouvoir au Congo devront anticiper, même tardivement, les événements en relançant une grande offensive diplomatique (on ne le dira jamais accez) afin de faire jouer auprès de la famille CLINTON le disque qui plaît aux deux camps dans le but de créer un nouveau rapprochement et bonifier les rapports interétatique. Quant nous disons ''acteurs qui ont les commandes du pouvoir en RDC'', nous le disons indistinctement, c'est-à-dire tout régime ou gouvernement qui commande aux destinées du Congo. 
L'anticipation est la meilleure antidote dans les relations conflictuelles, en particulier face à une situation difficile connue (dont nous parlons) d'une RDC diminuée (sous le coup des aléas divers); situation qui a offert un temps d'acalmie et dont le rebondondissement n'est pas exclu, vu l'appât que constitue le Congo en contexte de globalisation économique et sa féroce compétition qui a lieu intrinsèquement en termes  de bénéfice de gros intérêts.

*Hillary R. Clinton est une femme. Elle est et sera, en cas de victoire, la 1ère femme à occuper la Maison Blanche. Cette fois-ci, elle y entrera non pas comme l'épouse d'un président masculin (Bill Clinton) mais comme présidente des États-Unis elle-même: une première historique qui entrera dans les annales après le passage d'un Noir  (Barack Obama) à la Maison Blanche: un événement ayant été ressenti comme inaugurantune ère nouvelle dans l'évolution historico-siciopolitique états-unienne.

Avant l'advenue d'un tel événement, le Congo devra amorcer une grande promotion de ses femmes  (filles bien formées sorties des universités diverses ainsi que des femmes mariées de même acabit) sur tous les secteurs de la vie nationale. Cette action a pour but de crées des vis-à-vis féminins à la future locataire de la Maison Blanche et, davantage, de placer ces dernières à l'avant-scène dans la diplomatie congolaise, de telle façon qu'elles aient à activer les forces de la subtilité féminine qui permettent et permettront d’aplanir les différends entre les USA et le Congo et qu'elles parviennent à inverser la tendance dans les rapports d'influence dans le monde, en particulier entre notre pays et les petits pays voisins sans envergure qui ont ravi à la RDC sa posture d'influence et de pays de référence dans La régions des Grands Lacs et en Afrique Centrale.  Et c'est maintenant le temps d'agir dans cette direction. Nous en avons suffisamment pris du retard. Continuer à lambiner relèverait d'une inconscience, voire d'une ignorance, notoire en diplomatie : un manque de discernement et de sens d'anticipation. 
Justement, sur ce point toujours, le Rwanda voisin a pris une sérieuse avance, en envoyant à son Parlement et à des postes diplomatiques, 60% de ses femmes dans le cadre de la promotion de celles-ci et surtout en prévision de la possible entrée prochaine aux États-Unis d'une femme à la Maison Blanche au poste de Président national. Le but est ici de se doter d'une force diplomatique de sensibilité féminine plus subtile, en raison de considérables enjeux de progrès et de développement dans les Grands Lacs et en Afrique.

Si les dirigeants d'un pays comme la RDc manquent cette capacité de discerner et d'anticiper l'avenir par l'appréhension des événements majeurs qui peuvent advenir et, par-là, initier des réformes et des changements qui s'imposent, le peuple en tant que souverain primaire, se doit de s'assumer et de les sanctionner en les chassant du pouvoir au profit d'une équipe capable de porter la RD Congo dignement. Les élections en constituent une moyen non-violent.

D'aucuns nous dirons: cette approche est une façon de ramper aux pieds de la famille Clinton et de ceux des Américains, à quoi bon l'adopter ? Notre réponse est simple: les États ne vivent que des rapports de force, de réalisme politique qui s'y rattache et de diplomatie conséquente. Négliger ces aspects, c'est faire le choix d'occuper la partie descendante de la balance, et cela n'est pas sans conséquence déplorable et défavorisant
Les USA sont, qu'on le veuille ou non, présents au Congo, et ils y sont de pleins pieds. Il faut vivre dans un monde de rêve ou d'évasion rationnelle, voire d'illusion, pour ne pas le savoir.  Les nombreuses années de leur présence au Congo permet de l'affirmer. Ils possèdent toute la carte du Congo: son sol, son sous-sol, ses habitants ou populations. Les colossaux moyens technologiques, satellitaires en particulier, dont ils disposent en tant que première puissance mondiale, font que la RDC ne lui échappe absolument pas.  En ce sens, mieux vaut composer avec ce pays que de l'avoir contre soi-même : avoir avec lui une coopération intelligente qui aboutit à des retombées positives de part et d'autre de deux pays  que de vivre à couteau tiré dans des relations tendues pouvant déboucher sur un divorce insensé qui ne nous rapporte rien d'autre que peines et misères, et surtout sans que cette 1ère puissance mondiale perde rien de son côté. Nous pouvons nous tromper, mais le réalisme pragmatique voudrait que la RD Congo ouvre ses yeux et s'oriente vers la bonne direction en capitalisant sans faille.

Ikonga Wetshay.

De réactions à chaud sur les enjeux futurs et retombées des présidentielles USA sur la RDC et le Rwanda

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Si transition y aura, après le départ du sanguinaire J. Kabila en décembre 2016 ou avant, la révolution nationale et démocratique devrait s' imposer à tout prix, pour pouvoir barrer la route à tous les prédateurs locaux et étrangers qui veulent maintenir le pillage et le sinistre dans notre cher et beau pays.
Bob

 

Maison Blanche et diplomatie RDC

 
Cher M. Ikonga Wetshayi,

Votre approche d'anticipation est tres faible face aux dangers qui se profilent a l'horizon pour le Congo avec Hillary Clinton dont il ne faut a tout prix ne pas souhaiter de voir arriver a la Maison Blanche.
L'heure est grave mais d'apres les informations secretes qui ne peuvent etre comprises que par les professionnels de l'ombre, Trump a un soutien extraordinaire de tous les grands faiseurs des rois en Amerique. J'etais surpris de lire sur You tube les noms des personnes qui sont les vrais conseillers de Trump. Vous auriez froid dans le dos. Il est dit dans ces informations que certains mots orduriers que Trump prononce viennent de ces conseillers!

Il est vrai qu'Hellary a du vent en poupe ches les Democrates mais les armes fourbies contre elle dans le camp republicain ne sont pas de toute complaisance. Elle et son mari ont des sales dossiers qui vont etre deterres des que les Democrates la nomment pour leur parti comme la candidate. C'est a ce moment la que toute la machine republicaine va se dechainer. 

Si depuis le mois de juin l'an dernier, Trump n'a fait que gagner, ce qu'il y a des gens et pas en moindre nombre qui aiment ce qu'il dit et son attitude. On a tout fait pour l'arreter mais il est instoppable. Et si on se met en tete de le degommer au niveau de la Convention comme on a l'intention de le faire comme Mitt Romny l'a declare dernierement, on risque d'assister a une foire republicaine a leur convention. Ca risque de ne pas etre beau. Ce sera un mess.

Pour le Congo, l'affaire est grave parce les bras des Clinton qui sont Kagame et Museveni se ont deja gagne les batailles respectives de se perenniser au pouvoir dans leurs pays. Lorgnant sur le UNFINISHED BUSINESS des Clinton, ils sont en train de prier jour et nuit meme s'ils sont des assassins insatiables. Et si par hazard, Hillary passait, il faut penser au Requiem pour le Congo.
Les solutions existent mais ne pouvant pas tout mettre sur le net, les politiciens congolais, les vrais, les mettront en route des que les rouages du pouvoir seront de nouveau controlles par les patriotes congolais et non des vendus.

L'espoir est encore permis. C'est pourquoi, la Transition qui se pointe ne doit pas etre une affaire d'amateurs ou d'infiltres et encore moins des traitres congolais. La selection sera rigoureuse et la competition une mesure de participation. 
Y aller avec le sentimentalisme qui a toujours caracterise les Congolais c'est faire preuve d'une naivete qu'on ne doit plus repeter. 
Les experiences depuis l'independance doivent nous avoir rendus plus que sages. Ce sera la FUREUR DE REDRESSER LA BARRE.    

Kalombo Kabengu

Front Civil RP: Un soldat de FARDC( GR) tue 3 de ses supérieurs à Lubumbashi

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Forte agitation sur la présence d'Etienne Tshisekedi comme président de la RDC

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QUID DE L´APPEL TSHISEKEDI PRÉSIDENT DE LA TRANSITION ?
TSHISEKEDI CONTINUE A FAIRE PEUR A TOUS LES BANDITS ET VOLEURS



Pauvre Vununu perdu dans la labyrinthe de mensonges et de contre vérités :

Vous, comme ces autres là dans votre cas, vous n´évoquez que des aspects politiques comme soucis majeurs de notre peuple. C´est la raison pour laquelle sur 229 articles contenus dans notre Constitution, vous manipulez le peuple rien qu´avec des articles liés directement aux questions politiques sans jamais faire allusion aux articles accordant au peuple des acquis sociaux

Toujours on vous  voit évoquer souvent l´article 220 comme si les Congolais que vous appelez dans la rue sont tous des politiciens et qu´en dehors de la politique, il n´y aurait pas d´autres urgence pour notre peuple. Évoquez aussi les articles 47, 48, 49 et 58. C´est cela la plus grande préoccupation de notre peuple. 

Faut-il rappeler à cet homme imbu dans sa médiocrité que même dans la bible nous parle des péchés mortels et véniels et que tous les péchés ne se valent point... Le pasteur et prêtre insisteront sur le péché mortel qui entraine la mort spirituel que sur le véniel qui peut être.

Faut-il rappeler à ce charlatan arracheur de dents que la Constitution est pour les Congolais comme l'est la bible pour les chrétiens ? Quand on dit touche pas à mon 220 c'est comme ne tue point pour les chrétiens ?

A titre d´exemple, un jour ne passe quelque part en France voire en Belgique sans qu´on évoque le travail  accompli soit le bien fondé des lois proposés par  Robert Badinter, célèbre juriste, essayiste et homme politique Français....  Que Tshisekedi, de surcroit juriste.

Connait-il la vie de Badinter ?  il n'était qu'un misérable avocat juif perdu dans l'immensité de la droite française, il a fallu que la gauche (socialiste) arrive au pouvoir pour que ses talents soient mis en valeur.  Qui sait si vous ne m'aviez pas confisqué sa victoire, aujourd'hui vous ne parlerez pas des 47, 48, 49 et 58.  On ne saura pas ce que monsieur Tshisekedi aurait pu accomplir pendant ces 5 ans, alors monsieur avec un peu de gentillesse de modestie.  RAVALEZ vos pleurniches  et conseillez votre kadogo de débarrasser le plancher.

Après il va encore me dire que je saute la poule à l'asne moi qui ne suis qu'un simple hétéro.
Mon Dieu pardonne-lui tous ses péchés mortels et véniels, il n'a jamais su ce qu'il était vraiment
Chers Tous, je vous le dis il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à VUNUNU de se faire une idée que le Kadogo arrive au terme de ses deux mandats selon l'article que lui m'Vununu lit matin et soir, et rentrer dans le royaume de tous ceux qui veulent le bien être du peuple Congolais.


Kiassi M.

Cher ou Chère  Compatriote et Frère ou Sœur (Daignez me le préciser) Ntumba Kabisa,

Prière trouver ma réaction en italique gras noir dans le corps de votre texte.

1. La proposition d'Etienne Tshisekedi President de la Transition semble vous donner un sursis dont vous tente de profiter pour faire ecclipser l'essentiel.

1. Il n´y a pas de sursis lorsqu´il s´agit de l´intérêt supérieur de la nation. C´est le patriotisme qui doit primer et, c´est ce même patriotisme qui avait primé lorsqu´en son temps, dans un rapport interne de mon ancien parti, j´ai persuadé les hauts cadres de ce parti sur la nécessité de l´union de l´opposition autour d´une seule personne, Tshisekedi. 
Mais, comme toujours, ce dernier dépassé par son caractère conflictuel  sciera lui même la planche sur laquelle il devrait s´asseoir. Que dire ? La faute doit toujours incomber à d´autres qui ont compris que jamais ce Leader pourrait encore jouer un grand rôle au sommet de la RDC au vu et au su de ses propres volte-face sans parler des dérapages  et autres bourdes sans fin ? (Vununu)

2Vous devriez garder a l'esprit que cette proposition ne vient pas de la majorite du peuple congolais car le probleme ne se pose pas a ce peuple en terme de transition. C'est par son esprit de clairvoyance que l'auteur, Monsieur Kyantede Bin Nzogu a introduit cet aspect du debat. (Ntumba Kabisa)

2. Si pour le Compatriote Kiantede il s´agit de sa clairvoyance mais pour mon cas  en 2011 lorsque je fus encore dans l´opposition, il s´agissait de l´intérêt national caractérisé par un sens élevé du patriotisme. 

C´est ce même sentiment qui m´anime aujourd´hui en soutenant Kabila non pas pour des raisons de jouissance personnelle mais pour l´intérêt supérieur de la nation qui fut en danger face au M23 et qui continue encore de l´être face aux impérialistes pour lesquels Kabila ait parvenu à s´opposer sur plusieurs points.  D´où, n´étant plus le même comme à ses débuts, pour eux, il doit partir. 

Avant toute chose, il faut  qu´on se questionne sur  les vraies raisons de cette demande pressante pour le départ de Kabila  alors qu´ils ménagent d´autres qui sont dans le même cas que lui. Ce qui ne justifie pas un tel acharnement qui n´est pas non plus au profit de nos intérêts ou de l´intérêt de notre peuple. Vous ne devez pas l´ignorer.

En cette période charnière pour laquelle la RDC n´est pas encore totalement sortie de l´instabilité, je suis d´accord en reconnaissance de sa lutte que Tshisekedi puisse jouer un rôle prépondérant au pays. Mais SVP ou BITTE comme disent les Allemands, pas à la magistrature suprême même à titre transitoire pour des raisons déjà évoquées longuement dans mon texte. 
En plus, pour votre gouverne, sachez que toutes ces raisons ne sont pas mes propres inventions. Elles proviennent de son parcours politique et, vous ne pouvez pas changer l´histoire sur sa personne ou encore raconter autrement ses bourdes.
 Par contre, si les choses dépendaient de moi, je souhaiterai que l´ancienne classe politique travaille la main dans la main avec la nouvelle génération dans une transition pour préparer la refondation de la grande nation Congolaise. 
Et, c´est ici Tshisekedi, juriste de formation comme par coïncidence, lui qui a tant clamé l´instauration d´un état de droit jouera un rôle important dans la confection  des textes dans une démarche impersonnelle pour l´intérêt de la nation. 
La nation Congolaise est  à refonder selon ma perception.  Jouer un grand rôle ne  dit pas qu´on doit nécessairement être Président. 
A titre d´exemple, un jour ne passe quelque part en France voire en Belgique sans qu´on évoque le travail  accompli soit le bien fondé des lois proposés par  Robert Badinter, célèbre juriste, essayiste et homme politique Français.  
Que Tshisekedi, de surcroit juriste, s´emploi dans ce sens, lui qui connaît bien depuis plus d´un demi siècle les rouages de la vie sociale et politique de notre nation à savoir, ses qualités, ses faiblesses, ses défauts, les inégalités sociales...propose ensemble avec ses pairs (qu´il a toujours boudé) , une alternative des textes pour refonder la nation Congolaise. 
Si les autres mûris par leurs expériences et savoirs  écrivent pour le bien de leurs sociétés, Tshisekedi, lui,  ne fait qu´entretenir et mûrir le mythe et le culte de sa personne autour de lui.  
Quand on évoquera le nom de Badinter (87 ans) dans le futur, on fera allusion aux beaux textes qu´il a pondu pour sa société alors que quand un jour on évoquera le nom de Tshisekedi, on dira qu´il a tenu tête face à Mobutu, qu´il a organisé des villes mortes, qu´il méprisait ses paires politiciens en se considérant comme le seul capable de tout....des actions éphémères dans le temps qui n´ont pas changé le quotidien soit l´intérêt du peuple sur papier.
Les paroles s´envolent les écrits restent, dit-on. Les beaux textes de Robert Badinter coulés sous forme des lois serviront tandis que les bouderies de Tshisekedi  qui n´a pas écrit ses propres mémoires sur son expérience politique afin d´aider la RDC s´envoleront sans servir à notre nation.
(Vununu)

3. Quel est alors l'essentiel et la preoccupation de la majorite des congolais me demanderez-vous?

L'essentiel et la preoccupation de la majorite des congolais est que votre champion aura epuise sa duree constitutionnelle a la tete du Congo. En novembre 2016, il doit plier bagage et renter d'ou il est venu.

3. Vous, comme ces autres là dans votre cas, vous n´évoquez que des aspects politiques comme soucis majeurs de notre peuple. C´est la raison pour laquelle sur 229 articles contenus dans notre Constitution, vous manipulez le peuple rien qu´avec des articles liés directement aux questions politiques sans jamais faire allusion aux articles accordant au peuple des acquis sociaux. Pourtant, ces articles  sont moins voire ne sont  même pas  connus du peuple parce que vous ne l´évoquez jamais. 

 Pire, au grand jamais vous aviez appelé le peuple à descendre dans la rue lorsque/si ses acquis sociaux tels que stipulés dans la Constitution ne sont pas ou ne seront pas respectés. 
Toujours on vous  voit évoquer souvent l´article 220 comme si les Congolais que vous appelez dans la rue sont tous des politiciens et qu´en dehors de la politique, il n´y aurait pas d´autres urgence pour notre peuple. Évoquez aussi les articles 47, 48, 49 et 58. C´est cela la plus grande préoccupation de notre peuple. 

 A mon avis, c´est la plus grave erreur politique que nos politiciens, toutes tendances confondues, ont commis puisque dans l´ensemble, la misère de notre peuple a été reléguée aux calendes grecques dans leurs préoccupations quotidiennes. Si les quatre articles évoqués ci-dessus étaient respectés, je crois on en serait pas là aujourd´hui car c´est le peuple lui même qui allait avoir le dernier mot.  (Vununu)

4. Le choix du President de la periode apres novembre 2016 est une question secondaire. Vous avons tous interet a la savoir. (Ntumba Kabisa)

4. Voilà qui prouve la banalisation de ce cas de votre part car, pour vous, diriger la RDC est une question secondaire. Pourtant, il y va de l´avenir de toute notre nation et de son peuple voire de ses peuples vu que la RDC est un sous continent équivalent à la superficie de 10 pays de l´Europe centrale. Avoir un non rassembleur à la tête de notre pays le précipitera vers l´inconnu ou des jours tumultueux sans précédent. 

Pour survivre, la RDC aura toujours besoin des discours, des actions...en faveur de l´unité,  de la cohésion, de la réconciliation et non des paroles invectives envers ses pairs politiques soit à d´autres. (Vununu)

5. Quand a la question de la securite nationale et aux risques de guerres pendant cette periode, sachez que le seul individu qui peut amener la guerre au Congo en cette periode c'est votre champion, il est venu par la guerre, il a regne par la guerre, il peut tenter de se maintenir par la guerre. Vous ne me citerez aucun homme politique congolais qui aurait des armes et serait capable d'envoyer le Congo a la guerre pour s'accaparer du pouvoir. La guerre ne peut venir que de Kabila ou de ses parrains, regionaux ou internationaux comme il en a ete le cas depuis 1986. (Ntumba Kabisa)

5. Avant la défection du M23, on lisait ceci: KABILA=M23. Un député chevronné opposant en la personne de Roger Lumbala l´accusa même de connivence avec le M23 en détenant des preuves irréfutables. Mais, en lieu et place, de présenter ses preuves, il alla lui même se faire enrôler au M23 qui fut une créature de Kabila selon lui. Que conclure ?

Kabila, je le remarque, a toujours été accusé à tort dans la déstabilisation de la RDC. Or, si on le remarque bien, c´est avec son arrivée au pouvoir que la RDC fut réunie alors que son prédécesseur de Père lui, voulait continuer et ramener la guerre d´où elle était venue.

Sous un autre aspect, il fut accusé d ´être le pion de ses  "frères Rwandais" pour balkaniser la RDC. Ici, encore , nous remarquons le contraire car, c´est lui qui a tout fait pour mettre hors d´état de nuire le M23 et que, jamais il s´est engagé dans cette option alors que plusieurs occasions se sont présentées à lui pour qu´il puisse passer à l´œuvre. 

En 1986, Mobutu était encore au pouvoir , voulez-vous dire en 1996 ? En cette période aussi Joseph Kabila n´était pas au pouvoir. Vous connaissez ceux qui ont concocté le plan de cette guerre injuste imposée à la RDC. Dans sa conception, loin du continent Africain, il n´a joué aucun rôle majeur. 

On disait que ses parrains lui ont  confié la mission de dépecer la RDC. A présent, qu´en est-il de cette fameuse mission au moment où vous proposez Tshisekedi comme Président d´ une transition non pas  dans un pays émietté mais  dans  un pays uni que Kabila a su garder intact 15 ans durant. Il faut lui reconnaître cela.  
Sinon, pouvez-vous nous dire qui l´a empêché de passer à l´acte ? N´est-ce pas son patriotisme soit l´amour de la patrie pour laquelle il a fort ouvré pour son unification ?

Pensez-vous vraiment que celui qui a pu, contre toute attente et  moult contre-vérités, garder la RDC ainsi pendant 15 ans enverra  notre pays dans la guerre ?

Mes salutations fraternelles et patriotiques

JP-Vununu






QUID DE L´APPEL TSHISEKEDI PRÉSIDENT DE LA TRANSITION ?
 
« L´histoire est un perpétuel recommencement », cette citation de Thucydide, politicien, historien et stratège grecque né vers 460 avant Jésus Christ restera toujours en vigueur et adaptable à toutes les époques.
 
Ici dans notre cas, il s´agit de la proposition de certains Compatriotes à ce que Tshisekedi puisse devenir Président de la transition en RDC en cette période tumultueuse et surtout, très instable sur le plan sécuritaire qui si, on n’y prend garde, conduira notre pays à un chaos total.
 
Lorsque la nation est en danger ou que son peuple est en conflit, il est préférable et souhaitable de lui apporter des propositions adaptées et solides pour consolider l´unité et pour transcender les divergences politiques, ethniques, religieuses…
 
En ce moment crucial et très important de son existence, notre nation a-t-elle besoin d´une solution à la vaille qui vaille pour faire plaisir à un leader politique non rassembleur qui, en faisant une rétrospective du passé, fait craindre, à juste titre d´ailleurs, une bonne partie des Congolais ?
 
Peut-on se raconter une autre histoire différente de ses manières autocratiques, de ses qualités de conflictuel et de non rassembleur aujourd´hui uniquement parce qu´il est considéré comme celui qui a tenu tête à Mobutu ?
 
« ...Il est des souvenirs qui peuvent être changés, que leur ordre et leur nature demeurent dans la mémoire quels que soient les efforts accomplis pour se raconter une histoire différente. » Vents Contraires. Almudena Grandes
 
 
La place manquerait ici pour évoquer les faits qui, quels que soient ses efforts accomplis, ne peuvent être changés ni racontés autrement concernant ses agissements et sa personne.
 
L´histoire retiendra qu´au départ, le parti, qu´il dirige d´une main de fer  et qui est devenu à présent  presque son bien privé ou familial, avait des co-fondateurs qui, à tort ou à raison, furent tour à tour poussés vers la porte du sortie. Ceci, parce que dans n´importe quel différend de tout genre, il avait et a toujours raison puisque depuis la création de ce parti, le 15 février 1982 jusqu´aujourd´hui, c´est toujours la même logique qui prime : Tshisekedi a toujours raison et les autres ont toujours tort.
 
Tout au long de ses 15 ans (du 15 février 1982 au 17 mai 1997) de  combat face à Mobutu, il ne cessait de dire qu´il luttait contre la dictature. Mais, il faut se demander avant toute chose, si au moins, il a pu instaurer la démocratie même au sein de son propre parti que lui-même dirige comme Mobutu dirigeait le MPR Parti-État, un parti qui se confondait avec les institutions du pays.
  
Malgré cela, sa lutte contre Mobutu fut reconnue mondialement et il devint incontournable au point de jouer un rôle prépondérant pour l´alternance après Mobutu. Mais, rattrapés par ses pratiques autocratiques, toutes les tentatives en son encontre pour jouer ce rôle furent des cuisants échecs.
 
En effet, dans la succession des faits, l´histoire retiendra que Mobutu qui n´avait pas d´autres choix fut contraint de le nommer le 1er octobre 1991 au poste de premier ministre. A ce chapitre, on peut tout dire sur la mauvaise foi de Mobutu mais il n´en demeure pas moins de révéler le manque de talent diplomatique, de fin négociateur et de rassembleur qui manquent au registre du leader Maximo. Car,  dans un langage peu diplomatique, ce dernier a critiqué vertement Mobutu qui l´a révoqué trois semaines plus tard pas à cause d´une tierce personne mais à cause du comportement du leader Maximo lui-même.
 
Après cette première tentative de nomination au poste de premier ministre par Mobutu, il eut dans la nuit du 15 août 1992 un fait historique dans les annales de l’histoire de notre nation par sa désignation à travers la voie des urnes de la Conférence Nationale Souveraine au sein de laquelle pourtant, la mouvance Mobutiste fut majoritaire.
 
Et, ce qui fut très remarquable, même les « Mikomboso » soit l´argent alloué par Mobutu pour corrompre les conférenciers ne fit pas l´affaire. Le peuple, qui s´est reconnu en lui, a tonné fort à l´extérieur de l´hémicycle du Palais du peuple pour se faire entendre et comprendre par la majorité des conférenciers votants de la mouvance Présidentielle.
 
C´est ainsi, Tshisekedi sans l´aide d´une ordonnance de Mobutu fut cette fois-ci élu au poste de Premier ministre au prix des tractations politiques très patriotiques qui privilégièrent l´intérêt national. Comble de malheurs, il fut rattrapé par les démons de ses propres défauts. Puis comme toujours, il ne saura satisfaire ou souscrire à ses engagements politiques en jouant le rassembleur. A cette étape aussi, son manque de tact politique fera l´affaire. La suite est connue.
 
Ses pratiques n´ont pas changé depuis le départ de Mobutu soit 19 ans de cela. Si à l´époque de Mobutu il y avait encore une ribambelle de co-fondateurs dans ce parti, à ce jour, il est resté le seul maître à bord. Et pire, une nouvelle donne a fait son apparition au sommet de ce parti où Madame le Président même sans aucune fonction officielle, s´ingère dans les affaires intérieures du parti.
 
Si à l´époque, imbu de sa propre personne il boudait tout le monde et n´a pas su juguler à maintenir aucune coalition politique, aujourd´hui, cela n´a pas changé d´un iota.
 
Doit-on rappeler ici comment il a biffé l´ordonnance de sa nomination lors d´une transmission en directe à la télévision ? Doit-on rappeler ici comment il a salué Mobutu tout en gardant d´une manière très hautaine sa main gauche dans la poche de son pantalon ? Doit-on rappeler ici comment il a demandé l´arrestation de l´actuel Président Joseph Kabila qu´on devrait lui amener bien ligoté ? Doit-on rappeler ici comment il a prêté serment dans sa résidence en ne privilégiant aucun dialogue sauf la restitution de l´imperium ? Doit-on rappeler toutes ses bourdes et volte-face qui sont les fruits de son propre caractère ?
 
Certes, certains vont intervenir en voulant nous faire dessaisir de l´essentiel en classant ce rappel dans le cadre d´un acharnement personnel voire d´une prétendue haine envers la personne de Tshisekedi. Ce qui n´est pas vrai et ne reflète pas la réalité des faits qui sont tous avérés et ne sont pas une création de nos neurones.
 
« N´accuse point la mer à ton second naufrage»  dit un dicton de Publius Syrus/Sentences
 
Nous ne sommes pour rien dans le comportement négatif de celui qui normalement devrait incarner l´exemplarité pour le dialogue, le rassemblement, l´unité, la cohésion, la réconciliation dans ce sous-continent qu´est la RD-Congo.
 
D´ailleurs, ce qu´ils ne savent pas, en 2011 avant les élections et pendant les tractations pour l´unité de l´opposition, il nous a été demandé de faire un petit commentaire sous forme de rapport par quelques hauts cadres de notre ancien parti de l´opposition. Et là, privilégiant le patriotisme, nous n´avons pas eu froid aux yeux pour jeter notre dévolu sur le leader Maximo au détriment de notre propre Président National. Notre déception ne se  fit pas  attendre et autant pour ceux qui voulaient un grand rassemblement autour de sa personne.
 
Car, dans la même période, l´opinion se rappellera que le 29 septembre 2011, l´actuel Président du Sénat, M. Léon Kengo était venu de Kinshasa pour le rencontrer  à Bruxelles à l´hôtel Châtelain en vue de chercher une alliance avec lui. La suite est connue.
 
En plus, chacun le sait. Bien que nourri dans le passé de ses bourdes, le leader Maximo fut encore incontournable en 2011 et a suscité un espoir au peuple et à ses paires politiciens. Mais, ici encore le résultat ne fut pas différent de ceux des années antérieures.
 
Personne n´a oublié les tentatives de rapprochement entre Kamerhe et Tshisekedi. A part ces deux grandes figures de proue de la politique Congolaise, il y a eu d´autres encore dans la même logique pour la même dynamique sans arriver à un résultat positif car dit-on, le vieux campait toujours dans sa logique.
 
A la place des mots apaisés et  un geste rassurant de rassembleur, il clamait haut et fort ceci : « Je préfère ne pas conclure d´avance. Il faut attendre les élections que les élections se terminent pour connaître le poids politique de chacun. »
 
La preuve, deux jours après les élections de 2011, le 30 novembre 2011, il accorda une interview à la journaliste belge du journal « le Soir », Colette Braeckmann dans laquelle, il a bien précisé le pourquoi de sa bouderie envers les deux personnalités politiques citées ci-haut.
 
Pour Kengo, il dira : « Quant à Kengo, il fait partie de ces hommes que j´ai toujours combattu... » Ce qui explique sans autres formes de procès pourquoi le rapprochement voulu par Kengo en son temps avait bel et bien échoué.
 
Pour Kamerhe, il avait renchéri: « C´est une idiotie. Comment pouvez-vous, avant les élections, exiger le poste de premier ministre sans savoir combien de députés vous alliez avoir au parlement ? Les voix récoltées par Kamerhe au Kivu, cela ne me concerne pas. Avant-hier, il est venu ici j´ai refusé de le recevoir. »
 
Si sur le plan intérieur, c´est vrai, il peut y avoir des différends avec ses paires politiciens mais une chose est sûre, pour une personne qui aspire au poste suprême du pays, il ne doit pas les mépriser à ce point les considérant comme des simples « va-nu-pieds ».
 
Pourtant, aux yeux d´une personne aspirant aux fonctions élevées dans une nation, même les simples va-nu-pieds doivent avoir de la valeur. Au fait, il boude tout le monde y compris l´actuel Président en exercice, Joseph Kabila.
 
Or, cette attitude de refus au dialogue fut perceptible aussi face à d´autres personnalités politiques du monde comme Sassou Nguesso, Didier Reynders, Thabu Mbeki... la liste est non exhaustive.
 
Pourtant, toutes ces personnalités politiques  ne sont pas parties prenantes de la crise Congolaise mais, par leur volonté et bonne disposition, ont voulu simplement rencontrer le Sphinx dans sa tanière afin de le faire comprendre de sortir de son carcan pour essayer d´entendre un autre son de cloche autre que son aura voire son égo. Que nenni.
 
« Le monde de la réalité a ses limites ; le monde de l´imagination est sans frontières » Jean-Jacques Rousseau
 
In fine, pour le monde réel qu´est la RD-Congo avec sa complexité et ses particularités, il est bon de dire ici qu´il y a des limites que nous nous devons de fixer même d´une manière personnelle dans nos choix pour savoir si ceux-ci iront dans le sens d´enfoncer encore davantage la situation avec une personne très conflictuelle ou alors il faudrait faire un choix cornélien pour ce monde réel qu´est la RD-Congo.
 
Entre-temps, il n´est pas interdit à ceux dont l´imagination est sans frontières de penser à leur manière sans chercher à prendre le dessus du monde réel. Déjà, dans leur imagination, ils ont un deuxième RD-Congo au sein duquel leur Président a prêté serment chez-lui loin de nos institutions. Ils le considèrent comme leur Président élu. Ils sont biens libres.
 
Le rêve étant permis, c´est leur droit mais attention au monde réel s´agissant de notre cas sous examen qui est  cette grande nation Congolaise qui ne peut être dirigée comme un parti au sein duquel on n’a pas fait preuve de rassembleur.
 
Pour l´heure, la grande nation Congolaise encore instable n´a pas besoin d´un leader aussi conflictuel que diviseur comme celui qu´on veut nous présenter une énième fois pour être « la solution ». Si pendant ses 56 ans de sa vie politique (1960-2016)  il n´a jamais joué un rôle dans ce sens, faudrait-il lui accorder le bénéfice du doute à sa 57ème année ?
 
Cependant, nous avons en mémoire la fable de la fontaine : « Le chêne et le roseau ». Le chêne, puissant et imposant protecteur égocentrique se voit déraciné par le vent, sans avoir pour autant plier. De son côté, le roseau est resté debout, mais avec habileté, en courbant la tête. La Fontaine arrive donc à inverser son dogme, sa thèse habituelle, en lui trouvant une exception qu’il exploite. « La loi du plus fort n’est pas toujours la meilleure ».
 
Sans rancune.
 
Jean-Pierre Vununu, Congo Mon Amour.
 

ACTU STARDUCONGO

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PENSEE DU JOUR: FAITES DU BIEN , TOUJOURS DU BIEN

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dimanche 13 mars 2016
« Combien de fois vous hésitez à manifester votre bonté en vous disant que personne n’appréciera votre geste : les humains sont ingrats et même méchants, ça ne vaut donc pas la peine de chercher à faire quelque chose pour eux. Eh bien, voilà une façon de penser très pernicieuse, car elle vous paralyse dans ce que vous avez de meilleur.
Vous avez fait du bien à quelqu’un et non seulement vous n’en avez pas été récompensé, mais vous avez même été trompé ? C’est possible. Mais votre conduite n’a pas à dépendre de l’attitude des autres. Faites le bien et n’attendez rien, comptez seulement sur Celui qui voit tout, qui sait tout. Lui seul peut apprécier vos actions bonnes et généreuses. C’est donc de Lui que viendra la récompense, et sous une forme différente que celle que vous attendiez. Vous serez peut-être en meilleure santé, plus fort, plus sage, plus heureux : n’est-ce pas la meilleure récompense ? »

La RDC n'a plus besoin de la dictature: un modèle Floribert Chebeya

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Pour un Congo libre et sans la dictacture de Kabila, ayons le courage comme celui de Chebeya et de tous les prisonniers politiques de la RDC

chebeya2
chebeya2Congolais, si nous voulons être libres, nous devons être organisés et nous devons participer à toutes les associations politiques, économiques et sociales qui militent pour la libération et le bien-être de la RDC.
Votre ennemi est la peur.
Ayez le courage comme celui de Chebeya et de tous les prisonniers politiques de la RDC. Parlant des prisonniers politiques de la RDC, en voici la liste:
Eric KIKUNDA, Jean-Claude MUYAMBO, Christopher NGOIE, Fred BAUMA, Yves MAKWAMBALA, Vano Kiboko, Diomi Ndongala, Jerry OLENGA, Paulin LODY, NGUWA Léon, NUMULINDA BOKURU Joêl, BONGOMISA NZINGA Giresse, Ernest Kyaviro, détenus à la prison de Makala à Kinshasa; Paul KIKUKAMA, à la prison de la Kasapa à Lubumbashi; et KOMBI Narcisse Juvin, BYUMANINE Pascal, FUMBU Innocent, WETEMWAMI HESHIMA SAIDI, SEMUNDA RWAMAKUBA Gervais, KATEMBO KALINDALO Nelson, KAMBALE MUHASA Jonathan, KAKULE KILALA Osée, SEMIVUMBI Jojo, MUMBERE Espoir, Nelly TWITE, BENU BAHATI et LONGALE MATESO, à la prison de Munzenze à Goma. Les Lucha, les Filimbi et plusieurs autres d’autres….
L’ONG les Oubliés de la planète au Canada demande au peuple congolais d’unir leurs voix comme une seul homme, pour demander la libération de ces prisonniers politiques qui sont devenus prisonniers personnels de Joseph Kabila, et cela, avant la fin de son mandat.
Aucun de ces Congolais sur ma liste, injustement emprisonnés ne méritent leur séjour en prison.
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